il était une fois dans le village reculé de BEM un vieil homme du nom daingo Mikongo connu de tous pour son caractère àerbe et ses manières brusques Azingo Mikongo n'était pas un vieillard ordinaire il traînait derrière lui un lourd passé dans sa jeunesse Azingo avait quitté le village pour tenter sa chance en ville le cœur gonflé de rêve de richesse et de succès il avait imaginé que la ville lui offrirait une vie de grandeur et d'opulence mais la réalité de la ville était bien différente de ce qu'il avait imaginé le travail y était difficile et
l'argent se faisait rare impatient et refusant de travailler avec acharnement pour bâtir son avenir azingwo Mikongo avait décidé de prendre un raccourci plutôt que de persévérer et de se salir les mains il s'était engagé dans des activités douteuses sombrant dans le vol pour subsister à deux reprises il avait été pris la main dans le sac et condamné à la prison malgré C il n'avait pas changé au lieu de se repentir Azingo en était ressorti plus aigri encore il se remettait à chaque fois à voler mais un jour ses méfa avaient failli lui coûter la vie
un jour après un vol raté il avait échappé de justesse à la vindicte populaire les passants furieux s'étaient rués vers lui prêts à lui faire payer ses crimes tremblant de peur Azingo avait couru à perdre haline pour leur échapper cette fois-là il avait compris qu'il ne pourrait plus rester en ville sans risquer sa vie dépité et accablé par la peur il prit la décision de rentrer au village le vieux Azingo Mikongo avait ainsi passé toute sa vie au village s'enfonçant peu à peu dans la solitude de ces vieux jours il n'avait eu ni femme ni
enfant à 70 ans il regardait avec un mélange de nostalgie et de mélancolie les jeunes partirent un à un vers la ville tout comme lui l'avait fait jadis ses départs lui rappelèrent sa propre jeunesse rempli d'espoir et de rêve il voyait dans ses jeunes le même feu qu'il animait autrefois et cela éveillait en lui des souvenirs parfois doux parfois amers malgré son passé trouble les jeunes du village vouaient à azingwo un respect sincère presque aveugle pour eux il incarnait l'image du patriarche du vieux sage du survivant d'une époque loin ine leurs parents murmuraient parfois des
histoires à son sujet mais jamais il ne dévoilaient les détails sombres de sa jeunesse alors ces jeunes pleins de bienveillance n'avaient que de l'admiration pour lui lors des fêtes et des rassemblements traditionnels quand il revenaiit temporairement au village les jeunes ne manquèent pas de faire un détour par la vieille maison d'azingo ils arrivaient les bras chargés le sourire aux lèvres avec des présents qui témoignaient de leur respect et de leur envie de rendre hommage au vieux SAG qu'ils croyaient voir en lui le vieux azingoo voici une petite bouteille de ce whisky que vous aimez bien
s'exclamait-il en riant tout en lui tendant la bouteille soigneusement enveloppé ah le vieux Azingo quelques vêtements neuf pour vous ajoutaient d'autres en lui remettant une chemise propre et un pantalon azengo recevait ses cadeaux avec une sorte de fier timide il murmurait des remerciements touchés mais sans le montrer un jour alors qu'il observaent les alléses et venus des jeunes revenus au village pour les fêtes azingwo mikongwo ressentit un mélange de jalousie et d'amertume monter en lui assis sur une vieille chaise en bois devant sa maison il regardait ses jeunes hommes et femmes avec leurs habit modern
et leur voiture rutilante ils riaent raconai leur réussite et le vie en ville sans se douter que leurs paroles faisaient ressurgir en lui de vieux souvenirs mais aussi de profonde rancœur mais que croient-il ces jeunes-là murmura-t-il serrant les dents son regard s'assombrissant ils viennent ici rine fort me montre leur voiture comme s'ils voulaient m'humilier me rappeler que moi je n'ai pas réussi là-bas la colère bouillonnait dans son cœur Azingo ne pouvait accepté que ses jeunes ces enfants du village puissent avoir ce qu'il avait tant cherché en vain il se disait que s'il n'avait pas pu
triomphé en ville personne d'ici ne devrait réussir là-bas non plus si moi Azingo mikongwo je suis allé en ville et n'est pas réussi ce n'est certainement pas un de ces jeunes qui réussira se dit-il en serrant les points sa fierté blessée son échec jamais digéré tout cela formait un mélange amer qui le poussait à vouloir les voir échouer comme pour justifier ses propres erreurs azingwo Mikongo rongé par sa rancune et son désir de vengeance prit une décision qui allait marquer un tournant dans sa vie sans en parler à personne il se mit en route pour
un village lointain un endroit dont on disait qu'il abritait des mystères et des secrets anciens ce village niché au cœur de la forêt n'était pas un lieu que l'on visité sans raison les rares personnes qui s'y aventuraient avaient souvent des motivations sombres des intentions cachées il lui fallut de jours de marche à travers des sentiers sinueux et des forêts épaisses pour enfin atteindre ce lieu mystérieux là-bas vivait eaboto un vieux sorcier craint de tous on disait qu'il possédait des pouvoirs capables de transformer les désirs les plus sombres en réalité quand Azingo arriva devant sa hutte
il le trouva assis l'air calme mais l'œil vif comme s'il l'attendait déjà le vieux vieux sorcier eaboto le scruta en silence devinant sans mal la lourdeur de son cœur et la noirceur de ses intentions que veux-tu vieil homme demanda esaboto sa voir rauque résonnant comme un murmure menaçant Azingo se redressa du mieux qu'il pouvait son dos courbé et ses mains tremblantes trahissant son âge avancé je veux que tu me donnes le pouvoir de nuire à ces jeunes qui me narguent déclara-t-il d'une voix froide donne-moi quelque chose une canne pour que je puisse lancer des malédictions
sans qu'il ne se doute de rien que cette canne semble être mon appui mais qu'en réalité elle porte le pouvoir de la destruction le sorcier etaboto bien que maître de nombreux pouvoirs obscurs hésitait à accorder à Azingo ce qu'il demandait il observait le vieil homme lisant dans ses yeux cette rancœur aveuglante qu'il avait mené jusqu'ici ces jeunes ne t'ont rien fait de mal pourquoi veux-tu leur causer du tort demanda le sorcier un air grave sur le visage Azingo serra les points ses yeux brillants de colère et d'envie non eaboto il me nargue moi je suis
parti en ville je n'ai pas réussi et eux ils réussissent ils reviennent au village se pavanent avec leurs vêtements neufs leur voiture comme si c'était facile ça ne peut pas continuer ainsi et zaboto soupira secouant la tête avec lenteur azingwo dit-il d'une voix empreinte de sagesse fais attention qui crache en l'air reçoit sur son nez la vengeance a un prix et celui qui cherche à nuire récolte souvent un mal plus grand que celui qu'il voulait infliger mais azingwo dans son aveuglement refusa de prêter attention à ses paroles de prudence il sortit alors une grosse somme
d'argent et la déposa de devant esaboto voilà pour toi esaboto donne-moi cette canne et que la malédiction s'abatte sur eux le sorcier conscient des conséquences prit l'argent en silence sans un mot de plus il se mit au travail sculptant dans le bois une canne au motif ancien rempli de symboles secrets et puissants la canne avait l'apparence d'un simple bâton de marche mais elle recelait une énergie sombre prête à accomplir les sombres désirs d'azingo lorsque le sorcier lui ttendit la canne il lui lança un dernier avertissement sa voix grave et empreinte de menace écoute-moi bien azingwo
ce que tu t'apprêtes à faire est irréversible cette canne n'est pas un jouet elle porte en elle la vengeance que tu désires mais elle exige aussi un prix le mal ne se paye que par le mal garde bien cela en tête mais Azingo porté par sa soif de vengeance ne voulut rien entendre il attrapa la canne des mains du sorcier sans sans prêter attention à cet ultime avertissement il quitta le village du sorcier et reprit la route vers son propre village son cœur battant d'anticipation avec cette canne il se sentait enfin en position de pouvoir
il était désormais prêt à voir sa revanche s'accomplir sans se soucier des conséquences de retour au village avec sa canne Azingo Mikongo passa inaperçu pour tous il n'était qu'un vieil homme à la démarche lente appuyé sur son bâton le dos courbé par les années sa canne pourtant chargée de malédiction ressemblait simplement à l'outil d'un vieillard fatigué les festivités batent leur plain et les jeunes du village revenaient pour célébrer comme il le faisaient chaque année ce jour-là alors qu'il marchait lentement le long de la route azingwo fut salué par l'un des jeunes hommes du village qui
venait de garer sa voiture sur le bas côté descendant de son véhicule le jeune homme s'approcha de lui avec un sourire respectue tiens père azingwo un petit billet pour vous profitez de ces jours de fête dit-il en lui tendant une somme d'argent les yeux remplis de respect Azingo prit l'argent avec un sourire sournois tenant fermement sa canne dans l'autre main il la frappa deux fois discrètement au sol en murmurant intérieurement sa malédiction oh merci mon garçon que Dieu vous bénisse dit-il d'une voix douce masquant sa rancœur derrière des paroles bienveillantes puis il poursuivit son chemin
plus loin il croisa had une jeune femme qui était devenue une fierté pour le village en ville elle avait réussi à ouvrir un salon de coiffure renommé et chaque fois qu'elle revenait elle faisait preuve de générosité envers les anciens en le voyant elle s'approcha avec un large sourire et posa un sac de riz à ses pieds oh père Azingo voici un sac de riz pour vous dit-elle fière de pouvoir aider les anciens du village azingwo prit le sac en lui adressant un léger sourire mais son esprit était empli de rancœur tandis qu'Ada se détournait il
frappa discrètement sa canne au sol une nouvelle fois murmurant en silence une malédiction contre elle contre sa réussite contre son bonheur tout au long de sa route Azingo reçut de nombreux présents et chaque fois il répéta son rituel à chaque billet chaque sac de riz chaque sourire bienveillant il lançait secrètement une malédiction personne ne soupçonnait que ce vieil homme pourtant si replié sur lui-même nourrissait un tel poison dans son cœur pour tous il n'était qu'un ancien respecté un homme à qui l'on devait honneur et aide les fêtes terminées un étrange malaise s'était abattu sur les
jeunes de billem ceux qui les années précédentes repartaient en ville avec enthousiasme se sentaient cette fois-ci envahi par un inexplicable poids au cœur bien qu'ils aient des magasins des entreprises et des postes prometteurs en ville l'envie de reprendre leur vie urbaine semblait s'être éteinte pour certains ce sentiment était si oppressant qu'ils choisissaient de retarder leur départ cherchant des prétextes pour rester encore un peu au village ceux qui parvenaient à se convaincre de rentrer en ville découvraient une fois sur place que quelque chose avait changé la ville autrefois symbole de leur réussite et de leur ambition
leur paraissait soudainement hostile et vide de sens peu à peu des événements étranges se produisirent les affaires qui jusque-là prospéraient commencèrent à décliner sans raison apparentes les clients se faisaient rares les opportunités semblaient s'éloigner et les obstacles s'accumulaient de manière inattendu Ada la jeune femme autrefois pleine de fierté avec son salon de coiffure florissant fut parmi les premières à en faire les frais son salon qui attirait autrefois une clientèle fidèle perdit peu à peu son éclat les clients se mirent à déserter sans explication et had malgré tous ses efforts ne parvenait plus à remonter la
pente en quelques mois elle dut se résoudre à fermer boutique et à revenir au village son rêve brisé le cœur lourd de regret les autres jeunes de BEM ne tardèrent pas à suivre le même chemin un à un ils retournèrent au village abattus vidés de leurs ambitions et de leur énergie comme si une force invisible les avait arraché à leur rêve byem autrefois fier de ces jeunes qui revenaient au village avec des histoires de succès les voyait désormais rentrer la tête basse sans autre choix que d'accepter la pauvreté de leur terre natale les anciens préoccupés
par cette situation étrange et déconcertante se réunirent un soir autour du grand feu de la place centrale chacun d'eux avait un fils ou une fille qui autrefois semblait promis à un bel avenir en ville pourtant aujourd'hui tous ses enfants étent de retour un des anciens prit la parole n'avez-vous pas remarqué frère que tous nos enfants qui semblaient réussir en ville sont maintenant parmi nous dans l'oisiveté totale comme si quelque chose les avait tiré de leurs rêves et les avait ramené ici sans autre choix un murmure d'aquiissement parcourut le groupe un autre vieil homme les épaules
affessé ajouta avec tristesse mon fils lui qui avait ouvert un garage prospère en ville il a tout perdu il a fait faillite sans raison apparente tout s'est effondré en un clin d'œil une autre voix celle d'une femme âgée au visage ridé par les années intervint ma fille had qui était si fière de son salon de coiffure elle aussi a fait faillite rien n'a fonctionné comme avant et elle a dû revenir au village le cœur brisé un troisième ancien prit la parole secouant la tête mon fils possédait un supermarché et du jour au lendemain tout a
brûlé une perte complète il n'a plus rien et il est de retour parmi nous réduit à l'inaction le silence tomba sur le groupe chacun absorbé par ses pensées un jour fatidique Ada autrefois propriétaire d'un salon de coiffure prospère en ville se retrouvait assise sur la véranda de sa petite maison au village perdue dans ses pensées elle laissait échapper un soupir sa joue appuyée contre sa main réfléchissant à cette nouvelle vie qu'elle menait malgré elle me voilà résigné à vivre au village se disait-elle avec amertume j'avais un salon qui marchait bien mais bon au moins ici
je peux profiter de la nourrit Turbio et de l'air pur décidé à tirer le meilleur de sa situation elle se leva prit sa hôte et se dirigea vers les champs pour ramasser du bois le ciel encore clair ne laissait rien présager de particulier had avançait tranquillement entre les arbres ramassant les branches sèches qu'elle trouvait sur son passage en fouillant le sol du regard elle tomba soudain sur un morceau de bois étrange abandonné au milieu des feuilles mortes elle se pencha pour l'exam le bois semblait sec parfait pour le feu mais ce qui attira son attention
étaient les inscriptions bizarres gravées dessus intriguée elle le prit en main le retournant sous tous les angles tiens c'est quoi ce bois avec des inscriptions bizarre murmura-t-elle pour elle-même il est bien sec ça devrait brûler parfaitement sans plus s'interroger elle ajouta ce morceau de bois à son fagot et continua sa récolte mais alors qu'elle s'affairrait le ciel s'obscurcit soudainement et un vent violent commença à souffler soulevant la poussière et faisant danser les feuilles pressé elle ajusta sa hotte sur son dos attacha son fagot de bois et se mit à courir vers le village pour éviter
d'être trempé sur le chemin du retour alors qu'elle se hâtait pour échapper aux premières gouttes elle aperçut le vieux Azingo mikongwo lui aussi avançant rapidement pour fuir la pluie mais quelque chose attira son attention Azingo habituellement voûté se tenait droit et semblait marcher sans difficulté la canne sur laquelle il s'appuyait toujours était absente ce qui lui parut étrange mais la pluie commençant à tomber en trombe elle n'eut pas le temps de réfléchir davantage de retour chez elle Ada se mit à préparer son repas du soir elle rassembla les branche sèche qu'elle avait ramassé et alluma
son feu quand le moment fut venu elle introduisit le morceau de bois étrange qu'elle avait trouvé plutôt dans la forêt pensant qu'il brûlerait parfaitement mais à peine le bois avait-il commencé à se consumer qu'une lumière éblouissante jaillit du feu illuminant toute la pièce d'une lueur surnaturelle soudain un cri déchirant retentit perçant le calme du village effrayé Ada sursauta et se tourna vers la source du cri qui semblait provenir de la maison du vieux Azingo Mikongo bientôt les villageois attirés par ce hurlement étrange accoururent pour voir ce qui se passait ils découvrir tazingwo dans un état
de panique total se tordant de douleur sur le sol de sa maison son visage était déformé par la souffrance ses yeux révulsés tandis qu'il répétait d'une voix tremblante je brûle je brûle un des anciens s'approcha le regard inquiet mais que se passe-t-il azingwo pourquoi cries-tu ainsi aingo pris d'une douleur insupportable suffoquait son corps secoué de convulsions il cherchait désespérément autour de lui les mains tendues comme pour saisir un objet invisible ma canne où est ma canne je veux ma canne s'écria-t-il d'une voix brisée sa détresse visible à chaque mot comprenant que sa faim était proche
azingwo confessa tout il révéla l'horrible vérité c'est moi c'est moi qui ai maudit les jeunes cette canne elle portait la malédiction je voulais qu'ils échouent qu'ils ne réussissent pas là où moi j'ai échoué les villageois pétrifiés écoutaient en silence réalisant l'ampleur de la jalousie et de la noirceur du cœur d'azangwo ils le regardèrent impuissant se contorsionner dans une agonie brûlante jusqu'à ce que son corps semble se consumer disparaissant lentement comme des braises s'éteignant dans les flammes invisibles qui le dévoraient pendant ce temps chezada le feu continuait de brûler intensément illuminant toute sa maison d'une lumière
éclatante had comme sortant d'un lourd sommeil secoua la tête une clarté nouvelle se peignant dans ses yeux elle se demanda ce qu'elle faisait encore au village se souvenant soudain de son salon de coiffure en ville et de ses ambitions perdues les autres jeunes un à un retrouvèrent aussi leurs esprits comme s'ils sortèrent d'un brouillard oppressant la lumière et manant du feu d'Ada semblait libérer les Destinées volées redonnant à chacun ses rêves ses espoirs et sa volonté de réussir ils comprirent alors que cette étrange lueur avait brisé le lien qui les enchaînait au village les villageois
debout devant la maison du vieux azingwo comprirent que son envie et sa rancœur avaiit maudit toute une génération mais maintenant les ténèbres qu'il avait semé s'étaient dissipées avec lui laissant le village baigner dans une paire trouvé les jeunes libres de la malédiction firent leurs adieux au village prêts à reprendre leur chemin vers la ville leur avenir à nouveau ouvert devant eux tandis qu'Ada avec détermination préparait son retour et la renaissance de son salon la leçon de cette histoire est celle du danger de la jalousie et de la ranqueur Azingo Mikongo consumé par l'amertume de ses
échecs a choisi de haïr ceux qui réussissaient là où il avait échoué sa jalousie l'a conduit à commettre des actes sombres qui n'ont finalement fait qu'accentuer sa solitude et sceller son propre destin tragique cette histoire nous enseigne que nourrir des sentiments négatifs envers les autres finit par se retourner contre soi-même la jalousie et la rancune sont des poisons qui détruisent d'abord celui qui les porte azingwo aurait pu choisir de soutenir les jeunes du village d'être un guide pour eux mais en cherchant à les faire échouer il n'a fait qu'accélérer sa propre chute en revanche les
jeunes malgré les épreuves ont retrouvé leur chemin et leurs ambitions une fois libéré de cette malédiction leur résilience face à l'adversité montre que la réussite repose sur la détermination et la persévérance et non sur la destruction des autres la leçon est claire le succès et le bonheur des autres ne diminuent pas le nôtre et au contraire les soutenir enrichit la communauté tout entière