Vous savez, j'entends souvent dire des mecs se plaindre, mais aussi des femmes se plaindre du fait que les femmes ne sont plus des femmes, que les femmes deviennent comme des hommes et vice versa, à cause du féminisme notamment, qui aurait tendance à lisser les différences entre les hommes et les femmes. Eh bien, je vais vous démontrer dans cette vidéo que c'est faux et que, loin de lisser les différences entre les hommes et les femmes, le féminisme aurait peut-être plutôt tendance à les exacerber. Bienvenue dans un monde où les femmes n'ont jamais autant été femelles.
Vous vous souvenez du paradoxe scandinave ou du paradoxe égalitaire ? C’était ce groupe d'études que j'avais cité très tôt sur cette chaîne YouTube, mais que je n'avais pas développé à son plein potentiel, et c'est ce qu'on va faire aujourd'hui. Le paradoxe égalitaire, c'est le fait que les pays dans le monde qui prônent le plus l'égalité entre les hommes et les femmes sont finalement ceux qui sont le plus à la ramasse en termes d'égalité hommes-femmes.
Ce sont les pays dans lesquels il y a le plus grand écart entre les hommes et les femmes sur les choix de carrière et sur d'autres sujets qu'on verra tout à l'heure. Par exemple, on sait que les pays dans le monde qui produisent le moins de femmes ingénieures en proportion par rapport aux hommes, eh bien ce sont les pays anglo-saxons. D'accord ?
Vous avez au Canada 21,8 % de femmes ingénieures, vous avez aux États-Unis 19,7 % de femmes ingénieures, au Royaume-Uni 17,57 %, et en Australie 14 %. Et vous savez dans quels pays la proportion de femmes ingénieures est la plus grande ? Ce sont des pays musulmans.
Dans certains pays musulmans, ce n'est pas le cas de tous les pays musulmans : l'Iran, la Tunisie, la Jordanie, l'Ouzbékistan, la Malaisie, et l'Arabie-Saoudite. Dans ces pays-là, en moyenne, vous avez plus de 50 % des diplômes d'ingénieurs qui sont délivrés à des femmes. Et alors là vous dites : "mais comment c'est possible ?
" Comment est-ce que c'est possible que les pays les plus progressistes qui soient, les pays qui prônent le plus l'égalité hommes-femmes, les pays dans lesquels des millions d'euros sont probablement investis dans les luttes contre les discriminations faites aux femmes, comment est-il possible que dans un pays où le premier ministre Justin Trudeau avait mis comme priorité l'égalité entre les hommes et les femmes, comment est-il possible que ces pays-là soient complètement à la ramasse face à des pays dont le modèle est plutôt vers quelque chose de patriarcal ? Comment est-ce possible que ces pays musulmans, avec une culture patriarcale très forte, qui n'est absolument pas féministe, sauf éventuellement peut-être la Tunisie, ce soient aussi les pays qui produisent le plus de femmes ingénieures ? Alors, l'explication, c'est que les pays qui prônent le plus l'égalité entre les hommes et les femmes, eh bien ce sont aussi les pays qui sont les plus développés, les plus riches, et aussi les pays qui ont une culture individualiste.
Dans ces pays, eh bien on pousse les gens à faire ce qu'ils veulent, on pousse les gens à développer leur plein potentiel, à s'affirmer dans toute leur individualité. C'est le cas aux États-Unis, mais même en France. Depuis tout petit, on nous dit : "fais ce que tu veux, l'important c'est que tu sois heureux.
" Ce sont des pays où on peut se payer le luxe de poursuivre nos propres rêves, mais ce n'est pas un luxe que peuvent se payer les pays moins développés, qui, très souvent, ont plutôt une culture plus traditionnelle, plus patriarcale, et beaucoup moins individualiste que les pays riches dans lesquels nous vivons. La Jordanie, l'Iran, l'Ouzbékistan, tous ces pays que je vous ai cités juste avant, ce ne sont pas vraiment des pays où l'on peut se payer le luxe de faire un choix basé sur des critères affectifs, sauf si l'on vient de familles aisées. C'est plutôt des pays où l'on va prendre une décision basée sur des critères économiques, et très souvent, dans ces pays, si l'on veut avoir du boulot, la meilleure stratégie, c'est de faire un métier d'ingénieur.
Typiquement, on pourrait penser donc que des parents américains diraient à leur fille : "tu feras ce que tu veux, ma fille, l'important est que tu sois heureuse, ton bonheur est au-dessus de tout. Poursuis tes rêves. " Et dans une famille peut-être jordanienne ou iranienne, on pourrait penser que les parents disent à leur fille : "tu deviendras ingénieure, ma fille, et tu rendras tes parents fiers.
" Attention, je ne suis pas en train de dire qu'il y a un groupe de pays mieux qu'un autre, je n'émet absolument aucun jugement de valeur. Ce que je cherche à montrer dans cette partie de la vidéo, c'est que finalement, les différences homme-femme, ce qu'on appelle les inégalités, ne sont pas forcément le fruit de bâtons qu'on a mis dans les roues des filles dès leur plus jeune âge. En fait, c'est plutôt l'inverse : c'est plutôt qu'on a le privilège dans nos pays de faire ce qu'on veut.
Quand on laisse le privilège aux gens de faire ce qu'ils veulent, eh bien les gens tendent vers ce qui se rapproche le plus de leurs convictions profondes. Et je dis bien ce qui se rapproche le plus, parce qu'on ne peut jamais… on ne prend jamais des décisions comme ça, tout seul, dénué de toute influence de l'environnement. C'est évident qu'il y a une influence de l'environnement.
Mais s'il y a bien un pays où l'environnement a le moins d'influence, c'est probablement dans les pays les plus développés, car ce sont les pays les plus individualistes. Et donc, c'est dans les pays les plus individualistes, les pays riches, qu'on verra le plus d'écarts entre les hommes et les femmes, puisque c'est là que les gens vont tendre le plus, entre guillemets, vers leur "nature profonde". Alors ça, ça veut rien dire du tout, encore une fois, mais.
. . C'est pour que vous compreniez.
Et cet effet-là, on va voir qu'il va bien au-delà des choix de carrière. On a vu que plus un pays est développé et individualiste, plus il y a un écart entre les hommes et les femmes au niveau des choix de carrière. Mais ce n'est pas tout : c'est le cas également sur la personnalité, sur l'estime de soi, sur la dépression, sur les aptitudes cognitives, sur la taille, sur la pression sanguine, sur les comportements amoureux, sur la sexualité, en fait sur quasiment tout.
Et c'est pour ça que ce principe, ce paradoxe égalitaire, a un potentiel énorme pour comprendre les humains. Je vais vous donner un exemple : on sait qu'il y a plus d'hommes psychopathes que de femmes psychopathes dans le monde. Eh bien, cette différence-là est beaucoup plus importante dans les pays riches et développés que dans les pays moins développés.
Par exemple, on sait que l'écart entre les hommes et les femmes psychopathes aux Pays-Bas est largement plus grand que cet écart en Malaisie. Et ça, vous pouvez le faire pour n'importe quel trait de personnalité, pour n'importe quelle pathologie habituellement plutôt associée à l'un ou à l'autre sexe. Donc, ce qui se passe en fait, c'est que les pays qui prônent l'égalité hommes-femmes renforcent, clivent l'écart qui existe entre les hommes et les femmes.
Les pays qui prônent l'égalité hommes-femmes, qui sont les plus individualistes, sont ceux qui favorisent l'émergence de ce que j'appelle des hyper-mâles d'un côté, mais aussi et surtout des hyper-femelles. Et c'est de ça dont on va parler aujourd'hui. Alors, l'hyper-femelle, selon ma définition, c'est l'archétype d'une femme qui possède toutes les caractéristiques physiques, psychologiques, ou même dans son comportement, dans sa sexualité, toutes ces caractéristiques qui habituellement sont associées à la féminité, et qui, elle, les possède de façon exagérément plus importante que la moyenne des femmes.
Alors, on pourrait s'amuser à dresser le portrait-robot de l'hyper-femelle. Encore une fois, je ne dis pas que toutes les femmes sont des hyper-femelles, c'est un modèle, c'est un idéal qui n'existe pas vraiment, mais un idéal vers lequel tendent beaucoup plus les femmes des pays prônant l'égalité hommes-femmes. Les pays qui prônent l'égalité hommes-femmes voient leurs femmes tendre le plus vers l'hyper-femelle.
Au niveau de la personnalité, on pourrait dire que l'hyper-femelle a un score élevé en agréabilité, compassion, fuite du conflit, etc. Elle aurait aussi un score plus élevé en névrosisme, et elle aurait plus de probabilité de tomber en dépression. L'hyper-femelle, qu'est-ce qu'elle choisit comme carrière très souvent ?
Elle prendra communication ou psycho. L'hyper-femelle recherche un type de mec spécifique. Logiquement, elle recherche quoi ?
Elle recherche un hyper-mâle. J'entends beaucoup de mecs parler des mâles alpha. J'avais fait une vidéo là-dessus : le mâle alpha, c'est un principe qui est complètement galvaudé ; les mecs l'utilisent sans vraiment savoir ce que ça veut dire.
En fait, ce qu'ils veulent, le terme qu'ils devraient utiliser, c'est le terme d'hyper-mâle. Il y a beaucoup de chaînes YouTube aujourd'hui qui enseignent aux hommes comment devenir ou tendre vers des hyper-mâles. Il y a de plus en plus de formations pour devenir plus masculin, qui est une réponse à la forte demande féminine pour cet archétype masculin qui est aussi plus difficilement atteignable pour l'homme lambda que ne l'est l'hyper-femelle pour la femme lambda.
L'hyper-mâle est plus rare que l'hyper-femelle, et c'est pour ça que les hyper-femelles sont très souvent insatisfaites, et elles doivent se partager des hyper-mâles qui, eux, sont dans l'abondance. Hyper-mâles qui, plus tard, seront étiquetés par les femmes comme étant des pervers narcissiques, très souvent, lorsqu'elles réalisent que l'hyper-mâle a aussi des défauts, puisque les caractéristiques habituellement associées aux hommes, à l'excès, deviennent des défauts aversifs, c'est-à-dire dangereux pour les autres. Typiquement, l'hyper-mâle, c'est un mec qui tend vers une certaine forme de psychopathie.
La psychopathie a tendance à plaire aux femmes, aux hyper-femelles, pardon, c'est-à-dire qu'elle a tendance à plaire aux modèles de l'hyper-femelle, notamment dans les pays les plus développés. Et enfin, quelles sont les occupations de notre archétype de l'hyper-femelle ? Elle adore les soirées, elle fait beaucoup, beaucoup de soirées, beaucoup de shopping, elle adore les réseaux sociaux, Instagram notamment.
L'activité principale de l'hyper-femelle, c'est de se faire belle. Je suis tombé sur une étude du HuffPost qui montre qu'en France, les femmes consacrent à peu près une heure par jour — en moyenne — au maquillage, soit environ 335 heures par an, ce qui correspond à 2 semaines à temps plein. Et sur toute une vie, ça correspond à 1 an et 3 mois, à temps plein, à se maquiller.
Donc, deux semaines par an à temps plein à se maquiller, et 1 an et 3 mois si on étale ça sur toute une vie. Sachant que ça, c'est juste le temps passé à se maquiller, or il y a aussi le temps passé à trouver des fringues, à acheter des fringues ou ce genre de choses, qui n'a pas été inclus dans l'étude. En Angleterre, les femmes dépensent 10 euros par jour, en moyenne, *pour leur apparence*, soit à peu près 300 euros par mois, 3489 euros par an, et si on étale ça sur toute une vie, ça fait 212 706 euros dépensés dans le maquillage.
Du point de vue évolutionniste, se faire belle, c'est démontrer sa fertilité. C'est ce que vous lirez dans n'importe quel article scientifique qui parle de la sélection sexuelle, des comportements de séduction des femmes et des hommes, parce que les femmes séduisent beaucoup plus que ce qu'on croit. Eh bien, la séduction chez les femmes — c'est pour ça qu'elles y consacrent beaucoup d'énergie, chez les hyper-femelles notamment qui consacrent beaucoup plus d'énergie — l'objectif est de démontrer sa fertilité au plus grand nombre.
Quoi de mieux, quelle meilleure plateforme pour ça qu'Instagram ? Le temple de l'hyper-femelle, eh bien c'est. .
. Instagram, haut lieu de l'adoration des Vénus callipyges ! Comme je le dis souvent, en tout cas ce sont des lieux où l'hyper-femelle est acceptée telle qu'elle est.
Elle est valorisée, elle est surtout complètement vénérée pour ce qu'elle est. Alors, celle qui incarne le plus l'hyper-femelle, c'est probablement toute la famille Kardashian. Kim Kardashian, d'ailleurs, a été élue femme de l'année par le magazine GQ en 2014.
C'est une femme qui est devenue connue en montrant ses fesses, en montrant finalement ce qu'il y avait de plus femelle en elle. Et c'est bien ça, ce qu'il en est de l'hyper-femelle. L'hyper-femelle caricature tous les caractères liés à la fertilité.
On pourrait décrire Kim Kardashian, qui par exemple va mettre du rouge à lèvres pour avoir des lèvres bien gonflées. Par exemple, le consensus actuel chez les chercheurs en psychologie, en ce moment, c'est de conclure que la couleur rouge, et plus particulièrement au niveau des lèvres, mais pas que, eh bien, la couleur rouge, elle est très souvent interprétée par les hommes comme un indicateur de fertilité. Les femmes qui ont de grosses lèvres rouges et pulpeuses sont considérées comme plus attirantes parce qu'elles sont interprétées comme ayant une plus haute fertilité.
Les lèvres gonflées, rouge écarlate, s'opposent aux lèvres qui, avec le temps, avec la vieillesse, s'affinent et perdent de leur éclat. On sait aussi que les joues des filles sont plus rouges quand leur niveau d’œstrogènes est élevé, et plus particulièrement durant la phase fertile du cycle menstruel. Et donc, on comprend mieux, finalement, l'importance des différents fonds de teint, et plus particulièrement ceux qu'on appelle le blush, qui permettent de rougir le visage ainsi pour augmenter la perception de fertilité dans l'œil de l'homme.
Les talons que portent Kim Kardashian et la famille Kardashian très souvent, c'est typiquement le symbole de l'hyper-femelle. Le talon est habituellement associé à l'idée de puissance : la femme est plus grande, plus puissante… En fait, c'est plutôt l'inverse. C'est parce que les talons ont plutôt tendance à restreindre la liberté de mouvement, à empêcher la femme de courir.
Un petit peu comme un corset qui resserre la femme, le talon a le même effet sur la liberté de mouvement de la femme. Le talon n'est donc absolument pas un symbole de puissance. C'est un outil qui permet d'accentuer le caractère fertile de l'hyper-femelle ou de la femme qui les porte.
Le talon, ça fait quoi ? Ça accentue ce qu'on appelle la position de lordose. La lordose, c'est quand les reins se creusent, les fesses se bombent, et si on veut aller un peu plus loin, et je ne dis pas que c'est le cas chez les humains, mais en tout cas chez les mammifères, la position de lordose est utilisée chez de nombreuses femelles mammifères pour faciliter la pénétration.
Il y a plein d'autres marqueurs comme ça qu'on peut étudier. Tout ce qui est le maquillage, par exemple, le mascara. Le mascara, ça sert à faire des grands yeux, et les grands yeux, c'est un indicateur de juvénilité.
Or, la juvénilité, la jeunesse, c'est quasiment intrinsèquement lié à la fertilité. Donc, les femmes, en général, vont chercher à se faire plus jeunes qu'elles ne sont pour séduire les hommes, car la jeunesse a toujours été l'un des critères principaux dans la sélection sexuelle du côté des hommes. Dans des pays où les femmes sont libres de devenir ce qu'elles veulent, de faire ce qu'elles veulent, eh bien, vous aurez de plus en plus de femmes qui tentent vers ce modèle de l'hyper-femelle.
Vous aurez de plus en plus de femmes qui accordent une importance élevée et beaucoup de temps et d'argent à démontrer leur fertilité au plus grand nombre. En d'autres mots, ce sont des femmes qui se sexualisent. Les hyper-femelles migreront de plus en plus d'Instagram à OnlyFans.
L'hyper-femelle est effectivement valorisée aujourd'hui dans notre société. Elle obtient un succès reproductif plus élevé, elle a plus d'attention, de visibilité. Elle a un impact, une influence sur un grand nombre de personnes.
Kim Kardashian est réellement considérée comme une femme puissante. Elle n'est pas sexy et puissante, elle est puissante parce que sexy. Il y a évidemment de nombreuses perspectives professionnelles.
On peut gagner énormément d'argent en étant une hyper-femelle aujourd'hui. Et c'est là qu'on voit que le marché a tout intérêt à protéger les hyper-femelles, à les valoriser socialement, puisqu'en plus d'être des consommatrices idéales, elles incarnent de parfaits panneaux publicitaires dont L'Oréal n'aurait pas pu rêver mieux. L'hyper-femelle est à L'Oréal ce que Stakhanov était au régime communiste.
On va donc tout faire pour valoriser l'hyper-femelle, soit en lui attribuant un combat d'émancipation avec des slogans comme "elle se réapproprie son corps après des années de répression", soit en faisant d'elle une artiste qui utilise son corps comme une œuvre d'art, ou encore en l'habillant de qualités morales, comme la bravoure, le courage. La bravoure d'oser se montrer et d'oser montrer son corps, c'est une manière "de se réapproprier son corps". Voilà, ce sont des phrases que les femmes, mais aussi les hommes, répètent un peu comme des slogans qu'on répète sans trop réfléchir.
"Elle fait ce qu'elle veut de son corps", et ces phrases-là reflètent typiquement justement la culture des pays, des sociétés dans lesquelles nous vivons, à savoir des cultures individualistes. "Je fais ce que je veux, mon bonheur passe au-dessus de tout", et c'est un paradigme qui n'est ni bon ni mauvais, mais je trouve juste intéressant d'en parler. Voilà.
Et entre nous, moi je suis plutôt pour la société individualiste qui me permet aujourd'hui de faire ce que je fais là, devant vous, à savoir des vidéos sur la psychologie. Je ne pourrais pas être psychologue en Jordanie, quoi. En conclusion, je vous dirais, les amis, bienvenue dans un monde où les femmes n'ont jamais autant été femelles.
Ce qui en réjouira plus d'un. Les femmes les plus femelles se trouvent ici-même dans nos pays développés. Et n'allez pas croire que.
. . Le féminisme réduit les différences hommes-femmes ; bien au contraire, il les clive.
J'espère que cette vidéo vous aura plu, elle a été très, très, très difficile à tourner. Parce que je suis obligé de me… là pour le coup, ça faisait longtemps, mais je suis obligé de me censurer tous les trois mots. Il y a eu des chaînes YouTube qui ont sauté récemment, donc je ne veux pas en faire partie.
Je ne peux pas me permettre de donner, de dire 100 % de ce que j'ai dans la tête. Malheureusement, donc j'ai deux solutions : soit j'écris un livre, soit je continue à développer ce genre de sujet sur le Club des Philogynes, c'est ce que je fais à court terme. Si vous voulez m'écouter plus librement, en tout cas, c'est dans le Club des Philogynes, là où on n'a pas peur de choquer.
Je tiens à vous préciser que j'ai fini une formation, une grosse, grosse formation, la plus grosse que j'ai jamais faite, entièrement en vidéo. Donc ça fait six mois que je travaille sur cette formation, c'est une formation pour vous pousser à faire des rencontres au quotidien, une formation avec des échelons, d'une manière progressive, qui est étalonnée sur 30 jours. Je pense que la formation, je vais l’appeler « 30 jours / 30 rencontres ».
Cette formation, je vais en parler beaucoup plus sur la newsletter, donc la gazette Philogynes. Si vous voulez avoir plus d'infos là-dessus, je vous invite à vous y abonner. Je ferai également des réductions pour les personnes qui sont inscrites sur la newsletter, sur la gazette Philogynes.
Et d'ailleurs, sur la gazette Philogynes, je fais souvent des comptes rendus de certaines choses qui se sont dites lors des réunions Philogynes. Donc voilà, c'est tout bénef pour vous. Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur le lien qu'il y aura dans la barre de description.
Voilà, je vous dis à bientôt les amis, salut.