Aujourd'hui, on va voir trois phénomènes qui se produisent dans la tête d'une femme lorsqu'elle couche avec un homme, un plan cul. On va voir trois phénomènes, donc le troisième est effrayant, et ce n'est pas que du putaclic, même si c'est un peu du putaclic, parce que je suis youtubeur, mais c'est la vérité. Vous verrez.
Et petite précision avant de commencer : je ne fais pas dans la morale sur cette chaîne YouTube, je l'ai déjà rappelé plusieurs fois. Je ne partage ni n'adhère à aucune idéologie, qu'elle soit red pill ou féministe. Je suis là pour vous apporter ce que je considère être le plus proche de la réalité, parce que je suis là pour vous aider, et ce n'est pas en cherchant à vous influencer avec l'idéologie red pill ou l'idéologie féministe qu'on s'en sortira.
Alors, le premier phénomène, c'est une hormone dont vous avez l'habitude d'entendre parler beaucoup avec la red pill en ce moment. C'est devenu à la mode. On verra d'ailleurs qu'il y a beaucoup de bêtises qui sont dites à son sujet.
J'ai nommé l'ocytocine. L'ocytocine, plus communément appelée l'hormone de l'attachement, est une hormone que vous sécrétée en quantité suite aux rapports sexuels. Après le rapport sexuel, pas que le premier, après les rapports sexuels, les hommes comme les femmes sécrètent de l'ocytocine.
L'ocytocine joue un rôle d'attachement, mais pas que. Je tiens à le préciser. On simplifie beaucoup en la nommant hormone de l'attachement, mais c'est une hormone qui est beaucoup plus complexe que ça.
Je le sais, j'ai passé les dernières 48 heures à faire des recherches là-dessus, c'est un vrai bordel. Donc, reprenons notre femme qui vient de coucher avec un homme. Elle baigne dans l'ocytocine, tout comme l'homme, on verra après, mais elle baigne dans l'ocytocine, elle baigne dans les hormones de plaisir, et alors là, il y a un sentiment d'attachement important qui se crée pour une femme.
Quand elle vient d'avoir un rapport sexuel avec un homme, il y a un fort sentiment de confiance qui se dégage pour l'homme avec lequel elle vient de coucher. Elle a soudainement confiance en cet homme, et ça, c'est hyper intéressant. Ça, c'est l'ocytocine aussi, c'est le trustworthiness en anglais.
Il n'y a pas de traduction littérale, dites-le-moi dans les commentaires d'ailleurs. Donnez-moi la leçon, allez-y, insultez-moi si vous voulez. Le fait de faire confiance à quelqu'un, c'est une des conséquences de l'ocytocine.
Donc, parce que j'ai couché avec cet homme, j'ai confiance en lui, et ça arrive rapidement, probablement bien plus rapidement chez les femmes que chez les hommes, après l'acte sexuel. Le problème, c'est que ce n'est pas toujours réciproque. Alors, pourquoi ce n'est pas réciproque sachant que les hommes sécrètent eux aussi de l'ocytocine après le rapport sexuel ?
D'ailleurs, l'ocytocine, c'est ce qui permet aux hommes d'avoir une érection. Ça joue un rôle dans l'érection. L'ocytocine, on la retrouve aussi dans les soins parentaux.
Alors, du côté des femmes, on l'a vu — non, on ne l'a pas vu, mais je vous le dis — l'ocytocine, c'est ce qui va intervenir lors de l'allaitement, c'est ce qui permet de faire sortir le lait du sein. Mais on la retrouve aussi chez les hommes. Chez les hommes, il y a une corrélation entre le taux d'ocytocine dans le sang, dans la salive, et les comportements de jeu qu'ils vont avoir avec leurs enfants, entre 4 et 6 mois par exemple.
Il y a une étude qui a été menée là-dessus : les papas avec de l'ocytocine font des bons papas. Mais pourquoi, dans ces cas-là, les hommes ne s'attachent-ils pas autant et aussi vite que les femmes suite aux premiers rapports sexuels ? Parce que, comme je vous l'ai dit, et c'est pour ça que je vous en ai parlé juste avant dans cette longue intro, l'ocytocine dépend du contexte, de l'environnement.
Ce n'est pas parce qu'on parle d'ocytocine chez les hommes et les femmes que ça va s'exprimer de la même manière. Dans ce fameux environnement, il y a aussi des interactions avec d'autres neurotransmetteurs ou d'autres hormones, en l'occurrence avec les hormones stéroïdiennes que vous connaissez bien : testostérone, œstrogène. On sait, il semblerait en tout cas, que l'œstrogène chez les femmes a plutôt un rôle amplificateur de cette relation qui existe entre l'ocytocine et le trustworthiness, c'est-à-dire le sentiment de connexion qu'on a avec quelqu'un, le fait de lui faire confiance.
Cette relation est modérée à la baisse par la testostérone, qui a plutôt un effet inhibiteur du rôle de l'ocytocine sur le sentiment de connexion avec un individu. C'est-à-dire que la testostérone a plutôt tendance à baisser le niveau d'attachement d'un homme pour une femme suite au premier rapport sexuel. En d'autres mots, les hommes masculins, les hommes qui affichent des caractères sexuels secondaires empreints de testostérone, ces hommes qui généralement plaisent aux femmes — on le sait très bien — ne sont pas les plus à même de s'engager sur le long terme.
Ce ne sont pas ceux qui vont s'attacher le plus facilement à une nana. Ce ne sont pas ceux qui vont apporter le meilleur investissement parental par la suite. Ce n'est pas leur stratégie de reproduction.
Ces hommes-là, les hommes qui plaisent aux nanas, les hommes qui font rêver les nanas, les hommes qui donnent des orgasmes aux nanas, ces hommes-là vont plutôt partir à la conquête sexuelle. En moyenne, on fait des moyennes. Ce n'est pas une loi.
Ce n'est pas parce qu'un mec a une barbe et qu'il est masculin que ça signifie qu'il a juste envie de tirer son coup et que c'est une bête qui ne sait pas s'attacher. Ce n'est pas ça que je suis en train de dire, ce sont des tendances, ce sont des corrélations. Donc, effectivement, la testostérone est plutôt une hormone qui pousse à la conquête et non pas à l'attachement.
Un petit peu, la tragédie féminine : rechercher des hommes masculins et ensuite, bah, souffrir, parce que ces hommes-là ne sont pas sur la même longueur d'onde en termes d'attente. Il n'y a pas cette réciprocité. Donc, pour moi, c'est un premier effet qui rend les femmes irrationnelles.
L'ocytocine, alors en partie, évidemment toutes les hormones de plaisir que nous avons, nous, les hommes, après le rapport sexuel, mais les femmes, elles, baignent bien plus dans cette ocytocine dont on vient de parler, surtout dans ce sentiment d'attachement, de connexion avec peut-être même cet inconnu avec qui je viens de coucher. Mais je me sens connecté avec lui, et ça, ça me rend irrationnelle. On dit souvent que l'amour rend con, c'est moi qui le dis, ça, je ne sais plus, euh, mais peut-être que l'ocytocine rend les nanas complètement irrationnelles lorsqu'il s'agit de décider si un homme est bon pour soi ou non.
Je pense sincèrement que l'ocytocine, en partie, c'est pas qu'on l'a vu, en tout cas. C'est ce sentiment de connexion avec un homme avec qui je viens de coucher qui rend les nanas irrationnelles dans le choix d'un bon partenaire pour elles. Ce qui fait que, même si l'homme leur dit : « Écoute, moi je veux du cul, je ne veux pas m'engager », il aura beau le dire mot pour mot, tel que je viens de vous le dire, elle, elle entendra : « Je n'ai pas encore trouvé la bonne.
Tu sais, je cherche à trouver une femme qui me corresponde. Ça n'a pas encore été le cas, aujourd'hui, mais peut-être que toi, tu seras la bonne. Je te challenge par cette phrase, par ces sous-entendus.
» Voilà, la nana entendra ça. Le mec dit : « Je veux baiser », la nana entendra : « Il y a peut-être moyen qu'il s'engage avec moi. » Gros problème féminin, ça, on en parle dans les emails.
Je vous mets un lien en description. Il y a la newsletter féminine où je ne parle que des problématiques féminines, et ça, ça a été, par exemple, l'objet d'un email. Il y en a plein d'autres qui arrivent.
Les hommes sont irrationnels aussi, souvent, mais eux, c'est avant le sexe. C'est avant le sexe qu'ils prennent des décisions de merde. D'ailleurs, il y a cette fameuse phrase, ce mème qu'on trouve sur Internet, je crois que c'est le post-nut clarity : donc soudain, après avoir éjaculé, je retrouve l'essence, je redeviens rationnel.
On voit le mec faire des calculs de maths. Soudain, tout devient limpide. La nana essaie de lui toucher la cuisse, mais ça ne marche plus cette fois.
C'est l'effet inverse qui se produit. En fait, l'irrationalité qu'avait l'homme avant l'acte sexuel se transfère après à la nana, après l'acte sexuel. Donc voilà, et de là découle la souffrance, qui m'amène à mon deuxième point, puisque, il y a ce manque de réciprocité.
Je m'attache à un homme, euh, je me sens connecté avec lui, ce n'est pas réciproque, bam, je me prends une claque dans la gueule. Multipliez ça par le nombre de partenaires, et vous avez une idée de la souffrance dans laquelle je me trouve, ce qui est cohérent du coup avec les études qui montrent qu'il y a une corrélation entre le nombre de partenaires sexuels et la dépression. Encore une fois, je ne suis pas là dans le jugement de valeur.
Je ne suis pas là à dire que les femmes doivent avoir tant de partenaires sexuels, ce n'est pas le, c'est hors sujet. Ce n'est pas l'objet de cette vidéo. Je rapporte des observations, et ensuite on essaie de voir ensemble comment les interpréter.
Donc, effectivement, le nombre de rapports sexuels est corrélé à la dépression. Vous allez me dire que ça ne veut pas forcément dire que le nombre de rapports sexuels provoque la dépression. C'est vrai, on pourrait prendre le problème à l'envers.
Il est vrai que chez les femmes, il y a cette tendance, lorsqu'elles sont par exemple en dépression, de rechercher la sexualité comme une stratégie de coping pour pallier à la dépression. Et d'ailleurs, c'est quelque chose qu'on retrouve pas seulement dans la dépression, mais dans beaucoup de troubles psychologiques, à peu près quasiment tous les troubles psychologiques. Chez les femmes, généralement, il y aura cette tendance à utiliser le sexe comme stratégie de coping pour pallier aux émotions négatives, et ça fait sens par rapport à ce qu'on a vu juste avant.
L'ocytocine, toutes ces hormones de plaisir, évidemment, sur le court terme, c'est cohérent. On se sent bien. Et rajoutez à ça l'ocytocine.
Quand on est en dépression, on se sent seul, on se sent nul, on se sent isolé. L'ocytocine, ça nous fait, ça contribue en tout cas à nous sentir connectés avec quelqu'un, à obtenir de l'attachement, tout simplement. Il y a des nanas qui sont en carence affective pour qui le sexe devient une manière de se sentir connecté avec un être humain.
Voilà, et on comprend que ce soit quelque chose qui puisse être vécu comme une addiction, surtout quand on y a accès de manière plus facile, en tout cas pour les hommes. Donc, il est vrai que la dépression a tendance à augmenter la recherche de sexualité avec de nouveaux partenaires, mais en même temps aussi un rôle causal dans la dépression, ça a été observé aussi dans ce sens-là. Et donc, l'explication pour moi, c'est celle que je vous ai apportée juste avant : c'est que, pour moi, on suit un cycle qui se répète.
Je couche avec toi, je te fais confiance, j'ai l'impression que tu es une personne avec qui j'ai une forte connexion. Je m'attache à toi, ce n'est pas réciproque. Je me prends un rejet, je redescends plus bas que je ne l'étais avant de coucher avec toi.
Multipliez ça par le nombre de partenaires, ça crée une souffrance, une dépression. Pas systématique, hein, mais je veux dire, voilà. Et, d'ailleurs, il y a.
. . Plein de femmes qui ont beaucoup de partenaires et qui ne tombent pas en dépression, c'est là que c'est intéressant.
Justement, c'est que moi, je ne pense pas que ce soit le nombre de partenaires qui soit immédiatement responsable de la dépression chez les femmes ou de la souffrance, absolument pas. Parce qu'on a tous des exemples de femmes qui couchent avec plein d'hommes et qui sont heureuses, pas de souci. Pour moi, il y a une relation, il y a une troisième variable qui rentre en jeu : il n'y a pas cette réciprocité d'attachement.
Pour moi, c'est ça le vrai problème. Ce n'est pas tant le fait d'avoir couché avec beaucoup d'hommes, c'est le fait de ne pas avoir obtenu la réciprocité. C'est vécu comme des rejets.
Or, le rejet, chez les femmes, le rejet social et amoureux est vécu plus fortement. Donc, pour moi, le phénomène qui se produit dans la tête des nanas après avoir eu des rapports sexuels sans engagement, après avoir eu des plans cul, clairement, c'est cette dépression, cette souffrance de non-réciprocité. Mais il n'y a pas que ça, il y a une autre explication hypothétique que je me permets d'avancer : une perspective, cette fois plus économique.
Quand vous écoutez le vocabulaire féminin qui est utilisé pour parler des relations qui n'ont pas abouti à du sérieux, on retrouve beaucoup ce champ lexical marchand, avec des phrases du style : « je me suis sentie utilisée », « j'ai donné beaucoup sans rien obtenir en retour » en parlant de la sexualité, sans obtenir de l'investissement de la part de l'homme en retour. « Je me sens usée, je me sens utilisée, j'ai perdu mon temps », etc. Ce que laisse entendre ce vocabulaire, c'est un vocabulaire qu'on entend quasiment jamais dans la bouche des hommes.
C'est que vous aurez beau bourrer le crâne des Occidentaux avec le féminisme, l'égalitarisme entre les hommes et les femmes, vous ne changerez jamais le fait que les femmes considèrent qu'elles offrent leur sexualité. Les hommes ne pensent pas qu'ils offrent leur sexualité. Les femmes en sont persuadées, et ça a toujours été le cas, et ça sera toujours le cas.
Les femmes offrent la sexualité ; les femmes considèrent qu'elles font un cadeau à l'homme lorsqu'elles lui offrent leur sexualité, généralement en échange d'un investissement masculin. Vous l'appelez comme vous voulez, moi, j'ai tendance à parfois l'appeler « lubris féminin », là, c'est un jugement de valeur, je le dis, hop, jugement de valeur. Mais le fait est que malgré le féminisme, les femmes continuent à considérer que c'est un cadeau qu'elles font à l'homme.
Et donc, lorsque l'investissement masculin n'est pas présent, les femmes souffrent. Elles ont l'impression d'avoir offert quelque chose sans obtenir une contrepartie. Le problème, ou l'ironie, devrais-je dire, c'est que le féminisme a apporté la pilule, superbe invention, mais en apportant la pilule, elle a baissé le coût du sexe.
Parce qu'avant la pilule, coucher avec un homme, on ne couchait pas comme ça. Il fallait qu'il y ait un investissement. Généralement, si tu couches avec moi et que tu me fais un enfant, il y a 100 ans, tu couches avec moi, tu me fais un enfant, il va y avoir la pression sociale, papa qui va venir te casser la gueule, tu auras intérêt à m'épouser et à prendre soin du gamin.
Donc, il y avait un risque de grossesse ; il y avait un coût. Le sexe avait un coût qui lui était associé. Et d'ailleurs, pour accéder au sexe, il fallait se marier.
En fait, le véritable coût de la sexualité, c'était le mariage. C'était un investissement de la part des deux partenaires, mais surtout de la part de l'homme. L'homme qui devait investir de l'argent, mais aussi, surtout, du temps et de l'énergie.
La femme aussi, mais l'homme plus que la femme. Dans le cas du mariage, c'est l'homme, c'est l'amour courtois, c'est l'homme qui doit, voilà, qui doit courtiser la femme avant d'arriver au mariage. Et à ce moment-là, il sera récompensé et il obtiendra alors l'offrande féminine qui est sa virginité, en tout cas sa sexualité.
Le cadeau, l'échange, c'était à la base l'homme qui s'investit, qui pose de l'argent, de l'énergie et du temps pour obtenir derrière, le jour du mariage, le cadeau féminin, la contrepartie féminine qui est sa sexualité. Et donc, il n'y a plus besoin de se marier pour accéder au sexe, donc le coût du sexe a baissé. À court terme, tout le monde est heureux, tout le monde se fait plaisir.
À long terme, les femmes sont malheureuses, les femmes en souffrent parce que, comme le coût du sexe a baissé, du coup, plus une femme s'est donnée à du sexe sans obtenir la contrepartie qu'elle espérait, consciemment, inconsciemment, secrètement ou non, elle espérait un investissement masculin. Elle pensait que, parce qu'elle couchait avec cet homme, alors il allait s'investir. Puisqu'elle n'a pas obtenu ça, multipliez ça par nombre de partenaires, il y a une souffrance.
Et pire que ça, il y a une baisse d'estime, parce qu'en fait, je n'ai pas reçu l'investissement que je méritais. Donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que j'ai offert mon bien le plus précieux gratuitement sur le marché.
Sur le marché de l'amour, c'est un peu comme si j'avais un bien précieux, je le mettais en vente sur le Bon Coin, et je me rendais compte, trois semaines plus tard, qu'en fait, bah, il vaut le triple. Je vais regretter, je vais souffrir et mon estime va baisser. Là, en l'occurrence, l'estime, c'est l'estime de moi-même.
C'est mon bien le plus précieux. Finalement, je me rends compte que les hommes, ils n'investissent pas ce que moi je considère être à la hauteur de ce bien. Vous voyez ce que je veux dire ?
La valeur de ce bien. Donc ça me fait souffrir, ça fait baisser mon estime de moi. Et voilà, ça augmente les risques de dépression et d'anxiété.
Bon, ce n'est pas très gai tout ça. Le troisième point va être encore moins gai, mais du coup la bonne nouvelle, c'est que par email, je suis un peu plus "g" que ça quand même. J'offre, et surtout j'offre des solutions aux femmes.
Donc mesdames, je doffre des solutions aux hommes aussi. Il y a une newsletter exclusivement réservée aux problématiques masculines. J'envoie des mails par semaine, et il y a une autre newsletter exclusivement réservée aux problématiques féminines.
J'envoie à peu près pareil un ou deux mails par semaine avec des conseils précis pour rendre un homme amoureux, pour faire en sorte que cet homme s'attache à vous sur le long terme, et pour aussi mieux comprendre la psychologie masculine, comme ce qu'on fait là sur cette chaîne Youtube. Mais là, on va beaucoup plus loin par email. Je me livre aussi un peu plus ; il y a plus de.
. . voilà, c'est un peu plus détente, c'est plus positif, c'est plus dans le conseil, alors qu'ici on est plus dans l'observation.
Alors, le troisième phénomène, c'est le microchimérisme. Semblerait, en tout cas, c'est possible que chez des femmes qui ont couché avec des hommes, il y ait eu, il y ait encore des fragments d'ADN de ces hommes avec lesquels elles ont couché, des fragments d'ADN qui seraient transportés par une protéine dans le liquide séminal, dans le sperme de l'homme, qui pourraient aller jusqu'au cerveau. Ces fragments d'ADN peuvent avoir un impact sur l'expression des gènes de ces femmes, qu'on pourrait retrouver dans le sommeil, dans l'immunité, dans la libido par exemple.
Maintenant, je vais nuancer ce qui a été observé. Ce microchimérisme a été principalement observé aujourd'hui chez des femmes qui étaient enceintes d'un homme, donc qui portaient un fœtus dans leur ventre. C'est là qu'on observe effectivement ce microchimérisme, et particulièrement quand ces femmes avaient des garçons.
C'est à la fin des études, que les chercheurs mettent dans les hypothèses. C'est-à-dire, ce sont des hypothèses. Ils disent qu'il serait intéressant d'étudier si cet effet de microchimérisme pourrait se produire simplement après un rapport sexuel, après éjaculation.
Bien sûr, ça reste des hypothèses, mais ce sont des hypothèses de chercheurs. Et comme j'ai tendance à le dire, je préfère écouter les hypothèses des chercheurs que les certitudes du mec moyen. S'il y a des hypothèses, c'est qu'il va y avoir des études qui vont être menées sur le sujet, c'est qu'il va y avoir du temps et de l'énergie qui vont être investis là-dedans, et c'est qu'il y a un intérêt aussi, pas seulement financier.
Je veux dire, il y a un intérêt pour la santé des femmes parce que ce phénomène-là, pourquoi il est étudié en ce moment ? Parce qu'il semblerait que ça puisse augmenter le risque de maladies auto-immunes. Ça pourrait augmenter le risque de certaines maladies, notamment les maladies auto-immunes.
Alors je vous mettrai une étude que j'ai trouvée, par exemple, qui montrait que chez les femmes avec des scléroses en plaques, il y aurait apparemment plus d'ADN masculin que chez des femmes en bonne santé. Donc voilà, prenez tout ça avec des grosses pincettes, avec beaucoup de conditionnel. La seule chose qu'on sait, c'est qu'effectivement il y a de l'ADN masculin chez des femmes qui ont porté leurs enfants.
Principalement, on l'a retrouvé chez des femmes qui ont porté des enfants masculins. De ce que j'ai compris, ce n'est pas impossible qu'on puisse retrouver ce phénomène-là après de simples rapports sexuels, sans protection bien sûr, mais ça reste des hypothèses. Voilà, la seule chose à en conclure, c'est qu'on découvre des choses tous les jours et que la sexualité, effectivement, a un impact, et probablement un coût plus élevé chez les femmes que chez les hommes.
Et que peut-être que cette tendance qu'ont les femmes à valoriser leur sexualité comme un don, peut-être que derrière, finalement, il y a une forme de protection de soi. Peut-être qu'il y a une fonction adaptative qui n'est pas totalement irrationnelle. Voilà, maintenant si vous voulez aller plus loin avec moi pour mieux réussir votre vie, que vous soyez une femme, il y a un lien pour vous où on voit comment rendre un homme plus amoureux, comment faire en sorte qu'il s'attache à vous, comment mieux comprendre les hommes et la psychologie masculine.
Si vous êtes un homme, cette fois, il y a aussi un lien pour vous, une newsletter où j'envoie régulièrement des emails pour vous aider à améliorer votre vie amoureuse et à rencontrer la bonne.