Alors, les trois raisons scientifiques pour lesquelles certains hommes galèrent à trouver une copine. Je vais vous lister ce qui se passe dans la littérature scientifique, ce qui se dit à ce sujet. Euh, trois raisons qu'on retrouve beaucoup et qui font consensus, en tout cas en ce qui concerne les hommes.
Ça va être l'objet de cette vidéo. Je m'adresse aux hommes dans cette vidéo. On va aller voir tout de suite, on va développer.
C'est parti ! Avant de commencer la vidéo, il y a une grosse promotion en ce moment sur deux de mes meilleures formations : créativité, sexualisation, ainsi qu'un an d'accès au club des philogines, offert dans un pack promotionnel. Vous avez un prix ridicule pour ces deux formations plus le club des philogins et vous avez tout ce qu'il faut pour trouver une copine cet été.
Laissez regarder ça, ça dure quelques jours et on passe à la vidéo. Alors, la première raison, c'est le physique. Le physique, c'est un critère qu'on retrouve beaucoup et qui est déterminant pour savoir si vous trouverez une copine ou si vous serez célibataire.
Le physique joue un rôle. Alors, ils ne sont pas forcément très précis sur le physique. Voilà, ils balancent juste le niveau d'attractivité physique global.
Plusieurs choses à dire : c'est moins important que pour les femmes. Chez les hommes, le physique joue une part moins importante que pour les femmes. Deuxième chose à dire, c'est que les standards de beauté masculine sont plus difficilement atteignables que les standards de beauté féminine.
Les hommes, il faut savoir qu'il y a des critères qui sont inatteignables, la taille par exemple. Si vous n'êtes pas grand, beau, courage ! Parmi les critères qui sont inatteignables, parce qu'il y a quand même une grosse marge de manœuvre sur le physique lorsqu'on est un homme, vous pouvez travailler vos muscles, vous pouvez travailler.
. . Mais enfin voilà, c'est un bon exemple.
La musculature, c'est quelque chose qu'on peut développer, mais c'est dur, c'est très dur. Ça demande beaucoup de temps de travail, ça demande d'y aller régulièrement à la salle. Sans vouloir dénigrer le maquillage, qui a un effet indéniable sur la beauté des femmes, pour beaucoup de femmes, lorsqu'on se maquille un tout petit peu, ça peut avoir un très bel effet rapidement sur la beauté du visage.
Pour les hommes, il n'y a pas vraiment cette option. Ce sont des options un peu plus viriles et un peu plus difficiles à atteindre, on va dire, qui demandent un peu plus de temps de travail. Une femme qui va à la salle, c'est génial, c'est super.
Mais disons que ce n'est pas nécessaire pour être attirant aux yeux des hommes, alors qu'un homme gringalet. . .
Bon courage ! Donc, il a une marge de manœuvre qui est mine de rien assez importante, même si c'est difficile. Il y a aussi un levier sur le visage.
On a un contrôle sur notre visage. Moi, je reste persuadé que le visage, c'est plus important que le corps. C'est-à-dire que si on a le choix entre être grand et avec un beau corps, mais un visage moyen, ou taille moyenne avec un visage exceptionnel, je reste persuadé qu'il vaut mieux avoir un visage exceptionnel.
Je vais vous dire pourquoi : parce que c'est plus difficile et plus rare de trouver un beau visage que de trouver un beau corps. Il y a moins d'élus parmi les beaux visages que parmi les beaux corps. Donc, dans une optique d'attachement féminin, il vaut mieux avoir quelque chose de rare, de singulièrement attirant.
Voyez ? Donc, pour moi, il vaut mieux, si on a le choix, il vaut mieux travailler le visage. Le visage, en plus, vous avez un certain levier dessus.
Vous pouvez travailler la qualité de la peau, vous pouvez travailler les cheveux, évidemment. Beaucoup d'hommes passent un petit peu à travers ça, alors qu'il y a plein de choses qu'on peut faire. On peut travailler aussi la séquence des traits du visage.
Tout ça, j'en parle dans le projet, à ce voilà. Mais le problème, c'est que les gens ont développé tout un discours un peu nihiliste autour de l'importance du physique. Il y a vraiment eu un emballement ces dernières années sur l'importance du physique, avec des jeunes hommes un peu désabusés qui ont, je pense, longtemps cru que le physique n'était pas important.
Puis un jour, ils ont découvert que c'était important, et du coup, ils ont fait plein de contenu là-dessus. Ils en ont fait une véritable obsession malsaine, parfois masochiste, autour de l'importance du physique. Dire que le physique joue un rôle en séduction, ça ne veut pas dire que c'est le seul et unique critère, et que si vous n'avez pas le bon physique, c'est mort.
Ça ne veut pas non plus dire que le physique égal génétique. Je pense qu'il y a cet amalgame qui est fait dans la tête de beaucoup d'hommes, qui est que parce que c'est le physique, alors c'est la génétique. Alors, je ne peux rien y faire.
Méfiez-vous, parce qu'il y a beaucoup de gens qui se cherchent des excuses pour ne tout simplement pas passer à l'action. On en reparlera dans la troisième partie, et qui ont trouvé une magnifique excuse dans la question du physique, en se disant : "Bah, tu vois, je ne fais pas 1m80, donc c'est bon, c'est mort. C'est pour ça que les filles ne veulent pas de moi !
J'ai trouvé ma justification pour ne pas prendre mes couilles à deux mains et aller parler à une fille qui me plaît. " Voilà, je ne fais pas 1m80, ça ne marchera pas ! Alors que ça marche pas comme ça.
C'est beaucoup plus multifactoriel que ce qu'on croit. Et comme je répète souvent, les femmes, euh, sont exigeantes, mais ce n'est pas tant que les critères soient inatteignables. C'est juste qu'ils sont nombreux.
Et voilà. Il y a plein de leviers sur lesquels on peut agir. On le voit bien avec la muscu : la muscu n'est pas inatteignable.
Les standards de beauté masculins, ils sont difficiles à atteindre, mais ils ne sont pas inatteignables. Atteindre le corps de Zac Efron, c'est peut-être un peu compliqué, mais atteindre le corps, je ne sais pas moi, d'un mec fit sur qui les femmes vont se retourner, ce n'est pas si inatteignable que ça. Ça demande plus de boulot que pour les femmes, mais ce n'est pas non plus insurmontable.
Pareil pour le style vestimentaire : c'est un truc qui peut vous démarquer de 90 % des hommes et pourtant ça ne demande pas tellement d'effort. Voilà, il y a tellement de choses qu'on peut mettre en place. Ça ne devrait jamais être un blocage.
Il faut se concentrer sur ce sur quoi on a un impact. Ok, je ne suis pas très grand, mais j'ai un contrôle sur mon visage. Je peux avoir un visage plus avenant, je peux avoir plus de cheveux, je peux avoir ça, je peux avoir un bon style vestimentaire, je peux faire de la muscu.
Bon, ben, on se concentre là-dessus, voilà, positif les gars ! Ok, donc ça, c'était pour le physique. Maintenant, on va voir la deuxième raison qui est le style d'attachement anxieux.
Alors, je vous explique c'est quoi les styles d'attachement, parce que c'est un gros critère qu'on voit beaucoup dans la littérature scientifique pour expliquer le célibat chez les hommes. En gros, il y a ce qu'on appelle la théorie de l'attachement, qui a été développée par Bowlby en 1973, et qui explique que les enfants sont programmés pour avoir une motivation forte, une pulsion qui les pousse à rechercher le confort et la sécurité d'une figure d'attachement. Sauf qu'ils vont avoir différents styles d'attachement, différents comportements avec cette figure d'attachement.
Il y en a qui vont avoir des comportements sains, c'est ce qu'on appelle un style d'attachement sécure, et il y en a d'autres qui vont avoir des comportements un peu plus malsains, un peu plus nocifs pour eux. Malheureusement, c'est ce qu'on appelle le style d'attachement anxieux, où il y a aussi le style d'attachement évitant. Les enfants voient différentes manières d'interagir avec leur figure d'attachement.
Donc typiquement, un enfant qui a un style d'attachement anxieux, eh bien, il va pleurer dès qu'il n'est plus dans les bras de sa maman. Il va vraiment souffrir, il aura plus de mal à partir en exploration. Ce sont des études souvent faites dans des salles d'attente avec un inconnu, et on regardait si l'enfant pouvait jouer avec les jeux, s'éloigner un petit peu de sa maman, voire même aller interagir avec l'inconnu puis revenir.
Un enfant avec un style d'attachement sécure, aucun problème, il va gérer l'inconnu et il va revenir après. Mais l'enfant avec un style d'attachement anxieux aura plus de mal et parfois même continuera à pleurer dans les bras de sa mère, restant anxieux même en étant avec sa figure d'attachement. Pourquoi je vous dis tout ça et quel est le lien avec l'amour ?
J'aurais peut-être dû commencer par là. Ce qui est intéressant, c'est que cette relation, ces comportements que vous avez avec votre figure d'attachement (papa, maman), eh bien, vous allez retrouver à peu près les mêmes caractéristiques dans la relation que vous aurez avec votre partenaire. On retrouve beaucoup de similitudes entre la relation qu'on a avec la figure d'attachement et la relation qu'on a avec le partenaire amoureux, homme comme femme.
Ce n'est pas du tout freudien. On n'est pas là en train de dire que vous êtes amoureux de votre mère comme vous étiez amoureux de votre copine. On n'est vraiment pas en train de parler du deep, mais d'une théorie qui finalement expliquera que l'attachement qu'on développe pour une personne n'est pas que basé sur le désir, mais aussi en grande partie sur le besoin de réconfort, sur le besoin de se sentir protégé dans un petit havre de paix.
Généralement, si vous aviez un style d'attachement anxieux ou sécure avec votre maman, vous aurez probablement le même style d'attachement avec votre partenaire amoureux. Malheureusement, certains vont développer un style d'attachement anxieux, et cela va se voir. Et c'est là que ça devient encore plus intéressant.
Il y a des chercheurs dans les années 2000, Haen, Hazen et Diamond, qui ont repris cette théorie de l'attachement et qui l'ont appliquée au choix du partenaire. Ils ont dit que, en gros, le style d'attachement se voit lors des premiers rendez-vous et qu'il va être déterminant dans le choix du partenaire. C'est-à-dire que si vous avez un style d'attachement sécure, vous aurez plus de probabilité que la femme, en l'occurrence, vous choisisse pour un deuxième rendez-vous ou qu'elle ait envie de sortir avec vous.
Les gens qui ont un style d'attachement anxieux, en revanche, ont moins de probabilité d'être choisis comme partenaires amoureux. L'explication, c'est que, déjà, ce que je trouve fascinant là-dedans, c'est que votre style d'attachement, vous le portez avec vous et, malheureusement ou heureusement, il se voit dès les premiers rendez-vous. C'est quelque chose qui transparaît chez vous.
Si vous avez un style d'attachement anxieux, ça va se voir lors du premier rendez-vous, déjà parce que peut-être que vous n'aurez pas de premier rendez-vous, eh bien, parce que vous avez tellement peur du rejet, vous avez tellement peur de vous retrouver tout seul que, paradoxalement, vous n'allez pas oser proposer. À une fille d'aller boire un café avec vous parce que vous avez peur du rejet. Le style d'attachement anxieux, c'est caractérisé par une grosse peur de se retrouver tout seul, par un besoin excessif d'être en symbiose avec son partenaire amoureux.
C'est quelque chose qu'on retrouve plus chez les femmes, hein, je précise : le style d'attachement anxieux. Mais là, en l'occurrence, je m'adresse aux hommes dans cette vidéo. Le style d'attachement anxieux est lié à la peur d'être abandonné, à la peur que l'autre ne s'attache pas autant que nous on s'attache à lui, à la peur d'aimer plus le partenaire que l'inverse, et plein d'autres choses négatives, comme la peur de ne pas mériter l'attachement de l'autre partenaire.
Donc, bah, si vous avez un style d'attachement anxieux, bah déjà, la chose qui vous fait le plus peur, c'est le rejet. Vous avez peur de vous faire rejeter, donc vous ne faites rien. Vous n'osez pas proposer un rencard, vous n'osez pas aller boire un verre, vous n'osez peut-être pas embrasser la fille de peur de tout gâcher.
La deuxième chose, c'est que les gens qui ont un style d'attachement anxieux vont être plus anxieux lors des rendez-vous et donc avoir beaucoup plus de mal à instaurer une connexion émotionnelle. Donc, toute l'ironie, c'est que ceux qui ont le plus besoin d'une figure, d'un partenaire amoureux et de se sentir attaché en symbiose avec quelqu'un sont également ceux qui auront le plus de mal à l'obtenir parce qu'ils sont tellement plus anxieux, en l'occurrence les hommes, que du coup, ils auront plus de mal à établir ce lien émotionnel. L'anxiété, c'est comme un mur entre vous et la femme.
C'est un mur, vous ne pouvez pas créer un lien parce que quand vous êtes dans l'anxiété, vous êtes centré sur vous, vous n'êtes pas concentré sur la personne en face de vous, vous n'êtes pas dans le moment présent. Non seulement vous êtes moins séduisant, mais en plus, bah, vous êtes moins connecté avec la personne en face de vous. Et Dieu sait que le sentiment de connexion émotionnelle, c'est ultra important pour les femmes.
C'est l'un des critères qu'elles regardent le plus lors des premiers rendez-vous. Le style d'attachement anxieux, c'est aussi ce qui va pousser les hommes à être anxieux, à tout voir à travers un prisme négatif, à surinterpréter négativement les comportements féminins, par exemple sur les textos, et qui donc vont faire des conneries parce qu'ils auront un prisme ultra négatif. J'en ai eu des clients comme ça, et le problème, c'est que tout ce qui était ambigu ou neutre était interprété de manière négative.
Donc le gars se retrouve à faire des conneries. La fille lui dit qu'elle n'est pas disponible, il le prend tout de suite hyper mal, il le prend à cœur, il se dit « Elle n'est pas intéressée, elle se fout de moi, elle me manque de respect », etc. Et donc le gars se met à faire n'importe quoi, à basculer dans du drame, à s'énerver pour rien.
S'il la revoit, il va être plus tendu. Enfin, c'est vraiment compliqué. J'ai pas l'habitude de donner des conseils, mais pour nos amis qui auraient un style d'attachement anxieux, j'ai envie de dire : déjà, faut accepter le rejet.
Bon là, il faudrait que j'en fasse toute une vidéo, ce n'est pas quelque chose que j'ai envie d'entendre, mais bon, je vais pas développer. Je développerai sur la partie d'après. Par contre, ce que je dirais, c'est d'apprendre à développer d'autres relations, de chercher des alternatives en ce qui concerne les sources d'attachement.
Si possible, il faut essayer de ne pas en avoir qu'une seule. Essayer de, voilà, de diversifier un petit peu les sources d'attachement. Je ne suis pas en train de dire d'avoir trois copines, ce n'est pas ça que je dis.
Ce que je dis en revanche, c'est : qui dans votre vie pourrait vous offrir un peu d'affection ? Est-ce que ce n'est pas votre maman ? L'idéal, c'est d'avoir la maman.
Évidemment, moi, je dis souvent que ma théorie pour expliquer pourquoi les Italiens sont de bons amants et de bons séducteurs, c'est parce qu'en fait, ils sont préservés de l'obsession amoureuse, parce qu'ils sont tellement amoureux de leur mère, et parce que leurs mères sont tellement amoureuses d'eux que du coup, ils n'ont pas besoin d'aller chercher l'affection d'autres femmes. Ils ont déjà celle de maman, donc une femme, finalement, c'est que du bonus pour un Italien. Évidemment, ce n'est pas une explication sérieuse, et tout le monde n'est pas italien parmi nous, mais je suis persuadé que les hommes qui ont une forte relation avec leur mère n'ont pas autant besoin que les autres de l'affection d'une autre femme.
Du moins, ils n'ont pas un besoin excessif et maladif. Alors, une troisième et dernière raison qu'on retrouve beaucoup dans la littérature scientifique pour expliquer pourquoi certains hommes sont célibataires, c'est une des raisons qui revient le plus souvent. Pourquoi les hommes sont célibataires et pas en couple ?
C'est le manque d'initiative. Alors ça vous fait une belle jambe, mais oui, effectivement, quand on ne prend pas d'initiative, ben, on ne fait pas de rencontre. Pas de bras, pas de chocolat, j'ai envie de dire.
Pas d'approche, pas de femme. Donc, c'est un point clé à noter : pourquoi le manque d'initiative ? Pour plusieurs raisons.
Déjà, on l'a vu par rapport aux notions d'anxiété. Quand vous avez un style d'attachement anxieux, ou slash anxieux, vous osez moins parce que vous avez peur du rejet. Quand on a peur du rejet, on prend moins d'initiative, donc forcément, on se retrouve tout seul.
Mais il y a quelque chose, moi, qui m'intéresse beaucoup, que j'observe, et donc. . .
Je voulais faire une vidéo particulière. C'est un mot-clé qu'on retrouve beaucoup dans la littérature scientifique : c'est l'aversion au risque. Euh, les hommes qui ont une aversion au risque élevé, c'est-à-dire qui ont peur de la prise de risque, sont généralement plus souvent célibataires que les autres.
À l'inverse, les hommes en couple sont des hommes qui ont un appétit pour le risque plus important. Ça, c'est vraiment un critère sur lequel je m'acharne depuis des années à le répéter sur cette chaîne : l'appétit pour le risque, le goût du risque. C'est vraiment un truc, c'est vraiment une caractéristique qui plaît terriblement aux femmes.
Cela a été un peu anesthésié parce que les gens, aujourd'hui, peuvent faire des rencontres sur les réseaux sociaux, notamment sur Tinder ou ailleurs. Mais en fait, j'ai toujours expliqué qu'avant, il y avait une barrière à l'entrée qui s'effectuait, d'ailleurs, toujours dans les rencontres physiques. Cette barrière se manifeste par le fait que les filles ne s'intéressent qu'aux hommes qui ont fait le premier pas.
De fait, lorsque vous faites le premier pas, vous rentrez dans un pool de concurrents, entre guillemets, qui ont déjà validé la première étape, c'est-à-dire l'étape où j'ai su démontrer ma capacité à prendre des risques. Par là, je démontre ainsi une certaine gestion du stress et un goût pour le risque. On peut aller plus loin, après.
On peut dire que les hommes qui ont une plus forte capacité de prise de risque sont aussi des hommes qui ont le plus gros potentiel d'aller chercher les ressources d'un point de vue évolutionniste. Et donc, quand vous retirez cette sélection-là aux femmes, eh bien, du coup, elles se retrouvent sur des sites où tout le monde peut aborder, il n'y a plus de barrière, en fonction de qui a les couilles ou qui n'a pas les couilles de venir parler. Donc, du coup, il y a une sélection qui va se faire autrement, et elle se fait généralement sur le physique.
Donc, c'est pour ça que si vous n'avez pas un physique au top, arrêtez les sites de rencontre, arrêtez les réseaux sociaux. Ça, je l'ai déjà expliqué plusieurs fois. Et lorsque vous n'avez pas un physique au top, au contraire, vous avez tout intérêt à vous spécialiser dans la rencontre réelle, en fait, à apprendre à faire des rencontres réelles parce que, par là, vous démontrerez votre capacité de prise de risque.
Alors, vous n'aurez peut-être pas la beauté, mais vous aurez au moins démontré quelque chose en arrivant, c'est-à-dire que vous n'arrivez pas les mains vides, entre guillemets. Vous êtes déjà en train de gagner des points au moment même où vous ouvrez la bouche. Et ça, beaucoup d'hommes l'ont oublié, et de plus en plus de femmes s'en souviennent et décident de revenir à un mode de rencontre plus traditionnel.
J'ai beaucoup de femmes qui me parlent de ça, qui me disent : "Léo, moi, j'ai plus envie de faire des rencontres sur les sites de rencontres. " Ou alors, beaucoup qui me disent : "Moi, je n'ai jamais fait de rencontres en ligne, j'ai toujours fait mes rencontres dans le physique, des rencontres réelles. " Et c'est triste parce que je me rends compte que ça ne se passe pas beaucoup pour elles.
Il n'y a pas beaucoup de rencontres physiques qui se font pour beaucoup de femmes. Donc là, je le dis à vous, messieurs, c'est une vidéo pour vous : apprenez à faire des rencontres dans le réel. Apprenez, parce que vous vous démarquerez rapidement des autres.
L'aversion au risque, elle est plus grande chez les générations Z. Ça, c'est intéressant de le noter. Alors, je sais que ça fait très vieux boomer de parler des générations Z, mais moi, je trouve que c'est intéressant, au contraire, parce que c'est une génération qui a grandi avec un événement particulier, et je vais vous expliquer après.
Juste après, ce sera mon explication. Mais déjà, notons une chose de manière empirique. Ce qui a été observé, et Hugo Decrypt a fait une vidéo là-dessus, c'est que les générations Z adoptent moins de comportements à risque en ce qui concerne la prise d'alcool, les soirées, les conduites à risque.
C'est aussi ce qu'on observe dans les comportements sexuels, hein. On l'avait vu dans plusieurs vidéos : les jeunes, les générations 18-25, ont beaucoup moins de rapports sexuels que les jeunes des époques précédentes. On observe aussi cette aversion au risque dans les finances, une aversion au risque aussi financière.
J'ai une explication à ça : pourquoi cette aversion au risque est plus grande chez les générations Z ? Parce que, pour moi, c'est vraiment une explication. Alors là, PMU, hein, voilà.
C'est le PMU, je précise, on n'est pas dans quelque chose de scientifique, c'est mon point de vue, point de vue de Léo. Je précise, on est au PMU pendant 30 secondes. Le confinement a eu, pour moi, un impact terrible sur ceux qui avaient à l'époque entre 15 et 20 ans, qui étaient encore des ados ou plus jeunes encore.
Ça a eu un impact terrible, parce qu'ils ont été conditionnés à se soumettre à l'autorité plus que les autres. Et je pense que ça a pu les couper de leur tendance qu'on a quand on est jeune, qui est de prendre des risques. Naturellement, quand on est jeune, c'est le moment où, quand on est ado, on va essayer de faire le con, on va essayer d'impressionner les nanas, on va boire un peu plus que de raison.
Eux, ils ont eu leur adolescence à un moment où, en fait, on avait un des gouvernements qui étaient très forts, très totalitaires. Qui imposait des restrictions dures et parfois lunaires, et je pense que ça a vraiment martelé dans la tête de ces jeunes, de ces ados, un message très fort qui est "soumis-moi". En fait, il y a eu un conditionnement à la soumission qui a été terrible, qui était fort et qui laisse une empreinte, parce que ces ados étaient encore des ados et le cerveau n'avait pas fini de maturer.
Il y a une différence entre avoir vécu le confinement quand on avait 30 ans et l'avoir vécu quand on avait 15 à 20 ans. Ça, c'était mon point de vue très personnel. Encore une fois, ce n'est pas quelque chose que j'ai trouvé dans la littérature scientifique.
Maintenant, on revient, je remets mes lunettes de scientifique, et on va parler d'une autre explication qui est le locus de contrôle externe, en l'occurrence, qui est aussi un mot clé que vous retrouvez beaucoup dans la littérature scientifique. Les personnes qui ont un locus de contrôle externe ont moins de probabilité d'être en couple que les autres. Alors, le locus de contrôle, c'est en gros où est-ce que vous décidez de placer le curseur de ce qui vous arrive.
Est-ce que ce qui vous arrive, c'est du fait de causes externes ou de causes internes ? Lorsque vous avez un locus de contrôle interne, vous considérez que ce qui vous arrive dans la vie, c'est de votre propre fait. Lorsque vous avez un locus de contrôle externe, vous considérez que si vous avez une mauvaise note, c'est parce que le prof était méchant et que vous n'avez pas eu de chance.
Voilà, ça, c'est les causes externes, et il y en a d'autres qui expliquent pas les causes internes. Les gens qui ont tendance à expliquer les choses qui leur arrivent dans la vie par des causes externes ont également moins de probabilité de se retrouver en couple et plus de probabilité d'être célibataires. Donc là, en l'occurrence, bah si je n'ai pas de copine, c'est pas ce que je fais.
Par exemple, ce que je fais, paramètre 90, ça c'est typiquement un locus de contrôle externe. Les personnes qui ont un locus de contrôle externe, généralement, ont plus de difficultés dans leur vie amoureuse, dans leur vie sociale. Elles sont généralement moins bien financièrement et ont aussi plus de risque de maladies, psychologiques ou physiques.
Une autre explication sur le manque d'initiative : je pense qu'il y a des hommes qui ont plus de mal que d'autres à lire les signes d'intérêt. Ces hommes-là, bah du coup, ils n'osent pas. Par exemple, on pourrait imaginer qu'un homme qui est un peu avancé sur le spectre de l'autisme aura beaucoup plus de difficultés, déjà à lire les émotions sur les visages des autres, mais alors lire des signes subtils que même des hommes non autistes galèrent à voir, là, c'est mission impossible.
Donc, pour certains hommes, effectivement, il n'y a pas d'initiative parce que les signes d'intérêt sont soit invisibles, soit impossibles à décrypter. L'empathie, ce n'est pas quelque chose qui fait rêver, mais c'est vrai que l'empathie permet de savoir si une femme est intéressée par nous. Un homme qui est capable, en fait, on en revient toujours au même truc, c'est que de base, la plupart des hommes, on est socialement un peu "cons".
On débute notre vie amoureuse un petit peu "cons", on n'arrive pas à avoir les signes d'intérêt. Mais ce qui fait qu'on arrive à les lire et à développer cette empathie spécialisée en amour, c'est en fait parce qu'on passe à l'action, parce qu'on expérimente et on finit par, par apprentissage et par essais erreurs, comprendre qu'effectivement, une femme qui nous regarde trois fois, c'est plutôt un signe d'intérêt. Il vaudrait mieux y aller, car généralement, ça sera plutôt récompensé.
Une femme qui nous fait des sourires, c'est plutôt intéressant, etc. Dans la pratique, on apprend à identifier ce qu'est une femme intéressée et donc ça nous donne confiance. C'est pour ça que l'empathie amène à une confiance, parce que si je sais que la fille est intéressée, ça me donne confiance en moi.
Si j'ai confiance en moi, je vais lui parler. Et si je lui parle et que j'ai confiance en moi, je vais être plus attirant, et donc il y a plus de probabilité que j'ai un rendez-vous avec elle. La deuxième raison, c'est qu'aujourd'hui, culturellement, les hommes et ma génération aussi, on a été éduqués à ne pas forcément faire le premier pas.
Je veux dire, à voir les femmes comme des égales à tous les niveaux, y compris en amour. Et donc, je pense qu'il y a beaucoup d'hommes qui se disent : "Mais pourquoi je devrais faire le premier pas, sachant que nous sommes égaux ? Pourquoi je devrais forcément inviter la femme, sachant qu'on est égaux ?
" Voilà, c'est ce qu'on m'a appris à l'école. L'éducation nationale m'a appris que homme et femme étaient exactement pareils, donc je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas le cas en amour. Je comprends ce discours, je le comprends tout à fait, donc je pense que cette influence culturelle a pu pousser les hommes à se dire : "Bah ce n'est pas à moi en fait de prendre l'initiative, c'est à elle autant qu'à moi.
" Donc voilà, beaucoup d'hommes doivent réapprendre à se dire : "Ok, bah c'est peut-être à moi de prendre les rênes, parce que sinon, la fille ne le fera pas, même si elle en a terriblement envie. " De facto, si je ne fais rien, je m'élimine de la sélection sexuelle. Il n'y aura pas de couple, pas de bras, pas de chocolat.
Chocolat pense qu'il faut accepter les règles du jeu. C'est les règles du jeu, c'est le jeu de l'amour. Il faut faire preuve d'initiative, et la limite pour ceux qui seraient un peu réfractaires vis-à-vis de tout ça, moi, je leur dirais : « Les gars, vous ne le faites pas forcément pour la fille, vous le faites pour vous.
Apprendre à prendre des initiatives, c'est quand même quelque chose qui vous rend beau. Un homme qui prend des initiatives, c'est un homme qui est plus dans le contrôle de sa vie, un homme qui prend les choses en main. Pas qu'en amour, il y a aussi dans son métier que ça va être valorisé.
C'est quelque chose que les gens aiment. Prendre des initiatives, finalement, c'est rendre un service aux autres. Donc, je trouve que c'est une belle compétence à développer.
Moi, j'ai été traumatisé par mon père quand j'étais gamin, quand j'étais ADS. Chaque dimanche matin, il me demandait : « Tu fais quoi ce dimanche-là ? Comment tu vas régler le problème de tes mauvaises notes ?
Comment tu vas t'y prendre avec des questions bien comme ça ? » Et moi, je lui disais souvent : « Je sais pas. » Et lui, il faisait : « Je sais pas, je sais pas.
» Il m'imitait comme ça, donc ça, ça m'avait rendu malade. Je m'étais dit : « Plus jamais de la vie, je ne pourrais dire : je sais pas. » Voilà, j'ai encore sa voix là qui fait : « Je sais pas.
» C'est vraiment un truc qui l'agaçait. Donc, traumatisé par mon père sur ses histoires de manque d'initiative. Voilà, tout ça pour conclure sur cette vidéo, j'espère qu'elle vous a plu, que vous avez appris des choses.
Et si vous voulez aller plus loin avec moi, profitez-en, vous avez un pack de formation qui est à un prix réduit. C'est exceptionnel, je fais ça que en ce moment pour le retour de l'été, hein, entre guillemets. Vous avez donc accès à mon programme sur la créativité, mon programme sur la sexualisation et un an d'accès au Club des Philogynes pour un prix ridicule.
Ça ne dure que quelques jours, donc profitez-en, c'est en barre de description dans le commentaire épinglé.