bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver nous allons aujourd'hui parler de la fin de la zone euro et oui c'est assez incroyable mais plus les mois passent plus les semaines passent plus la probabilité de fin de la zone euro telle que nous la connaissons aujourd'hui augmente un forori ces dernières semaines avec des crises un peu partout notamment bien sûr en France avec la récession qui revient une crise sociale sans précédent les chiffres de la Banque de France viennent de sortir on les verra tout à l'heure sur les défaillants d'entreprise des nouveaux
sommets historiques et donc s'il y a des faillites d'entreprise il y a des licenciements donc il y a du chômage donc il y a des des des risques au niveau social au niveau sociétal bien entendu plus la crise agricole des grèves qui se multiplient à priori demain ce fameux accord sur le Mercosur est-ce que c'est dangereux est-ce que il a fallu attendre cela pour avoir des problèmes sur l'agriculture française malheureusement non on a un vrai drame aujourd'hui au niveau de l'agriculture mais de l'ensemble de la société française et parallèlement bah des crises des crises politiques
en Allemagne en France également avec les risques qui nous viennent des États-Unis donc tout ça fait que on se doit de se poser la question la zone euro va-t-elle exploser et si tel est le cas quand et surtout quel calendrier nous pouvons essayer de dresser et puis quelle conséquence quelle conséquence pour nous les entreprises les citoyens quelle conséquence pour notre épargne on va voir ça évidemment dans le détail mais c'est vrai que ça devient assez dangereux je me souviens j'avais écrit un livre en 2012 qui s'appelait quand la zone euro explosera à l'époque c'était de
l'économie fiction maintenant la réalité dépasse la fiction donc il faut regarder ça en face non pas pour se faire peur mais pour savoir comment réagir et là aussi encore une fois merci entre guillemets à nos dirigeants qui ont fait quand même pas mal de dégâts sur sur notre économie les les dirigeants depuis des années bien entendu ça ne s'arrange pas aujourd'hui mais néanmoins on a bien cette difficulté qui est de plus en plus élevée et qui nous menace et qui menace donc l'ensemble de la zone euro on verra ça dans le détail en toute indépendance
c'est très important je ne fais pas de polémique juste nous regardons l'économie et les conséquences au quotidien pour nous il y aura également bien sûur comme d'habitude la question de la semaine donc qui concernera bah vous avez été très nombreux à me la poser sur la TVA sociale on veut encore augmenter le taux de TVA entre guillemets social de quoi s'agit-il est-ce que c'est crédible on verra ça tout à l'heure et puis bien sûr on terminera comme d'habitude avec une bonne nouvelle c'est très difficile à trouver alors je dois vous dire qu'elle ne concerne pas
la France mais il pourrait avoir des conséquences pour la France par la suite on verra ça tout à l'heure en fin de vidéo on commence tout de suite parce que bien entendu le programme est chargé vous le comprenez avec donc actualité oblige ces chiffres qui viennent de sortir donc publiés par la Banque de France les défaillances d'entreprises donc sur 12 mois regardez bien ce chiffre incroyable 64650 défaillances d'entreprise c'est un record historique jusqu'à présent on était à quelques niveaux hein du record de 2015 là ça y est nous sommes 1,1 % au-dessus du record d'avril
2015 alors bien sûr certains me disent oui mais c'est une correction parce que pendant le coronavirus comme on a aidé toutes les entreprises il n'y a pas eu de faillite là c'est une correction de ces entreprises zombie entre guillemets comme on les a appelé ça c'était le cas en 2022 2023 là aujourd'hui non c'est beaucoup plus grave ça concerne l'ensemble tissu économique l'ensemble du des catégories d'entrepris et ça devient évidemment extrêmement dangereux et d'ailleurs si effectivement ces défaillances augmentent au niveau donc des ce qu'on appelle les micro les micro-entreprises qui ont été créées justement pendant
ce coronavirus parfois pour avoir des aides ou autres et cetera donc qui disparaissent aujourd'hui tout à fait logiquement si on enlève ces micro-entreprises qui sont bien sûr extrêmement importantes hein mais néanmoins là regardez bien on est 10,5 % au-dessus du sommet de septembre 2009 donc on va me dire oui mais il y a quand même 6 millions d'entreprises donc même s'il y a 65000 c'est pas si grave que ça ce qui compte c'est évidemment la tendance et puis surtout que 65000 entreprises ce n'est pas rien regardez même au niveau donc hors micro-entreprise on est sur
plus de 5000 entreprises aujourd'hui hein donc ce qui veut dire que là aussi ça engendre des destructions d'emplois et donc un impact économique durable sur l'ensemble du territoire si on regarde le détail donc par catégorie d'entrepr voilà c'est pas compliqué donc là on a bien sûr toutes ces micro-entreprises donc donc avec quasiment 60000 défaillan donc c'est là évidemment c'est l' essentiel mais comme on sait bien 80 188 % des entreprises françaises on moins de 10 salariés donc c'est tout à fait logique mais c'est quand même 25 % de hausse par rapport à octobre 2024 mais
regardez bien les autres types d'entreprises notamment les les moyennes entreprises 123,8 % de hausse par rapport à à janvier 2020 donc avant effectivement le le corona donc c'est c'est pour bien comprendre que ce n'est pas simplement un effet fait cor coronin petites entreprises 133,1 % donc on voit bien qu'à chaque fois voyez il y a entre 100 et 250 salariés ou entre 10 et 100 salariés donc évidemment c'est énormément de salariés qui sont concernés énormément de familles derrière qui sont concerné et même les grandes entreprises voyez 133 % d'augmentation donc malheureusement aujourd'hui ces défaillances commencent
à devenir extrêmement dangereuses extrêmement coûteuse on entend également tous ces plans sociaux je dirais au quotidien on en parlait la semaine dernière et là aussi ça ne va pas arranger la situation on se rend bien compte que bien on n'a pas les moyens malheureusement d'inverser cette tendance même pire parce que bah il y a pas de majorité à l'Assemblée donc certains veulent augmenter les impôts et cetera et ça risque évidemment de gérer une crise sociale assez dramatique si on regarde secteur par secteur alors là aussi bien sûr il a toujours la la construction regardez 31
% d'augmentation par rapport à janvier 2020 donc 14000 hein plus de 14200 défaillances d'entreprise dans le commerce également on est à quasiment donc plus de 13700 dans l'hébergement la restauration là aussi he 28 % de hausse et si on regarde par exemple dans le transport là aussi 40 % de hausse et dans les activités immobilières là 61 % de hausse par rapport à janvier 2020 donc c'est quand même des niveaux ass assez dramatiques qui montrent bien que malheureusement tous les secteurs d'activité sont concernés et c'est encore une fois c'est pas du French bashing c'est pas
du complotisme ce sont les chiffres de la Banque de France moi ce qui m'étonne c'est que personne n'en a parlé ces dernières semaines ces derniers jours même encore une fois parce que ça fait déjà plusieurs mois que ça continue d'augmenter mais là c'est quand même un sommet historique quasiment person personne n'en a parlé non on ne veut pas on ne veut pas entre guillemets dire la vérité c'est pas faire peur c'est dire la vérité et c'est ça qui aujourd'hui est extrêmement dangereux pour l'avenir de notre économie alors dans le même temps on nous avveit dit
que l'inflation était complètement jugbulée et bien non comme vous le savez elle est repartie à la hausse donc au mois d'octobre et puis surtout les prix continuent d'augmenter donc ça fait longtemps qu'on avait pas vu ce tableau c'est les chiffres de l'INC pour voir quels sont les prix aujourd'hui où l'inflation est la plus forte donc je rappelle que l'inflation c'est la variation annuelle des prix hein donc ça ça veut pas dire que si l'inflation baisse les prix baissent bien au Fraire don que voit-on voilà toujours l'huile d'olive quasiment 30 % d'augmentation le tourisme quasiment 24
% d'augmentation les frais de courrier 11 % alors le gaz ça y est ça repart à la hausse 10,7 % alors les taxis voz tout le monde tout le monde je dirais on prend pour son compte entre guillemets 9,9 % les légumes frais là aussi ça repart à la hausse 9,1 assurance santé là aussi 9,1 chocolat électricité aussi 9 % d'augmentation cigarettes donc pour ceux qui fume transport aérien 8,5 assurance habilitation donc on voit que tout le monde est concerné encore une fois même les services F 5 % d'augmentation où est l'inflation là mais bon
admettonsy c'est un impact effectivement complètement diffus il y a quand même encore des prix qui baisse en glissement annuel donc combustion liquide évidemment ça pour l'instant c'est la baisse des prix du pétrole mais comme les pétrool repart à la hausse il y aura des impacts positifs dans les prochains mois et téléphonmobile - 24,7 %. alors je vous ai fait un tableau beaucoup plus instructif qui montre justement l'évolution des prix depuis 2021 c'està-dire depuis 2021 quels sont les les prix des produits et les services dont les prix augmentent le plus et regardez bien bah c'est toujours
le gaz naturel ça c'est quand même assez incroyable parce que c'est une facture encore une fois à la consommation ce ne sont pas les entreprises qui payent ce sont évidemment les consommateurs 103,5 % d'augmentation de janvier 2021 à octobre 2024 c'est une hausse assez incroyable encore une fois c'est ça que nous supportons quand on dit que l'inflation baisse ok mais non les prix continuent d'augmenter et donc évidemment les salaires n'augmentent pas à l'ône de cette flombé des prix on a toujours l'huile d'olive on là évidemment ce qui s'est passé en Espagne n'a pas arrangé les
choses mais 78 % donc augentation transport aérien intérieur ça c'est assez amusant d'ailleurs j'ai pris l'avion la semaine dernière pour aller à Marseille des prix complètement fous 1000 € quasiment l'aller-retour Paris Marseille complètement fou mais bon bref donc 65 % d'augmentation le sucre là aussi 60 % combustible liquide donc 49 voyz c'est des hausses énorme le tourisme également l'électricité qui augmente également fortement même le train 37,2 on li de prendre le train ok on veut bien prendre le train mais ça continue d'augmenter alors bien sûr les biens alimentaires donc les pommes de terre donc les
farines 35 % quasiment les légumes surg 35 % là aussi alors regardez service menuisé charpentier et oui c'est voilà finalement l'équipement de la maison mais c'est quand même 34% d'augmentation voilà le beurre pâte alimentaire voyez des des niveaux d'augmentation énormees de plus de 30 % évidemment les salaires n'ont pas augmenté 30 % sur sur la même période il y a quand même des services qui baissent service culturels bon - 11 % et puis service de téléphonie mobile - 37 % bon même si effectivement c'est pas forcément le plus important mais néanms on voit que ces
augmentations sont extrêmement fortes et casse évidemment le d'achat des ménages et donc malheureusement si les ménages ont moins de pouvoir d'achat ils peuvent moins consommer ce qui alimente bien entendu la la récession alors sur ce il y a donc cette nouvelle crise je dirais agricole autour du Mercosur alors déjà c'est un petit peu facile c'est la théorie des boues émissaires d'abord il y avait Poutine après il y a eu Trump qui n'est toujours pas président enfin il a été élu mais il est toujours pas arrivé il a pas encore pris de mesure mais on dit
que tout ce qui se passe à cause de lui alors maintenant c'est le Mercosur ouis tout ce qui va mal c'est à cause du Mercosur non faut faut être sérieux si l'agriculture va mal c'est à cause de nos dirigeants depuis des années qui ont sacrifié l'agriculture un petit peu comme l'industrie d'ailleurs c'tait une volonté politique de réduire je dirais la part de l'industrie et de l'agriculture dans le payb français et malheureusement ça a marché donc voilà pourquoi nos agriculteurs aujourd'hui souffrent autant c'est pas à cause du Mercosur qui d'ailleurs n'a toujours pas été signé comme
accord on verra tout à l'heure et tout ça pour dire que voilà dans les années 80 on avait encore 5 % du PIB c'était de l'agriculture aujourd'hui ce n'est plus que 1,5 % de notre pb vous voyez que encore en 2005 c'était 2 % donc c'est bien là aussi en train de de baisser et même si vous voulez la calcul c'était ce qui nous permettait d'avoir des excédents commerciaux et là c'est surprenant sur les 12 derniers mois ce n'est que 900 millions même pas 1 milliard d'excédent commercial lié à l'agriculture alors que vous voyez depuis
2014 on avait 1,8 milliards chaque année donc c'est la moitié finalement donc ce qui veut dire que là aussi même si au niveau au niveau national on a un déficit de 107 milliards donc de la balance commerciale de en moyenne he depuis 2021 on se rend bien compte que là aussi l'agriculture n'a plus n'a plus ses excédents encore une fois une vol volonté politique à cause malheureusement trop de charges trop de réglementation trop effectivement je dirais de contraintes notamment écologique écologique et cetera on est tous pour l'écologie he d'ailleurs les vrais écologistes sont les agriculteurs
ne l'oublions pas et tout ça pour dire que malheureusement cette écologie est en train également de tuer la l'agriculture parce que dans d'autres pays qui ne pratiquent pas ces normes et ben eux on importe leurs produits donc évidemment ils sont beaucoup plus compétitif que les nôtres y compris d'ailleurs en Europe et c'est ça qui est extrêmement coûteux pour notre agriculture et donc extrêmement dangereux également comme on le voit aujourd'hui il y a à peu près 400000 un peu moins de 400000 agriculteurs en France 30 % vont bientôt partir à la retraite et les jeunes évidemment
ont du mal à venir parce que finalement ce n'est pas rentable c'est même très dangereux avec des suicides malheureusement tous les jours de de ces agriculteurs donc c'est c'est particulièrement dramatique dramatique donc on voit bien que là aussi on n'a pas permis justement l'agriculture française de rester avec toutes ces politiques de de terre en jacher et cetera donc c'est ce qui fait qu'on a sacrif l'agriculture puis là on se réveaille ah ben non il faut la soutenir ah ben non mais ça pas en claquant des doigts c'est comme l'industrie la réindustrialisation c'était la tarte à
la crème notre président Macron en a parlé on voit bien que ce n'est pas le cas aujourd'hui donc on est très bon pour le marketing et pour prendre effectivement les vraies mesures alors là malheureusement c'est c'est beaucoup plus compliqué et c'est ce qui fait que l'agriculture aujourd'hui souffre malheureusement et va continuer de souffrir alors ce n'est pas lié au Mercosur he bien entendu alors je vous ai mis quand même là ici l'excédent commercial donc de l'agriculture française voyez donc en 2000 2000 2015 c'était 3,5 milliards par an donc sur une année on est monté à
à 5 milliards en 2023 et là voilà on tombe à moins de 1 milliard donc on vient de le voir 900 millions donc ce qui évidemment c'est très très limité et ce qui montre bien que nos agriculturs aujourd'hui sont là ils font un travail formidable mais ils souffr avec également une hausse des coûts des des cours des matières premières qu'ils ont pris de plein fouet et puis ils ont également du du mal à vendre je dirais là aussi en bon prix alors on me dit oui mais il y a la politique agricole commune il y
a l'Europe et cetera certes mais là aussi il y a tellement de normes hein c'est ce que je dis souvent nous on veut mourir mourir guéri sià on a tellement de normes qu'effectivement al on est parfait sur les normes mais on est mort donc ça sert pas à grand-chose et c'est ça qu'il faut absolument changer il faut changer complètement le logiciel de l'agriculture française et malheureusement ce n'est pas ce que font nos dirigeants depuis des années c'est pas que maintenant parce qu'évidemment c'est facile de prendre le Bou émissaire au sour du gouvernement actuel il vient
d'être nommé ça fait des années que ça dure bien entendu et qui pourra prendre le taureau par les cornes il faudra déjà avoir une vraie majorité à l'Assemblée ce qui n'est pas le cas aujourd'hui donc ça prendra encore malheureusement des années et sur ce alors voilà ce fameux merc alors de quoi s'agit-il donc c'est c'est le mercesur c'est une zone de libre échange he pour faire simple donc avec l'Argentine le Brésil le Paraguay l'Uruguay et la Bolivie donc des pays d'Amérique latine bien entendu comme vous le comprenez à peu près 800 millions de personnes alors
ce qui est fou c'est que j'ai regardé dans dans les dans le détail parce que ça fait longtemps qu'on attend parler de cet accord donc cet accord a commencé à être négocié en 2000 rendez compte ça fait 24 ans il est toujours pas signé alors c'est ça qui est complètement fou on a suspendu les négociations après on a repris en 2013 on a trouvé donc un accord donc en euh en juin 2019 puis depuis toujours rien bah on ne sait pas où est-ce qu'on va aller donc ça montre là aussi l'efficacité de l'Union européenne euh
et et regardez bien on est en train de se tirer dans les pattes on voit bien le jeu d'Emmanuel Macron dit ah non mais moi je suis contre je veux pas que ça fonctionne et cetera les Allemands sont pour les Espagnols sont pour d'autres pays sont pour d'autres pays donc seement la France sont contre mais c'est quand même eux qui l'ont négocié également don ce n'est pas clair ce n'est pas clair et donc là aussi ça crée des tensions au sien de l'Union européenne et c'est ça qui peut justement faire exploser euh la zone euro
alors en plus le pire c'est quoi ces accords c'est en fait une réduction des droits de douan par exemple aujourd'hui sur les produits chimiques donc les les les pays du Mercosur pratiquent 18 % de de droit de douane sur les produits chimiques donc qu'il importent donc en en provenance de l'Union européenne 27 % pour le vin 35 % pour les voituresà donc c'est a priori ça limite effectivement nos exportations vers ces pays-là on a un très légère excédent j'ai regarder les chiffres on a 200 millions c'est pas grandchose he d'excédent nous la France par rapport
à l'Amérique latine donc c'est pas évidemment génial alors en échance de Chela ils vont pouvoir exporter davantage notamment de la viande bovine c'est là où évidemment ça ça bloque au niveau de l'agriculture française mais alors je suis tombé sur une étude de la Commission européenne ce qu'on appelle une étude d'impact et j'ai dû lire trois fois la phrase parce que regardez bien donc en fait donc la Commission européenne a a commandé une étude d'impact pour savoir qu'est-ce que ça va nous apporter en terme de croissance attendez vous êtes bien assis regardez bien ça va engendrer
01 % de croissance supplémentaire dans l'Union européenne à l'horizon de 2032 dans l'Union européenne 01 % de croissance tout ça pour ça même pour les pays du Mercosur ça va ramener 0,3 % donc soyons sérieux hein donc on voit bien que cet accord il sert pas à grand-chose alors peut-être que ça pourra servir ici ou là bien entendu hein mais néanmoins on se rend bien compte que finalement il y a d'autres enjeux donc c'est typiquement le Bou émissaire voilà comme encore une fois Poutine Trump maintenant c'est le Mercosur pour ne pas dire que nos problèmes
viennent de chez nous nous devons nous responsabiliser ce qui se passe en France est lié aux erreurs stratégiques de nos dirigeants qui n'ont pas arrêté justement de de dépenser n'importe comment et de sacrifier finalement et l'industrie et l'agriculture et c'est ce qui fait qu'aujourd'hui nous payons autant et c'est en cela que la zone euro est en danger je dirais de vie ou de mort comme préférez c'est c'est la même chose finalement sachant que la zone euro n'a jamais été finalisée normalement la zone euro c'est ce qu'on appelle une zone monétaire optimale ça veut dire une
zone parfaitement intégrée où il y a des règles financières que tout le monde doit respecter il y a une convergence économique et sociale des États-membres on doit harmoniser également les marchés du travail toutes des choses assez simple finalement on doit harmoniser également des conditions fiscales et réglementaires on voit qu'il y a des dumping fiscal entre les différents pays c'est pas sérieux au sein même de la zone euro et là aussi on doit avoir un budget fédéral pour éviter les chocs assymétriques ça veut pas dire qu'évidemment on va augmenter encore nos dépenses non ça veut dire
que et bien on a un budget fédéral si jamais un peu comme aux États-Unis il y a un problème je dirit dans un état mais qui n'est pas lié par exemple catastrophe naturelle et cetera le budget fédéral va pouvoir aider voilà mais tout tout ça évidemment on l'a pas fait et aujourd'hui il y a aucune volonté bien sûr de le faire c'est même l'inverse on se tire dans les pattes comme vous le voyez il y a bien sûr pas de budget fédéral donc ce qui veut dire que la zone euro a exactement fait l'inverse de
ce qu' fallait faire et puis le pire c'est qu'au début évidemment on a on était 10 après on a commencé continuer d'augmenter le nombre de pays de la zone euro on est 20 aujourd'hui et donc au lieu de si vous voulez consolider l'existant faire des des soubassements solides des structures solides on a augmenté on a fait une sorte de fuite en avance ça c'est très français européen et donc voilà la zone euro elle est con sur du sable donc les fondations ne sont pas solides on a fait le 3ème étage avant d'avoir terminé les fondations
donc ça ne peut pas tenir c'est la tour de Pise entre guillemets mais là elle va certainement tomber alors je vous ai fait un petit graphique pour savoir aujourd'hui quels sont les pays qui respectent les règles financières de la zone euro alors on va pas rentrer dans au niveau de l'inflation on va juste faire les deux grandes règles le déficit public et la dette publque alors i j'ai j'ai été très sympa parce que je me suis dit bon c'est fait qu'on a eu une crise assez dramatique avec le corona et cetera donc à la base
il y avait il fallait avoir un ratio de dette publique par rapport au PB de 60 %. je me suis dit allez on va monter à 80 % on va accepter les pays qui ont un ratio de dette publique par rapport au PIB inférieur à à 80 % donc il y en a 13 hein on les voit ici bien sûr l'Estonie l'Irlande Pays-Bas voilà l'Allemagne voilà Chypre Autriche après ça s'arrête donc tous les autres voilà Finlande Portugal Espagne Belgique France bien entendu Italie Grèce on n'est plus on ne respecte pas nos engagements donc ça c'est
le premier critère la dette public deuxème critère le déficit public alors là il y en a encore moins il y en a que 11 alors là évidemment normalement un bon déficit public c'est zéro hein disons-le c'est que le fait de direire 3 % de déficit c'est n'est basé sur rien bien entendu pourquoi pas 3 pourquoi pas qu pourquoi pas de en fait l'important c'est de réduire ces déficits lorsqu'il y a de la croissance et par contre quand ça va mal là c'est pas grave d'avoir un dérapage des déficits publics mais nous quoi qu'il arrive ou
quoi qu'il en coûte on a toujours des déficits énormes donc si on regarde on a gardé quand même ce ce cette barre des 3 % qui était initialement prévu donc on regarde le nombre de pays qui ont un déficit public donc inférieur à 3 % voir un excédent public il y en a 11 on les voit ici ça commence par Chipre l'Irlande Portugal un chiffre harmonisé Eurostat FMI et après on a tous les autres évidemment et on VO que le plus mauvais he pour 2024 c'est la France he 6 entre 6 et 6,5 % de
déficit si tout va bien parce qu'on pourrait faire pire malheureusement donc c'est la France qui est le dernier élève donc nous voyez que on est ni dans le classement des dettes publiques ni dans celui des déficites publics donc maintenant ce qu'il faut faire c'est ben prendre ces ces deux classements et voir les pays qui respectent les deux critères et la dette publique et le déficite public voilà je vous ai fait ça un petit tableau voà vous avez tous les pays donc en bleu c'est là où on respecte les règles en rouge c'est là où on
les respecte pas et donc après ben on va prendre les pays où il y a du bleu partout dans les deux cas et al il y en a pas beaucoup he il y en a plus que neuf voilà on l'Allemagne l'Autriche Pays-Bas Irlande Luxembourg Estonie Lituanie Slovénie et Chypre voilà neuf pays aujourd'hui mérite entre guillemets de faire la zone euro tous les autres ne doivent pas être dans la zone euro parce qu'ils ne respectent pas les règles et finalement ils enfrainent les règles puis qu'ils profitent justement de la stabilité de la zone euro avec la
Banque centrale européenne qui a fait la planche habillée qui a baissé le taux d'intérêt et c'est ce qu'on appelle un allé morale comme effectivement on avait cette facilité de la planche àillé de la banrale européenne mais la plupart de ces pays compris nous la France nous n'avons pas pris les bonnes mesures d'où le fait qu'aujourd'hui nous sommes aussi loin et ce qui fait que la zone euro évidemment malheureusement c'est triste à dire he mais ne peut pas perdurer elle neut pas continuer comme ça avec de telle distorion entre les différents pays donc à la rigur
la zone euro pourrait rester mais avec ces neuf pays-là donc il y a pas la France évidemment vous l'avez compris dedans alors si on regarde sur le fond de la croissance là aussi on avait créé la zone euro pour concurrencer les États-Unis pour concurrencer le dollar évidemment là aussi on a raté l'augmentation du pb américain de 95 à aujourd'hui 106,6 % dans la zone euro 53,9 % hors inflation évidemment le dollar est toujours plus fort en terme de monnaie de transaction au niveau mondial c'est 70 % des réserves de change dans le monde c'est la
moitié du commerce mondial donc la part de l'euro n'a pas augmenté même légèrement baissé on se rend bien compte que malheureusement de ce point vu là je suis triste de le lire parce que à la à la base j'ai cru au moins en 99 quand on a créé la zone euro j'ai a cru puis malheureusement et bien ça n'a pas fonctionné parce qu'on a fait des erreurs stratégique aujourd'hui la zone euro évidemment est en danger donc qu'est-ce qui fait que cette zone euro est en crise existentielle et risque de disparaître d'abord on vient de le
voir donc il y a une divergence des politiques budgétaires voilà donc finalement il y a une gronne qui s'installe entre les différents pays de la zone euro certains qui disent ben nous on a respecté nos engagements et pas vous donc on peut plus continuer comme ça surtout que nous les français par exemple on veut continuer à déraper sur les comptes publics il y a évidemment également toujours de grav tension au sein de la BCE il y a toujours madame lgarde qui dit bon on va essayer quand même d'essayer d'essayer d'aider les pays en difficulté et
Cera notamment la France peut-êre faire un peu de planchabier puis notousamons les joquim Nagel l'Allemand qui dit ben non surtout pas surtout pas donc il y a cette dissension au sein de la Banque centrale européenne évidemment il y a il y a plus de leader charismatique de la de la zone euro ni en France ni en Allemagne ni partout d'ailleurs et parallèlement on a un développement d'un sentiment donc europhobe au sein de des populations donc de la plupart des pays de la zone euro donc il a personne pour soutenir justement cette zone euro c'est ça
qui fait qu'on a cette difficulté et d'ailleurs l'eurobaisse alors il a baissé déjà sous l'impulsion de de l'élection de de Donald Trump mais néanmoins regardez bien je vous rappeler j'avais un objectif d'un € d'euro dollar 105 dollars pour 1 € pour la fin d'année donc 2024 on l'a déjà touché 1005 dollars donc le 14 novembre depuis le 14 novembre on est autour des 105 dollars des fois on remonte un petit peu à 0,6 mais montre bien que effectivement la crise de confiance est arrivée sur l'euro donc l'UR va évidemment continuer de baisser c'est également vrai
vis-à-vis du franc suisse voilà le l'euro continue de baisser on est à 093 contre le franc suisse donc là aussi ça montre bien que l'euro est en train Contin continu de baisser et même vis-à-vis de la livre sterling alors on n'est pas sur les niveaux qu'on avait je dirais en 2015 2016 mais néanmoins on a bien la cette tendance baissière qui fait que l'euro baisse également par rapport à la plupart des grandes monnaies avec lesquelles on échange et c'est ça qui montre qu'on a cette crise de confiance qui est là qui est en train de
s'installer alors dans ces conditions quel calendrier peut-on dresser alors évidemment c'est de la l'économie fiction mais néanmoins il fautuss préparer je pense que donc là ça y est nous y sommes en décembre 2024 la récession est en train de s'installer des deux côtés du rein et même dans la plupart des pays de la zone euro donc ça va être extrêmement coûteux et douloureux fin 2024 début 2025 on va avoir une aggravation de la crise politique en France avec peut-être le 493 il motion de censure et cetera et plus certainement une dégradation de la note de
la France on verra c'est le 9 29 novembre pour standard and pour probabilité augmente qu'il y a dégradation de la de la France à simple a on verra ça d'ailleurs les T d'intérêt sont toujours au-dessus des 3 % sur le taux d'intérêt 10 ans taux d'intérêt à 5 ans sont au-dessus plôt d'intérêt de de la Grèce donc on voit bien que les investisseurs aujourd'hui ont plus confiance dans la Grèce que dans la France pour réduire sa d public donc c'est quand même assez dramatique début 2025 on aura des élections législatives en Allemagne avec évidemment un
risque très fort qu'il n'y ait pas de majorité clair un petit peu comme en France donc crise politique en Allemagne également printemps 2025 voilà exacerbation des tensions politique entre la France et l'Allemagne donc la crise existentielle majeure de la zone euro et alors après bon peut-être fin 2025 ou 2026 on aura évidemment peut-être un programme de dire comment on va essayer de mettre fin la zone euro en douceur entre guillemets mais c'est clair qu'on ne peut pas continuer comme ça on perd du temps parce que globalement moi encore une fois j'aurais jamais imaginé dire ça
je l'avais écrit donc en 2012 mais je pensais qu'on allait éviter mais on a fait exactement l'inverse de ce qu'il fallait faire donc maintenant la zone euro malheureusement ne peut plus tenir alors quelles seront les conséquences bah ça va être un petit peu compliqué au début he faut être honnête he et la France va souffrir parce que on n'est pas prêt économiquement à supporter la fin de la zone euro parce qu'on aura on aura plus la protection de la Banque centrale européenne donc évidemment les taux d'intérêts vont vont augmenter sur la dette publique on va
essayer de faire la planche à mais ça ferait de l'inflation alors est-ce qu'on fera 1 € égal 1 franc pour simplifier mais ça veut dire que il y aura également du pouvoir d'achat qui va là aussi baisser il faudra revenir sur les anciens systèmes mettre des nouvelles pièces des nouveaux billets ça va prendre pas mal d'années donc ça sera quand même un cafarum assez compliqué ça va prendre au moins 2 3 ans avant de de réinstaurer un système relativement stable et entretemps évidemment les taux d'intérêts vont augmenter donc ça va être là aussi compliqué on
va donc d'ailleurs certainement pour les pays qui sortiront de la zone euro donc remettre le contrôle d'échang donc là aussi ça veut dire que avec des droits de douane a que les accords de libre échange ça va être très compliqué donc on va avoir du mal à exporter beaucoup d'entreprises vont être incitées à produire directement depuis l'étranger pour vendre à l'étranger sans rester ici al on fera bien sûr la planche à biill mais ça sera pas efficace bien entendu donc ça va faire de l'inflation et on a euh là aussi un risque d'écroulement de l'investissement
de la consommation et donc bien sûr les marchés boursiers qui vont également s'ffrir don c'est un scénario malheureusement qui n'est pas très rose alors peut-être qu'après ça redémarrera c'est sûr la France c'est un grand pays mais pendant quelques années ça va être très douloureux voilà tout ça en fait nous payons encore une fois le fait que nos dirigeants n'ont pas voulu voir la réalité en face et que maintenant ben voilà nous sommes acculés nous sommes face au mur ou dos au mur donc bah on peut plus avancer c'est ça évidemment le drame donc au niveau
mondial qu'est-ce qui va se passer ben évidemment ce sera une crise financière type 2008 avec les brows mais la puissance 20 donc flamber des taux d'intérêt effondrement des marchés boursiers donc après bien sûr rest sont dans la zone euro et au niveau mondial alors après on verra comment on va s'en sortir est-ce qu'on va créer de zones euros ou alors une zone euro qu'on a vu tout à l'heure avec les UF pays dans une sorte de prémium puis les autres pays qui reprendront leur monnaie ça sera compliqué bien entendu ça va créer de l'incertitude voilà
donc je termine en disant bon courage à toutes et à tous parce que évidemment ça va être compliqué mais voilà encore une fois je pense je suis TR triste de le dire je pense qu'on nos dirigeants ont fait tellement d'erreur pas qu'en France au niveau de l'Union européenne et de la zone euro que maintenant nous sommes arrivés là c'est la fin de l'histoire entre guillemets comme l'URSS en son temps là c'est différent P ne pas y arriver mais malheureusement je vois pas comment vous pouvoir sauver la zone euro sauf miracle les miracles sont toujours possibles
mais ça me paraît malheureusement extrêmement compliqué je voulais justement vous vous prévenir alors pour terminer question de la semaine al on me ressort la TVA oui il faut augmenter le taux de TVA je rappelle que la TVA vient de fêter ses 70 ans été crrée le 10 avril 54 donc à la base c'était pour le taux normal 16,7 maintenant comme vous le savez on est à 20 % avec des taux réduits à 5 et et 10 % ça ramène à peu près 200 milliards d'euros dans les CAES de l'tat donc il dit c'est pratique c'est
un impôt ind dollor ça se voit pas donc on y va oui sauf qu'attention bien sûr pour baisser les charges je suis d'accordin sauf que si on augmente t de TVA ça va inévitablement augmenter l'inflation donc comme on a déjà une inflation qui est énorme un pouir d'achat qui est dramatique ça va pas arranger la situation et donc ça va casser la situation par contre cette idée de TVA sociale ça veut dire de faire parter réduire les charges et faire porter une partie justement faire porter une partie de de cette des dépenses sociales sur la
TVA pourquoi pas mais sans augmenter le taux de TVA et oui c'est là qui est la nuance et donc à ce moment-là ça veut dire qu'il faudra réduire certaines dépenses voilà encore une fois je l'évoque on me dit souvent il faut dérembourser les médicaments et cetera on cherche des à grapis ici ou là il faut déjà lutter contre les fraudes les fraudes sociales à peu près 15 milliards d'euros les fraudes fiscales également là aussi à peu près 30 milliards d'euros chaque année voyz donc il faut déjà commencer par le commencement réduire les dépenses de fonctionnement
voyez et là on pourra y voir plus clair mais non augmenter encore la l'imposition y compris le taux de TVA alors que nous sommes déjà numéro 1 du monde en terme de poids des prélèvements obligatoires par rapport au PIB non ce n'est pas acceptable donc la réponse est non il ne veut surtout pas augmenter le taux de TVA TVA social oui c'estàd en réduisant les les charges sociales oui mais sans augmenter le taux de TV c'est veutd en réduisant les dépenses publiques alors je termine maintenant avec la bonne nouvelle de la semaine en fait elle
vient pas de chez nous alors c'est comme C il y avait la réunion avec le Mercosur vient d'Argentine alors d'as on a eu le je dirais le le le le le camouflé qui a reçu notre président Macron puceque personne n'est venu l'accueillir à l'aéroport en Argentine mais le président argentin finalement il est en train de réussir son Paris puisqueil a réduit fortement les dépenses publiques et surtout il a restauré la confiance donc là on voit l'histoire l'évolution du PIB argentin alors il c'est fait de crise multiples évidemment ceux qui souviennent de la crise dans les
années 80 surtout la crise de 2000 où le pb argentin s'est effondré après ça a redémarré à chaque fois ils ont fait des efforts ça a été très coûteux et ensuite là on avait cette crise donc depuis 2012 et là c'est en train de redémarrer même l'inflation est en train de baiss alors évidemment il y a encore un taux de pauvreté qui est énorme mais vu les drames qui ont été je dirais pratiqués ces dernières années c'était inévitable mais cette une fois que la croissance va redémarrer ensuite la pauvreté finira on peut l'espérer par baisser
et donc ça qui est intéressant c'est on voit que je dirais donc ravier my qui donc a annoncé cette baisse des dépenses publiques en fait ils sont très très loin de nous en terme de dépenses publiques par rapport au PIB regardez je vous ai mis ici le poids des dépenses publiques par rapport au PIB en France donc comme vous le savez on est à plus de 57 % alors que ça soit aux état ats Unis la semaine dernière Trump avec musk ont dit qu'ils allaient baisser les dépenses on est seulement à 37 et vous voyez
que les Argentins sont autour des 32 bon ils étaient effectivement autour des 40 il y a quelques années là c'est en train de baisser nettement derilleurs eux ils avaient pas besoin de baisser autant par contre nous effectivement on a besoin donc si ça peut être renseignement c'est ça la bonne nouvelle de dire que si on baisse les dépenses publiques ce n'est pas un drame pour la croissance faut juste baisser les dépenses inefficaces superficiell et soutenir les dépenses dont on a besoin par exemple sur l'agriculture sur le social faire la la chasse évidemment au gaspillage et
au fraud et à ce moment-là évidemment on pourra redémarrer voilà c'est l'espoir de la fin de cette vidéo malgré effectivement le risque d'explosion de cette zone € dans les prochaines années et bien on peut encore s'en sortir si effectivement on arrive à prendre le taureau par lescnes et à prendre les bonnes mesures en France en tout cas pour le moment ce n'est pas le cas espérons que ça arrivera demain et donc merci pour votre fidélité merci pour vos lik vos pouces vers le haut continuez pour vos messages vraiment très sympathiques euh donc c'est c'est formidable
continuez je réponds d'ailleurs à tous les messages che moi-même qui répond merci également pour pour vous abonner donc en Premium donc en cliquant il faut d'abord s'abonner normalement après cliquer sur la le l'onglet donc nous rejoindre voilà et à ce moment-là ça nous ça me permettra de vous envoyer ensuite par mail l'ensemble des slides que je présente chaque semaine merci encore on va j'espère bientôt atteindre les 200000 abonnés avant Noël en tout cas j'espère on fera bien sûr une belle fête donc merci beaucoup encore à toutes et à tous portez-vous bien bonne continuation et à
très bientôt