Avant de commencer cette vidéo, sachez que j'ai écrit un guide de séduction pour trouver une copine. C'est un guide en dix étapes, et je vous l'offre ; il est gratuit. Pour le télécharger, il vous suffit de rentrer votre email dans le lien qui sera en bas de l'appel à gaz et de Philogène.
Comme ça, vous pourrez télécharger le guide gratuit. Le thème de la vidéo aujourd'hui, c'est les familles monoparentales, les mères célibataires et l'impact sur les enfants. Le terme "familles monoparentales" est utilisé comme un synonyme pour parler des pères absents et des mères célibataires.
Il est important de noter que, dans la plupart des cas, dans la famille monoparentale, c'est le père qui est absent et non la mère. J'ai essayé de faire une synthèse la plus exhaustive possible, et ce n'est pas facile, car il y a énormément de littérature à ce sujet. Il y a beaucoup de variables qui rentrent en jeu.
Ces vidéos me prennent le plus de temps et d'énergie à produire, comme la vidéo que j'avais faite pour les parents homosexuels. D'ailleurs, je ne vous demande pas d'argent ; je vous demande juste, si vous voulez m'aider, de vous abonner. Ceux qui regardent cette vidéo et ne sont pas abonnés, mettez un abonnement.
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Car, parfois, durant deux semaines, il n'y a pas de vidéo, et cela me permet de vous montrer un petit peu ce que je fais, mes lectures. Je vous mets en story les articles scientifiques que j'ai trouvés, ce que je lis en ce moment. Je vous montre aussi un peu mon métier de psychologue dans le domaine de la séduction.
Donc, si vous voulez m'aider et garder un lien avec moi, vous pouvez me rejoindre sur mon compte Instagram, "les fils origine". Dans cette vidéo, on va d'abord parler des conséquences sur les enfants, puis nous aborderons les causes, et je vous donnerai à la fin mon interprétation personnelle quant à l'importance de l'absence du père. Sachez aussi une chose : tous les effets négatifs dont je vais parler dans cette vidéo peuvent être réduits par la présence des grands-parents.
Les grands-parents jouent un rôle extrêmement important dans les familles monoparentales lorsque le père est absent. La première conséquence, ce sont les troubles externalisés du comportement, c'est-à-dire tout ce qui est dirigé vers l'extérieur : la délinquance, l'agressivité, l'hyperactivité, l'impulsivité, le manque d'attention et l'agitation. Ce qu'on sait, c'est qu'il y a trois fois plus de probabilités d'avoir ce type de trouble chez les enfants qui n'ont pas connu leur père.
Nous savons grâce à une étude de 2010, menée sur plus d'un million d'enfants suédois âgés de six à dix-neuf ans, que, parmi eux, il y a 54 % de probabilités en plus de devoir prendre des médicaments pour traiter les troubles de l'hyperactivité. On sait également qu'aux États-Unis, dans les prisons américaines, 70 % des délinquants incarcérés n'ont pas été nourris et élevés par leur mère, et n'ont pas connu leur père. C'est le cas de 75 % des personnes qui se retrouvent dans des centres de désintoxication.
Concernant les performances académiques, les enfants de familles monoparentales sont également pénalisés puisqu'ils obtiennent de moins bonnes notes à l'école et sont plus susceptibles de redoubler. Ils ont moins de chances de faire de longues études. La différence se voit dès la primaire, c'est sûr.
En France, 25 % des élèves en primaire ont redoublé au moins une fois durant leur scolarité, contre 14 % parmi les enfants de familles intactes. Cet écart ne cesse de s'accentuer jusqu'à l'enseignement secondaire. Les difficultés scolaires touchent plutôt les garçons.
Maintenant, je vais vous parler de quelque chose qui touche plutôt les filles, c'est-à-dire la grossesse à l'adolescence. Jusqu'à preuve du contraire, cela touche plutôt les filles. Les filles qui n'ont pas connu leur père ont plus de probabilités de tomber enceintes avant 16 ans.
Plus le père s'est absenté tôt dans l'enfance de la fille, plus elle aura une activité sexuelle précoce. L'ironie, si je puis dire, c'est que les mères célibataires ont des fils qui deviendront plus tard eux-mêmes des mères célibataires, et je vous expliquerai pourquoi plus tard. La troisième conséquence, c'est le style d'attachement.
Le style d'attachement provient de la théorie de Bowlby, qui montre que la qualité de l'attachement qu'on a avec ses parents durant l'enfance conditionne le style d'attachement qu'on aura dans nos relations amoureuses plus tard. La plupart des gens ont un style d'attachement sécure, c'est le cas de 60 % des gens, mais on sait que chez les enfants et les adultes qui ont grandi dans des familles monoparentales, il y a plus de probabilités d'avoir un style d'attachement insécure, c'est-à-dire dépendant ou anxieux. Ils éprouvent plus de jalousie et de peur.
Voici le texte corrigé avec une ponctuation appropriée : "De se faire abandonner. De manière générale, ils ont plus de difficultés à maintenir une relation amoureuse sur le long terme. Pour ceux qui se sentent concernés par cela, Sarah pense avoir un petit problème d'attachement insécure dans leur relation amoureuse.
Vous pouvez rejoindre le club Défi Logis. On en parle beaucoup lors des réunions Discorde. Les réunions Discorde, vous savez, ce sont ces réunions qu'on peut faire à distance, où tout le monde peut écouter un petit peu, comme en live sur YouTube, si vous voulez.
Sauf que c'est entre nous. Voilà, donc ça fait partie, c'est un des éléments du club Défi Logis. Si vous souhaitez nous rejoindre, on a aussi un forum et des réunions physiques un peu partout en France, la plupart du temps à Paris, mais aussi parfois à Lyon et à Lille.
Vous pouvez faire votre demande, vous pouvez déposer votre candidature pour entrer dans le club. Le lien est en bas dans la description. La quatrième conséquence, cette fois, ce sont les troubles internalisés.
On a vu les troubles externalisés, mais maintenant, les troubles internalisés, c'est-à-dire tout ce qui est lié au développement émotionnel de l'enfant et de l'adolescent : la dépression, l'anxiété. Ainsi, ils ont plus de probabilités de tomber en dépression ou d'être anxieux, mais surtout de tomber en dépression à l'adolescence. Ce qui se passe, c'est que pendant l'enfance, il y a tellement d'événements stressants que les enfants subissent, et ces événements vont avoir un impact sur leurs schémas cognitifs, c'est-à-dire sur la manière dont ils interprètent les événements négatifs qui leur arrivent.
Nous allons voir que ces schémas cognitifs vont devenir, plus tard, un déclencheur de la dépression à l'adolescence. Ça ne se réveille pas forcément pendant l'enfance, mais ça se réveille plus tard, à l'adolescence. Je vais vous expliquer juste après, quand nous parlerons des causes.
Dernière chose, il faut savoir aussi que les enfants issus de familles monoparentales ont plus de probabilités de se suicider. C'est d'autant plus vrai chez les garçons qui, vous le savez, se loupent moins lorsqu'ils font une tentative de suicide. Les femmes font deux fois plus de tentatives, et les hommes réussissent trois fois plus que les femmes.
Maintenant, la question que vous vous posez probablement est : ces conséquences psychologiques sur les enfants sont-elles liées à la structure familiale, c'est-à-dire purement à l'absence du père, ou alors sont-elles liées à toutes les conséquences qui vont avec, à toutes les variables qui sont liées à cela, c'est-à-dire le divorce, la séparation, les conflits familiaux, et tout le stress et la dépression que cela peut avoir sur la mère – conditions précaires de la mère, est-ce que c'est lié à l'instabilité, aux déménagements, aux nouveaux pères ? Tous ces facteurs ont évidemment un impact sur les conséquences négatives que nous avons citées au-dessus. Je vais vous expliquer mon raisonnement, mais c'est un mélange de toutes ces variables, comme très souvent dans tout phénomène psychologique.
Si vous suivez cette chaîne, vous le savez. Concernant les différences de performances académiques, l'étude que je vous ai citée avant, de Laurent Crétin, qui n'est pas si bête, a isolé la variable de la structure familiale. Ils ont maintenu constantes toutes les variables qui pourraient avoir un impact sur le phénomène étudié, en l'occurrence, la performance scolaire des enfants.
Ils ont maintenu constant le niveau et les conditions de vie de l'enfant, l'environnement culturel. Ce que l'on remarque, c'est qu'en primaire, le fait de maintenir constantes toutes ces variables réduit l'écart, c'est-à-dire qu'en primaire, l'écart qui existe est entièrement expliqué par le niveau et les différences de niveau de vie et de conditions de vie entre les familles intactes et les familles monoparentales, et par un environnement culturel différent, un environnement moins riche pour les familles monoparentales. Cet écart subsiste lorsque l'on regarde les enfants dans l'enseignement secondaire.
Dans l'enseignement secondaire, même quand on isole la variable de la structure familiale, on voit qu'il existe toujours un écart. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la structure familiale, l'absence du père en soi, est responsable des différences de notes et d'échecs scolaires que l'on observe entre les enfants de familles monoparentales et les enfants de familles intactes.
Concernant la grossesse à l'adolescence, une fois que l'on maintient constante le stress des mères, une fois que l'on maintient constant les conditions de vie – donc la précarité, le statut du père, le niveau d'éducation de la mère – en maintenant constantes l'origine immigrée ou non, on réalise que le chiffre que je vous ai donné tout à l'heure, qui était de 7, descend à 5. C'est-à-dire que tout étant égales par ailleurs, les filles qui n'ont pas connu leur père ont cinq fois plus de probabilité de tomber enceintes que les filles qui ont grandi dans des familles intactes, lorsque l'on maintient toutes ces conditions à un niveau égal. Certes, le chiffre descend de 7 à 5, mais 5, ça reste énorme : 500% de probabilités en plus pour une jeune fille qui n'a pas connu son père de tomber enceinte avant 16 ans.
L'explication des chercheurs se tourne vers la théorie de l'apprentissage social de Bandura, c'est-à-dire que ces jeunes filles, finalement, ont un modèle à la maison : elles ont une mère célibataire. Ce qu'ils expliquent, c'est que plus le père est éloigné, plus la mère a de probabilité de voir d'autres partenaires, d'avoir une vie amoureuse active. Les mères célibataires ont plus de probabilités de se séparer de leur nouveau conjoint, ce que soulève également des questions sur les départs.
" Pas à pas, les nouveaux papas des filets à la maison. Donc finalement, par imitation, la jeune fille apprend à se calquer sur le modèle que lui offre sa mère. Elle va imiter cela plus tard, à l'âge adulte.
Une autre hypothèse des chercheurs essaie d'expliquer, donc encore une fois par apprentissage, que la jeune fille apprend que c'est possible d'élever des enfants sans papa, que papa n'est pas indispensable. Et ce n'est pas anodin si la plupart des mères célibataires ou elles-mêmes ont eu des mères célibataires. Concernant les différences qu'on observe pour le développement émotionnel de l'enfant, on a vu la dépression, l'anxiété, mais aussi les troubles externalisés.
Je vais vous citer deux études qui sont très souvent avancées par les médias classiques pour expliquer finalement que, eh bien, il n'y a pas tant de différences que ça. Ces deux études, faites par Kolo Moque, se sont intéressées aux enfants qui étaient issus de familles monoparentales, mais venant de mères qui avaient décidé elles-mêmes d'enfanter sans père. Ce sont des femmes de 35 à 40 ans qui ont eu des enfants par insémination artificielle.
Elles ont de bons diplômes, elles ont un bon niveau de vie. Voilà, elles apportent un bon cadre à l'enfant pour grandir. C'est très intéressant d'étudier l'impact que ça peut avoir sur les enfants, car on arrive vraiment, pour le coup, à isoler la structure familiale, c'est-à-dire mère célibataire et absence de père.
Ce qui se dégage est que les chercheurs ont observé, en l'occurrence, que ces enfants-là n'étaient pas différents des enfants sur le plan émotionnel et sur les troubles externalisés. Ils n'étaient pas plus désavantagés que les enfants de familles intactes. Le problème, c'est qu'il y a deux choses qui ne sont pas assez dites.
La première, c'est que l'étude explique bien que ces enfants-là présentent plus de caractéristiques féminines. Alors comment les définissent-ils, les caractéristiques féminines ? C'est sous l'angle de la théorie du genre.
Donc, ils expliquent que ces enfants-là adoptent plus les rôles de genre féminin pour les garçons. La deuxième chose importante à relever, c'est que ces études-là se basent sur des enfants de 0 à 11 ans. Or, on sait que l'adolescence est une période d'extrême vulnérabilité.
C'est une période où l'adolescent a bien plus de probabilités de tomber en dépression, six fois plus de probabilités de tomber en dépression à 16 ans plutôt qu'à 12 ans. Il n'y a peut-être pas tant d'impact que ça sur l'enfance, du moins il n'y a pas d'impact visible sur les enfants. Mais ce qu'on sait, c'est que la plupart des familles monoparentales sont des mères qui subissent beaucoup de stress.
On a vu qu'il y a beaucoup plus de probabilités de dépression. Ce qu'on sait également, c'est que les conditions d'une famille monoparentale infligent de nombreux facteurs de stress à l'enfant durant l'enfance, même si ça ne s'exprime pas tout de suite. D'abord, durant l'enfance, il y a la séparation des parents, il va y avoir la culpabilité liée au fait de penser avoir une part de responsabilité dans l'absence du père, il va y avoir les conflits familiaux, l'instabilité.
Comme on l'a vu, la responsabilité des enfants qui vivent dans des familles monoparentales augmente rapidement, ils doivent assumer beaucoup plus de responsabilités et cela leur inflige un stress supplémentaire. Tout ce stress, finalement, va se transformer, comme on l'a vu tout à l'heure, en ce qu'on appelle des vulnérabilités cognitives. Les vulnérabilités cognitives sont des schémas cognitifs qui vont faire que l'enfant va interpréter les événements négatifs ou les événements stressants que je vous ai décrits.
Il va les interpréter de manière erronée, il va leur attribuer des causes internes et stables, c'est-à-dire qu'il va penser que, par exemple, si papa est absent, c'est de sa faute. Ces vulnérabilités cognitives qui se mettent en place durant l'enfance vont se consolider à l'adolescence, vont éclater à l'adolescence, et se manifester sous forme de dépression. Elles seront finalement un déclencheur de la dépression durant l'adolescence.
En fait, il faut le voir comme une bombe à retardement, quoi, les vulnérabilités cognitives et ce qui se passe durant l'enfance. On sait effectivement que, à l'adolescence, il y a plus de probabilités pour un ado de tomber en dépression que pour un enfant. Ce que j'en conclus de mes recherches, c'est que finalement, l'absence du père est néfaste, non seulement pour toutes les variables qui sont associées : financière, culturelle, temps disponible, moins de disponibilité pour les enfants, etc.
, mais aussi de manière intrinsèque, c'est-à-dire que l'absence du père, en soi, intrinsèquement, est responsable des conséquences négatives sur les adolescents et les jeunes adultes. On a vu aussi que l'importance du père se fait de plus en plus ressentir à mesure que les enfants grandissent et à mesure qu'on s'approche de l'adolescence. L'adolescence est une période de la vie où l'enfant a besoin d'un cadre solide, a besoin de limites.
Il a besoin de ce cadre pour sentir qu'il est protégé. Finalement, l'adolescent n'attend qu'une chose : qu'on le remette dans le cadre, qu'il teste les limites. Or, ce cadre-là est plus souvent apporté par un père autoritaire et bienveillant.
J'espère que cette vidéo vous a plu. Je suis obligé de la finir un petit peu en urgence parce qu'on s'est fait virer du parc, la conclusion risque d'être un peu abrupte. Voilà, j'espère que ça vous a plu.
Si c'est le cas, en tout cas, n'hésitez pas à le faire savoir. Et si vous voulez en savoir plus, aller plus loin là-dessus, sur la séduction, vous pouvez venir me rencontrer lors de séances, ou entrer dans le club Défi l'Origine. Pour cela, il vous suffit donc d'aller dans le.
. . Voici le texte avec la ponctuation corrigée : "Lien que je voulais, en bar de description, je t'embrasse.
Où les danses, pas ses coûts, chacune de ces cibles avait été pratiquée. Je me rends encore compte de cette fille, ma dépouille peu entendue.