J'aborde des italiennes à Florence

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Les Philogynes
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Video Transcript:
Coucou, on est en Italie et, évidemment, c'est le défi login. Donc, on va aller aborder des Italiens, on va partir à la rencontre des Italiens, mais je flippe parce que je n'ai jamais tenu une caméra comme ça dans la rue et je suis une merde en italien. Mais ça fait du bien, un peu de difficulté dans la vie ; le but, c'est d'explorer la ville, d'apprendre deux trois trucs et d'en profiter pour discuter avec des locaux.
On ne va pas discuter avec des Américaines, on discute avec des Italiens, des locaux. On va badiner avec elles, on va leur apprendre un petit peu c'est quoi le badinage à la française. [Musique] Cette idée de mission comme ça, elle m'est venue de mon père.
Quand j'étais gamin, à chaque fois qu'on partait en vacances, on avait des missions. Un jour, on était partis en vacances en Allemagne ; on était partis à la Mer du Nord. Ne me demandez pas pourquoi, il y en a qui partent en Espagne, nous on partait en Allemagne.
Le premier jour, on arrive, j'avais 8 ou 9 ans. Pour contextualiser, mon père me dit : "Tu vas dans la boulangerie, c'est toi qui va aller acheter le pain. On va te faire apprendre la phrase par cœur et tu rentres dans la boulangerie, tu ressors avec le pain.
" La phrase était : "Guten Tag, ich möchte gern Brot. " Je flippais ma race au moment de rentrer là-dedans, mais je me souviens du sentiment de fierté que j'avais en sortant de la boutique ; il était incroyable. Et voir la fierté dans les yeux de mon père, de voir que j'avais fait un truc qui faisait peur, c'est merveilleux.
Honnêtement, c'est l'une des plus belles choses qu'un père puisse faire pour ses enfants : c'est de lui permettre de repousser ses limites dès l'enfance, de lui apprendre à repousser sa zone de confort sans le traumatiser, bien sûr. Là, on est sur la piazza della Signoria, le centre politique de la ville, et je vais vous montrer le fameux David. Ce n'est pas là, ce n'est pas le vrai, mais pendant 300 ans, il y avait le vrai David ici, et c'était un symbole d'indépendance et de force pour les Florentins, pour montrer que la ville de Florence ne se plierait pas au tyran, puisque David affronte le Goliath.
Vous voyez que le mec est à poil, tout comme les divinités qui sont à droite ici. Il faut savoir qu'à l'époque, c'était réellement quelque chose de révolutionnaire de montrer des corps nus, comme ça. Ça avait choqué tout le monde.
Ce n'est pas comme aujourd'hui ; aujourd'hui, ce qui serait révolutionnaire, c'est pour une femme de ne pas se montrer nue sur les réseaux. Avant le David de Michel-Ange, il y a eu le David de Donatello qui est au musée Bargello ; je vous montrerai. Et là, ça, c'était vraiment révolutionnaire.
Ce mec-là, normalement, David, c'est un guerrier, c'est un héros, et pour la première fois, on le voyait un peu chic, un petit peu élégant, un petit peu précieux, avec son petit casque bien positionné, son corps svelte. Et ça, ça avait été commandé et commandité par comme 2006, donc c'est toujours les Médicis qui sont derrière. Les Médicis, c'étaient vraiment en avance sur la culture, sur l'art.
D'ailleurs, on va aller voir la maison des Médicis. Évidemment, je ne peux pas ne pas vous montrer les outils, tous les tableaux italiens. Allez, au ta gueule, arrête de faire le ghetto et stick, et puis avoir des meufs.
On a le droit de faire un petit peu d'histoire pourtant. Croyez-moi, je ne suis pas un expert en histoire, par contre, je suis passionné par cette ville. Je ne comprends pas qu'on puisse ne pas être passionné par cette ville en fait ; c'est impossible, surtout quand on apprécie la Renaissance italienne.
Tu as regardé ça ? Comme c'est bon d'en parler. La séduction, c'est aussi un peu la culture générale.
La culture générale, c'est la brique et la créativité, c'est le ciment. C'est ce qui permet de cimenter ces briques entre elles. C'est incroyable, il y a des palais, des musées à tous les cinq mètres.
Là, il y en a encore un. [__] Je ne sais pas du tout ce que c'est là, mais à chaque fois je vois ça, je me dis je le mets, je le note, en fait, sur mon carnet. J'ai 150 milliards de choses à faire ; je vais tous les faire en fait, même les palais, ce ne sera pas de la folie.
Il y en a partout, des musées. Ça me fascine, et je sais que ça coûte un peu cher. Je considère que c'est bon.
Après, voilà, chacun gère son budget, mais moi, je préfère mettre mon fric là-dedans que de mettre mon fric dans les pizzas. Honnêtement, j'en ai fait une. Voilà, j'ai fait une pizza, j'ai repéré le meilleur resto, mais clairement, je préfère mettre ma thune dans une bonne visite guidée avec une personne passionnée.
Et aussi, je considère qu'apprendre avec un guide dans la ville de Florence, c'est tellement chargé émotionnellement qu'on se souvient beaucoup mieux des informations que si on les a lues dans un livre beaucoup trop abstrait. Dans un livre, là, on est sur le terrain directement. On est dans la demeure des Médicis, on est dans la chapelle où Michel-Ange a travaillé pour faire des tombeaux des Médicis.
C'est ça qui est important. C'est regarder le doigt. Moi, en fait, quand j'apprends des choses, j'essaie au maximum d'y apporter une charge émotionnelle, parce que quand il y a une charge émotionnelle, je retiens beaucoup mieux.
C'est pour ça que je vous dis que, là, moi, les visites guidées, j'essaie d'en faire un maximum, parce que du coup, je vais garder. . .
Je me souvenir du visage de. . .
La guide, je me souviens de la vanne qu'elle a sortie un moment, de l'émotion qu'elle a vécue à ce moment-là. Et c'est le même principe pour les formations d'ailleurs : quand je vous fais des formations sur la séduction, le but du jeu, ce n'est pas juste de vous délivrer les informations. Le but du jeu, c'est vraiment de véhiculer une charge émotionnelle.
En fait, mon but, c'est de faire en sorte que vous reteniez l'information, que vous vous en imprégniez et qu'elle reste en vous. On peut tout à fait avoir une approche thérapeutique du vlog. C'est le psychologue qui parle, qui ça vous ?
C'est-à-dire qu'on n'est pas obligé d'y aller comme un bourrin et de filmer tout de suite dans des rues bondées. On peut aussi. .
. Bonne journée ! [Musique] Elle était mexicaine, ça ne compte pas, et ça fait du bien, parce que ça me chauffe un peu, ça me met en confiance.
En fait, je voyais limite qu'elle était plus à l'aise que moi par le fait que je me filme. Moi, j'étais là en mode, dans ma tête, j'étais là en mode : "Mais [__], je suis en train de [__]. " Et si c'est de la regarder, j'essaie de parler normalement.
Et tu es là en mode : "Ouais, c'est cool, c'est normal. " Un vlogueur, un mec qui se filme, ça me fait marrer, parce qu'aujourd'hui, c'est quasiment devenu normal pour les gens. En fait, elle avait l'air de trouver ça cool.
En plus, comme défi, ça se trouve j'ai filmé comme une merde. Je ne peux pas parler, quelqu'un comme ça, je trouve ça tellement pas naturel. Je trouve ça trop difficile de filmer comme ça, donc ça se trouve ça a été filmé n'importe comment.
Et on va continuer notre périple à la recherche d'une Italienne. Alors, il y a un truc, il faut que je vous montre. Et comme les instaput, je vais me prendre en photo devant, parce que c'est jamais assez bien.
Il faut toujours qu'on se mette devant le monument. Voilà, il faut montrer sa ganache. Regardez, donc ça, c'est ce qu'on appelle le corridor de Vasari.
En fait, là, vous voyez, il part des officiers au bout, là, les officines. Ça a été construit par les Médicis, à part Vasari, mais pour les Médicis, pour leur permettre de marcher, de rentrer chez eux. Donc là, ils sortaient des offices, ils sortaient de leur boulot, sortaient du Palazzo Vecchio, parce qu'ils viennent même d'un peu plus loin, et partaient du Palazzo della Signoria, là où on prenait des décisions politiques.
Donc, ils partaient de leur bureau là-bas, et là, en fait, il y a des fenêtres en haut. Ça leur permettait de remonter jusqu'à chez eux, de l'autre côté de la rive, jusqu'au Palazzo Pitti, en évitant de se mêler à la foule. En fait, ils étaient au-dessus du popolo.
La deuxième technique pour trouver de la locale et pas de la touriste, c'est d'aller dans les petites ruelles. Squeezie, Italian: quanti durano la pluie d'une langue, last the rain to sadding. Je suis assez fier de moi, parce que je me sens un peu plus à l'aise là, pour faire cet exercice.
Je mets moi la caméra comme ça, et je pense que, du coup, la fille, ça la met aussi plus à l'aise, et donc ça me met, moi aussi, plus à l'aise. Il y avait un beau visage détendu, et ça fait plaisir. Je pense que ça leur fait plaisir qu'on apprenne leur langue.
Moi, je sais qu'en France, j'ai énormément de respect pour les gens qui essaient de parler la langue, même encore plus quand ils galèrent. On voit que les gens font des efforts, ça fait vraiment plaisir, parce que je déteste par-dessus tout, en revanche, quand les gens viennent directement en anglais. Je me suis imposé de ne jamais faire ça aux gens.
Même quand j'étais en Roumanie, j'avais appris en roumain comment on disait : "Parlez-vous anglais ? " Je me suis regardé en vidéo, c'est une catastrophe. Je suis clairement pas à l'aise avec la caméra, je suis clairement pas à l'aise avec le fait de tenir ce petit bout de merde-là.
Je suis gêné, on le voit dans les interactions. J'ai fait quelques interactions que je vous mettrai à l'écran où je suis complètement gêné. J'arrive comme un guignol, comme ça, je n'ai pas encore la technique, et ça se ressent.
En fait, le problème, c'est que comme je suis mal à l'aise, du coup, je vois que la fille est mal à l'aise. C'est toujours l'effet miroir. En plus, elles n'arrêtent pas de se doucher sur l'objectif.
Comme ça, je ne le filme jamais vers elle ! Ça, je ne peux pas. Je sais qu'il y en a qui le font quand ils font des vlogs.
Moi, je suis taré, je ne sais pas comment ils font. Donc voilà, je galère un petit peu, mais je ne perds pas espoir, parce que souvenez-vous de ma vidéo sur le locus de contrôle, la vidéo sur la confiance en soi. Je répète souvent que je n'ai pas confiance en moi, mais j'ai confiance en ma capacité de changer d'interactions.
Là, il y avait la serveuse qui est venue apporter le café, le croissant, et moi, je n'ai pas encore les couilles de garder la caméra allumée comme ça et de parler avec elle. J'aurais pu ! Donc là, je l'ai rallumée.
J'ai quand même eu le réflexe au moment où elle est venue, au milieu de l'interaction, parce que je lui parlais du croissant. Je lui demandais si c'étaient meilleurs que nos croissants français, Cornetto, on dit. J'ai eu le réflexe de rallumer la caméra au milieu de l'interaction.
En tout cas, je suis. . .
Ravi, j'arrive à commander mon café en italien, donc ça, c'est cool. C'est important. Croissant, par contre, là, il est vachement dur.
Il m'inspire pas confiance, de ouf, mais on va tester ça. Et puis le café, bon ça, j'ai déjà eu l'occasion de les tester, c'est une tuerie. Vous vous souvenez du locus de contrôle ?
C'est est-ce que les choses qui vous arrivent proviennent de causes externes, externes à vous, que vous ne contrôlez pas, ou alors de causes internes, c'est-à-dire que vous êtes responsable de ce qui vous arrive, de bien ou de mal. Ce que vous avez expliqué dans cette vidéo, que j'apprécie, enfin, qu'elle est assez importante à mes yeux. Je vous mettrai un lien.
Donc, c'est comment avoir confiance en soi avec les femmes. Ce que je vous disais, c'est qu'on s'en fiche d'avoir confiance en soi. Ça n'existe pas, la confiance en soi.
On n'a pas une confiance en soi absolue, c'est débile. On a une confiance en sa capacité, en une capacité à faire des choses, en sa capacité à parler, en sa capacité à écrire des vidéos, en sa capacité à faire rire les femmes. Et on n'a pas une confiance en soi absolue.
Et certaines personnes ont une confiance en leur capacité à changer. C'est ça, en fait, qui compte : c'est la confiance en sa capacité à changer. Quand vous partez de rien, quand vous êtes un gamin de 17, 18 ans, ou même un homme comme moi qui démarre dans un domaine et qui n'a pas forcément confiance en sa capacité à faire cette chose-là, comment vous voulez continuer si vous n'avez pas confiance en votre capacité à changer ?
Et c'est ça que j'essaie de vous exprimer là. Quand j'ai commencé les vidéos tout à l'heure, je me sentais mal à l'aise. J'avais pas confiance en ma capacité à tenir ce petit bout de caméra et à parler dans la caméra.
J'avais l'impression que tout le monde me regardait, que j'étais débile, que j'allais me faire virer du café ou de la rue, qu'on allait faire des remarques. Mais je garde confiance en ma capacité à changer. Et je sais que dans 24 heures, je sais que dans quelques jours, après quelques heures de tournage, ce sera différent.
C'était pareil quand j'ai commencé les approches dans la rue, quand j'avais 17 ans. C'est pareil quand j'ai eu mon premier rencard et que j'étais terrifié à l'idée de me retrouver coincé dans un café avec une fille. Donc, là, en fait, ce que je fais, c'est que je regarde les vidéos et je prends des notes sur mon calepin, et je note tous les défauts : sourire, bonnet, caméra qui tremble, etc.
Et c'est comme ça qu'on s'améliore, en fait. On va sur le terrain, on pratique, on écrit, on prend des notes, on s'améliore, on réfléchit et on retourne sur le terrain. Moi, j'ai toujours mis ça en avant : cette ambivalence terrain-analyse, terrain-réflexion, terrain-analyse, etc.
J'ai toujours mis en avant, que ce soit dans le club, que ce soit dans mes séances terrain avec mes clients, même sur cette chaîne YouTube. Si vous regardez bien, quand on fait du terrain, on le fait en vrai, à fond. On fait des caméras cachées, on fait des choses cousues, audacieuses et créatives.
Et quand on fait de l'analyse, on essaie de la faire à fond, que ce soit sur les vidéos YouTube ou par email, où je vais un peu plus loin dans les analyses. Et le but, c'est de faire en sorte que ce soit de plus en plus rapide : on fait du terrain tout de suite après, on analyse, et on revient tout de suite sur le terrain, et on analyse tout de suite après. Voilà, et c'est comme ça que j'ai toujours progressé dans tous les domaines de ma vie.
Et si vous voulez suivre plus en profondeur mes analyses et surtout aussi mes anecdotes en section, parce que j'en ai un paquet à vous raconter, vous pouvez rentrer votre mail dans la boîte de description en dessous. Je vais en envoyer un par semaine en ce moment, et c'est parmi mes emails les plus chauds. J'ai vraiment réuni, là, pour l'instant, on a 8 ou 9 emails, c'est vraiment les meilleurs, c'est les plus déjantés, c'est ceux où il y a vraiment les leçons les plus intéressantes.
Ciao ! Bon, la honte, j'ai dit "volio" au lieu de "voler" au packs, ce qui veut dire, en gros, je veux prier, au lieu de je veux payer. Donc, la nana était morte de rire, elle a fait le signe de croix comme ça.
Ça doit faire saigner les horreurs de Stéphane Edward. Mon petit, rencontre sympa avec une Française qui m'a confirmé qu'effectivement, il y avait quasiment que des Américaines ici. C'est marrant parce qu'elle me dit "elles sont nice, mais on s'entraîne pas trop ensemble".
C'est un peu ce que je pensais : pas beaucoup d'efforts pour apprendre la langue, mais elles font beaucoup d'efforts pour découvrir la culture culinaire d'italien, ça j'adore. Généralement, bon, je fais beaucoup d'American bashing dans ces vidéos, mais je le fais avec amour et bienveillance. En fait, les Italiennes ressemblent beaucoup aux Françaises, déjà physiquement, elles sont habillées de la même manière, elles ont une certaine forme d'élégance, elles ont même une certaine prestance quand on les voit marcher dans la rue.
Mais elles n'ont pas leur arrogance ; les Italiennes n'ont pas l'arrogance de la Parisienne. Je connais plutôt les Parisiens. Mais par contre, ce qu'on retrouve, effectivement, c'est.
. . parce que ça.
. . ah ok, voilà, une glace, j'en peux plus, les gars, j'en peux plus.
Il n'y a que ça, il n'y a que ça ici. Et on a le même humour aussi. Moi, je sais que par exemple, je parle bien.
Mieux, allemand, italien. Pourtant, je vous garantis que je suis incapable de faire une Allemande. Ce que je fais, une vanne en allemand, elle va me faire ça.
Donc c'est impossible, alors que les Italiens, même en parlant trois mots de vocabulaire, j'arrive à les faire rigoler. Alors, pour ceux qui ne connaissent pas, j'ai un programme sur la beauté pour développer la beauté du visage pour un homme. Donc il y a vraiment tout ce qu'un homme doit savoir pour devenir plus beau gosse, pour atteindre son potentiel max.
Donc, je vous mets le lien en description. Vous avez une petite vidéo pour vous présenter la formation. Et comme ce voyage est un petit peu exceptionnel et qu'on se trouve dans la ville de la beauté, je vais vous faire une offre qui va durer jusque mercredi soir à 21h30.
Donc je vais vous proposer le projet Adonis à moitié prix. C'est exceptionnel. Je crois que la dernière fois que j'ai fait cette réduction sur YouTube, c'était au moment de sa sortie.
Je n'ai même pas fait cette promotion-là sur YouTube. Ce sera la première fois et probablement la dernière en 2023. On va aller là, on va faire un petit tour dans le coin, on va aller voir la chapelle des Mages.
Ça, c'est, je pense, la chose à voir à Florence : la chapelle qui a été construite par les Médicis dans le lieu qui est supposé être celui de l'adoration de Dieu, celui où on se montre un petit peu humble face à Dieu. C'est précisément dans celui-ci que les Médicis décident de montrer tout leur orgueil, toute la richesse et tout leur pouvoir. Moi, par exemple, le patriarche comme le Médicis sur un âne qui était normalement réservé à Jésus, et puis là, Laurent de Médicis, les mecs sont au niveau des Rois Mages !
Je trouve ça très, rive de la terre, de regarder l'évolution des visages des Médicis, au fur et à mesure qu'on avance dans la dynastie. Donc c'est une famille qui a duré 300 ans. Au début, on regarde les premiers visages qu'on a, qu'on connaît, c'est comme les Médicis.
Laurent le Magnifique avait quand même des gueules ! Et là, on arrive sur la fin de la race. Regardez ça, à la fin de la race, ça, c'est Gian Gastone des Médicis, c'est le dernier des Médicis et clairement une sale.
Le mec passait sa journée à picoler du vin dans son lit, enfin, il faisait venir des courtisans et des courtisanes de la rue, enfin, c'était une échéance totale, mais il était noble. Voilà, donc au départ, les Médicis qui partaient de rien, qui sont devenus des banquiers, et puis après ils ont acheté leur titre de noblesse. Mais les mecs étaient devenus plus arrogants que travailleurs et ils avaient perdu tout le talent qui allait de pair avec le Médicis.
L'échec se lit sur leur visage, c'est fou. C'est ici, si je ne dis pas de bêtises, à cet endroit-là qu'il y avait le David de Donatello. Ça, c'est le blason des Médicis : c'est les cinq boules avec, en haut, la boule avec les trois fleurs de lys pour la monarchie française.
En fait, vous voyez partout dans Florence ce blason-là, vous le voyez partout dans Florence, ce qui montre bien qu'en fait, les Médicis sont partout à Florence. Les mecs ont vraiment mis leurs pattes partout. Avec ma petite copine italienne qui est de Toscane en plus, donc j'ai de la chance, elle connaît la ville.
Je vous cache pas que je ne suis pas trop le genre de mec qui part en vacances avec sa copine. Et là, je pense que si mes ex regardaient cette vidéo, elles ne seraient pas très contentes, parce que je n'ai pas souvent fait ce genre de choses avec mes copines. Là, je me dis : voilà, je vais bientôt avoir 30 ans pour la première fois de ma vie, ça peut être sympa.
Et franchement, je ne le regrette pas. Je regrette peut-être un petit peu de ne pas l'avoir fait avant avec certaines femmes que j'ai connues dans ma vie, avec qui, c'est vrai, ça aurait pu être pas mal de faire un petit voyage. D'ailleurs, on est montés de nuit au Piazza di Michelangelo et on est remontés sur à la basilique.
. . comment elle s'appelle déjà ?
Mignonne basilique San Miniato del Monte, je crois. Il y avait un petit bois autour d'une basilique et un couvent et un bois la nuit avec des cyprès. C'était magnifique, c'était incroyable.
Tous les. . .
imaginer ce qu'on peut faire avec une femme, de nuit, dans un petit bois sur les hauteurs de Florence. Donc, non, c'est vraiment des moments incroyables. J'ai rarement vécu ça dans ma vie et je suis assez reconnaissant.
C'est une fille que j'ai rencontrée dans les rues de Paris, il y a quelques années. C'est beau de se dire que, bah voilà, une simple approche dans la rue, ça peut aboutir à de beaux souvenirs comme ça. Donc, trêve de bavardage, on va sortir dans les rues de Florence.
Je vais vous montrer un petit peu à quoi ça ressemble de nuit. [Musique] Bon, c'est logique, quand on veut rencontrer des locaux, il vaut mieux attendre qu'ils sortent du taf. Donc là, c'est parfait, il est 18h40, on va partir badiner à nouveau.
Bacchus, par contre là je pars avec un gros handicap. Regardez, je suis pété à la braguette et bien sûr, moi, je voyage qu'avec un seul jean. Donc ça va être un peu plus compliqué.
On ne perd pas espoir, les gars ! Quelqu'un d'autre ? [Musique] [Musique] [Musique] La caméra s'est éteinte encore une fois.
Ça fait la troisième fois que ça m'arrive. Là, je suis obligé de filmer avec le téléphone. Parlé de ce qu'elle aimait à Paris, on a parlé de pas mal de choses et on s'est plutôt bien débrouillé, parce qu'elle ne parlait pas anglais.
Donc, il fallait faire une sorte de dictionnaire franco-anglais. Ce que j'apprécie beaucoup avec ces interactions, c'est que ce sont généralement des interactions qui sont belles. Parce que cette fille, elle ne s'attend pas à tomber sur des étrangers.
Elle ne parle pas anglais, donc on rentre vraiment dans le cœur de l'Italie, on parle avec des gens qui ne sont pas prêts à parler avec des étrangers. Donc moi, je trouve ça toujours beau, je trouve ça toujours pur. Oh, c'est comme ça que j'aurais dû faire la conclusion !
C'est encore mieux, là ! Regardez-moi ça, tac tac tac ! Et là, je me trouve devant les portes du paradis.
Comment les appelle-t-on ? On va finir là. Regardez les personnes devant.
En tout cas, Florence, c'est une ville que j'adore ! Je pense que vous l'avez compris. C'est une ville qui réunit tous les avantages des pays du Nord et tous les avantages des pays du Sud.
Notre marché, visiter les musées, avoir des nanas en italien, en anglais. . .
Je suis claque, là ! Donc on va terminer là. J'ai vraiment kiffé cette expérience, j'ai appris plein de choses, j'ai repoussé ma zone de confort, honnêtement.
Et franchement, si ça vous plaît, moi je suis grave prêt à refaire ça.
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