Analyse psychologique d'Amber Heard

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Les Philogynes
3 semaines pour la rendre accro : https://www.formations-lesphilogynes.com/3-semaines-pour-la-rendre...
Video Transcript:
Donc, aujourd'hui, on va parler de la affaire Johnny Depp - Amber Heard. Pendant longtemps, on a cru que Johnny Depp avait été violent avec sa femme. Hélas, il y a de plus en plus de témoignages qui semblent montrer que c'était un mensonge, dont un qui m'a particulièrement intéressé, du moins c'est celui de la psychologue judiciaire, le docteur Shannon Curie.
En tant que psychologue, forcément, ça m'interpelle. Elle a fait un rapport sur Amber Heard, sur sa personnalité, qu'elle a présenté devant le jury, et c'est de cela dont je vais vous parler aujourd'hui. Nous allons reprendre les points clés de son rapport et développer certains aspects.
Je pense que c'est quelque chose d'important pour vous de mieux comprendre la personnalité de certaines personnes dangereuses et nocives. Car rappelons-le, aujourd'hui, nous n'allons pas parler des femmes, nous allons parler d'Amber Heard. Ça, c'est très important.
La petite minorité n'est pas représentative de toutes les femmes. C'est une minorité en revanche qui m'intéresse, qui nous intéresse, parce qu'on a envie d'éviter de tomber sur des femmes comme elle. On a envie plutôt de tomber sur des Vanessa Paradis.
Nous allons passer rapidement sur le premier point, à savoir qu'Amber, je vais l'appeler "Mort" à chaque fois, a dit qu'elle avait subi un stress post-traumatique suite à sa relation avec Johnny Depp. Ce qui serait tout à fait cohérent, après des violences conjugales, de développer un stress post-traumatique. Sauf que, pour vous résumer rapidement, il s'avère d'après Shannon Curie que c'est faux.
Madame n'a pas été victime, n'est pas victime de stress post-traumatique. Ses résultats sont complètement incohérents avec la moyenne des gens qui ont réellement vécu des stress post-traumatiques. Amber a livré une version du stress post-traumatique complètement stéréotypée.
Il existe dans ces tests de personnalité une échelle qu'on appelle une échelle de mensonge ou de désirabilité sociale, qui permet de mesurer la propension du participant à mentir sur son stress, sur ce qu'elle a vécu, et donc c'était le cas. Ça a été confirmé lors des entretiens structurés par madame. Ce n'est pas parce qu'Amber ne souffre pas de stress post-traumatique que cela ne veut pas dire qu'elle ne souffre de quelque chose.
Cela a été la conclusion de Shannon Curie, que, effectivement, Amber souffre d'un trouble de la personnalité qui était présent bien avant sa rencontre avec Johnny Depp, qui n'a donc pas été provoqué par leur relation. Et ce trouble de la personnalité, il s'agit du trouble de la personnalité borderline, couplé à un trouble de la personnalité histrionique. Alors, plein de mots savants.
Tout ça, ça appartient dans le DSM à ce qu'on appelle le groupe B des troubles de la personnalité, qui réunit en gros, pour vous donner une idée, ce groupe B où l'on retrouve la personnalité narcissique et la personnalité antisociale. Donc Amber est borderline, elle a une personnalité borderline, pour résumer en un seul mot : instabilité. C'est-à-dire instabilité au niveau du comportement : impulsivité, addictions, comportements à risque ; instabilité au niveau des relations interpersonnelles, c'est toujours le chaos, que ce soit avec un partenaire amoureux, la famille ou les amis ; instabilité au niveau des émotions, voilà, la volatilité en art, par la chaleur, les intensités aussi ; et enfin, instabilité au niveau de l'identité.
Les borderline décrivent souvent ce sentiment de vide intérieur. Il faut bien comprendre une chose, c'est que le trouble de la personnalité borderline présente ce qu'on appelle les comorbidités, c'est-à-dire que les gens qui ont un trouble de la personnalité borderline, en général, ils ont plein d'autres choses, ils ont un trouble narcissique, des troubles d'anxiété, plein d'autres choses, et des addictions, etc. Et là, en l'occurrence, Amber Heard présente également un cas de personnalité histrionique.
Donc, la personnalité histrionique, pour que vous compreniez, c'est en quelques mots : drame, théâtralisation, dramatisation de tout. Il y a toujours des jambes rue du drama, des émotions très extrêmes, et puis une préoccupation excessive de l'image, un caractère très porté sur l'apparence, la sexualité, la séduction. Maintenant, vous avez l'image globale.
Donc Amber n'a pas vécu de stress post-traumatique. En revanche, elle aurait, selon Shannon Curie, une personnalité borderline couplée d'une personnalité histrionique. Maintenant, on va rentrer dans les principes pour avoir un petit peu ce qu'il en est.
Premier point : la peur de l'abandon. Donc, ça, c'est quelque chose qu'on retrouve, c'est un point clé de la personnalité borderline : la peur excessive de l'abandon et les tentatives désespérées pour l'éviter. Justement, cela me donne envie de parler d'un point important à comprendre avec Amber.
Il y a pas mal d'enregistrements où l'on entend Amber péter un câble quand Johnny Depp veut se barrer parce qu'il n'en peut plus de son caractère extrême, unique, justement, des drames, des trucs machins. Donc, elle pète un câble et dit : "Venez, bébé, viens là, je t'aime. " Voilà.
Il y a beaucoup de pleurs, beaucoup d'hystérie, parfois de la violence. Et d'une certaine manière, on peut se dire "ouais, mais ça se comprend, elle est amoureuse de lui ici". Elle est amoureuse de lui pour comprendre qui elle est, telle qu'elle pleure, qu'elle se met dans tous ses états, certes.
Sauf qu'il y a un autre aspect qui est important à comprendre dans la personnalité borderline, c'est ce qu'on appelle ce principe d'idéalisation - dévalorisation, ce que l'on pourrait traduire en français par le "splitting". En anglais, "splitting" signifie quelque chose comme couper en deux, c'est-à-dire que tout est noir ou tout blanc. Soit il est parfait, soit c'est le pire.
Des connards, en général. Au début, la personne est entièrement idéalisée, et ensuite, eh bien, elle est dévalorisée. On peut se dire qu'Amber, au départ, comme beaucoup d'entre nous, s'imaginait que Johnny Depp était un demi-dieu, parce que c'est une vraie star, quoi, la célébrité, avec tout le prestige qui l'entoure.
Puis, en passant du temps avec lui, elle a découvert qu'en fait, c'était aussi un être humain. Donc, il n'était pas parfait. Ce n'était pas le mec qu'on voit dans les films.
Les films sont coupés, les films sont montés, les films sont travaillés, retouchés, tout ça. Donc, forcément, quand vous avez Johnny Depp en face de vous, le mec, t'es dévastée, tu étais petite, va péter. Peut-être qu'il va avoir un peu de bide, qu'il va avoir des peurs, des angoisses, et cela, ça ne plaît pas à la borderline qui est Amber.
Et donc, forcément, si Johnny Depp n'est pas parfait, alors il est dégueulasse, il est un « old fat man ». C'est ça, le principe de l'idéalisation et de la dévalorisation. Toutes ces insultes-là sont le fruit d'une borderline qui a dévalorisé totalement son non-choix.
En fait, son ancien amour déchu, c'est une merde maintenant. Chez une femme, si elle insulte son partenaire de « old fat man », c'est-à-dire de vieux homme gros, ça ne peut en aucun cas être prononcé dans la bouche d'une femme qui aime cet homme-là. C'est impossible.
Non seulement elle a du dégoût pour lui, ça exprime le dégoût, et le dégoût, c'est l'antithèse du désir. C'est impossible d'avoir les deux. De deux, il y a une volonté de faire mal.
Parce qu'il faut bien être d'accord, une fille amoureuse d'un mec peut tout à fait dire : « T'es un gros connard, je t'aime pas, t'es nul. » Quand on veut traiter quelqu'un, un mec de connard, il n'y a pas une volonté de détruire, il n'y a pas de la méchanceté d'un connard. C'est juste : « Tu me fais me sentir mal, tu me fais souffrir.
» Là, en l'occurrence, il y a une volonté de détruire l'autre. C'est de la méchanceté pure. « Old fat man », ça touche dans le cœur, quoi.
Et donc, on revient à cette histoire de peur d'abandon. Amber n'a pas peur de perdre Johnny Depp, elle a peur de se faire abandonner. Elle a bien plus peur de se faire abandonner que de perdre Johnny Depp.
Il y a certaines femmes qui, dans des situations similaires, ont en fait plus peur de se faire abandonner. Elles vont pleurer parce qu'elles se sentent abandonnées plutôt que parce qu'elles ont peur de perdre l'homme en question. La souffrance est réelle, les larmes sont réelles, mais elles ne sont pas la cause que vous pensez.
Donc, les borderline, qu'ils soient hommes ou femmes d'ailleurs, vivent tout comme une marque d'abandon. Tout est vécu comme une tentative de les abandonner. Cet égocentrisme fait que tout autour d'eux est interprété comme étant centré sur eux : « Tiens, ça, c'est une marque d'abandon, ça, c'est une tentative d'agression.
» Cela va justifier derrière de la colère, des grosses crises de nerfs. Et donc, ça nous amène au deuxième point : la labilité émotionnelle, et particulièrement la colère. Un temps, si tu fais partie des huit critères du DSM dont Shannon Curie parle beaucoup, elle dit qu'Amber porte en elle énormément de colère, énormément d'hostilité.
Quand on écoute les enregistrements, on entend bien que Amber passe d'une émotion à une autre. En fait, c'est assez incroyable. D'ailleurs, c'est fou.
On passe de la tendresse à la colère, de la tristesse à des menaces extrêmement froides, à de la violence physique, et tout ça en l'espace de quelques minutes. Il n'y a aucune pudeur émotionnelle. Les émotions sont envoyées à la gueule sans aucune retenue, sans aucune volonté de tenter de gérer ces émotions-là.
C'est pour ça que c'est d'autant plus fatiguant, surtout pour un homme introverti comme Johnny Depp. La meilleure solution dans ce cas de figure, c'est celle de Johnny Depp : c'est de se barrer. Notons une chose aussi pour votre culture générale, pour mieux comprendre et mieux distinguer justement les différents types de personnalités.
Souvent, les gens parlent de bipolarité quand ils veulent parler de labilité émotionnelle. Ils disent « ma copine est bipolaire, machin », mais non, le mot exact, c'est que ce qu'on vient de décrire, ce n'est pas de la bipolarité. La bipolarité, le trouble bipolaire, c'est une alternance.
Une alternance entre, d'un côté, une phase maniaque et, d'un autre côté, une phase dépressive. Ça, ça dure. Ce sont des phases qui durent des jours, des semaines, voire des mois.
J'avais d'ailleurs rencontré dans la rue, durant sa phase maniaque. Il était très croyant, donc il allait dans la rue pour parler de Dieu. En fait, il se faisait des marathons comme ça pour parler de Dieu aux gens.
Il n'était pas dans une asso ou un groupe, c'était juste qu'il aimait parler de Dieu. Il parlait de la Bible, et des fois, il faisait ça pendant des jours et des jours, sans s'arrêter. En fait, il dormait dehors.
Après, il était extrêmement charismatique, il était super bien. Et après, ils redescendaient dans sa phase dépressive, et cette fois, il restait enfermé chez lui à ne rien faire pendant des jours et des jours. Ça, c'est le trouble bipolaire.
Maintenant, ce qui concerne la labilité émotionnelle qu'on retrouve chez les borderline, Amber, c'est en. . .
L'espace de quelques heures, au max, engins ces quelques minutes comme on l'entend dans les enregistrements. Ces quelques minutes, on passe, on fait tout l'arc-en-ciel des émotions. En quelques minutes, c'est de l'intraday pour les traders, mais il ne réagit pas tout de suite.
Tu sais, le temps de réfléchir, un bac à Paris avec sa voix TMX, est allé. "Bon, Johnny ! " Mais bon, ça se trouve, c'est Johnny le grand manipulateur qui a réussi à séduire tout le monde, parce qu'il est tellement naturel et tellement authentique.
On y parle toujours de se méfier des acteurs. Alors, sans transition, il y avait un petit point dont je vais vous parler, parce qu'encore une fois, je suis même curieux. Il a relevé dans son excellente présentation de son rapport : on lui demande un moment : est-ce que c'est vrai que les borderline et les personnalités histrioniques sont plus attirantes que la moyenne ?
À cela, il répond : "Oui, c'est vrai. " C'est paradoxal, mais c'est vrai. Les femmes borderline sont plus attirantes en moyenne.
Il y a des études qui ont montré cela. Moi, j'étais déjà tombé sur les études, j'en avais parlé dans le club, mais je n'en avais pas parlé publiquement. Alors l'explication de la docteure, c'est de dire que ce sont des gens plus charmants, tout comme les psychopathes d'ailleurs.
Mais c'est aussi expliqué par le fait que ce sont des femmes qui passent plus de temps à prendre soin de leur apparence, qui se préoccupent plus de leur image, qui se montrent plus, aussi. Donc forcément, elles sont un peu plus belles, elles sont plus portées aussi sur la séduction, ces choses-là. Tout ça, c'est cohérent, c'est vrai.
Cependant, c'est un peu vague. Je ne vais pas développer cela ici, je vais développer ça dans le prochain email que je vais envoyer. Vous savez que j'envoie au moins un e-mail par semaine en général, le week-end.
Là, le prochain email, ce sera pour vous expliquer pourquoi. Pourquoi est-ce qu'on a l'impression qu'il y a des borderline un peu partout ? C'est de votre faute, messieurs.
C'est un petit peu le même phénomène qu'on retrouve avec les femmes qui voient des pervers narcissiques partout. C'est parce que ces hommes-là, qu'elles appellent "permanents", ici, précisons encore, je le maintiens, ce terme-là est bidon. D'accord ?
Il faut reparler à émis deux personnalités qui tendent vers la psychopathie. Effectivement, les femmes, en moyenne, sont attirées par ces personnalités-là, tout comme les hommes, en moyenne, sont attirés par les femmes borderline. Et ça, je vous expliquerai dans le prochain email.
Alors, les des relais précis dans les emails ont porté sur "Comment commencer dur lorsqu'on est introverti ? " Je vais en refaire un, je vais faire toute une série "Comment commencer dur lorsqu'on est introverti ? ".
J'avais aussi fait la semaine dernière un email sur "Faut-il parler de politique avec les filles ? ". Il y a beaucoup de valeur.
J'apporte des réflexions un peu plus poussées que sur YouTube, des choses qui sont plus faciles à dire à l'écrit qu'à l'oral, sans trop me soucier de l'ascension. Voilà, c'est beaucoup plus libre. Si vous aimez les vidéos YouTube, globalement, que vous adorez les emails, je parle aussi d'anecdotes, je donne plus de choses là.
Je vous préviens aussi que, lorsque vous vous inscrivez à l'email, vous recevez mon ebook "Dix étapes pour trouver une copine" et vous allez recevoir aussi quatre ou cinq mails que j'ai déjà écrits avant cela. Alors, il y a un autre mot que j'ai entendu, un autre concept que j'ai entendu dans la bouche de Shannon Curie, auquel je n'avais jamais pensé. Je trouve ça assez intéressant, ces principes socialement sophistiqués, en parlant des manipulations des mœurs d'Amber à l'égard de tout le monde, en fait.
Par exemple, dans sa manière de répondre aux tests de personnalité de manière assez sophistiquée pour essayer d'éviter de passer pour une menteuse. L'échelle qui mesure ça, on l'a vue tout à l'heure. Mais il y a aussi quelque chose de très sophistiqué chez Madame Hurd : c'est sa manière de présenter l'histoire, de refaire toute l'histoire de sa relation avec Johnny Depp, sa manière de constituer, de manière extrêmement méticuleuse, toutes les preuves qui viendront en soutien à sa version des faits, à son histoire.
Toute l'histoire : elle a créé une histoire à partir de mensonges. On sait aujourd'hui qu'il est un homme en colère le jour où il a perdu sa mère, pour tenter de démontrer qu'il est violent. C'est quand même fort de café, c'est pas mal !
Il y a une photo en revanche, les juges, les avocats, et mettre devant la scène où on voit Johnny Depp allongé, apparemment en train de dormir, avec une glace sur son corps. Et quand on remet ça dans le contexte d'une conversation, on va le présenter comme étant drogué. Là, on se dit tout de suite : "Waouh, le mec est tellement drogué qu'il dort sur son lit toute la journée avec des glaces !
". En fait, il peut être tout simplement en train de dormir. Apparemment, il s'était simplement assoupi.
Il y a plein de trucs comme ça. Il y a des SMS qui sont sortis de leur contexte. Tout ça réuni dans un dossier, présenté aux yeux d'un jury, eh bien ça peut faire passer la personne en face de vous pour un monstre.
Tout ça, si cette personne-là n'est pas aussi machiavélique que vous, n'a pas préparé tout un dossier et n'a pas documenté toute sa vie, toute sa relation avec vous. À moins d'avoir une mémoire d'éléphant, la version des faits de la personne préparée l'emportera sur vous. C'est du machiavélisme à l'état pur.
Et je dis pas, attention, je ne dis pas que tous les borderline sont aussi des traqueurs. Que Dieu merci, elle est une minorité parmi les borderline, parce que quand même, faut y aller pour les défis ! Le cogneur est des six, n'est au défi logique.
Il se verrait, French YouTube. Tout ça pour vous dire que le machiavélisme de certaines femmes, d'une minorité de femmes, peut aller très loin, peu importe que la femme soit belle ou qu'elle ait l'air gentille. Où tu sais, je.
. . encore féminité, là, strictement rien à voir.
L'apparence féminine, on a tendance à associer ça à sa maman, du coup c'est forcément pur, beau, et c'est pipeau, c'est de la merde, c'est de la connerie. Ça n'a rien à voir. Ça, c'est difficile à intégrer, notamment pour des hommes, masculine zone.
Les masculins ont du mal à intégrer l'idée de machiavélisme au sein d'une femme féminine. L'idée de bourreau au sein d'un corps féminin, c'est. .
. et pour le coup, je pense qu'il faut lutter contre ces stéréotypes. Justement, parlons-en, cette partie qui arrive : la violence conjugale.
Parlons des stéréotypes. Selon docteur Curie, le trouble borderline est un facteur prédictif de violences conjugales, et elle nous explique un peu les différentes stratégies tactiques qu'elle a vues de la part de femmes qui commettaient des violences conjugales sur des hommes pour garder le contrôle sur eux. Et alors, il y a un terme qu'elle allait utiliser que j'ai trouvé vraiment intéressant.
Je ne sais pas, quand elle parle des tactiques utilisées par certaines femmes qui commettent des violences conjugales sur leur homme, il y a une tactique qui revient beaucoup, c'est celle de ce qu'elle appelle la violence administrative. En anglais, elle appelle ça "the league of the administrated". Donc, c'est de faire nous porter des menaces sur son partenaire, lui disant : "Si tu ne restes pas en couple avec moi, ou si tu fais ça, moi, je vais aller porter plainte contre toi.
Je vais dire que tu m'as agressée, et tout le monde croira à moi parce que je suis une femme. " Elle surfe sur le stéréotype de la femme victime et de leurs bourreaux, qui est bien ancré dans la tête des gens, des femmes comme des hommes, de tout le monde, y compris des féministes. Tout le monde, tout le monde a ce stéréotype dans la tête, et c'est une tactique redoutablement efficace.
Puisque chez un homme, Curie le rappelle, 90 % des hommes victimes de violences conjugales déclarent que leur partenaire a utilisé ce chantage juridique à leur égard, c'est-à-dire que leur partenaire dit : "Voilà, personne ne te croira, tu es un homme. Moi, je suis une femme victime. " Voilà un magnifique exemple dans l'enregistrement, probablement le plus connu : "Vas-y, Denis, va dire au monde que tu es victime de moi.
" Un bourreau va dire ça. Et c'est très bien, effectivement, que ça va être très dur de croire la version des faits. Johnny Depp le sait aussi ; c'est très bien que ça touche, et c'est pour ça qu'il a fermé sa gueule.
C'est probablement pour ça que je ferai dans l'histoire, mais je pense qu'en fait, les gens ont du mal à imaginer que non seulement un homme puisse être victime dans une relation, mais qu'en plus une femme puisse être bourreau. C'est double, double difficulté. Alors, je vais conclure sur cette longue vidéo.
Déjà, il faut rappeler une chose, c'est que si ça arrivait à Johnny Depp, ça peut arriver à tout le monde. Première chose, Genève, c'est quand même un symbole. Enfin, moi, ça a été un modèle pour moi.
Je ne peins pas seulement pour son physique, mais aussi parce que je trouve que c'est une petite touche personnelle. Je me reconnais un petit peu dans sa personnalité, introvertie, très introvertie, et parfois un peu bizarre. Voilà, je me reconnais dans sa chevelure aussi, mais ça s'arrête là.
Donc, si ça arrivait à Johnny Depp, qui est quand même une figure de la visibilité de la séduction, je pense que ça peut arriver à n'importe quel homme, et ce n'est pas un manque de virilité que d'être victime de violence conjugale. Maintenant, je veux dire une chose très importante. Je l'ai déjà dit, mais je le redis à nouveau : la majorité des femmes ne sont pas borderline.
Il existe des Amber Heard ; très souvent, ce sont des belles femmes. Pour ça aussi, vous avez l'impression d'en avoir un peu plus qu'il n'y en a, mais pour une Amber Heard, vous avez une Vanessa Paradis, ou même plusieurs, d'ailleurs. Ça, c'est le point clé de cette vidéo.
C'est le point clé, et globalement, en fait, de mon projet d'une certaine mer sur YouTube. Et dans "Trois semaines pour rendre accro", c'est de dire : "Regardez les gars, oui, effectivement, ça, ça existe. " Et je veux que vous compreniez à quoi ça ressemble, pour par contraste arriver à mieux identifier les gentilles et jolies et féminines Vanessa Paradis qui vous veulent du bien.
On apprend d'autant plus à valoriser les beaux aspects de la féminité quand on a vu ce qu'il y avait de plus dégueulasse dans la féminité. C'est comme ça que ça marche. Le monde n'est pas tout noir ou tout blanc, il n'y a pas.
. . il n'y a pas des Madones, il y a des nuances.
Sigillée, Vanessa et les amants, il y a plein de nuances, en fait. Ça, c'est vraiment important. Comprenez autre chose : la psychologie vous rend plus intelligent.
La psychologie vous rend littéralement plus sexy. Elle peut vous sauver la vie. Un homme peut prendre toutes les meilleures décisions dans sa vie, il en suffit d'une seule, en amour, pour tout perdre.
Et comme je dis souvent, je ne vais pas vous rendre plus riches, mais je vais vous éviter de tout perdre. Je vais vous éviter de perdre beaucoup de temps. C'est le principe de "Trois semaines pour l'accro" : va à l'essentiel, un seul objectif, tout faire pour la rendre folle amoureuse de vous et pour faire durer ça sur le long terme.
Je le dis très sincèrement, tout homme aujourd'hui qui. . .
Veut vivre une relation amoureuse, une relation harmonieuse et saine avec une femme, il doit connaître les principes de "Trois semaines pour un accroc". Ce sont des principes que je ne dis pas sur la chaîne YouTube parce que je ne rentre pas dans l'aspect pratique sur cette chaîne. Tout la méthode, tout l'aspect pratique, il est dans "Trois semaines pour un accroc".
Dernière chose : vous le savez, le prix augmente à chaque sortie de mes vidéos. Il a augmenté la fois d'avant et il va augmenter à nouveau. Encore une fois, pour ceux qui veulent rester sur du contenu gratuit, vous avez mes emails qui sont d'ailleurs tout à fait complémentaires avec ce que je dis dans "Trois semaines pour un accroc".
Voilà les amis, voilà, voilà, fin de la vidéo. Je me fais mon pronostic. Elle est là, la face.
Mais il ne reste plus personne ! Moi, j'ai bien aimé cette vidéo, je me suis trouvé intéressant sur celle-ci et je pense que ça va se ressentir dans la vidéo. Elle va être longue, et les gens risquent de décrocher rapidement, mais je pense que c'est une vidéo qui a un beau potentiel.
On verra ! Voilà, je me lance des formes. Et l'OTAN, la vidéo, je la trouve un peu nulle.
Autant celle-là, je la trouvais pas trop mal. Vous me direz ce que vous en avez pensé. À bientôt !
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