Votre ex n'est pas un pervers narcissique, et je vais vous dire pourquoi dans cette vidéo. Je vais également vous expliquer pourquoi utiliser ce concept non seulement ne vous aide pas, mais en plus vous condamne à répéter les mêmes schémas toxiques en amour. Je ne me contente pas de critiquer ; je vais également vous offrir une alternative et vous expliquer comment identifier si vous vous trouvez dans une relation toxique.
Je n'ai pas l'habitude de faire des annonces comme ça en début de vidéo, mais là, c'est important. Je viens tout juste de sortir ma première formation pour femmes, "Rencontre Fusionnelle", pour aider les femmes à trouver l'homme de leurs rêves et à le garder sur le long terme. Le lien se trouve en bas de cette vidéo, vous pouvez y accéder directement, et j'offre un accompagnement aux 20 premières personnes qui accéderont à la formation.
Alors, le pervers narcissique, c'est un concept à la mode. Tout le monde en parle, tout le monde en voit ; ils sont partout. Mon patron a refusé ou m'a critiqué, ou a refusé une augmentation ?
Bah, c'est probablement un pervers narcissique. Mon petit ami a été infidèle ? Pervers narcissique, ne cherchez pas plus loin.
Il est arrivé en retard, ou il m'a posé un lapin ? C'est probablement un pervers narcissique. On est tous victimes de pervers narcissiques, à juger par le nombre de vues, le nombre de vidéos, le nombre d'articles que génère ce concept, qui, d'ailleurs, génère beaucoup de passion.
D'ailleurs, petite remarque : les gens parlent souvent de "leur" pervers narcissique, mon pervers narcissique, donc tout le monde voit des pervers narcissiques, mais personne n'est capable d'apporter une définition claire à ce concept. Et c'est peut-être même ce qui fait sa force. C'est un peu comme la matrice pour les fans d'Andréate, ou encore le patriarcat.
C'est la faute au patriarcat si je gagne moins que mon copain. C'est la faute à l'hypergamie si je n'ai pas de copine. Tous ces concepts flous dans lesquels chacun peut y placer son ennemi et trouver un bouc émissaire pour expliquer pourquoi sa vie n'est pas au top.
Pourquoi je n'ai pas le salaire de mon copain ? C'est la faute au patriarcat. Pourquoi je n'ai toujours pas de copine ?
C'est probablement la faute à l'hypergamie. Pourquoi ma relation amoureuse n'a pas fonctionné ? Et bien, parce que mon ex, c'était un pervers narcissique.
Donc, il n'y a pas de définition précise. En revanche, il y a des signes. Il y a beaucoup de signes.
On voit plein d'articles : les 12 signes pour repérer un pervers narcissique, les 13 signes pour identifier un pervers narcissique. Ces signes-là, souvent, on va retrouver le charme. Ça, c'est vrai que c'est quelque chose qui revient beaucoup.
Il est généralement charmant au départ, il est séducteur, il a un ego surdimensionné. C'est un manipulateur, et particulièrement une manipulation qu'utilise beaucoup notre pervers narcissique, c'est la culpabilisation, avec des descriptions qu'on retrouve beaucoup, comme il adopte régulièrement la posture de victime. Rien n'est jamais de sa faute, il n'assume jamais sa responsabilité.
En psychanalyse, discipline d'où est issu le concept de pervers narcissique, on parle de projection narcissique, c'est-à-dire que le pervers narcissique expulserait, projeterait sur l'autre ce qu'il n'a pas envie de voir en lui. Il n'a pas envie de voir que c'est un monstre, donc il le projette sur l'autre et se positionne lui-même en tant que victime. Et moi, je ne peux m'empêcher de me poser certaines questions, et particulièrement de me demander si votre pervers narcissique ne se poserait pas lui-même les mêmes questions que vous.
Imaginez que votre pervers narcissique, lui aussi, cherche des articles sur Internet sur les pervers narcissiques et se dit, ou se convainc, que c'est vous qui êtes le ou la pervers narcissique. Imaginez que votre pervers narcissique soit persuadé d'être la victime dans la relation et que tout le monde autour de lui lui fasse comprendre que oui, c'est lui la victime et c'est vous le pervers narcissique. J'ai même envie de vous dire : qu'est-ce qui me fait dire que ce n'est pas vous le pervers narcissique dans l'histoire ?
Évidemment, vous avez compris que je ne suis pas en train de vous accuser d'être un pervers narcissique, je suis en train de surligner l'absurdité de cette étiquette, et particulièrement dans cette volonté d'accuser l'autre de ce qu'on est, de ce qu'on est en train de faire soi-même. En fait, on accuse l'autre d'endosser le rôle de la victime, de ne pas reconnaître sa part de responsabilité, alors qu'on est en train de faire exactement la même chose en accusant l'autre d'être un pervers narcissique. Parce que si c'est lui le bourreau, bah j'ai aucune responsabilité dans l'histoire.
Ce n'est pas ma faute, c'est lui le méchant. Le concept qui a percé, c'est le concept de pervers narcissique, ce n'est pas le concept de trouble de la personnalité narcissique. Pourquoi ?
Parce que le trouble de la personnalité narcissique reviendrait à reconnaître chez l'autre une souffrance, parce que c'est un trouble de la personnalité qu'on retrouve dans le DSM. Il y a une souffrance, d'ailleurs, c'est une pathologie, et donc lui reconnaître ça, c'est reconnaître la souffrance de ne pas être aimé. C'est un besoin d'admiration qui est pathologique.
Le trouble de la personnalité narcissique a une souffrance derrière. D'ailleurs, il y a des comorbidités ; on appelle ça des comorbidités avec des troubles anxieux, avec du névrosisme, une peur de mal à être, de ne pas être le centre de l'attention, de ne pas être aimé du groupe. Évidemment, on a tous envie et besoin d'être aimé, mais il y a des gens pour qui c'est une souffrance que de ne pas être aimé.
J’admire carrément, et donc le choix sémantique est important. Utiliser le terme de "trouble de la personnalité narcissique" reviendrait à reconnaître au partenaire une forme de souffrance, et donc à lui donner une certaine possibilité d’endosser lui aussi le rôle de la victime, un petit peu. Mais ça, on ne veut pas.
On veut expulser l’entière responsabilité sur l’autre. La vérité, c'est qu'on a tous été le pervers narcissique de quelqu'un, et on a tous été la victime d'un pervers narcissique aussi. Si vous voulez, dans ce sens-là, une femme charmante, toute mignonne même, peut se retrouver face à un homme et se comporter comme un petit agneau tout mignon, et cetera, et puis, face à un mec, se comporter comme un démon, parce que ce gars-là est trop gentil avec elle, par exemple.
Un homme peut être admirable au travail, très généreux avec ses collègues, et le soir, quand il rentre, il est égoïste avec sa femme ; il ne se comporte pas bien, et cetera. Un comportement humain n'est rien sans prendre en compte la personnalité, ok ? Mais mise en interaction avec le contexte.
Moi, je suis psychologue. On accuse souvent les psychologues de vouloir mettre dans des cases, mais c'est faux. La première chose qu'on nous apprend en psychologie, particulièrement en psychologie de la personnalité, c'est qu'un comportement humain, c'est le fruit d'une personnalité et d'un contexte.
Alors, le contexte, ça peut être l'environnement social, ça peut être le type de relation. Ça peut être vous aussi ; vous faites partie du contexte. Il y a des comportements chez vous qui ont pu contribuer à des comportements toxiques chez votre partenaire.
Ça ne veut pas dire que vous êtes en tort, mauvais ou quoi que ce soit. Il n'y a pas forcément de notion morale derrière tout ça. Par exemple, vous avez pu vous montrer gentil au départ avec cette personne, mais cette personne l'a pris comme de la faiblesse.
Une femme peut, par exemple, éprouver une admiration excessive pour un homme, et cela peut conduire à une relation toxique, parce que le mec prend la grosse tête, parce qu'il devient plus tyrannique. Peu importe, ça crée une asymétrie. Voyez, une femme ou un homme peut avoir manqué d'assertivité en début de relation, ne pas avoir cadré les choses, ne pas avoir su exprimer ce qui n'allait pas, ce qu'elle n'appréciait pas dans la relation, et donc ça s'enlise.
Ça entraîne des comportements de plus en plus toxiques et donc une relation toxique. Et vous noterez bien que j'ai parlé de relation toxique et non pas de personnalité toxique. Et moi, je pense que pour rester pragmatique et lucide dans votre vie amoureuse, il faut essayer d'identifier une relation toxique plutôt qu'une personnalité toxique.
Donc, je vais vous donner trois indices qui permettent d'identifier une relation toxique, et vous voyez que ce sera bien plus utile que d'essayer d'identifier un soi-disant pervers narcissique. Parce que ça veut dire quoi, identifier un pervers narcissique avant qu'il se passe une relation avec lui ? Ça veut dire, du coup, se méfier des hommes charmants.
C'est, on l'a vu tout à l'heure, une des caractéristiques du pervers narcissique : c'est qu'au départ, il est très charmant, il est séducteur, il est séduisant. Donc, ça veut dire quoi ? Ça voudrait dire qu'il faudrait se méfier de tout homme séduisant ?
Avec moi, au début, tout homme qui me ferait du love bombing, qui me bombarderait d'amour, c'est ridicule. Moi, je vois de plus en plus ces vidéos de nanas qui disent "Red Flag, méfiez-vous d'un mec qui est limite trop gentil avec vous dès le début, trop parfait, trop charmant". Méfiez-vous de ces mecs-là !
C'est absurde. Donc, ce n'est pas la bonne méthode. La bonne méthode, c'est plutôt d’identifier, de rester vigilant lorsque vous êtes en relation avec un homme ; rester vigilant aux signes qui pourraient indiquer une relation toxique.
Pour le coup, et là je me base sur la grille du docteur Gottman, je vous mettrai ça en description. Donc, il y a trois signes. Le premier, c'est un signal subjectif : c'est de vous poser une question, une question très simple : est-ce qu'avec cet homme, je me sens stressé ?
Est-ce que je me sens mal ? Est-ce que j'ai une boule de nervosité en moi ? Est-ce que, voilà, est-ce que je suis anxieuse en présence de ce mec-là ?
Et particulièrement si le stress n'était pas là au début, mais il a commencé à grimper de plus en plus. Ça, ça devrait être un signal. Rien que ça, ça devrait être un signal.
Ce n'est pas forcément vous le problème, mais il y a quelque chose qui ne va pas, quelque chose qui ne va pas, et il faut le prendre en compte. Le deuxième, c'est le mépris d'un côté comme de l'autre. Lui ou elle peuvent vous mépriser.
Parce que, bon, le cas qui revient beaucoup, c'est le mec qui critique le physique de la nana. Il critique votre physique. Alors, est-ce qu'il le fait pour taquiner ?
Est-ce qu'il le fait malgré vos demandes d'arrêter ? S'il continue et que ça vous fait souffrir, évidemment, c'est un signe de mépris. S'il taquine et que vous n'appréciez pas et qu'il arrête, c'est différent.
Est-ce qu'il ou elle méprise votre activité, votre boulot ? Peu importe, tout ça, ce sont des signes qui, pour moi, devraient alerter. Mais si vous aussi vous méprisez cette personne, gros signe.
Et le dernier, qui est probablement le plus important, c'est le refus de réparer. Le refus de réparer, puisque une relation, c'est une construction. On construit quelque chose ensemble.
Si la personne refuse de réparer, il n'y a plus d'intérêt à continuer. Ça veut dire quoi, refuser de réparer ? Ça veut dire que vous essayez de parler avec cette personne.
Je dis bien "parler" et pas "hurler". Vous lui dites : voilà, il y a. .
. À ça qui ne va pas, j'aimerais qu'on en parle parce que je tiens à toi et j'ai envie que ça s'améliore. La personne soit ignorée, soit n'a pas l'air très investie dans la discussion, soit, pire, continue à hurler et à gueuler sans chercher à régler le problème.
Y a-t-il une volonté de régler le problème ? S'il n'y en a plus, pour moi, c'est un signe d'une relation toxique. Alors, il y en a plein d'autres.
Il y a aussi des signes qu'on peut voir en amont, un peu plus tôt dans la relation. Ça, j'en parle dans la newsletter dédiée aux femmes. Donc, je vous envoie plusieurs mails par semaine et on essaie de déceler ce genre de signe pour savoir si une relation est bonne ou mauvaise pour vous.
Également, on parle de psychologie masculine ; on rentre dans la tête des hommes pour que vous puissiez mieux les comprendre et les séduire. Donc, c'est en lien, c'est gratuit et c'est en bas de cette vidéo. Et là, vous dites peut-être à ce stade de la vidéo : « Écoute, Léo, tu es bien, Sya, pas, mais moi, le concept de pervers narcissique, ça me fait me sentir bien, donc j'ai aucune raison de t'écouter.
Je m'en fous de ce que tu racontes. » Voilà, cela m'aide à m'améliorer. Je me sens beaucoup plus heureuse et beaucoup moins anxieuse depuis que j'ai compris ça chez mon partenaire, chez mon ex ou chez mon patron ; peu importe.
Il y a une raison à cela. Évidemment, le concept de pervers narcissique est séduisant et il peut même être bénéfique à certains égards. Je ne vous apprends rien si je vous dis qu'une rupture amoureuse est vécue comme un véritable stress par le corps.
C'est quelque chose de douloureux, c'est quelque chose de violent. Même certains chercheurs comparent cela à un stress post-traumatique. Face à un stress violent, particulièrement une rupture, il y a différentes manières de gérer psychologiquement ce qu'on appelle les stratégies de coping.
Il y en a cinq grandes catégories selon Gottman, Zuckerman et Gagne, qui ont fait une catégorisation en 2003. Il y en a des bonnes, il y en a des mauvaises, mais il y en a une qui est particulièrement mauvaise, et surtout après une rupture amoureuse. La pire stratégie à adopter après une rupture amoureuse, c'est ce qu'ils appellent le self-blame, c'est-à-dire l'autoculpabilisation.
C'est se dire : « Je suis moche, c'est pour ça que ça a échoué ; je suis moche, je suis une merde, je ne suis pas drôle, il m'a trouvé conne, il m'a trouvé moche, elle me trouve nulle. Voilà, c'est ma faute, je suis une merde. » Ça, c'est le meilleur moyen de sombrer en dépression juste après, parce que vous allez ruminer avec des phrases culpabilisatrices, vous allez vous détruire, vous allez mettre toute votre intelligence au service d'une autodestruction.
C'est la pire stratégie à adopter, le meilleur moyen, straight way to dépression. Donc, n'importe quelle stratégie de coping qui viserait à éviter de s'autoculpabiliser de la sorte serait plutôt bénéfique pour vous. Bingo !
Vous voyez peut-être là où je veux en venir. La stratégie de coping dite du pervers narcissique, que j'invente là et que j'appelle comme ça, eh bien ça permet quoi ? Ça permet d'éviter de s'autoculpabiliser.
Si c'est l'autre qui est le bourreau, cela veut dire que moi je ne suis pas responsable, donc ça m'évite de ruminer en me répétant que je suis une merde ; c'est juste que j'avais face à moi un monstre. Donc, c'est plutôt positif à ce niveau-là. C'est d'autant plus bénéfique que ça me permet d'obtenir le soutien social.
Or, le soutien social est une excellente stratégie de coping face à un stress. Les femmes le font mieux que les hommes ; elles ont plus cette tendance à aller chercher le soutien des amis, des psychologues et à parler de leur souffrance. Elles le font beaucoup plus, et c'est pour ça que les femmes, en général, s'en sortent mieux et plus rapidement d'une rupture amoureuse.
Le problème, c'est que cette stratégie de coping pervers narcissique empêche l'apprentissage. Elle empêche de se regarder dans un miroir, pas forcément de se regarder dans un miroir, mais de poser sur le papier ce qui s'est passé dans la relation, d'essayer de voir de manière froide les tenants et aboutissants de la relation et d'essayer de comprendre quelles ont été les variables qui ont pu provoquer ces difficultés. Elle empêche de prendre ses responsabilités dans cette rupture, dans cette difficulté.
Elle empêche de s'adapter, de se dire : « OK, comment je fais pour ne plus jamais provoquer ce genre de relation ? » Pire même, la stratégie de coping pervers narcissique vous positionne dans le rôle de victime. Elle vous maintient dans un rôle de victime à la merci des pervers narcissiques.
D'ailleurs, c'est un discours qu'on entend souvent, et je suis désolé de le dire, dans la bouche des femmes. En tout cas, moi, j'ai entendu ça dans la bouche des femmes. C'est de dire : « Ben, j'ai enchaîné les relations avec des pervers narcissiques.
» Et alors là, les psychanalystes, on va leur sortir des explications à deux balles sur les plateaux télé en leur disant : « Oui, c'est parce qu'une blessure de je ne sais pas quoi, syndrome de machin. » C'est de la branlette ! C'est juste que la personne n'a pas regardé froidement sa relation et n'a pas cherché à comprendre comment elle pouvait s'améliorer, comment s'adapter.
Il n'y a pas eu d'apprentissage de ses erreurs, tout simplement. Il y a eu des erreurs, ça ne veut pas dire qu'on est mauvais, ça ne veut pas dire qu'on est fautif. On n'est pas obligé d'y poser un cadre moral, mais il y a eu des choses qui.
. . Ont été faites qui ont mené à une relation toxique.
Il y a des variables dans tous les sens, ça n'exclut. Ce n'est pas binaire, en fait. Ce n'est pas soit c'est lui le méchant, soit c'est moi la victime, ou alors c'est l'inverse.
On peut reconnaître, euh, certains comportements qu'on a eus qui ont pu précipiter une relation toxique, euh, et reconnaître que l'autre partenaire aussi a eu des comportements qui, en interaction avec les miens, ont pu créer une relation toxique. Et ce que je vous décris là, ben finalement, ça s'appelle une stratégie de coping bien connue selon Zuukarban, par exemple. C'est la résolution de problème.
C'est une stratégie orientée vers la résolution de problème. J'ai eu un problème, c'est-à-dire une relation amoureuse qui n'a pas fonctionné, je cherche à résoudre ce problème, ou au moins à éviter qu'il se reproduise tout simplement. Donc voilà ce qui s'est passé, voilà les signes avant-coureurs d'une mauvaise relation, voilà ce que j'ai fait, voilà ce qu'il a fait, voilà ce que ça a créé, l'interaction entre les deux.
Ça ne marche pas pour cette raison et cette raison. Résolution de problème : comment faire pour éviter que ça se reproduise ? Garder le soutien social, c'est très bien.
C'est l'une des meilleures manières de gérer une rupture amoureuse, mais ajoutez-y la résolution de problème et gardez en tête que les gens qui prennent leurs responsabilités dans les échecs comme dans les réussites ont moins de probabilités de sombrer en dépression et/ou de vivre des troubles anxieux, et d'enchaîner des mauvaises relations. C'est ce qu'on appelle le locus de contrôle interne. J'en ai souvent parlé sur cette chaîne YouTube.
C'est un concept que je trouve fascinant, qui est corrélé à énormément de choses positives ou négatives selon comment on le prend. Le locus de contrôle interne, c'est-à-dire expliquer les choses qui m'arrivent par des causes internes. J'ai échoué mon examen, non pas parce que le prof était, euh, raciste, méchant, débile ou que sais-je, mais parce que je n'ai pas bien travaillé cette fois-ci, euh.
Et si j'ai réussi, c'est parce que j'ai bien travaillé, parce que je suis bon, parce que j'ai fait, etc. Est-ce que c'est la vérité ou pas ? On ne saura jamais rien.
La seule chose qu'on sait, c'est que le locus de contrôle interne est positivement corrélé à une meilleure santé mentale. Maintenant, j'ai deux choses à vous proposer : si vous souhaitez trouver l'homme de vos rêves, le séduire durablement et le garder sur le long terme, vous pouvez aller jeter un coup d'œil à ma formation "Rencontre Fusionnelle". Si vous souhaitez rester sur du contenu gratuit, j'ai ma newsletter uniquement dédiée aux femmes, aux problématiques féminines en amour, où je vous envoie chaque semaine plusieurs e-mails pour mieux comprendre les hommes, la psychologie masculine, et vous aider à, euh, mieux séduire un homme.
Voilà, c'est en bas de cette vidéo, euh. Je vous dis à la semaine prochaine. Ciao.