Ce beau gosse est dépressif - je réagis

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Les Philogynes
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Video Transcript:
Le beau gosse que vous voyez à l'écran, c'est un mec qui souffre de dépression, qui souffre d'anxiété et de troubles paniques. Et je trouve ça hyper intéressant, justement, qu'il en parle, parce que quand on le voit, on a du mal à imaginer que ce gars-là pourrait être mal dans sa peau. Donc, on va étudier un petit peu ça, c'est parti.
[Musique] Premier mot-clé : divorce ment. [Musique] Donc là, Alex Ubeux, il est en train de dire que selon lui, l'une des causes de son anxiété, c'est le divorce de ses parents. En tout cas, ce serait apparu à peu près à ce moment-là.
Ce n'est pas étonnant. Aujourd'hui, on a de plus en plus de recul sur les effets du divorce chez des gamins, une fois parvenus à l'âge adulte. Et effectivement, bah, il y a plus d'anxiété, il y a plus de divorces, il y a plus de maladies mentales ou de maladies physiologiques, des maladies chroniques.
Il y a plus de probabilité de souffrir d'un grand nombre de pathologies. Un milliard, j'exagère un peu, mais de souffrir d'un grand nombre de pathologies, ça, effectivement, c'est quelque chose qui est avéré. Et à mesure qu'on va avancer dans le temps, on aura de plus en plus d'études longitudinales qui montreront que, bah oui, les gamins qui ont vécu un divorce, ils ont plus de probabilité de souffrir de pas mal de pathologies des années plus tard.
Ce qui semblait être stable et solide, à savoir la famille, en fait, on ne pouvait pas se reposer dessus. À tout moment, ça pouvait exploser. Quelle est la chose la plus sûre et la plus certaine pour un enfant ?
C'est la famille. C'est l'idée que papa et maman seront toujours ensemble, qu’ils vont s’aimer jusqu’au bout, que je peux compter sur eux quoi qu'il arrive. Quand on est un enfant, quand on est tout petit, la famille, c'est ton socle, c'est tout ce qu'il y a de plus stable, de plus solide.
Et c'est pour ça qu'un enfant peut s'épanouir. Et un jour, on lui dit : « Mais en fait, tout ça, c'était une blague ! Tout ce en quoi tu as mis ta confiance, en fait, ça n'existe pas.
C'était une blague, on était amoureux. Bah non, en fait, on ne l’est plus. C'est fini.
La famille, maintenant, c'est papa, la maman, elle est là, et puis tu auras deux papas, tu auras trois mamans, tu auras un site. » Ça fait qu’en fait, le gamin, la chose dans laquelle il avait mis le plus de confiance, en fait, cette chose-là, il se rend compte qu’elle est instable, qu’elle n'existe pas. C'est de la poudre de perlimpinpin.
Donc pour moi, l'une des explications et l'une de mes hypothèses les plus vraisemblables pour expliquer la montée de la dépression aujourd'hui en France et de l'anxiété, qui est fortement liée avec la dépression, un sacré cercle vicieux, les deux, on en reparlera après, je pense, pour moi, c'est clairement lié au manque de perception de soutien social. Et le soutien social, ça commence par la famille. Si la chose en laquelle je croyais le plus quand j'étais gamin, si la chose qui semblait être la plus stable dans le temps et la plus solide a réussi à voler en éclats, alors qu'est-ce qui ne volera pas en éclats ?
Qu'est-ce qui restera stable dans le temps ? Qu'est-ce qui est certain, finalement ? Et c'est un message très fort qui est envoyé dans la tête du gamin.
C'est le chaos, c'est l'incertitude, rien ne peut rester solide puisque même papa et maman n'ont pas réussi à rester seuls, même ta famille n'a pas réussi à rester solide. Là, c'est intéressant parce que donc il nous explique son enfance. Et clairement, c'était un gamin qui passait pas mal de temps seul, qui était introverti, qui jouait aux jeux vidéo, qui ne faisait pas ce que font habituellement les jeunes, à sortir en soirée, boire, etc.
Et il y a une chose que je voudrais nommer ici, c'est l'idée qu'il ne faut pas croire qu'il y a une scission parfaite entre votre personnalité et les pathologies mentales que vous pouvez développer. Je m'explique. La différence qui existe entre la personnalité et la maladie mentale, finalement, elle n'est pas si nette que ça.
Dans tous les cas, à tous les niveaux, c'est beaucoup plus difficile d'être en dépression et anxieux lorsque l'on est un extraverti qui sort beaucoup, qui rencontre beaucoup de monde, qui vit plein d'expériences nouvelles, etc. C'est beaucoup plus facile de développer de la dépression et de l'anxiété lorsqu'on est introverti. Pourquoi ?
Parce qu'on voit moins de monde, on est plus souvent seul, donc on est plus souvent enfermé dans son propre langage intérieur à ruminer, à répéter des phrases. On vit moins d'expériences nouvelles en tant qu'introverti par rapport à un extraverti. Par définition, l'extraverti a besoin de plus de dopamine, a besoin de plus d'aventures, a besoin de plus de nouveautés.
Et on rencontre moins de monde, et lorsqu'on est entouré de monde, c'est déjà un peu plus difficile, effectivement, d'être en dépression. Donc là où je vais en venir, c'est que finalement, on pourrait presque prédire dans pas mal de cas de figure si tel ou tel gamin va plus tard, à l'âge adulte, tomber en dépression ou développer des troubles anxieux. Pourquoi ?
Parce qu'il aura une personnalité qui favorise ça. On ne chope pas une dépression ou un trouble anxieux de la même manière qu'on chope un rhume. C'est quelque chose que je creuse de plus en plus.
On en fera une vidéo sérieuse, je pense, un jour. Cette idée qu'il n'y aurait pas forcément une distinction nette entre votre personnalité et le trouble clinique, j'en veux pour preuve par exemple ce qu'on appelle la personnalité schizoïde. La personnalité schizoïde, c'est une personnalité introvertie, assez paranoïaque et très imaginative, remplie de.
. . Créativité assez originale, ces gens-là, en plus de la probabilité de développer une schizophrénie, c'est-à-dire de décompenser sur quelque chose de pathologique qui serait de la schizophrénie.
La personne ici ce n'est pas pathologique, c'est encore considéré comme un état normal, mais c'est une personnalité qui a plus de risques de développer la schizophrénie. Et on en reparlera tout ça, voilà. On ne va pas trop développer là aujourd'hui.
Je vous coupe au milieu de la vidéo juste pour vous dire que si vous êtes intéressé par l'idée d'apprendre comment rendre une femme accro à vous, je vous mets en lien gratuitement mes meilleures leçons pour rendre une femme amoureuse. Il y en a sept et vous recevez immédiatement la première par email. Ce sont des sujets un petit peu olé olé, des choses que je ne peux pas aborder sur YouTube, clairement pas, et pourtant, c'est mon meilleur contenu.
Donc, à priori, si vous aimez la séduction et les femmes, ça vous plaira. De s'attacher, finalement, boum, il perd tout ça d'un coup et de manière assez violente, c'est un stress violent. N'oubliez pas qu'à 16 ans, le cerveau n'a pas fini de mûrir.
Donc, ouais, ce n'est pas anodin, c'est sûr que ce n'est pas anodin. Oui, ça augmente la force et comme on l'avait vu dans la vidéo sur la dépression, j'ai plus de force, donc j'ai plus d'influence sur le monde autour de moi, sur mon environnement. Ça a tendance effectivement à améliorer les symptômes de la dépression.
Il va essayer de se mettre constamment avec des nanas, et surtout un mec comme Alex, c'est-à-dire que pour lui, la seule source d'affection qu'il va pouvoir obtenir, c'est sa petite copine. Alors lui, il a de la chance parce qu'encore une fois, il est charmant, il est beau gosse, il plaît aux femmes. Ce ne sera pas le cas de tous les mecs en dépression, malheureusement, parce que quand vous êtes en dépression, vous avez moins de confiance en vous et vous êtes bien moins à l'aise socialement.
Encore une fois, il y a plus de risques d'anxiété qui sont associés à ça. Dans le cas d'Alex, je pense que le gars est tellement beau gosse qu'il peut compenser derrière. Je pense qu'aussi beau gosse qu'il est, dépressif, anxieux, tout ça, ça ne gênera pas trop les nanas.
Et d'ailleurs, si vous souhaitez travailler et booster et optimiser la beauté de votre visage, vous pouvez jeter un coup d'œil, j'ai mis un lien en dessous de cette vidéo. Mais là où je vais en venir, c'est que la seule source d'affection pour beaucoup d'hommes, c'est la petite copine. Et a fortiori pour un homme introverti qui, comme Alex, n'a pas eu l'habitude d'être entouré de plein de potes, et encore à plus forte raison pour un mec qui a une famille qui s'est explosée.
Alors, on suppose qu'il a sa maman qui peut lui donner de l'affection, mais ce n'est pas la même chose qu'une famille. Donc ce genre de mec, ouais, ils ont besoin d'une petite copine, quoi. Mais le problème, c'est que quand votre seule source d'affection, c'est votre petite copine, généralement ça ne dure pas longtemps, ou alors généralement elle va finir par se lasser de votre gueule.
C'est ce qu'il dit : il dit j'étais un simple. Il y a effectivement à ce niveau-là une grosse différence entre les hommes et les femmes en termes d'affection reçue. Les femmes reçoivent en moyenne plus d'affection de la part des autres femmes, de la part des autres hommes, de la part même de leurs parents.
On donne beaucoup plus d'affection à une petite fille qu'à un petit garçon, ça a toujours été le cas. Ça crée des inégalités et ça crée des hommes qui ont absolument besoin d'une petite copine pour de l'affection. Le gros problème des attaques de panique, c'est ce qu'il est en train de décrire : ce n'est pas tant l'attaque de panique en soi, c'est-à-dire une attaque de panique, oui, pour vous expliquer, c'est ce que les gens appellent communément une crise d'angoisse.
Donc c'est lorsque vous tombez dans un état de panique total, votre cœur qui bat sans à l'heure, et vous n'avez qu'une envie, c'est de fuir, c'est absolument de quitter l'endroit où vous êtes. Vous voyez, vous avez l'impression que vous allez mourir, c'est souvent ce que les gens rapportent, c'est la sensation de mourir, que le cœur va exploser, qu'il y a un problème physiologique ou quoi. Alors, il peut y avoir effectivement un problème physiologique, c'est pour ça que le premier réflexe si jamais vous avez une attaque de panique ou ce que les gens appellent une crise d'angoisse, c'est d'aller aux urgences, c'est de vérifier qu'il n'y a pas quelque chose qui cloche au niveau physiologique.
Une fois qu'on a mis cette hypothèse de côté, alors là on peut se pencher sur une hypothèse plus psycho, ce qui est probablement le cas d'Alex, très probablement d'ailleurs. Maintenant, quand on a eu une attaque de panique, peu importe la cause, les gens peuvent commencer à anticiper et à se créer une véritable phobie à l'idée de refaire une attaque de panique ou une crise d'angoisse. Et lorsque cette obsession s'installe de se dire "merde, faut surtout pas que ça m'arrive à nouveau, je ne veux pas que ça m'arrive, surtout pas devant des gens, surtout pas au volant de la voiture, surtout pas dans un ascenseur quand je suis coincé", il faut absolument que j'ai mis de ce cours une porte de sortie.
Alors à ce moment-là, on parle de troubles paniques, c'est-à-dire qu'il y a un véritable trouble autour de cette peur, de cette obsession de ravoir une attaque de panique. Et c'est un problème, parce que du coup, ça va affecter tout votre quotidien, ça va affecter les habitudes, le travail, ça va affecter. .
. Votre vie amoureuse est, comme il le décrit là d'ailleurs, finalement l'environnement va s'approfondir de plus en plus. Il va, il va de moins en moins oser sortir, il va moins oser prendre sa voiture, il va peut-être pas oser aller à la salle de muscu parce qu'il va se dire : « Bah ça se trouve, imagine, ça m'arrive devant tout le monde et je peux pas sortir de la salle », etc.
Et donc, c'est ça le véritable cercle vicieux : c'est de moins oser, mais en nous, en moins sortir. Finalement, on rumine de plus en plus, on pense de plus en plus à la prochaine attaque qui pourrait survenir, et ça crée un cercle vicieux qui ne s'arrête jamais. Si jamais ça vous arrive, il faut absolument aller voir un psychologue spécialisé dans les TCC, parce qu'il va vous aider justement à faire en sorte de ne pas laisser s'installer tous ces schémas cognitifs qui, non seulement, vous pourrissent la vie clairement, et en plus de ça, vont favoriser l'émergence d'attaques de panique.
Il vaut mieux, au contraire, déjà aller voir un psy, mais aussi se dire : « Ok, bah si ça m'arrive, eh ben ça m'arrive, et puis je passerai la vague. » Je crois qu'il le dit dans une de ses vidéos : il dit : « Quand ça m'arrive, j'ai l'habitude de laisser la vague coulée, ça vient, ça passe, puis au pire des cas, oui, les gens, ils m'ont vu comme ça, mais bon, c'est pas la fin du monde. » Au moins, je dirais que, grave, ce n'est pas quelque chose qui va me tuer.
[Musique] Bon, c'est émouvant, c'est émouvant. Et en fait, c'est très bien ce qu'il est en train de faire, c'est enfin ce qu'il faisait en 2018. Donc, il s'enregistrait sur son téléphone, il dit parce qu'il n'avait personne avec qui parler, et ce n'est pas idiot comme stratégie de coping.
Le fait de tenir un journal de bord audio verbal comme ça, c'est intéressant pour plusieurs raisons. La première, c'est que lorsque vous vous parlez à vous-même, c'est un petit peu comme si vous étiez en train de parler à un pote. D'une certaine manière, vous êtes en train de rentrer dans un état social.
Là, moi, je suis tout seul, mais je suis dans un état social parce que je suis en train de m'adresser à vous. Donc, le fait d'être dans un état social, c'est un petit peu comme si déjà on sortait de la solitude. Et surtout, c'est un petit peu comme si on rationalisait son problème.
Le fait de parler, ça fait réfléchir. Je veux dire, il n'y a pas de réflexion sans discussion. C'est-à-dire que les mots amènent la réflexion, c'est le discours qui fait raisonner.
C'est pour ça que parler lorsqu'on a un problème, se parler à soi-même, c'est extrêmement simple. Il y a des études d'ailleurs qui montrent que les personnes qui ont tendance à se parler à elles-mêmes ont moins de probabilités de développer la maladie d'Alzheimer et aussi de dépressions d'ailleurs, donc c'est très, très bon. C'est un très bon réflexe de se parler à soi-même et ça permet du coup, aussi, comme vous êtes dans un mode social et que vous êtes en train de raisonner, vous serez beaucoup plus rationnel.
Vous apprenez à rationaliser vos problèmes, vos émotions, vos pensées, vos ruminations. Si vous êtes dans un état social, vous n'avez pas commencé à répéter 15 fois la même chose quand vous vous adressez à quelqu'un, or quand vous êtes tout seul, assis dans votre canapé en train de comater, là, vous répétez 15 fois la même chose dans votre tête. Vous n'avez même pas conscience, vous n'avez même plus cette prise de conscience.
Mais là, quand vous êtes en train de parler dans votre dictaphone, en train de faire ce qu'Alex fait, vous reprenez le contrôle, vous régulez vos pensées. À ce moment-là, encore une troisième raison positive de faire ça, une autre raison, c'est que si vous faites des audios comme ça tous les jours ou un journal de bord à l'écrit, ça peut se faire à l'oral ou à l'écrit, peu importe ce qui arrange les gens. Cette notion de progression, il y a cette notion de travail sur le long terme et il y a cette notion aussi, j'ai envie de dire, d'état d'esprit de construction.
En anglais, on appelle ça le "growth mindset". C'est quand on est en train de se dire qu'on se projette sur l'avenir en disant : « Je suis en train de me construire, je suis en train de progresser chaque jour, c'est un peu mieux. » C'est beaucoup plus facile d'avoir cette vision optimiste si chaque jour on fait le point sur ce qui s'est passé la veille : « Ok, hier, on a fait ci, aujourd'hui, on fait ça.
» Vous voyez, on est dans une approche beaucoup plus productive. Si vous faites le point à la fin de chaque journée en vous disant : « Ok, aujourd'hui, j'ai ressenti telle et telle émotion, j'ai eu ça aujourd'hui, etc. », il se trouve que vous allez identifier un déclencheur qui survient à chaque fois.
C'est toujours le même déclencheur. Donc, ça peut être le pré-workout avant d'aller à la muscu, ça peut être un stress qui est infligé au corps. On avait déjà parlé des stresses dans la grosse vidéo sur la dépression que je vous invite vraiment à aller voir.
On avait dit que les stresses, c'est un terme qui est vraiment très global. Ça englobe beaucoup de choses. Ça peut être un stress physiologique, ça peut être une maladie, un rhume, une infection, etc.
Donc, une inflammation. Mais ça peut aussi être un stress psychologique, un événement négatif qui survient dans votre propre vie, peu importe. Mais le fait d'identifier un déclencheur récurrent qui provoque à chaque fois une attaque de panique, c'est quelque chose d'intéressant à faire.
Parce que derrière, du coup, on peut contrôler le déclencheur. Déclencheur, ça peut aussi être une vidéo YouTube. Il l'a dit, non ?
Il le dit après, je crois, quand il parle des attaques de panique. Il dit qu'il pouvait regarder un film, et ce film-là pouvait parfois déclencher une attaque de panique. Sans qu'il y ait aucun lien avec ça, ça ne sort pas de ça, ça ne tombe pas du ciel.
Il y a un déclencheur, et ce déclencheur doit rappeler quelque chose, un événement stressant, peu importe. Dans ces cas-là, il va falloir apprendre à maîtriser ce déclencheur-là, et le fait d'écrire, le fait de faire le point après un événement stressant, ça permet d'identifier plus facilement les déclencheurs. [Musique] [Musique] Alors là, il parle de religion, et je trouve ça important d'en parler.
Lui, c'est un youtubeur qui est quand même assez connu comme étant comme ça, voilà, il s'affiche comme étant chrétien catholique, et c'est quelque chose de très important pour lui. Donc ça aurait été, ça n'aurait pas été honnête de ma part de ne pas parler de ça, et il faut en parler parce que c'est un sujet important. La première chose, c'est qu'effectivement, les gens qui croient en Dieu, pour eux, la religion, c'est quand même un super anxiolytique.
La première chose qu'il faut dire, c'est que, bah oui, la foi, c'est un superbe anxiolytique. La foi, c'est un excellent anxiolytique face à la mort. C'est une stratégie de coping qui a été étudiée dans la littérature scientifique comme étant assez efficace, pas hyper efficace, mais assez efficace de manière modérée pour soigner les dépressions et l'anxiété.
Quand on croit en Dieu, effectivement, bah c'est un peu plus simple de gérer l'anxiété et de gérer la dépression pour plusieurs raisons. La première, c'est une phrase qu'il avait prononcée où il disait : "Je ne peux pas laisser l'anxiété devenir mon Dieu. J'ai Dieu.
Je ne peux pas laisser l'anxiété, l'attaque de panique, devenir mon Dieu. " Mon big dard, c'est pas comme ça que ça marche. Et ça, je trouve ça assez intéressant, cette idée que, bah, il y a quelque chose de plus grand, finalement, que l'attaque de panique que tu es en train de subir là, à ce moment-là.
Et je ne suis pas en train de dire, attention, je ne suis pas en train de dire qu'il faut croire en Dieu ou qu'il ne faut pas croire en Dieu. J'essaie juste de me mettre à la place d'Alex, pour le coup, et d'essayer de voir ce qu'il a trouvé dans la religion qui a pu l'aider avec la dépression et l'anxiété. Donc ça, c'est un premier point.
Le deuxième point aussi, c'est qu'il le dit : "Je me sentais hugue. " Bah oui, quand tu as eu un divorce, quand tu as grandi avec une source d'attachement qui n'était pas solide, qui était instable, effectivement, à un moment, tu as besoin d'une source d'attachement stable, solide. Ça n'a pas été la famille, peut-être que dans son cas, ce sera la foi et ça sera Dieu, voilà.
Donc ça, c'est un point aussi à rappeler : le sentiment de soutien social. Dans le cas d'Alex, c'est Dieu, c'est Jésus. Donc voilà.
Et le troisième point que je tenais à dire, c'est que je vous ai parlé de la variable du soutien social. Là, j'ai une autre idée en tête, une autre hypothèse : c'est finalement le manque de sens. Je pense qu'aujourd'hui, pour beaucoup de gens, le fait de ne plus croire en Dieu et d'être athée, de ne croire qu'en la science, ça pose un petit problème.
Pour la majorité des gens, c'est que, finalement, quel est le sens de la vie ? Et pire encore, quel est le sens de la mort ? Quand on est croyant, c'est beaucoup plus facile de donner un sens à la vie, à la mort, et à la souffrance.
À une époque, il y a des centaines d'années, c'était une évidence pour tout le monde. Dès la naissance, on ne se posait pas de questions : le sens de la vie, c'était Dieu. Voilà, le sens de la vie, c'était que tu es né parce que Dieu en a décidé ainsi, tu dois servir ton Dieu, ne pas le rendre jaloux, et tout au long de la vie, tu dois faire en sorte de rendre ton Dieu fier jusqu'au jugement dernier.
Et la mort a un sens, puisque tu retournes dans les bras de ton père. Il y avait peut-être une minorité de gens qui disaient : "Ouais, mais non, peut-être que machin. " Oui, mais bon, c'était minoritaire.
Mais aujourd'hui, pour la majorité des gens, on n'est plus avec ce sens de la vie standardisé. Il faut trouver son propre sens de la vie, et donc, c'est super compliqué pour la majorité des gens. C'est pour ça que beaucoup de gens, peut-être, vont mourir sans avoir donné un sens à leur vie.
Ou alors, la mort, c'est peut-être cette peur, l'attente qui est au fond de beaucoup de gens, qui les fait flipper et qui crée un sentiment de dépression. Puisqu'il faut bien comprendre que la peur et la dépression s'alimentent l'une l'autre. Maintenant, je pense qu'effectivement, il y a d'autres alternatives pour trouver un sens à la vie.
Il n'y a pas que la religion. Pour beaucoup, ça peut être aussi la famille, ça peut être le fait de transmettre la vie, de s'assurer une descendance. Ça peut être le fait de laisser une trace intellectuelle sur la planète, par exemple avec un livre ou avec une chaîne YouTube, pourquoi pas.
Ça peut aussi être le sentiment de se sentir utile auprès du groupe. Donc, le manque de sens à la vie et à la mort, c'est probablement une des causes qui expliquent la montée de la dépression aujourd'hui en France, enfin, dans les pays occidentaux, et de l'anxiété. Puisqu'on a retiré à beaucoup de monde cette anxiolytique naturelle, si je puis dire, et standardisée qu'on donnait à la majorité des gens.
À savoir, tu retournes dans les bras de Dieu à la fin de la vie. C'est réglé, c'est comme ça et pas autrement. Il est ému, et on voit que ça, ça a vraiment aidé.
Pour le coup, ça a été une bonne décision dans sa vie. Et si vous êtes vous aussi concerné par la dépression et l'anxiété, je pense que ça peut être intéressant de regarder des youtubeurs connus, des influenceurs, des mecs qu'on estime, des mecs qui sont beaux gosses, des mecs qui ont l'argent, la popularité, et de constater, ouais, que ces mecs-là peuvent eux aussi avoir les mêmes troubles, les mêmes troubles cliniques que nous tous vivons, malheureusement, aujourd'hui. Si jamais vous êtes concerné, les gars, vous n'êtes pas tout seuls, vous n'êtes pas tout seuls.
Il y a énormément de monde, de femmes, d'hommes. Je dis les gars, mais il y a énormément de gens aujourd'hui qui sont concernés par ça, y compris et surtout les plus jeunes. Vous n'êtes pas hors norme, et ce n'est pas quelque chose qui va rester forcément.
Ce n'est pas quelque chose de fixe, c'est quelque chose sur lequel vous avez un contrôle, bah oui, les gars. Et encore une fois, quand t'as pas ta famille, t'as pas de famille, t'as pas le socle auprès de laquelle tu peux revenir, il te faut une famille, quoi. Il faut un socle.
Il faut, bah lui, ça a été la religion. Il y en a pour d'autres, ça sera peut-être le club de boxe. Il y en a pour d'autres, ce sera un groupe d'amis bien soudé.
Il y en a pour d'autres, ce sera créer une nouvelle famille. Lui, c'est en l'occurrence, c'est la, c'est Dieu, c'est la religion. Donc c'est cool s'il a réussi à trouver quelque chose.
Maman, c'est exactement ce que je vous disais tout à l'heure, c'est que vous voyez à quel point l'anxiété amène à la dépression. Parce qu'en fait, là, ce qu'il dit, c'est que c'est très dur pour lui de sortir de sa zone de confort, aller dans le basement d'un de ses potes, de prendre l'avion. Ça peut paraître pour certains des choses triviales, mais quand on souffre de troubles anxieux comme ça, ben c'est beaucoup plus difficile.
En fait, il a affronté ses anxiétés là parce qu'il savait que si on ne faisait rien, la zone de confort allait se réduire de plus en plus. Et quand la zone de confort se réduit parce qu'on a peur de la nouveauté, parce qu'on a peur de sortir, alors dans ces cas-là, c'est là qu'on commence à rentrer dans la dépression. Donc lui, il a cassé le cycle, le cercle vicieux, il l'a cassé, il a affronté ça, il a pris ça en pleine gueule, et c'est comme ça qu'il en est sorti progressivement.
Donc c'est important de changer ce qu'il y a dans la tête, mais il faut aussi changer son comportement. Il faut changer ses habitudes. C'est intéressant parce que ce gars, Alex Hubens, ce n'est pas un mec très charismatique.
Il va toujours hyper intéressant quand il parle, mais je dois reconnaître que quand il parle de Dieu, là, il devient beaucoup plus charismatique. Et d'ailleurs, le mot charisme, à la base, ça vient de la religion. Les charis, c'étaient les super-pouvoirs qui étaient donnés aux prêcheurs, à ceux qui parlaient de Dieu.
Et c'est intéressant de voir à quel point il s'exprime bien et il est passionnant quand il parle de la religion. Son visage s'illumine, il est passionné, clairement. Écoutez, les gars, on va finir là-dessus.
Les conseils qu'il donne à la fin ne sont pas ouf, je trouve, donc je vous épargne ça. Ils ne sont pas mauvais, mais ils ne sont pas exceptionnels. Je pense que les miens étaient meilleurs.
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Donc ce n'est pas seulement avoir un beau visage, c'est aussi avoir un beau visage masculin, et c'est une synthèse complète. Il y a littéralement tout ce qu'un homme doit savoir pour développer un plus beau visage.
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