Donc, on reprend en lice. Tu as eu plusieurs nanas, donc tu es tombé amoureux, Fredzone, machin. Tu n'arrivais pas à obtenir l'amour, et l'amour des femmes, lors, leur désir en tout cas.
Est-ce que tu t'es, comme beaucoup d'ados, je suppose, tu avais envie de sexe et d'affection. Quoi, c'est normal, parce que beaucoup de gens veulent de l'affection, et c'est que ce n'est pas que le sexe. Oui, voilà, c'est ça qui est intéressant.
Qui m'avait dit : "Voilà, c'est. . .
tu n'étais pas forcément. . .
voilà, peut-être encore aujourd'hui, c'était surtout un besoin affectif et effectif. " Moi, j'ai besoin de beaucoup de contacts, plus le contact, la pénétration. Alors, nous avons commencé, mais qu'est-ce qui s'est passé ?
L'agence de stratégie, puisque tu m'avais dit à l'ag : sur une stratégie, bah, arrivé à Antanimena, Bella, je me dis : je m'intéresse plus aux filles. Ça ne fonctionne pas, donc je suis en stand-by là-dessus, focus sur les études en mieux. Mais enfin, socialement, tu vas bien, tu as tes amis, tu veux faire bondir pour ça.
Tu es encore jeune, tu continues à vivre. C'est donc, j'étais dans l'indifférence aux filles, du pain du sentimental, par relationnel, parce que relationnel, je les fréquente toujours. Mais vu que je prenais conscience que je n'avais pas du tout la bonne stratégie, je comprends que les connards ont plus de chances que moi.
Ça se voyait tout de suite. On peut parler de connards, al fahm, mais en tout cas, ça fonctionnait et pas moi. Donc, j'étais.
. . je suis trop gentil, ça ne fonctionne pas.
Et j'avais arrêté. . .
non, plus, ne servait plus. Haut, j'étais dans une phase de reclus sexuel et affectif également. Donc, je vois, moi, je fais un match, une pause, afin de me poser en stand-by là-dessus.
Ne réfléchis pas et continues à vivre. Au final, c'est une forme de. .
. c'est presque une forme mère de stratégies de survie, presque parce que si tu te mets en danger à chaque fois émotionnellement, si tu pars dans tous tes. .
. et à chaque fois, c'est. .
. si tu vois tes études pour ça. Si tu es forte dans ta vie professionnelle, tes études.
. . ouais, ce n'est pas terrible, quoi.
C'est parce que j'en ai affecté beaucoup. Parce que quand j'étais au collège ou au lycée, ça. .
. j'ai pris du temps chaque fois pour les. .
. donc pourtant, c'était juste un nom avec Turku. En fait, ce ne sont pas des vies.
C'est la première expérience qui fait que j'ai vécu et j'ai ressenti comme ça. Parce que je suis quelqu'un de très affectif, et on trouve ami. Mais je crois.
. . je crois que pour le coup, tout le monde prend un nouveau chemin.
C'est personnel, déjà, s'est passé quelque chose de pas. . .
que tu prends personnellement. Et c'est quelque chose qui fait mal. Classés non, tu n'es pas assez bien au niveau de la sélection sexuelle.
Tu n'es pas au top, quoi. Ils sentent le jugement. Voilà, et c'est normal que ça, que ça affecte.
Mais ça paraît si banal. On en a fait un mot-clé, on en a fait un truc un peu marrant. La Fredzone, c'est rigolo, ça fait rire les gens.
Mais en fait, c'est la Fredzone, c'est un Roger. C'est juste : je ne suis pas assez bien, je ne suis pas intéressé par toi, tu me fais pas. .
. tu es mon ami, je t'aime bien. Qu'on a mis, moi, c'est un euphémisme pour dire, en fait, dont tu ne me plais pas, c'est très bien.
C'est très intelligent parce que c'est très diplomate, d'une certaine manière. Bien sûr, mais au bout d'un moment, où tu comprends ce que ça veut dire, Hellin, fois, tu es d'accord. Je ne veux rien.
C'est ça qui sait que la fille, en fait, elle ne se rend pas compte. Et puis, on va pas. .
. voilà, on n'a pas à la faire culpabiliser. Mais je veux dire, c'est vrai que quand ça devient tellement banal pour elle de foutre des râteaux, à mon avis, qu'à un moment, elles ne se rendent plus compte qu'il y a un être humain derrière le ps.
Et que les. . .
fier à cet âge, que c'est elle qui choisit, elles ne savent pas ce que c'est que de se prendre un râteau. Elle choisit simplement et sélectionne les meilleurs qu'elle préfère, sans prendre forcément de râteaux. C'est l'un des avantages d'être une femme.
Il y a des inconvénients, tu vas te faire marier par des mecs que tu n'aimes pas. Pour le coup, et c'est aussi quand même chiant, à mon avis, de voir. .
. leur dire non, mais il y a aussi des avantages. Donc, tu ne prends pas un risque, et tu ne prends pas le risque d'humiliation qui peut y avoir derrière, surtout dans le sens où dans son saoul, il y a un groupe, il y a les autres gens qui peuvent être au courant de ça.
En tout cas, ce qu'a fait la transition pour passer de "comment je vais passer de défi aux hommes" à la fac, notamment celles que j'étais dans cette phase d'indifférence avec les filles, la gente féminine, d'un point de vue sentimental, vraiment, j'étais indifférent. Je ne vais m'intéresser vraiment plus du tout à la mode, du jour au lendemain, je pense que. .
. et j'ai vu ça, j'ai eu assez de recul parce que j'ai vécu. Parce que j'étais déjà plus âgé, enfin j'avais quoi, 21 ans, 22 ans, ou l'âge quand mes parents à ma planète instance de divorce.
Que j'étais totalement dans le projet de mon père, de l'image de mon père. Pourquoi sa fidélité en 3D ? Mais en tout cas, je fais que j'ai détesté son image à ce moment-là, encore plus que d'habitude.
Quand j'ai rejeté son image, tout de suite compris que. . .
j'étais en pleine obsession sur un gars à Bogota, fac. Oui, alors tu disais qu'il y avait une corrélation, même moment. Qui expliquerait que, je ne sais pas, moi je l'ai vu, j'ai ressenti, j'ai vu que plus j'étais testé par mon père, puis je t'y fais ce mec.
J'ai vu toute la gomme en bas, il était grand, baraqué et tout, même protecteur. Enfin, parce que tu me dis qu'on perd, donc il y avait du dégoût, c'est ça, j'avais dû dégoupiller. Enfin, j'ai vu ça avant la fin, j'étais surpris moi-même.
Je voyais que quand j'ai détesté, ça m'empêche tout de suite. Depuis ce jour-là, j'ai eu une forte attraction pour ce mec. Mais ce cas, une causalité, cette corrélation n'est pas une causalité peut-être, mais moi je voyais.
Donc, après, je ne me trompe pas, ce que l'on pourrait penser, c'est qu'il y a une figure, pas une figure paternelle en moi. Donc, il faut la retrouver ailleurs. Je peux aller voir un psychanalyste, mais t'as pas d'idée ?
Ouais, bon, c'est juste un constat récemment ressenti. Après, docteur, soudainement, j'ai été attirée sexuellement. On est d'accord ?
Ou c'était un besoin de te retrouver ? C'est quand on dit "c'est clément", j'entends un besoin de filtration. Ouais, ben c'est ça.
Ben, on est. . .
est-ce que ça ? Non, mais il y avait quelque chose. Pour moi, c'est sûr que physiquement, il me faisait quelque chose, mais je voulais en tout cas.
C'est ambigu. C'est la première fois que je ressentais ça, et ça me faisait peur, moi-même. Au final, la première fois, j'ai eu peu de ce que je ressentais, mais j'ai eu assez de recul pour comprendre.
J'ai vu le lien ci-dessus des éclopés. Alors que pour moi, quand tu parles avec des mots, ceux qui ont vécu des expériences sentimentales depuis le collège, voire même l'école primaire, n'ont pas assez de recul sur la présence. Ils ont le besoin de le perdre pour soi.
Il peut être très présent, comme soi, c'est peut-être comme. . .
on n'allait pas forcément socialement. Non, mais il y a des milliers de facteurs, et d'autres sont là. Et moi, je dirais plus que j'en avais dit qu'il y a des facteurs génétiques, c'est évident.
Des facteurs hormonaux durant là, avant la naissance, ce qu'on appelle le taux de testostérone prénatal, ça joue évidemment. Il y a peut-être aussi un petit déclencheur dans l'environnement, etc. Ce qui serait intéressant à étudier avec toi, ce serait de voir ce qui a pu avoir un déclencheur qui aurait activé une prédisposition génétique ou un potentiel prédisposition.
Ça fait mal, il a dit maladie. Ce que je voulais voir aussi, c'est si cette indifférence des fils avait pu amener à regarder un peu les garçons, vu que j'étais derrière différent. Cependant, en tout cas, de 17 jusqu'à 21 ans, du jour au lendemain, comme on pète, je pense à ma mère que je déteste.
Là, je vois toute une attraction. Et donc là, ça m'a fait peur. Je me suis beaucoup questionnée, j'ai essayé, pris des exines en jeu, j'essaie de prendre du recul.
Je ne suis pas obligée de céder non plus à l'attraction. Enfin, mais c'est ambigu parce qu'on ne sait pas si c'est sexuel ou si c'est plutôt un besoin de se retrouver dans les bras d'un bel, d'un être affectueux. C'était dans l'ambiguïté, moi-même.
Donc, comme un petit frère qui rechercherait le soutien d'un grand frère, tu vois ? C'était habitué. Tout le monde a tourné qu'il connaissait cette histoire.
Vous savez, mon conseiller. . .
moi j'étais dans l'ambiguïté totale. Donc, je me suis dit : je mets ça de côté, je ne réfléchis pas face à ces arrivées. Ça arrive, on va voir.
Donc c'était une expérience. Et après, parce qu'après, apparemment, j'ai couché avec ce tome à. .
. N'a pas du tout d'accord. J'ai battu tous les théâtres.
Et c'est au fait, d'après ma première véritable expérience, au moins, vingt premiers baisers, c'est deux ans plus tard à peu près. D'ailleurs, en lisant en face là, c'est quand même le paradoxe, par exemple suprême de Serge Zemmour. Je disais : moi, le premier sexe, et je dis : non, il faut que je fasse quelque chose.
J'ai embrassé un mec en lisant ses courses, et MDR, c'est bon, t'as poussé dans les bras des hommes. Voilà, exactement, c'est chelou, mais c'est vrai. Deux jours plus tard, pétrole, mais ça, je cachais derrière ce livre.
En fait, c'est là que j'ai été voir le premier sexe, aller vers le premier sexe, peut-être. Mais bon, non mais en tout cas, quoique je t'avais dit, enfin je ne sais plus, j'ai jamais retrouvé cette phrase. Donc, tu as enseigné pendant le dhivehi, PEa court, mais c'est comme s'ils disaient : si vous n'êtes pas obsédé par les femmes, enfin intéressé par les femmes, soit vous avez un problème, soit vous êtes homo.
Cela peut-être inventé la phrase. Oui, j'ai inventé ce. .
. écris un livre alors. À ce moment-là, tu avais 21 ans.
À ce moment-là de ta vie, tu recherchais les bras protecteurs d'un homme. Pourquoi tu recherchais ses bras ? L'affection que je recherche, c'est une idée de bras.
Tu dis : non, c'est plus que la. . .
j'ai de l'affection, évidemment, mais aussi le fait de se sentir protégé, c'est important pour toi. Je suis. .
. enfin Mamadou, je me suis déjà fait plus ou moins intéresser quelques fois dans ma vie. Ouais, ces quatre dernières années, c'est déjà arrivé en Corse, c'est gagné.
Donc, pour moi, la protection. . .
enfin, je me sens trop bien quand il y a quelqu'un. Parce qu'à part père Arthur, quelques-uns des meilleurs, je me fais que ça me fait quelque chose. Mais vraiment, en tout cas, en Corse, j'étais jeune dernièrement, et j'étais avec un ami.
Il y avait pas peur, et je me sentais trop, trop en sécurité. Je me sens très bien. À chaque fois que je suis dans une relation, là, je me sens.
. . c'est malsain, ça, peut-être de ma part.
Des relations de dépendance, du coup, je suis. . .
on me guide, quoi que ce soit. Enfin, je me trouvais l'idée. .
. vous. .
. elle. Je trouve qu'on me guérit du passé, et c'est sûr que, pour moi, là, je recherche tout le temps, c'est dans la sécurité : quelqu'un qui me mène en sécurité.
Mais je comprends que, sur le long terme, ce n'est pas du tout intelligent, parce que je vis ma vie. Celui-là même qui a besoin de s'assurer de ma propre sécurité, le jeûne est un propre protecteur. Et quand tu dis sécurité ou protection, c'est physique ou alors c'est aussi psychologique ?
Des deux, c'est les deux. C'est aussi psychologique, où, pour moi, je ne suis pas né dans un environnement familial porteur où on m'a beaucoup encouragé. Du coup, je suis maltraité et violé.
Je ne sais pas du tout, mais en soi, on appelle cela des parents. Ils ont fait ce qu'ils ont pu, mais ils n'ont pas eu des mots assez justes pour me donner assez confiance en moi. Au final, cela fait que je suis tout le temps attiré par des relations amicales avec des mecs qui me rassurent.
Quand je suis avec un mec qui me rassure, tout ça, ça me fait trop. C'est peut-être ça, au final, ce qu'il te faut : s'aider de l'amitié, une belle amitié virile. Ouais, je voulais te demander, Antoine, quand tu t'es dirigé vers le premier, qu'est-ce qu'à ce moment-là tu pensais ?
Tu m'as dit que tu avais arrêté toute tentative avec les femmes, limite m'orientant vers une indifférence totale à l'égard du sentiment amoureux. Ouais, tu vas bonus comme ça, quoi. Mais quand tu te sens, tu te masturbes.
Pour être clair, quand tu veux regarder du porno, c'étaient des filles ou des mecs ? C'est ambigu pour le corps. Nous, en tout cas, parce que, pour autant, je pensais enfin, limite, presque à rien.
Suffit juste que je sois en érection pour me masturber, tout simplement. Et pour le porno, si je regarde du porno, je me suis cependant largement passé du porno gay. Je ne parle pas, oui, donc les pratiques sexuelles homosexuelles ne te font pas bander, n'ont pas de désir pour ça, à quoi la sodomie ne m'intéresse pas, c'est sûr.
Enfin, je crois que cela fait tourner, enfin je pense. Je pense tout de même que je vais juste regarder par curiosité, même si un impair hétérosexuel, un porno gay rapide, je vais voir. C'est cool le concept, et non, enfin ça me révulse, en fait.
Je penses que deux hommes, ce qu'ils font, c'est peut-être un réflexe pas très tolérant, mais bon, bref. Non, donc, du coup, je regarde du porno hétéro, mais après, c'est vrai que ce que je monte sur moi-même, je ne sais pas. Au final, je vois très fort, parce que je sais que je ne suis pas forcément intéressé.
Enfin, je pense que le fait de voir un homme qui pénètre une femme, je trouve ça peut-être, vous serez une sorte d'avatar. C'est un sur deux mois dans une virtuelle, et tout ça devient très malsain. Cela a une limite, en fait.
C'est ce à quoi le porno, c'est une vie par procuration de sexualité dans un monde virtuel, que tout ce que tu ne peux pas faire dans la réalité. Fantasmes avec un personnage fictif, des acteurs porno qui te font ta place, c'est-à-dire prendre une femme. Parce que, pour moi, c'est bon de prendre une femme, c'est au sens où c'est des limites des migrants, pour la femme.
J'aimerais que, je pense que j'ai du mal afin d'incarner le mâle dominant. La halle, un point de vue sexuel, a fallu mâle dominant existe, en jeu, une femme. Je pense me prendre du plaisir à être mâle dominant d'une certaine manière.
Enfin, peut-être chacun se dit, enfin, je ne sais pas. Mais je pense à une paire de fils. Non, parce que survoler un point dont on avait parlé dans le message, dont tu m'avais parlé dans le message, comme quoi, pour toi, prendre une femme c'était violent, etc.
Tu trouvais que c'était un manque de respect envers la femme, et que ça te dégoûtait d'une certaine manière. Je ne sais plus comment tu me l'as dit exactement. De dégoûté, en même temps, c'est que pour moi c'est un manque de jeu.
Je pense que j'ai trop de respect pour les femmes pour les prendre. Et moi, c'est m'asseoir des migrants dans la limite, le choix de prendre une femme. Tu apprends pour assouvir, tu étais dans un contexte sexuel, alors que c'est dans les deux sens, et dans les deux sens de l'amour.
La femme prenne du plaisir, de chacun du corps d'autrui, former qu'un homme physiquement. Mais non, ça, ça me met mal à l'aise. Là, symbole de demain, dans l'acte sexuel, de vue que je ne me considère toujours pas.
Dans l'acte sexuel, il y a un côté commerce ou un côté violent, enfin qui m'aurait mis son jeu. Je ne peux pas incarner cette violence. C'est une limite, je pense à une espèce symbolique de même de la mort, où tu prends ton épée, tu tues une femme.
Je me sens pas capable de prendre certains oiseaux. C'est prendre mon épée pour tuer cette femme.