Dans cette vidéo, messieurs, je vais vous expliquer pourquoi les femmes détestent les hommes qui montrent leurs intentions. Et en fait, c'est très marrant, parce que je travaille avec les femmes, je les ai toute la journée au téléphone, et les hommes dont elles sont amoureuses, qu'elles me décrivent, ils ont tous un point commun : c'est ambigu, ce n'est pas clair. Ils ne sont absolument pas clairs sur leurs intentions.
De l'autre côté, les hommes avec qui je travaille, et avec qui j'ai travaillé depuis 11 ou 12 ans maintenant, sur le terrain ou au téléphone, peu importe, tous ces hommes-là, la question qu'ils me posent le plus souvent, c'est : "Léo, comment je montre mes intentions ? " C'est vraiment l'une des premières questions qui vient sur la table. "Léo, comment je montre mes intentions ?
Comment je lui fais comprendre qu'elle me plaît ? " D'ailleurs, ce à quoi je réponds souvent, c'est : "Pourquoi tu veux faire ça ? Pourquoi ?
Pourquoi tu veux faire ça ? " Parce que j'ai besoin d'être direct, je ne veux pas perdre de temps, je ne veux pas être frenzoné, surtout, je ne veux pas être asexué à ses yeux. Pourquoi ce décalage ?
D'un côté, je montre mes intentions, et de l'autre côté, les femmes courent après les hommes qui ne sont pas clairs sur leurs intentions, qui restent ambiguës. Il y a un point important là-dessus, messieurs, messieurs, je me permets de couper la vidéo. Je vous ai préparé un petit cadeau de Noël juste en bas de cette vidéo, dans la boîte de description et dans le commentaire épinglé.
Cliquez dessus, c'est Papa Noël qui régale. Alors, pourquoi avez-vous tant ce besoin de verbaliser vos intentions ? Je vais vous expliquer pourquoi, et après, à la fin de cette vidéo, je vous expliquerai une alternative beaucoup plus puissante pour être désirable aux yeux des femmes et devenir ces fameux mecs dont les femmes tombent en obsession amoureuse.
Parce que ces hommes-là, ils ont compris un truc que vous n'avez pas compris et que vous n'avez pas réussi à appliquer. Et d'ici la fin de la vidéo, vous serez capable de l'appliquer. Mais déjà, il faut comprendre pourquoi, d'où ça vient tout ça, et moi, je pense qu'il faut qu'on revienne en enfance.
Souvenez-vous, primaire, collège, lorsqu'une fille vous plaisait. Vous vous souvenez ces moments où on se regardait dans la classe, on s'envoyait des petits sourires, des petits regards ? Vous vous souvenez de ces moments aussi de stress où vous vous disiez : "Ok, la sonnerie va retentir, et là, promis, je vais aller la voir, je vais lui dire un truc.
" Mais en fait, vous ne le faisiez pas, et vous vous mettiez des pressions énormes, etc. Puis finalement, ce qui se passait, c'est que l'année se terminait, vous n'aviez rien osé faire, et puis vous vous retrouviez tout seul. Voilà, vous n'aviez pas les couilles.
Mais j'ai envie de dire, quand on est un petit garçon, c'est normal, on n'a pas les couilles, physiquement, c'est physiologique, quoi. Eh bien, je pense que beaucoup d'entre nous avons accumulé de la frustration parce que nous avons été trop timides durant ces premières années de notre vie amoureuse, quand on était jusqu'au, enfin, au collège, primaire, collège, lycée. Et c'est bien dommage, parce que ça aurait fonctionné pour le coup.
S'il y a bien une période de sa vie où montrer ses intentions était efficace, c'était jusqu'au collège, pour être plus précis, je pense jusqu'à la puberté à peu près. Moi, je l'ai fait, par exemple. J'ai eu de bonnes années de collège, pour le coup.
Je me souviens, il y a eu plusieurs filles avec qui je suis sorti, et moi, j'étais très direct. Jusqu'à mes 13-14 ans, j'allais voir la fille et je lui disais : "Tu veux sortir avec moi ? " Et poum, ça se passait plutôt bien.
Ça fonctionnait. Être direct à cet âge-là fonctionnait à peu près, et ça n'a plus fonctionné à l'âge adulte. Mais notre jeune homme, vous, messieurs, vous qui avez accumulé cette frustration par timidité, vous arrivez à l'âge adulte.
Bam, là, vous vous dites : "Ok, c'est bon, maintenant, fini les conneries. Maintenant, je vais porter mes couilles. J'ai trop accumulé de frustration quand j'étais gamin.
Maintenant, je vais porter mes couilles, je vais être direct, je vais, comme un homme, lui dire direct mes sentiments. " Voilà, je vais porter mes couilles. Beaucoup d'hommes associent ça à la masculinité, d'être direct, de dévoiler ses intentions, clac !
Voilà, parce que ça fait tellement peur, parce qu'il y a eu tellement de peur dans l'enfance que le mec se dit : "Si j'affronte cette peur-là, ça veut dire que je suis un homme, et elle va kiffer ça. " C'est le raisonnement purement masculin qui paraît logique, ça paraît super logique, et on se dit en plus : "On va gagner du temps comme ça, au moins je suis fixé. " Voilà, je te fais une proposition, au moins c'est oui ou non, on ne perd pas de temps.
Voilà, très masculin, clac, clac. Très bien, bah oui, c'est logique dans une perspective masculine. Sauf que, messieurs, n'oublions pas qu'on s'adresse à des femmes, hein.
On ne s'adresse pas à des hommes. Donc, qui dit s'adresser à des femmes dit qu'il faut communiquer dans le langage féminin. Mais plus que ça, il faut surtout répondre aux besoins féminins.
La séduction, c'est de répondre aux besoins de l'autre sexe. C'est pour ça que, moi, j'ai de l'autre côté des femmes qui galèrent dans d'autres phases de la séduction, on en parlera plus tard. Mais voilà, le problème, c'est qu'on raisonne comme des hommes, et c'est pour ça qu'on galère, notamment sur les premières étapes de la séduction, parce qu'on pense comme des hommes.
Montrer ses intentions à une femme, finalement, c'est à peine le niveau 1 de la séduction. C'est-à-dire que ce qui est très marrant, c'est que durant l'enfance, vous étiez. .
. Au niveau zéro de la séduction, quand vous n'osiez pas aller parler à la fille, c'est là le niveau de paralysie totale : j'ose rien faire, j'ose rien dire. Et là, vous franchissez le tout premier palier de la séduction en osant dévoiler vos intentions à une femme.
C'est le tout premier palier, mais vraiment, le niveau 0,5. Ça y est, j'ose lui témoigner mon intérêt. Donc, ça veut dire que je suis sorti de la paralysie, je suis passé dans l'action.
C'est déjà bien. Mais en fait, en arrivant devant elle et en dévoilant vos intentions, vous coupez toute forme de séduction, vous cassez toute ambiguïté. La fille, même si elle avait du désir pour vous, ça va chuter à ce moment-là.
Pourquoi ? Poussons la logique jusqu'au bout. Poussons la logique du direct jusqu'au bout, jusqu'au maximum.
Pourquoi est-ce qu'on n'irait pas voir une fille qui nous plaît ? Imaginez : vous êtes, on revient à l'âge adulte, vous êtes en open space, il y a une femme, Julie. Vous la croisez tous les jours et elle vous lance des petits regards.
Vous savez qu'elle est intéressée. Je veux dire, même le plus gros geek, avec ses œillères qui comprend rien aux femmes et qui est focussé sur les machines, même lui comprend que la fille, elle est intéressée par lui. Tous les matins, le petit sourire : « Bonjour, Christian »… C’est sûr qu’elle est à fond sur vous et vous, vous dites : « Ok, c'est bon, j'y vais, je porte mes couilles, je vais aller la voir.
» Vous y allez, vous dites à Julie : « Voilà, tu me plais, je vais être cash avec toi. Tu me plais, j'aimerais beaucoup qu'on couche ensemble. » Et avec tout le respect, la bienveillance, le consentement, et si ça se passe bien, eh bien qu'on regarde un peu comment ça pourrait évoluer pour éventuellement partir sur une relation de couple et peut-être même, plus tard, avoir une belle relation ensemble.
Voilà, qu'est-ce que tu en penses, Julie ? Vous aurez beau formuler ça avec toute la bienveillance, la politesse et le respect du monde, Julien, en face de vous, elle éprouvera du dégoût. Elle refusera systématiquement.
Alors, peut-être qu'elle dira : « Oui, ça, ça me fait plaisir ce que tu dis, mais en fait, non, c'est mort, j'ai un copain », ou alors elle éclatera de rire. En fait, dans tous les cas, il y aura une forme de dégoût pour vous et de mépris. Pourquoi ?
Parce que vous n'êtes pas dans le marasme. Je déconne, parce que vous n'avez pas pris en compte ses besoins. Vous avez fait exactement ce que je faisais quand j'étais gamin au marchand de bureaux de tabac.
Je disais à maman : « Achète-moi des cartes Pokémon, je veux des cartes Pokémon. » Et elle me disait : « Non, plus tu demandes, moins je t'en achèterai. » Bon, même quand j'ai arrêté de demander, je n'en avais pas plus, mais au moins, j'ai compris la leçon : demander ne mène à rien.
C'est une leçon fondamentale. Pardon, je suis passé un peu vite dans le raisonnement. Lorsque vous arrivez en montrant vos intentions aux yeux de la femme en face de vous, c'est perçu comme l'expression de vos besoins.
Et quand les gens arrivent en mettant en avant uniquement leurs besoins, il y a une forme de mépris, parce que tu ne prends pas en compte mes besoins. Pire même, j'ai l'impression que tu viens quémander. Pire encore, ça montre un désespoir.
Parce qu'un mec qui a du succès avec les femmes, il n'a pas besoin de quémander. Il sait se mettre à la place des autres. Les plus grands séducteurs sont ceux qui savent se mettre à la place de l'autre et répondre à ses besoins.
Ils ont leurs propres besoins, mais ils savent les mettre de côté temporairement. On pourrait même extrapoler que les gens les plus riches, les gens les plus populaires, les gens les plus aimés socialement sont ceux qui savent temporairement mettre leurs besoins de côté. Je crois que c'est un extrait comme ça dans « Comment se faire des amis » de Dale Carnegie.
Je crois que c'est l'une des premières leçons, quand il explique comment contacter un employeur, par exemple, ou comment écrire une lettre pour attirer l'attention d'un chef d'entreprise, d'un employeur ou autre : ne commencez pas à parler de vos besoins. Ne commencez pas à dire : « J'ai besoin de travail, j'ai besoin de travail. » Commencez par parler de la société, du besoin de l'employeur, de la personne que vous contactez, en premier ses besoins à elle, pas les vôtres.
On s'en fout des vôtres. On vit dans une société fondée sur la capacité à répondre aux besoins des autres. C'est ça qui crée la valeur sociale.
Quand vous cherchez du boulot, vous n'arrivez pas en disant : « S'il vous plaît, j'ai besoin de travail. » Alors qu'au fond, c'est ça : on a besoin de boulot, on a besoin d'argent, on a besoin de payer son loyer, trouver un logement, se nourrir. Parfois, on peut avoir toutes les intentions les plus nobles au monde : « J'ai mon enfant qui est en train de crever la dalle.
» Mais si vous dites ça, vous ne trouverez pas de boulot. Parce que l'employeur a besoin que vous parliez de ses besoins à lui, que vous lui communiquiez dans sa perspective. Bon, je reviens à la séduction, c'est exactement pareil, exactement pareil.
En séduction, vous devez comprendre les besoins de la femme en face de vous. Ce ne sont pas les mêmes que vous. Tout comme les femmes doivent comprendre que ce n'est pas élégant, juste après un premier rapport sexuel, généralement vers les 30 ans, de mettre le coup de pression que tous les hommes de 30 ans qui ont du succès avec les femmes me connaissent.
Dites-le nous dans les commentaires, messieurs, ce fameux coup de pression après les premiers. . .
Voici le texte parfaitement ponctué : Rapports sexuels où elle dit : « Écoute, je préfère être clair. Moi, je n'ai pas le temps. J'ai besoin de savoir si tu veux t'engager, parce que moi, j'ai des besoins.
Il faut que d'ici 30 ans, j'aie fondé une famille, que j'aie mes enfants. Voilà, c'est mon agenda de vie, c'est comme ça, tac, tac, tac. Et là, les mecs, quand bien même ils voudraient une famille, formuler ça de cette manière-là, directement, sans prendre en compte mes besoins, ça, déjà, ça crée le désespoir.
Donc ça ne donne pas envie. Et de deux, le mec, il va mal le prendre, parce qu'il va se sentir considéré comme un donneur de sperme, littéralement, au même titre que la femme à qui je dirais, lors du premier rendez-vous : « Écoute, voilà, je préfère être clair. Il me faut une garantie qu'on va coucher ensemble, là, tout à l'heure.
Voilà, parce que là, je veux bien faire rendez-vous, mais j'ai besoin de savoir, avant de m'engager sur ce rendez-vous et de t'inviter, j'ai besoin de savoir si tu veux coucher avec moi. » Mais quelle femme va accepter un truc pareil ? Ça vous ferait marrer, ça ?
Ça ferait marrer tout le monde ! C'est ridicule, parce qu'on n'arrive pas en posant ses besoins sur la table. On répond aux besoins de l'autre, c'est ça, la séduction.
Et les femmes, comme les hommes, ont du mal avec ça, parce que les femmes, comme les hommes, raisonnent selon leur propre sexe. Et les femmes de l'autre côté, moi, elles m'appellent, me disent : « Léo, je ne comprends pas pourquoi, pourquoi ça, pourquoi il ne veut pas continuer avec moi, pourquoi si ? » Parce qu'en fait, tu ne t'es pas mise à sa place.
Il y a un problème de charme aujourd'hui, il y a un problème d'empathie. Les gens n'ont plus envie. .
. Mais même de manière générale, pour le boulot, il y a des gens qui n'ont même plus envie de chercher du travail. Les gens n'ont plus envie de jouer au jeu du charme, au jeu de la séduction.
Les gens sont centrés sur leurs propres besoins et n'arrivent pas à se mettre à la place des autres, pour une raison aussi assez simple, c'est qu'il y a une colère injustifiée des deux côtés. Injustifiée du côté des hommes qui pensent que toutes les femmes sont des [ __ ] hypergames, qui pensent qu'à montrer leurs fesses, les femmes qui pensent que tous les hommes sont des connards, polygames, lubriques, qui pensent qu'au sexe. En fait, c'est une minorité hautement visible qui fait du bruit et qui est séduisante.
C'est ça, tout le paradoxe, en fait. C'est que les gens ont la haine et la colère et ne veulent plus se montrer séduisants, parce qu'ils ont été eux-mêmes conduits par les représentants les plus séduisants de l'autre sexe. Et vous ne boxez pas dans la même catégorie, en fait.
Messieurs, quand vous contactez [ __ ], excusez-moi, quand vous contactez une bimbo sur Instagram qui a 10k abonnés avec vos 300 abonnés et deux photos, que vous croyez après, et qu'elle ne vous répond pas, et que derrière, vous avez la rage, et vous tapez « is red pil, red P rage », etc. Les gars, à un moment, il faut bosser sur soi. Je veux dire, c'est normal qu'elle ne réponde pas.
Vous êtes en train de taper trois, quatre ligues au-dessus de vous. Idem pour certaines femmes. La plupart des gens, le problème de la plupart des gens, c'est qu'ils courent après les représentants les plus séduisants de l'autre sexe.
Et derrière, on se plaint que c'est trop compliqué, la séduction, machin, truc. Mais parce que vous visez trop et vous ne faites pas les efforts pour atteindre ce niveau-là, pour gagner en charme, pour devenir plus séduisant, plus charismatique, pour mieux vous exprimer, pour apprendre à aborder. Et donc, derrière, vous avez de la colère.
Vous dites : « Ouais, c'est bon, je ne vais pas apprendre ça, ça me casse les pieds. » C'est exactement ça qui se passe. Alors qu'en fait, il n'a jamais été aussi simple de séduire qu'aujourd'hui, puisque la plupart des gens n'ont plus envie de fournir les efforts.
C'est l'un des meilleurs moments de séduire, parce que moi, je le vois, de l'autre côté, du côté féminin, les hommes n'osent plus venir leur parler, les hommes ne leur tiennent plus la porte, les hommes ne les invitent plus au resto, les hommes ne font plus la cour. Et pour moi, aujourd'hui, un homme qui décide d'apprendre la séduction, de s'y mettre sérieusement, de blinder sa valeur, d'apprendre à communiquer, à être éloquent avec les femmes, à jouer le jeu, même à forcer un petit peu le côté conservateur. .
. Comme je dis tout le temps, les femmes sont très progressistes dans ce qu'elles disent, dans leurs idées, dans leur machin, mais elles sont restées hyper conservatrices dans leurs attentes en amour. Donc, un homme qui arrive peut-être un peu trop conformiste dans sa manière de se comporter avec les femmes, de leur tenir la porte, de leur faire la cour, de proposer et non pas de verbaliser ses intentions, on va y arriver.
Cet homme-là, il a toutes ses chances, parce qu'il y a plus de compétition. C'est comme l'immobilier en ce moment en France. Tout le monde est en train de pleurer, c'est la fin du monde, l'immobilier, etc.
Ben, c'est un super moment pour se lancer. Voilà, je dis ça, moi, je me lance là-dedans en ce moment, mais justement parce qu'en fait, c'est l'hiver, tout le monde a froid, tout le monde est en train de dire « C'est la fin, la France est finie, instabilité politique ». Et c'est vrai, c'est le chaos.
Moi, je me dis, ben, c'est le moment, c'est maintenant. Exactement pareil en séduction. Soyez contrarien, messieurs, quand tout le monde vous.
. . Dit que les femmes, c'est fini, la séduction.
Il faut arrêter de les séduire, machin. C'est le moment où il faut s'y remettre, parce qu'en fait, personne ne veut fournir les efforts en séduction. Les gens regardent des vidéos pour choper des techniques rapides, pour créer la frustration, le chaud-froid, le No contact, etc.
Ok, ok, mais personne n'apprend les fondamentaux, messieurs. Personne ne veut vraiment faire les efforts là où ça fait mal, c'est-à-dire, euh, développer sa créativité, apprendre à parler avec les femmes, porter ses couilles quand il le faut. Euh, voilà, proposer, être dans l'initiative.
Ce qui m'amène au dernier point, et je tourne ma page, on va rentrer dans le concret. Montrer ses intentions, comme je vous l'ai dit, ça crée le désespoir, ça crée l'urgence. Ce n'est pas séduisant, ce n'est pas se mettre à la place de la femme.
Mais il ne faut pas confondre ça avec le fait de se montrer force d'initiative. Ça se dit ça. Se montrer force de proposition, pardon.
Votre rôle, messieurs, en séduction, c'est d'être dans l'action. Ce n'est pas d'être dans l'expression de vos sentiments ; c'est d'être dans le faire, dans l'action. Je te parle, je viens de parler.
Je te propose d'aller boire un verre, je te propose de prendre ton numéro, je te propose de venir chez moi, je te propose de retirer ta culotte, de t'embrasser. Je ne le verbalise pas, je le propose physiquement tout en te laissant le choix, évidemment, de refuser. Et ça aussi, ça fait partie de la séduction : c'est d'agir, mais tout en laissant toujours, constamment, la liberté à l'autre de refuser.
Plus vous offrez de liberté aux gens, généralement, plus ils ont envie de vous suivre. Donc, vous, messieurs, votre rôle, c'est d'agir, c'est d'être dans l'initiative physique. Ce n'est pas d'être là à vous épancher sur vos sentiments, à dire "tu me plais, je tiens à toi, je t'aime".
Elles s'en foutent, les filles. Ce n'est pas ça qu'elles recherchent chez un homme. Ça ne correspond pas à leurs besoins en amour à l'instant présent.
Elles, elles recherchent de la sécurité. Si le mec est capable de porter ses couilles et d'être dans l'action, dans l'acte avec moi, c'est qu'il peut me protéger. Je me sens en sécurité avec lui.
Je me sens en sécurité avec un homme qui agit. Laissez-leur gérer toute la dimension émotionnelle, les sentiments, les machins. Laissez-les gérer.
Vous, votre rôle, c'est d'agir. Ne verbalisez pas : "est-ce que je peux t'embrasser ? " Tentez.
Si elle ne veut pas, elle dit non et ça sera clair. Et lorsque, à l'inverse, vous n'avez pas besoin de tout verbaliser, vous n'avez pas besoin de dévoiler vos cartes, vos intentions, vos émotions, vos sentiments. Vous êtes en train de démontrer par là que vous avez le temps, que vous n'êtes pas pressé.
Pourquoi vous n'êtes pas pressé ? Parce qu'en fait, vous avez des options. Vous n'êtes pas dans le besoin.
Si ça ne marche pas avec elle, ce n'est pas grave. Il y a d'autres filles avec qui ça marchera. Vous voudrez montrer par là votre capacité, finalement, à séduire d'autres femmes.
FOSO, présélection, dont on parle souvent sur cette chaîne YouTube. D'autres femmes qui veulent de vous. Il y a d'autres femmes qui sont sur le coup.
Mais, comme n'importe quelle négociation, je vais encore ressortir l'immobilier, parce que c'est une bonne métaphore, je trouve. Qui remporte la négociation en immobilier, entre l'acheteur et le vendeur ? C'est celui qui est le plus pressé.
Si le vendeur est pressé de vendre, il va perdre la négociation. Si l'acheteur arrive et dit : "C'est bon, moi j'ai le temps, tranquille", il gagne des points. Il est sur un rapport de force.
À vous, messieurs, de montrer que vous n'êtes pas pressés, et vous répondez aux besoins féminins. Les femmes ne sont pas pressées pour coucher avec vous. Les femmes ont besoin de prendre le temps de bien évaluer avec qui elles vont coucher.
Elles ont besoin de savoir que l'homme avec qui elles vont coucher, il est solide pour les protéger, qu'elles ne prennent pas de risque et qu'elles ne se louperont pas. Donc, vous devez arriver en démontrant à la fille que vous n'êtes pas pressé et que la fille en face de vous, elle a tout le temps qu'elle veut. Et paradoxalement, c'est dans ce cas de figure que la fille aura le plus envie de coucher avec vous rapidement.
Et parfois, même, en inversion des rôles, ce sera peut-être elle qui courra après. Voilà, messieurs, moi je suis convaincu que c'est la meilleure période pour un homme pour apprendre à séduire. Je le vois en écoutant les femmes.
Il y a peu, les femmes ne font pas beaucoup de rencontres qualitatives, en fait. Et pourquoi tombent-elles follement amoureuses généralement d'un connard ? Parce qu'en fait, il n'y a pas d'autres options, il n'y a pas d'autres mecs dans leur vie très souvent.
Et moi, ce que je veux que vous fassiez, messieurs, c'est que vous appreniez l'essentiel. L'essentiel, c'est de contrôler votre niveau d'abondance, d'être capable de reprendre le contrôle sur votre capacité à provoquer des rencontres dans votre quotidien, naturellement, en vous retirant de la tête ce mythe de : "Il faut que je cours après les filles", "je fais des dragues de rue", "des machins", ou alors que je suis obligé d'être l'esclave des algos sur Tinder. Vous n'avez, messieurs, pas que ces deux extrêmes là.
Ce n'est pas drague de rue ou Tinder. Il y a plein, plein, plein de possibilités et de manières de faire des rencontres, beaucoup plus cool, beaucoup moins coûteuses, beaucoup moins humiliantes dans votre quotidien. Toute la journée, dans les transports, dans un café, dans une librairie, au boulot, au taf, à la salle de muscu.
Il y a plein de contextes pour favoriser, pour faire des rencontres dans les grandes villes. Vous apprends concrètement, physiquement, à faire ça dans mon programme. La rencontre, vous trouverez ça nulle part ailleurs parce que c'est une formation sur laquelle j'ai filmé.
J'ai montré exactement « skin in the game ». Je vous montre comment je fais moi, comment mes clients ont fait, comment les clients que j'ai eus depuis plus de 10 ans, puisque j'ai eu ça pendant peut-être 11 ou 12 ans, comment eux ils ont fait, comment ça a fonctionné pour eux et pas seulement pour moi. Tout ça, c'est montré, filmé, et c'est dans mon programme La rencontre, mon meilleur programme, littéralement le meilleur programme que j'ai fait jusqu'à maintenant.