Hier, je regardais un documentaire sur les éléphants de mer et je souris. Mais ce n'est pas très drôle ; leur vie n'est absolument pas drôle, surtout celle des mâles. Mais absolument pas drôle !
C'est une espèce qui est plus violente et les plus polygynes, c'est-à-dire un mâle qui a plusieurs femelles. Et justement, pour arriver à se reproduire, il y a toute une période dans l'année où ils vont chasser très loin des côtes, dans des zones dangereuses. Ils doivent chasser du gros gibier pour grossir et avoir une chance, une fois sur terre, de gagner les combats pour accéder aux femelles.
En fait, ils prennent énormément de risques quand ils vont chasser. Ils se retrouvent dans des mers où il y a des orques et des requins. Les stats montrent que, je crois, ils avaient six fois plus de chances de mourir que les femelles en chassant.
S'ils ne sont pas gros, ils ne reviennent pas gonflés de graisse sur terre. Ils n'auront aucune probabilité de transmettre leurs gènes et d'accéder au harem. Il n'y a pas beaucoup qui accèdent au harem : c'est à peu près un mâle pour cela peut aller jusqu'à une centaine de femelles.
Cette compétition sexuelle est tellement rude dans cette espèce polygénique que vous avez un dimorphisme entre les mâles et les femelles qui est énorme. Les mâles font deux fois la taille des femelles et peuvent peser jusqu'à quatre fois plus. Il y a des femelles qui meurent lors des rapports sexuels avec les mâles parce que les mâles sont tellement gros que, des fois, ils les écrasent sans s'en rendre compte.
Alors, en regardant ce documentaire, je me disais : "Mais heureusement qu'on n'est pas des éléphants de mer ! Vous imaginez le bordel que ce serait ? " Et là, je me suis dit : "Mais en fait, on est en train de vachement tendre vers les éléphants de mer.
" Et c'est ce qu'on va voir dans cette vidéo. Traditionnellement, l'humain est plutôt monogame, tout comme son cousin le gibbon d’ailleurs. Et comme très peu d'espèces animales, la majorité des espèces animales sont polygames.
Si on regarde bien les grandes civilisations humaines, la majorité d'entre elles étaient monogames ; elles imposaient une stricte monogamie à la population et punissaient la polygamie. On pourrait se dire que la monogamie, c'est génial : il y a un homme, une femme, il n'y a pas plus égalitaire ! Sauf qu'en fait, contrairement aux idées reçues, la monogamie n'est pas aussi avantageuse pour les femmes qu'elle ne l'est pour les hommes.
Pour ça, il faut revenir au principe de Bateman et à la théorie de l'investissement parental. Donc, j'en ai souvent parlé sur cette chaîne YouTube. Le principe de Bateman, c'est de dire que c'est le sexe qui s'est investi le plus dans les soins parentaux, dans la reproduction, qui sera le plus exigeant.
Donc, typiquement chez nous, les êtres humains, par exemple, comme c'est le cas dans la majorité des espèces animales, c'est la femelle qui porte l'enfant. C'est la femelle qui investit le plus dans la reproduction. Chez nous, les humains, il y a ces 10 mois de grossesse, il y a les risques et tous les risques qui vont avec.
Et surtout, il y a le coût d'opportunité, parce que pendant 10 mois, la femelle ne peut plus se reproduire avec d'autres mâles. Donc, il y a un immense coût d'opportunité. Plus le coût énergétique et l'investissement sont élevés, plus la femelle, en l'occurrence, sera exigeante.
Je dis "en l'occurrence" parce qu'il y a des espèces animales où c'est le mâle qui est le plus exigeant parce que c'est lui qui porte les enfants, comme par exemple chez certains hippocampes. Plus l'investissement parental est important, plus elle a intérêt à ne pas se louper dans le choix du partenaire. Plus elles vont, dans ces cas-là, choisir les mâles les plus puissants, qui ont les meilleurs gènes, qui peuvent lui permettre de transmettre le meilleur patrimoine génétique à sa progéniture.
Dans ces cas-là, plus l'échantillon de mâles avec lesquels elles vont se reproduire diminue, et c'est ce qu'on appelle la polygynie. Alors, si maintenant vous leur imposez de la monogamie à ces femelles, ce que vous êtes en train de faire, c'est que vous êtes en train de leur couper leurs opportunités sexuelles. Vous êtes en train de les empêcher d'accéder aux mâles ayant le patrimoine génétique le plus qualitatif.
Vous les empêchez de maximiser leur potentiel reproductif et vous freinez la sélection sexuelle d'une certaine manière. Donc, vous comprenez bien pourquoi la monogamie a plutôt tendance à désavantager la majorité des femmes, celles qui n'auront pas eu, malheureusement, accès aux mâles les plus qualitatifs. Plus récemment, il est apparu un certain nombre de changements dans la sexualité, dans la manière dont on avait de percevoir la sexualité.
Là, pas en femme, on a eu mai 68, on a eu Woodstock aux États-Unis dans les années 60, on a eu la libération sexuelle de la femme, les moyens de contraception. On a eu tous les électroménagers qui ont permis aux femmes de sortir de la maison, de vivre une vie plus épanouie et de dire : "Moi, je veux coucher avec qui je veux, comment je le veux, quand je le veux, etc. " À ce moment-là, il y a eu un rejet du patriarcat, un rejet de toutes les injonctions religieuses qui venaient se mêler à la sexualité féminine.
Plus globalement, il y a eu un rejet de la monogamie. Puisqu'on l'a vu, la monogamie contraint la sexualité féminine, elle contraint la sélection sexuelle. Et ça, c'est bien expliqué et je retrouve ça dans Virginie Despentes, que j'ai acheté récemment.
Je trouve que c'est sympa de faire un parallèle. Virginie Despentes, dans "King Kong Théorie", explique en fin de compte que tout ça était une sexualité confisquée, fliquée, normée par la monogamie, la sexualité des femmes avant la libération sexuelle. Elles étaient normées, fliquées par la monogamie.
Elle ne pouvait pas s'exprimer librement. La sélection sexuelle, elle était comprimée, oppressée. Il fallait qu'elle se libère.
Alors, il y a une autre phrase qui est intéressante justement pour parler des années 60 : c'est la première fois où nous divergeons des normes, que les femmes se rassemblent massivement et font savoir : nous sommes désirantes, traversées de pulsions brutales, inexplicables. Donc, les clitoris sont comme des bêtes ; ils réclament soulagement. Voilà, on lâche !
Il n'y a plus aucune loi, il n'y a plus aucun garde-fou à la sexualité féminine. Et peut-être même qu'on pourra aller jusqu'à dire que la dimension morale a volé en éclats. C'est à partir de ce moment-là que la morale n'a alors plus rien à voir avec l'amour, et ça, c'est un débat hyper intéressant.
Donc, ce qui se passe lorsque vous libérez la sexualité des femmes, lorsque vous faites voler en éclats, si je puis dire, ce cadre moral autour de la monogamie, c'est que la sexualité féminine va tendre naturellement vers un système polygiénique. Non pas parce que les femmes sont attirées à l'idée de partager un homme à plusieurs, mais parce qu'elles ont besoin de se reproduire, d'un point de vue évolutionniste, avec les hommes qui possèdent la plus haute qualité génétique. Il ne faut pas se dire que les femmes ont envie de se retrouver avec d'autres femmes sur un seul homme.
Elles ne sont pas attirées en soi par la polygénie. Il ne faut pas le voir comme : "Ah, bah, maintenant, mon copain, je vais le partager avec d'autres filles. " Non, ce n'est pas ça, la polygénie.
C'est : on va trouver un mec encore mieux que ton copain, mais tu vas devoir le partager avec quelques autres nanas. Il est plus intéressant pour une femme d'avoir accès à un homme hautement qualitatif, quitte à prendre le risque que cet homme aille voir d'autres femmes. Tout comme pour un homme, il est plus intéressant de se mettre en couple avec une femme entièrement loyale et fidèle, quitte à sacrifier quelques points de beauté pour y arriver.
Comme je l'avais dit dans une précédente vidéo, il est plus intéressant pour une fille de se partager Ryan Gosling à 37 filles plutôt que d'avoir pour elle toute seule Robert, 52 ans, avec un ventre qui ressemble à une brioche. Donc, plus la sexualité féminine est libérée, plus les femmes deviennent exigeantes et plus elles tendent insidieusement vers de la polygénie. C'est ce que l'on voit aujourd'hui avec la monogamie, répétitions de mariages, divorces, divorces.
C'étaient les premiers pas vers la polygénie. Vous avez Tinder, par exemple, qui est une forme de caricature polygiénique, qui est une forme accélérée de la polygénie. Dieu merci, la vraie vie n'est pas comme sur Tinder.
C'est une minorité d'hommes qui accapare la majorité des ressources sexuelles. C'est pour ça que je trouve qu'il est une hérésie que des mecs puissent penser qu'en étant dans la moyenne, ils ont une chance sur Tinder. Il y avait aussi cette mode des pervers narcissiques qu'on voit énormément sur YouTube : il suffit de faire une vidéo sur les pervers narcissiques pour faire beaucoup de vues.
J'avais fait une vidéo là-dessus, j'avais expliqué que la plupart des femmes qui appellent des hommes pervers narcissiques, finalement, ce sont des hommes très séduisants, qui ont accès à un grand nombre de femmes et qui, parce qu'ils ont accès à un grand nombre de femmes, se montrent plus différents de chacune d'entre elles. Lorsque vous donnez énormément de pouvoir à ces hommes-là, lorsque vous leur donnez énormément d'opportunités sexuelles, alors forcément, ils se détournent de chacune d'entre elles, et ça peut être interprété, derrière, comme des comportements dits de pervers narcissiques. Alors, c'est quoi le problème de la polygénie ?
Le problème de la polygénie, c'est que ça augmente les inégalités sexuelles entre les hommes. Alors, peut-être certaines femmes seraient tentées de dire qu'ils n'ont qu'à s'acheter des poupées gonflables et puis, ils ne nous feront pas chier. Le problème, c'est que je peux comprendre cet argument.
C'est vrai que la sexualité n'est pas un dû. Ce qu'on a dit tout à l'heure, d'une certaine manière, c'est un vrai débat. Il n'y a pas vraiment de dimension morale dans la sélection sexuelle ou dans la sélection naturelle, mais ça, c'est autre chose.
Le véritable problème, c'est que les sociétés polygames sont également les plus violentes. Il n'est jamais bon d'avoir dans une société une population masculine jeune, testostéronée et frustrée sexuellement ; ça crée beaucoup de violence. Donc, c'est pour cette raison que, d'ailleurs, il y a des études qui ont montré qu'un homme en couple avait un taux de testostérone plus faible que la moyenne.
Il avait moins de probabilités de commettre des homicides ou des délits. L'inverse est vrai. C'est-à-dire que, suite à un divorce, suite à une rupture ou suite au décès de son partenaire, le taux de testostérone remonte, le taux d'agressivité remonte, parce qu'il faut replonger dans la compétition.
Il faut se remettre en compétition avec les autres mâles, il faut redevenir le meilleur, il faut impressionner les femmes, il faut faire ci, etc. C'est là qu'on comprend mieux pourquoi les sociétés monogames avaient plus de probabilité de s'étendre, de se développer, de s'enrichir, parce que les mâles, les hommes, étaient moins occupés à s'entretuer qu'à construire, à s’entraider, qu'à faire de belles choses ensemble. On comprend mieux également que, du coup, la monogamie est davantage un système, un compromis, pour régler un conflit entre les hommes entre eux, bien plus qu'entre les hommes et les femmes.
Car une société qui réprime la sexualité des hommes est toujours plus destructrice qu'une société qui réprime la sexualité des femmes. Alors, comme le dit Houellebecq, le marché du sexe est un marché libéral. Vrai, c'est totalement vrai.
Alors, moi, je préfère parler de marché de l'amour. C'est pour ça que je vous avais fait une vidéo d'introduction au marché de l'amour, que j'avais faite d'ailleurs avant de lire "Extension du domaine de la lutte", qui est excellent. Je me tape tous les voiles bugs en ce moment.
Je suis tombé dessus depuis, ça fait même pas deux semaines. Je me tape tous les voiles bêtes et j'écris même mes mails sans ressentir. Pour ceux qui sont inscrits à ma liste mail, vous le savez, j'ai fait une sorte de petite fiction à la con, parce que ça m'inspire.
Je suis très loin de Bolbec, mais je veux dire, ça me donne des idées. J'aime beaucoup la créativité de Houellebecq. Alors donc, dans "Extension du domaine de la lutte", il y a une page, une seule, où il parle justement du libéralisme sexuel, et c'est exactement… c'est la page 100 d'ailleurs, pour ceux qui veulent.
Et c'est exactement ce qui se passe lorsque vous libérez la sexualité féminine, qui dans ces cas-là va tendre vers un système polygiénique et qui ressemble étrangement au système économique libéral, avec une minorité de GAFAM (Google, Amazon, Facebook, etc. ) qui contrôle une majorité des ressources. Mais en général, les États ne laissent pas faire, parce que si on laisse faire, si on part sur un pur libéralisme, il n'est plus possible d'entreprendre.
D'ailleurs, je me suis dit que plutôt que de fantasmer sur un marché sexuel social-démocrate, comme il en parle dans "Particules élémentaires", là, chez les hippies sur la plage quand ils baissent tous les uns les autres, je me suis dit, pourquoi pas anticiper une fiction avec cette fois un marché de l'amour libéral, mais avec une intervention de l'État ? Après tout, si l'État intervient dans notre santé, si l'État intervient dans l'éducation de nos enfants, pourquoi n'interviendrait-il pas dans l'amour et dans la sexualité ? Et alors, je me suis mis à imaginer un monde dans lequel vous auriez en fait ces hommes les plus séduisants, qui seraient pénalisés par les États.
Ils devraient payer une sorte d'impôt pour leur beauté, pour leur puissance, pour leur charisme. Ils devraient redistribuer ça aux hommes les moins puissants. On pourrait s'imaginer… c'est de la fiction, attention, pour imaginer des inspecteurs de l'amour qui viendraient vérifier les téléphones des hommes et qui viendraient vérifier qu'il n'y a pas eu d'abus de bien sexuel, par exemple.
Est-ce que lui, il n'a pas trop de femelles ? Est-ce que du coup, ça n'est pas un manque à gagner pour les autres mâles, etc. ?
N'hésitez pas à développer dans les commentaires cette piste-là. Il y a des mecs très, très doués dans mes abonnés, donc n'hésitez pas, c'est intéressant de vous lire et j'y réponds d'ailleurs. Et pour ceux qui veulent lire mes histoires, vous pouvez vous abonner à ma liste mail et vous obtenez en plus 10 étapes pour trouver une copine.
C'est juste en bas dans la barre de description. J'envoie systématiquement un mail chaque dimanche, même quand il n'y a pas de vidéo. J'envoie toujours un email le dimanche.
C'est bien beau les fictions, mais qu'est-ce que j'en pense personnellement ? Plus sérieusement, je pense qu'à l'échelle globale, effectivement, la polygamie est dangereuse. Elle augmente les violences, ça ne présage rien de bon.
Mais j'ai envie de me faire un petit peu l'avocat du diable. J'ai envie de faire un peu comme Gorgias quand il défend Hélène. Je vais défendre la polyamie, je vais faire l'avocat de la polygamie.
Je pense que malgré tout, il y a un avantage à la polygamie, et c'est un avantage individuel : c'est le dépassement de soi. Certes, la polygamie augmente la compétition entre les hommes, mais elle le fait rarement de manière frontale et fatale comme chez les éléphants de mer. Elle le fait rarement comme dans le film "La Piscine" avec Alain Delon, qui est assez intéressant d'ailleurs et d'autant plus que c'est paru en 1969.
Vous avez deux hommes sur une femme qui finissent par s'entretuer pour avoir accès à une femme. Mais cela, c'est de la fiction et c'est quelque chose qui arrive très peu souvent. La majorité du temps, ce qui arrive, c'est que c'est une compétition qui est indirecte.
Je me dis que si pour conquérir une femme, il faut sortir de chez soi, affronter ses peurs, apprendre à bien communiquer, sculpter, travailler son corps, travailler son éloquence, développer sa créativité, alors je me dis dans ces cas-là, ce n'est pas une si mauvaise chose. La compétition qui découle de la polygamie, moi personnellement et probablement énormément d'hommes, ne se serait jamais mis à la musculation si ce n'était pour plaire aux gonzesses. Alors après, on continue la musculation pour soi, pour le bien-être, pour un paquet de raisons, mais à la base, on s'est mis à la musculation ou à la guitare pour les gonzesses.
Avant de conclure, et pour ceux que cela intéresse, moi personnellement, je ne suis absolument pas polygame. Ce n'est vraiment pas quelque chose qui m'attire. Je considère que gérer une femme, c'est déjà bien assez compliqué comme ça, ce n'est pas pour venir rajouter d'autres.
J'ai un objectif très simple et je dis bien un objectif, ce n'est pas un rêve : c'est de m'investir auprès d'une seule et unique femme, celle que j'appelle ma reine, lui faire des enfants et vivre tranquillement en campagne. Je vous ferai peut-être une vidéo là-dessus si ça vous intéresse. Maintenant, pour tous les hommes monogames qui veulent exploiter l'hypergamie féminine, alors, avantage.
Et c'est tout à fait possible, puisqu'on l'a vu, les femmes ne sont pas polygames en soi, c'est juste qu'elles recherchent les hommes les plus qualitatifs, les hommes les plus stylés. Et on peut devenir cet homme stylé et on peut garder la tension féminine à long terme, on peut garder sa femme amoureuse sur le long terme. Pour tous ces hommes-là, je vous invite à aller voir "Trois semaines pour un accroc".
C'est vraiment. . .
et c'est. . .
je dirais. . .
Même condition sine qua non pour tout homme qui veut un jour fonder une famille et vraiment garder sa femme sur le long terme : le prix augmente à chaque publication de vidéo. Et pour ceux qui veulent rester sur du contenu gratuit, vous avez mes mails, donc je vous envoie chaque dimanche. Ce sont de longs mails, c'est des mails et c'est des mails que j'écris le dimanche matin.
Pour ceux qui ne savent pas, je les écris en direct le dimanche matin, dans un café particulier dont je tairai la localisation. Mais voilà, j'écris mon mail le dimanche matin et je veux l'envoyer en général le dimanche à 11h ou 11h30. Ce sont des mails où je donne pas mal d'infos, où je donne des infos plus pratiques, où je donne beaucoup plus d'anecdotes.
De plus, lorsque vous vous abonnez aux emails, vous recevez mon ebook "10 étapes pour trouver une copine". Dernière chose à dire, car cette vidéo n'est pas finie, même si 99 % d'entre vous se sont probablement barrés. Mais là, on est entre nous, du coup il reste 1 % des gens, donc on va boire un petit coup, on va se détendre.
J'adore ça. Dans 20 ans, on n'aura plus. .
. Oui, c'était préparé. Non, tout ça pour vous dire, les gars, que là, ce mois d'août, ça, parce que tous les thés là, je bosse comme un bourrin pour vous produire deux formations qui vont sortir à la rentrée.
Il y en aura pour toutes les bourses. Il y en aura deux qui sont très différentes. Il y en a une qui est déjà finie, la plus grosse est déjà finie.
Là, je suis en train d'attaquer la deuxième pour le mois d'août et je suis en train de mettre le paquet, clairement. Je suis en train de mettre le paquet. La dernière fois que j'ai sorti une formation, c'était en septembre 2021.
Ça fait plus. . .
ça va faire un an que je n'ai pas sorti de formation parce que je veux vraiment vous apporter un maximum de contenu et qu'il n'y a absolument aucune redondance. Il y en a qui sortent des formations tous les deux jours. Moi, ce n'est pas ça.
Moi, c'est une formation où je mets vraiment du contenu nouveau. Quand je fais mes formations, je suis littéralement dans un état d'euphorie, dans un état de. .
. comment on pourrait appeler ça ? Dans un état de flow en fait, dans un état de mojo intense, parce qu'en fait, je suis en train d'aligner des choses, je suis en train d'écrire des choses que moi-même, en fait, je n'avais pas encore conceptualisées.
Donc si moi je ne les ai pas conceptualisées, c'est que vous les trouverez par ailleurs, y compris dans mes anciennes formations. Tout ça pour vous dire que je suis en train de kiffer ma race en ce moment en train de faire les formations et j'ai vraiment super hâte de vous les présenter. Allez, bon dimanche à tous.
Ciao.