Bonjour à tous les amis ! Alors, aujourd'hui, une nouvelle vidéo. Aujourd'hui, je vais interviewer des défis logiques royaux, imputés aux spéciales : les fils de [__] et 91 000 à 164 abonnés. Après quatre ans, à 4 575, on va passer les cent mille abonnés, abonnez-vous à sa chaîne ! Voilà, donc non, mais je ne veux pas fêter les cent mille, je veux fêter les 80 ans, 1,64 à mener. Et comment est l'ambiance ? En fait, je dirais que moi, bah, on va fêter ça ensemble, mon amie Maria, où du coup, un peu spécial comme
vous l'avez deviné. Donc, elle revient pour ceux qui ne connaissent pas : c'est une youtubeuse qui fait des micro trottoirs. Elle arrête les gens dans la rue, elle leur pose des questions sur des sujets politiques et culturels avec un style bien particulier, bien à elle, un style, on va dire, à ses promesses. Quoi ? Quoi ? Je me demande où tu as chanté ce style trop lisse, on se demande. Et donc, voilà, faut savoir que Kline et moi-même, on se connaissait avant qu'il crée sa chaîne YouTube. On s'est connus via le club défi logique, on
avait bâti un petit peu ensemble à l'époque, et on a trouvé ça intéressant aujourd'hui de faire une petite vidéo où on allait parler des parallèles entre badinage, micro trottoir et puis parler de séduction de manière plus générale. Et pour la petite anecdote, avant de commencer, j'avais oublié : c'est ici même, d'ailleurs, que El Khaiam avait filé lorsque j'avais fait la veille de "L'arrivée de la vie". Je suis le caméraman, celui qui a fait 30 minutes en recul. On n'est pas de la même qualité que Williams, c'était presque une heure, la vidéo. J'avais oublié à quel
point ça serait pénible, c'est prix cent soixante et un, poteau dans le cul parce qu'il marche en arrière, le mec. Donc, franchement, respect à lui. Il y a eu en plus, il n'y avait eu aucun moment, j'avais pas de chaîne YouTube, froide, et elle-même pas de chaîne YouTube ne savait rien. Donc voilà, ils s'étaient dévoués, mais j'avais fait rigoler les gens sur une phrase à un moment. En fait, déjà, ton charisme avait déjà touché les gens. Donc voilà, bah merci à toi, Mac, en tout cas, c'était cool, c'était hier. [Musique] Bah écoute, mais voilà, raconte-nous
un petit peu comment on est arrivé à aborder des meufs dans la rue ? Qu'est-ce qui t'a poussé là-dedans, au départ ? Parce qu'il faut toujours un peu un grain de folie, quand même, pour un truc pareil. Il faut être un peu, un peu con et parfois pour se dire : "Tiens, je vais aller aborder des nanas dans la rue." Je fais pas, tu vois pas, ce que je pense. Ce serait un petit peu mentir que de dire qu'on est exactement à la même image qu'est-ce qu'on est aujourd'hui. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a peut-être une image
un peu d'extraverti, d'autres quatre personnes un petit peu à l'aise socialement parlant, avec de la répartie, et ce n'est pas forcément ce qu'on a été au début, tu vois. Je parle pas pour toi, moi, mais en tout cas pour moi. Vous voyez, il y a quand même un cheminement qui a été vachement brutal à la base : moi j'étais un mec introverti, pas timide, même la différence entre eux ça a joué, bien sûr. Tu me la donnes, et à la distinction à toi, web. Pour moi, la timidité, en fait, ce que j'avais, je suis quelqu'un
qui est assez renfermé sur moi-même, c'est-à-dire que j'aime pas trop interagir avec les gens. Mais quand il s'agit de prendre des initiatives et qu'il faut vraiment le faire et que c'est très important pour moi, là, je bégaie moins que les autres. Bizarrement, j'ai remarqué petit à petit mon évolution, c'est-à-dire que voilà, de moi-même, je vais pas me forcer, par exemple, à aller parler à des gens dans la rue. Et quand il s'agit de boulot, quand il s'agit de le faire pour X ou Y raisons, en fonction de leur importance, là, je vais le faire et
je vais me prendre les devants et je vais faire en sorte que ça marche jusqu'au bout, quoi. Donc non, au début, comme après, comme tout jeune aujourd'hui, j'ai été confronté à la violence des rapports de séduction entre les hommes et les femmes. C'est-à-dire que quand tu es un homme battu, tu ne reçois aucune attention. Tu vois les filles de 15, 16 ans au lycée qui ont 20 revenus, mais en faction, qui ont vingt mecs alors qu’elles pour les courtiser, et toi tu es à côté, et aucune attention. Je n'ai pas tué, j'étais confronté comme tout
le monde, comme tout jeune de mon âge, à la violence des rapports de séduction. C'est-à-dire que les hommes, si on ne fait pas d'effort, si on se bouge pas un minimum, qu'on n'essaie pas de prouver notre valeur, personne ne va nous remarquer, personne va nous donner de l'attention. Ouais, carrément. Bah surtout qu'on a grandi avec l'idée dans les films romantiques comme quoi, quoi qu'il arrive, il y aura une femme qui va tomber du ciel. Maintenant, je vais finir à la fin de tes jours parce que c'était le cas pour nos grands-parents, d'être un petit peu
au corps pour nos parents et encore. Mais nous, ça ne sera pas le cas, en fait. Si tu fais rien, tu n'auras rien du tout. C'est comme la thune, d'ailleurs. Ouais, c'est la réalité de la vie. Et puis même sur des choses plus concrètes, comme quand tu as 16 ans, si tu veux, les seuls moyens que tu trouves à séduire, ce sont les moyens, en fait, que tout le monde a. C'est-à-dire qu'on était immergés de un peu... De force, dans les soirées, tu vas en boîte de nuit, un peu comme tout le monde, quoi. Ouais,
et puis, en fait, tu te rends compte que ce sont des lieux qui, déjà, ne sont pas propres et pas forcément appropriés pour toi. Ils sont déjà au-dessus de moi. Je ne veux pas être forcément extravertie. En tout cas, les concerts, par exemple, les boîtes de nuit, même si la saison est en boîte de nuit. Mais même les soirées, musique à fond, tu n'es pas forcément dans un lieu qui t'intéresse. Tu as un peu l'impression d'être là, d'être obligé d'être là, parce que c'est l'interaction sociale. Ouais, parce que sinon, tu vas là pour t'amuser, en
fait. Voilà, voir polaire pour l'introverti, c'est s'amuser et d'avoir les extravertis, alors qu'en fait, c'est tout l'inversé. Du coup, tu y vas, tu te forces à aller dans des soirées auxquelles tu n'as pas forcément envie d'aller, avec des gens que tu n'aimes pas forcément, tout ça pour espérer peut-être "choper", choper des filles que tu ne choperas pas, parce qu'en fait, dans ce genre de milieu, vu que tu ne peux pas discuter avec des personnes et que ce n'est pas propice, on va dire, à créer une connexion avec une fille... Enfin, si c'est le lieu pour,
mais en tout cas, les stratégies qui m'étaient appropriées, en tout cas dans lesquelles j'étais le plus à l'aise, ce n'était pas forcément les soirées. Du coup, tu finis par te rendre compte que si tu n'es pas extraverti, tu ne bouges pas dans tous les sens. T'es pas grand, j'ai laissé ça, on en parlera peut-être un petit peu après. Ce n'est pas grand, ils n'étaient pas Barack, des choses que je n'aurais pas la belle gueule, en fait. C'est tous les critères les plus masculins, au premier degré, qui font leur différence dans ce genre de milieu. En
fait, je vais même aller plus loin, c'est animal. Voilà, très animal, chair animale, à la fois dans le comportement et dans le physique. De quoi tu vois un mec intello, il a passé sa journée devant l'ordinateur, le soir, tu lui demandes... le mec, il a sa petite chemise... Et tu lui demandes de faire l'animal. Alors, c'est un introverti, il ne capte pas, ce n'est pas donné à tout le monde, ce truc. C'est même ouf que ce soit banalisé, ce sont des niches, en fait, comme manière de séduire en boîte de nuit. Complètement d'accord avec toi.
Bon, après, deux façons, ça existe encore. C'est connu, bal avec le collier demain, mais en tout cas, ce n'était pas pour remettre dans le contexte, c'était pas un truc adapté à toi. Les soirées, les trucs machin, ce n'est pas adapté. En réalité, ça a énormément aidé, mais personne n'ose, personne ne le sait, parce que personne ne veut faire d'efforts pour créer des interactions avec de nouvelles personnes en dehors de sa sphère sociale. Quand tu habites dans un endroit où tu fréquentes globalement les gens qui sont autour de chez toi, donc qui ont grandi avec toi,
qui ont été en cours avec toi, qui ont été dragués une fois que toi... enfin, j'en sais rien, peut-être dans ta salle de sport à côté, mais globalement, tu ne vas jamais être hors de ton cercle de géolocalisation. On dira que tu as un cercle fermé, tu ne vas jamais au-delà de ça. Donc, en fait, tu as forcément des contraintes qui vont être imposées, qui vont combattre, imposées. Et ces contraintes, je suis désolé, mais au niveau des interactions, de la séduction, vont se faire sentir. Et si tu n'as pas le profil, bonne chance pour toi,
mec. Des mecs extravertis, en réalité, ça ne court pas les rues. Moi, je suis désolé, on a beau me faire croire que les extravertis, on en connaît tous, tu vois des gens qui sont vraiment sociables de base, qui font énormément de blagues, qui bougent dans tous les sens, qui ont du charisme, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Et il y a énormément de gens qui gagneraient plus à essayer d'interagir avec d'autres personnes dans d'autres milieux. Ouais, alors après, les extravertis, si tu veux, tu peux être extraverti et timide, comme on reverra
ce monde, et alors tu peux être introverti, oui, mais réservé socialement. Mais ça gonfle, ça casse les couilles, et ça demande beaucoup d'énergie. Et tu peux être extraverti et timide en boîte de nuit. J'ai surtout vu, enfin, j'y suis allée peu, et quand j'y suis allée, les mecs qui chopent sont souvent des mecs très grands, ouais, à la limite grands, mais franchement, des fois, même pas forcément avec une belle gueule, mais juste en fait, ça fait la différence, parce qu'en fait, tu les vois, c'est chez les voies. Et c'était ça, eh, les mecs qui étaient
vraiment animaux, qui venaient taper sauvagement, et faisaient des trucs de fou. Alors, s'ils enlevaient, sans y arriver, mais qui arrivent par derrière et tout... mais j'ai vu des trucs, mais laisse tomber, j'ai dit "mais attends Marion, c'est que là elle est où Marleix ?". Chaque fois que ce qu'elle fait, qu'est-ce que vous faites là ? C'est-à-dire, j'étais au duplex, il suppose comme Toulon, Var, et qu'on découvre les boîtes de nuit. Bon, moi, j'en ai fait un paquet. La vallée, mec, c'est tellement frustrant, les boîtes de nuit. Surtout, fait à peu près la même taille, on
fait la même. Temps, je pense que je gère le 1,15. Ouais, je fais 1,76 m. Quand tu es en boîte, je fais pas un mètre quatre-vingt-cinq, les guerriers 93. J'ai vu un mètre 90, 1. Les gars, je fermais 216. Merci d'éviter tout ça, des défauts, sachez-le. Ils nous perçoivent plus grands. Sur YouTube, je ne sais pas si on te dit. Moi, les mecs, ils disent tout. Alors il n'y a pas seulement parce qu'ils voient en comparaison avec des gens dans la rue, mais moi, je reste en comparaison avec papa. Cytos, te plaît avec 90. Donc,
c'est normal qu'on me voit comme un, ouais, mais à côté de Raptor, du côté de chez un géant, tous les gens qui viennent de m'aborder dans le rugby sous-tendent à Pita. Les ONGs précitées, t'es vachement plus loin que ça et tout, et me disent aussi : "Je croyais que tu étais moins musclé que ça." Donc, en fait, ils m'imaginent plus maigre, mais plus loin. Après, sociaux, monsieur, on a tous nos défauts. Tu vois, c'est pour ça que tu me parles de mon expérience en séduction. Moi, je suis parti de loin, déjà introverti des deux bases,
donc je dois énormément d'énergie. Elle est très limitée, et ça, ça se répète. Quand tu es aujourd'hui dans le taf, ce n’est pas forcément quelqu'un avec beaucoup d'énergie. Je suis très économe. Vingt ans, en ce qu'on croit. Alors ça gueule. En fait, j'ai de l'énergie quand je suis énervé. Et ça, justement, dans la pratique, ça veut dire une sorte de batterie de stockage d'énergie à garder au cas où il y a une embrouille. Enfin, ouais, ouais, toujours. En fait, je fatigue, et quand je suis fatigué, vraiment j'ai plus d'énergie. Là, je commence à m'énerver. Là,
bizarrement, il génère. Ce qui revient, tout commence à taper sur la batterie colère. Tu tapes dans le rouge du manque d'énergie. J'avoue que ça, le sas, ça a peu joué. Sa jou, ou Sa joo, énormément : ça joue énormément, surtout dans des lieux, comme on disait précédemment, où, non, en fait, c'est l'énergie qui va faire beaucoup. Et je crois, comme beaucoup, que je n'ai pas forcément... J'ai une gueule moyenne, j'ai une taille moyenne de bosse, j'ai pas mes crimes. Si c'est moi, je suis bien proportionné, mais à l'époque, ce n'était pas comme ça. Mais je
suis skinny Fatah à la base, ok ? Donc, je n'ai pas forcément encore un avantage non plus. Tu vois, donc en vrai, je parle de très loin physiquement. Et en plus, je pars avec une balle dans le pied parce que je suis introverti de Bastia. Même si ça sera évidemment à ta personnalité. Toi, tu peux faire évoluer, je peux m'adapter à certains milieux et à certains traits de caractère. Fradj, tu peux avoir amélioré certains traits de caractère avec le temps, mais du coup, je pars de très loin. Et petit à petit, comme tout le monde,
via internet, j'ai commencé à découvrir certains appels la drague de rue. Alors, évidemment, c'est très connoté, la communauté américaine dans une game. Pour un trimestre, je pense qu'on aura traité sur le même forum. Quelle année du coup ? Une bonne question. Après, moi, peut-être plus tard, quand même arrivé en 2016, je dirais 15, 16, 16. Ah ouais, c'est en fait, la session, le déclin, c'était la fin. Ouais, la drague à l’américaine n'a jamais duré très longtemps en France. Ça leur a vraiment bien pris. Les Français n’aiment pas trop, bah justement, on y vient. C'est-à-dire que,
bah comme tout le monde, moi, pour le coup, je n'ai pas eu besoin de personne pour aller tenter de faire ce genre de chose. Pour ça que je dis que, justement, je suis un introverti, mais je ne suis pas timide. C'est-à-dire que, bizarrement, pour les premières fois où j'ai dû faire des interactions avec des filles dans la rue ou même autres, je n'ai jamais eu de problème pour ça. Tu vois ? Même quand j'étais avec mes potes, quand il s’agissait, par exemple, pour moi d'aller rencontrer d'autres groupes de gens, c'est toujours moi qui faisais le
relais. C’est eux qui allaient, qui allaient relancer, c’est là le brouillard entre les deux groupes. Pour ça, j'abordais celle, et petit baiser. Non, par contre, c'était pas à devoir maintenant à la fin. Tu vois, les meilleurs moments où c’était comme ça, c’était triste. Et du coup, petit à petit, tu commences à rencontrer des gens dans la rue, etc. Puis, il y a eu une petite frustration parce que j'étais plus créatif que les autres. Je voyais bien que ce qu'on nous servait sur internet, c'était un petit peu triste. Car c'était toujours le même type d’approche. On
te demandait de jouer, passer un peu ce que tu décris avec les clones de la drague. C'est-à-dire que tu rêves de se croiser en vain, de se croiser, et font-ils savoir que j'adore ton style ? J'ai du mal à faire ça. J'ai l'impression de me rabaisser aux yeux de la fille en question. Ses tarifs, je suis là : tu l’as, tu ne la connais pas, et je fais déjà un compliment. Le pire, c'est que la plupart du temps, elle va gentiment être envoyée chier avec un grand soir, ouais. Mais voilà, donc le nom, le fait
d'être créatif, justement, ça me protège. Parce qu'en fait, si je mets, enfin je lui avoue pas mon intérêt en termes de séduction, si je décide d'annuler l'interaction, en réalité, elle ne peut pas me dire : "Quand même un milliard à Tokyo, n'ont pas arrêté." C'est une façon de protéger aussi bien économiquement. Mais c’est exactement ça, quand t’es créatif, tu te prends pas de râteaux. Mais même pas besoin d'être créatif pour ceux qui n'ont pas envie ou le niveau pour, tu peux juste demander un truc simple, faire une remarque très simple. Comme on a parlé avec
le mec derrière : "Alors que nous, la drague et les partenaires," comprennent aussi que les mecs qui sont tellement matures, ils n'ont besoin que si tu parles à une femme, c'est forcément drague. Qui sont incapables de parler à un être humain, parce qu'en fait ils y vont à partir du moment où ils y ont un intérêt sur moi. Je ne vais jamais discuter avec quelqu'un quand je commence à la fasciner. Admettons que je vois une jolie fille dans la rue, à partir du moment où je me dis "Allez, au lit, etc.", je sais que je
vais commencer à me presser. Je veux dire, je balance n'importe quoi, et en fait, je vais parler à des gens avant même de me poser la question si elle est jolie. Je ne sais pas quoi dire à quelqu'un qui passe, alors je lance un mot. En fait, c'est pas réfléchi. C'est exactement ça, définir ma philosophie du badinage. Je disais ça hier, justement, dans le club, en réunion hier soir. Les gars me disent : "Alors, mais lui, les eaux ? Du coup, je vois une belle meuf, après je vais badiner avec jeudi." Mais non, ce n'est
pas comme ça que ça marche. Ce n'est pas "Je vois une belle fille, qu'est-ce que je lui dis ? Comment je fais pour la Bentley ?" Sinon, tu casses le truc. Je parle avec tout le monde : hommes, femmes, vieux, chiens, animaux, tout ce que tu veux. Et dans l'eau, il y aura des belles meufs, c'est inévitable. Mais c'est parce que j'aime parler aux gens. Les latins, les Médicaments, ils le font. Ils le font naturellement. Je pensais au commerce. En fait, je suis très économe en termes d'énergie. Ouais, mais quand il s'agit de le faire,
je me bouge le cul, je le fais. Ok, moi je te dis que j'ai tendance à tendre vers l'introversion, mais j'ai quand même une force en moi qui me pousse à faire autrement et à me dire non, parce qu'en fait si tu laisses aller à ta tendance naturelle, ça va forcément partir en couille. Et puis tu vas dégrader ça. À partir de là, il y a toujours un moment où tu te dis : "Vas-y, bouge-toi le cul, parce que sinon, c'est la fin pour toi." Donc, petit à petit, je commence à interagir un petit peu
avec moi, comme tout bon. Je fais des rencontres, etc., et là, pour le coup, ça commence à aller mieux. Avec succès, je discute avec tes potes, avec des filles plutôt originales, qui au début étaient là toutes seules. Franchement, quand tu es tout seul, tout ça, c'est dur. Et quand je discute avec les gens, je suis très choqué, parce que souvent les gens ont besoin de commencer à deux ou trois, ce qui n'est pas une critique. Pour moi, ce n'est pas dévalorisant. Ça m'a un peu choqué de voir qu'en fait, j'étais chez moi, l'un des seuls
à voir comme un seul toit. Un jour, j'ai pris mes joueurs, un jour, j'ai pris mes coups. Il y a deux mois, j'étais tout seul. Je vais vers les gens. C'est très, très dur. Et je précise aussi que moi, je n'ai pas eu les couilles de commencer seule. Au départ, j'étais très bien entouré. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai créé le club "Défi logique", pour que les matchs puissent y aller ensemble, parce qu'effectivement, c'est super dur. Ça demande une paire de couilles, une résilience. Surtout, le plus difficile, c'est le discours intérieur que tu tiens :
"Qu'est-ce que je fous là ?" Dès le moment où je commence à réfléchir et à me poser des questions, c'est que c'est fini. Il ne faut pas réfléchir. Ce n'est pas que... En fait, c'est comment bluffer. Comme en boxe : tu commences à réfléchir, c'est fini. Sensation instinctive et attractive, ouais, mais ça se prépare avant. Tu as étudié ton style, etc. Mais si tu supposes, si tu penses au moment, en fait, tu es déjà en train de boxer avec la personne, en train de réfléchir au moment où il pourrait éventuellement te mettre un coup. Je
ne sais pas quoi. Enfin, en fait, c'est comme ça. J'ai rarement senti des gens intelligents et des gens moins intelligents. C'est la capacité d'adaptation. Donc, en fait, il faut que le temps de réflexion et le temps d'adaptation soient très courts. Plus tu vas être efficace dans les deux, moins tu vas prendre le temps pour réfléchir et pour agir, plus tu vas être efficace. Ce qui compte, c'est vraiment d'agir le plus rapidement possible. Si tu poses trop de questions, c'est fini. Et en fait, c'est justement agir. Effectivement, ça demande d'être à la fois un extraverti, dans
le sens où il ne faut pas réfléchir, il faut être con au début, mais après coup, il faut revenir sur les raisons, se dire : "Ok, qu'est-ce qui a foiré ? Pourquoi j'ai fait ça ?" En revanche, aller sur internet, en parler, et se dire : "Les gars, j'ai remarqué que j'avais telle tendance qui revenait." Mais c'est une question de... Comment s'appelle ? J'aime pas ce mot, "équilibre", parce que ça fait un peu centrisme mou, tu vois. Mais il y a une sorte de dualité, le monisme pourrait dire ce philosophe. Si, au bout d'un moment,
il y a un indicateur en plus, le pompiste pas que l'autre, c'est que tu es dans la merde. En fait, si tu es trop animal et que tu passes dans la réflexion, tu vas fort, et tout est interaction. Ça m'est déjà arrivé. Hier, des fois, je suis trop brutale, je parle trop mal aux gens. J'accepte du cauchemar. Tous mes coups, ou alors à l'inverse, tu commences à te poser trop de questions, à trop réfléchir, à réfléchir à des tactiques. C'est bordélique, et puis il faut arrêter. C'est pour ça que le mec qui... Fais les approches
dans la rue. Quand il va parler à des meufs, il doit avoir un [ __ ] de déséquilibre, comme tu dis, mais genre limite un paradoxe entre : il faut être à la fois animal et ne pas réfléchir avec moi, mais de l’autre, il faut aussi raréfier l’empathie. Mais si tu as trop d’empathie, tu n’y vas pas parce que tu dis : "Moi, ce n’est pas possible, elle a disparu en mer." De plus, les mecs avant, elle va penser que je viens l'emmerder, d'état, et du coup, tu n’y vas pas et tu stresses trop. Ou
alors, tu dis : "On va me rejeter" ou quoi que ce soit. Mais si tu es trop animal, tu peux l'emmerder la main, tu peux ne pas voir qu’elle n'est pas intéressée ou être un peu lourd ou quoi que ce soit. Donc, il faut un [ __ ] d'équilibre entre les deux, qui est honnêtement assez difficile. Et surtout, en fait, si tu rencontres peu de monde, comment est-ce que tu peux être sûr de rencontrer justement cette fille en question qui va être adaptée avec mon fils psychologique ? Donc, obligés de faire du chiffre, en réalité,
surtout aujourd'hui, on a l'occasion de pouvoir le faire dans les vies, même si, le moins du monde, avec la crise. Un aller-retour dans la rue, l'Europe a besoin de postes sanitaires pour les dans la rue, sauf quand il y aura un confinement, tu vois. Quand il y aura un quatrième confinement, passe en Europe, a fait nos deux approches, et au contraire, non franchement, hors la loi, je suis hors la loi. Je ne me suis pas fait d'oser ce que le bienvenu, comment on va faire nos rangs, car sans doute pas sanitaires, on va se les
cailler en hiver, tu es sur les quais de Seine pour la remercier, de vous dire, c'est plus rapide qu'on le ramène dans le club défi. L'origine est alors, ouais, donc le club, après que toi, tu avais cette école TTC en 2018, 3-18, j'avais tenté avant. Moi, j'ai découvert à celle où tout début, tu n'avais même pas 500, parce que j'ai dit : "Moi, je suivais très activement toutes les chaînes, globalement de séduction." J'espère un peu ennuyeux, c'est que ce n'était pas assez créatif, ce n'était pas très drôle, puis surtout, ça ne correspondait pas à mon
profil psychologique, parce que moi, j'étais déjà créatif de prime abord. Quand j'allais voir une fille, je ne visais pas à l’inviter, joli tout ça m'énervait, ce genre d'interaction. Robin, je trouvais ça ennuyeux, et par défaut, vu que ces gens, qui correspondent le plus, parce qu'ils font à peu près la même chose que toi, du coup, je continue de consommer. Puis après, il y a ta chaîne qui est arrivée, n'avait pas énormément d'abonnés, je crois à l'époque, moins de 1000. À man où il est, je me rappelle, tu as fait une vidéo sur... j'avais eu l'un
des premiers abonnés. Et à vue, ce que ça donne, mais Jerry, je vais retourner voir, tu avais une vidéo, je rappelle, ta vie. Ta chaîne, elle a décollé avec faire une vidéo sur F Cannes. Ouais, je l'ai postée dans le groupe d’aidé, DZ Hockey, là, c'était aussi et la chaîne à ça, ce donc fort. Mais du coup, voilà, je vous rappelle aussi une technique de drague de Mélenchon pendant les présidentielles ou pédri, comme ça, à l'époque, je m'en rappelle. Et du coup, j'ai découvert, et je crois que j'avais pas mal plus, j'avais candidaté à l'époque
et où l'en rouge. Suivez la chaîne de loin, c'est-à-dire que, hélas, du coup, ma SATA a confirmé, en gros, ce sur quoi j'étais déjà en train de construire des bases, globalement, plus miser sur la créativité, parce qu’après, ça se répercute autre part. Je le voyais bien dans la vie de tous les jours, c'est-à-dire que j'étais de moins en moins gêné lors de mes interactions avec n'importe qui. J'ai une facilité à discuter avec les gens et créer des connexions. Ça t'ouvre des portes. Aujourd'hui, ce qui compte, c'est les réseaux. Donc, si t'es pas capable de briser
la glace avec une personne, qu'est-ce que tu vas faire ? Donc, aujourd'hui, si tu veux élargir, c'est possible, que ce soit en séduction ou même sur le monde du travail. Dans le monde du travail, il va falloir faire en sorte d'être performant. Performant au niveau, de terrain, c’est même pas pour le plaisir qu'on sait. Même pas au dos. Au début, moi, ce n'est pas du tout moi. Je les y rester à nécessité, parce qu'en fait, si je ne fais pas, comment est-ce que je vais rencontrer des gens ? Parce qu'en fait, les gens, avec le
milieu dans lequel je suis immergé, ne me correspondent pas. Des gens avec qui je parle, je traîne un peu avec eux par défaut, je sens que je pourrais faire de meilleures connexions. Maintenant, il me reste plus qu'à bouger le cul pour que cette situation change, quoi. Et aujourd'hui, ça a changé, et du merci, quoi. Bon Dieu, merci, elle Ryan, merci. Soit dit en passant, quand c'est aborder des meufs dans la rue, la fac, après ça devient un [ __ ] de jeu d'enfant. Alors surtout qu'on était dans des facs et à ses proches. Ouais, bah
ouais, parce qu'avec eux défi, donc voilà, mais alors, c'était facile. Mais moi, j'ai fait erreur dès le début. C'est qu'en fait, au bout d'une semaine, j'avais déjà pris dix numéros, et en fait, j'étais déjà catalogué comme le look et arc. Mais je me suis cramé, en fait, très rapidement. C'est-à-dire qu'à chaque amphithéâtre, j'étais assis à côté d'une nouvelle meuf. Donc, en fait, les gens cramaient direct et moi, le Qatar. Donc, j'ai appris les chemins RC5. J'aimerais dire que, toi, le premier jour, je suis arrivé en débardeur blanc, en marcel, jean marcel, et les meufs du
B2, elles m'ont appelé marcel. Et du coup, tout le monde, genre, la première semaine, Knowles et Daas et Marcel Aymard, fait. Mais Marcel, idées sans difficulté. En plus, j'étais vraiment en mode de la frime. Passer un été, aborder des meubles dans la rue. J'étais blindé en confiance, je descendais les marges. Si j'arrivais exprès un peu en retard, je passais par en bas pour que tout le monde me voie et tout. Ça a jeté le sac comme Salmacis à côté des magistrats impertinents. Et ouais, ça n'a pas loupé comme toi, Qatar, 14 stations, du CA, c'est
un Pierre heures à faire surface au sujet. J'ai compris que dans un cercle fermé où tu vas revoir tout le temps les mêmes personnes, vaut mieux… C'est là que, justement, il faut mieux avoir des stratégies, réfléchir pour le coup, essayer d'adapter et avoir des cibles si on est un peu précautionneux. Mais par contre, dans la rue, tu peux faire ce que tu veux. De toute façon, les gens tuent leurs voix. Je n'ai jamais revu une seule fille que j'abordais. Tourner ailleurs, j'en ai abordé soit des filles, soit des garçons, n'importe qui. J'ai rarement eu au
procès des gens à qui j'ai déjà eu des interactions. Entre Paris et la beauté de pareils, comme je dis souvent, c'est celle-là le privilège de l'anonymat. On est invisible, et ça, ça nous arrangerait d'introvertis. Moi, j'aimais à discrétion. Contador, on aime être discret, dit-il, alors qu'il fait une vidéo YouTube. Ouais, mais les Genevois, 300 millions de vues, donc on espère, en effet, si quoi. Les approches les plus connes qui ont été faites, moi, je me souviens d'une approche que tu avais faite avec un moment débile. C'est quoi, ta… effet ? Tu étais allé voir des
meufs pour leur dire que tu coucherais avec des naines ou d'autres comme ça. Quant à eux, enregistré. Voici l'audio. Il est encore mort, je crois. Je crois que je peux le retrouver, le duo. Ouais, bah écoute, ça changera peut-être, mettra en place. Ouais, c'est possible. Moi, il y a eu une interaction qui… alors pas conne, mais elle est culottée. Parce qu'en fait, elle est… elle est stupide. Mais c'est, comment dire, ça reflète un peu l'état d'esprit, un peu filou, tu vois, un peu manipulateur. Une fois, je marchais avec un pote à moi dans le XVIe.
Je me rappelle, c'était quand ? C'était injuste, en terminale. Je marchais avec un pote à moi dans le 16e et il avait dit, en seizièmes, qu'il y avait des filles en eau sur une terrasse, fois sur le terrain, sur le balcon, en train de boire. C'était une soirée, en fait. On sortait de boîte. On sortait de boîte. C'était qualifié l'une des rares fois où je me suis dit, après avoir dragué, qu'on allait voir si finalement on pouvait gérer. Et si ça nous a appris quelques trucs, quoi. Et bon, ça n'a rien marché, rien du tout.
C'était une farouk, et de certaines boîtes, on décide de remarcher. On repart jusque dans le 16e et là, je ne lâche pas. En voie de trois filles qui sont sur un balcon, en train de... en train de boire et de fumer. Et envoie, cas de la musique. C'est une soirée. Il y a un truc, mon pote, et vas-y, viande, quand on tente de monter, de taper l'incrusté. Et moi, je regarde, je dis, [ __ ] comment est-ce que je peux faire pour remonter ? Six mois ! Et en fait, non, ben justement, je ne fais
pas de calcul. Donc là, je réfléchis. Et en gros, si tu veux, tu as le balcon ici, tu as une espèce de carré d'herbe, et puis après, tu as une petite barrière. Mais tu peux l'enjamber très rapidement, quoi ! Et tu vois, au travers, du coup, j'ai pris mes clés et je les ai jetées par-dessus le truc. Et j'ai dit à quelqu'un qui a fait tomber ses clés en voiture. Et à une des meufs qui a regardé comme ça, regarde les clés. À ce moment-là, elle se disait qu'il y a quelqu'un qui a perdu ses
clés et tout. Bon, je ne vais pas se faire broyer. Y'en a une qui a rendu requis par une rampe qui n'est pas rien dire. Il y en a une qui va descendre, en plus t'as plus jolie des 3. Elle descend, elle arrive, elle prend une clé et je n'arrête... Venons par contre, en fait, c'est mes clés. Je voulais juste que tu viennes, choix, pour pouvoir parler parce qu'on s'ennuie. Tueur ! Elle a explosé de rire. C'est pas mal, on a parlé pendant tête, genre 10 minutes, et puis on est monté vers... la suite appartient
à l'histoire, franchement. Et pour l'anecdote, mon pote, il est sorti avec une des trois meufs qui était sur le balcon pendant, genre, procap… non, non. Seulement, tu fais un coup stylet, mais tu poses, excité. Et j'ai fait prog. Et surtout, franchement, c'est joli, j'avoue, c'est ça ce truc. Je ne l'ai jamais oublié parce que ça fait trois ans qu'ils y saisissent que, par exemple, ils vont directement me dire « ce trou est joli », et ce 1-200 me rabaisser, tu vois, ce genre de choses. Pour Sakho, si j'ai une sorte de barrière, c'est peut-être une
barrière psychologique que je me suis créée à défaut. Le fait d'être brutal, aussi, ça doit être une fonction que mon cerveau a créée pour me protéger psychologiquement. L'impossible Roger ou une connerie comme ça ? Non, mais là, on est d'accord, là, je suis d'accord avec toi. Là, c'est oui, effectivement, c'est de l'humiliation à répétition. Dire aux filles : « je te trouvais... je te trouvais... » Se trouvaient les puits. Lâcher prise, et merci, c'est gentil, puis elle se casse. Ouais, c'est ça. Pas de respect vis-à-vis de soi, c'est sûr. Pas de souci, ça me... Fera
plaisir, à six mois, j'ai pas mal de temps. Allez, vas-y, ça positionne des stars. Parce que qu'est-ce que le financier Bernard de Badinage tu as appris, et a permis de développer pour les micro-trottoirs ? C'est une bonne question. Déjà, c'est évident que ça a développé. Marc est parti, donc déjà mon format, il se base sur Marc est parti. C'est à dire que l'on pourra mettre n'importe qui à ma place, les gens regarderaient. Je pense quand même que, principalement, parce que ce que tu développes sur YouTube c'est surtout un personnage, donc les gens, ils viennent avant
tout voir toi. Donc je pense que mon format, avant d'être un micro-trottoir, c'est surtout moi qui vais discuter avec des gens dans la rue. Donc c'est évident que le format se base avant tout sur ma personne et Marc est parti. Donc je pense que c'est avec ça que je capte l'attention des gens. Donc ce que ça m'a appris, déjà, premièrement, c'est déjà savoir discuter avec les gens poliment, sans forcément se mettre sur la gueule, savoir capter leur intérêt, car ce n'est pas toujours évident. Si tu arrêtes une personne dans la rue et lui expliques que
tu vas passer sur Internet, on va passer, on va parler de politique, et puis possible que tu as possiblement dit de la merde, donc te faire insulter par derrière. Sur une grosse question que j'adore, passer, comment tu vas sur les gens, avant ? C'est tout un process. Alors ça dépend le profil de la personne que j'arrête. Si j'arrête une personne avec les cheveux bleus, admettons, j'ai beaucoup joué sur l'ego de la personne, notamment sur le côté « viens, répandre la bonne parole, on a besoin de toi pour parler de sujets sérieux. Viens, tu vertueuse !
» Ouais, non mais même sans ironie. Mais enfin, après, les gens devraient avoir envie de défendre leurs idées. C'est sur ça que j'appuie. Bon, bah ouais, c'est-à-dire que je joue principalement sur l'ego et sur la volonté de montrer aux autres que je suis vertueux. C'est généralement sur ce levier-là que j'appuie. Quoi ? Et on est d'accord, si tu as quelqu'un qui a les cheveux bleus et qui dit des trucs intelligents, qui les laissent dans mes vidéos, il y a des gens avec qui je ne veux pas du tout d'accord. Ça reste en vidéo. Le truc,
c'est qu'il y a un biais qui fait qu'en fait, on retient que ce qu'on a envie de retenir, surtout les passages très négatifs, et on retient jamais le positif. J'ai le cerveau qui fonctionne comme ça. Donc en fait, les gens ne retiennent que les contenus choc. C'est-à-dire que si je vais diminuer de 10 minutes de vidéo, il va y avoir des moments où il y aura des interactions correctes, et en fait, les gens vont retenir que la phrase conne ou le moment où c'est très choc qui a existé pendant mon tournage. Donc je ne vois
pas pourquoi je devrais le culte et du coup, ça reste dans la vidéo, mais les gens ne retiennent que ça, et du coup, ils vont oublier le reste. Comme j'ai des vidéos qui sont encore sur ma chaîne, d'autres que j'ai enlevées aussi, mais où des fois, j'ai eu des interactions très intelligentes pendant 10-20 minutes, et des gens à qui je ne suis pas du tout en accord, mais ces gens-là, je les laisse toujours au montage. Après, c'est sûr que sur Paris, ça dépend où tu tournes. Tu mets, moi là où je tourne, et sur les
sujets que je traite, c'est dur de rencontrer des gens qui vont avoir un avis développé sur la question. C'est souvent de l'ordre de l'onomatopée. Les gens ont déjà des discours qui sont préconstruits. Du coup, tu vas leur poser une question sur un sujet, et puis ça ressort directement. Donc des fois, je n'ai pas besoin de questionner la personne, mais elle déballe tout ce qu'elle a à dire, et puis moi, j'ai juste à lui balancer trois phrases dans l'ironie, puisque c'est ma vidéo. Quoi, et justement, tu dis : dire des trucs ironiques, tu arrives souvent à
rester sérieux. Moi, c'est un truc qu'on faisait beaucoup, aussi, Léo. Comment tu sors tes conneries de troll en restant sérieux ? Beaucoup. Toi, c'est quoi ton truc ? C'est que, pour revenir à la question d'un vent, du coup ce que ça m'a appris aussi, c'est une gestion des émotions. Contrairement à ce qu'on croit, moi, je suis très émotif. Ça ne se voit pas vraiment, parce qu'on y vient. C'est-à-dire que les gens, à 10 points, l'historique récent de Médard, j'ai un cœur tendre. À prendre, c'est un psychopathe au cœur tendre. J'essaie d'aller toucher son cœur, et
du coup, j'ai une très mauvaise gestion des émotions négatives. Pourquoi ? Et du coup, avec la drague, durant la traque, le badinage, le fait de faire des interactions dans la rue avec des inconnus, ça m'a permis justement d'avoir une certaine gestion de mes émotions, et ça se retranscrit aujourd'hui dans les prétoires. Oui, je peux balancer des conneries, des trucs qui vont faire rigoler les gens sans bouger un sourcil, mais parce qu'en fait, avant, je le faisais déjà dans la rue avec des filles. Je faisais même trois fois pire. Enfin, je me suis déjà mis tellement
plus en danger que tu veux arrêter une personne dans la rue pour discuter de sujets d'actualité, c'est niveau 1, 2 de la dangerosité, quoi. Donc t'as déjà fait des choses qui sont beaucoup plus violentes. Au bout d'un moment, tu tends à relativiser, puis ton cerveau est déjà adapté à ce genre de choses. Qu'on ait du projet déjà connu, gestion des émotions. Créativité, créativité, répartie. Créativité, va justement. Je peux développer un peu. Tu disais, Baky, à la répartie, évidemment. C'est donc la répartie. Déjà, c'est sur la vidéo en soi, puisque moi, je prépare bien. Donc c'est
pour ça que je dis qu'il y a une grosse similarité entre des caméras cachées et le micro-trottoir. C'est que moi, je pense juste au sujet, c'est-à-dire que j'ai un truc en tête, admettons, technique de drague de je ne sais qui. Ben moi, j'ai un sujet en tête, sur un sujet d'actualité, admettons par exemple le féminisme. Là, par exemple, je vais dans la rue et puis les questions, elles me viennent comme ça, d'un coup. Je lance, et puis après, la personne parle, je relance et je relance et je relance. En fait, tout le format se base
sur ça. Donc en fait, je ne prépare rien, absolument rien. Et la créativité, elle prend, elle s'installe à la fois quand il s'agit de discuter avec la personne, mais aussi quand il s'agit de penser le sujet, notamment sur les sujets qui peuvent ne pas plaire. On regarde la communauté, quoi, parce qu'au bout d'un moment, tu es obligé de leur connaître un petit peu ce qu'ils aiment. Donc la crainte, c'est d'habiter "Your Bird", à Berck, ça doit avoir une part de créativité en pâtit, et créativité empathie pour ses abonnés. En fait, fonce comme une mère, limite.
C'est-à-dire que tu dois anticiper les besoins de tes abonnés, aller chercher un truc créatif dont ils auront peut-être besoin. Mais tu ne sais pas si au lendemain, parce que ça n'a jamais été fait, tu ne sauras qu'à partir du moment où tu as posté la vidéo, voilà, extra ou du succès. Et peut-être tu t'en prends plein la gueule ou tu auras l'humiliation, ne pas faire beaucoup plus de trucs comme ça. Bizarrement, tu sais que, alors c'est peut-être le cas pour toi, je ne sais pas, mais je stresse plus avant de cliquer sur le bouton publier
ma vidéo que d'aller tourner la vidéo et d'interagir avec les gens. C'est ça qui est terrifiant. Pour dire à quel point Internet, c'est violent, vous ne savez pas les gardes. Mais c'est vrai que quand on clique sur publier, c'est d'accord. Ça, c'est assez dur. Et surtout, quand tu regardes la courbe des stats, dans la limite, non. Moi, ce qui me fait stresser, c'est que j'ai rarement les 30, 4, 30 et 15 minutes avant de publier la vidéo, vu que moi, j'ai déjà annoncé l'heure. Donc je dis j'ai rarement, j'ai pu, bien 18 h, 45. Je
commence quand j'arrive et que j'arrête une personne, là, dans la rue. Au-delà de cette étape, c'est de jouer sur son ego. Après, comme je dis, ça dépend du profil de la personne. Mais globalement, le numéro 1, c'est déjà de lui expliquer qu'il n'y a pas mort d'homme si elle veut. Déjà, je la flote. Et deuxièmement, si elle n'est pas d'accord de sa preuve essentielle et pas contente de sa prestation, je supprime devant. Il en est témoin, il peut le dire. À chaque fois, je lui dis à la fin de l'interview. Je me dis : "Si
tu es content de ta prestation, ça reste rien et tout. Si tu te montres, je supprime devant toi." Et plein de fois, ça m'arrive des gens qui viennent 10 minutes après, qui me suppriment et que je supprime. Cela prouve bien qu'en fait, les gens qui passent dans les vidéos et qui disent des conneries, c'est tenter que ce soit des conneries. Ça dépend pour qui. Bah, c'est des gens qui l'ont voulu, premièrement. Et du coup, c'est un tri. C'est-à-dire que ces gens-là ont un ego qui est démesuré et ils ont envie de se montrer aux autres.
Ils ont envie de prêcher leur bonne parole. Donc ce n'est pas le bonheur. Mais ça veut dire qu'ils ont le culot, au moins, de faire ça. C'est intelligent, c'est intéressant. L'abc du passion, que moi, c'est plus le psychologue. Ça, c'est... Je serais assez curieux de découvrir c'est quoi la psychologie des gens qui aiment se montrer sur Internet. Moi, si j'avais pas ma chaîne YouTube, je détesterais me montrer sur Internet, pareil. Et je trouve ça très intéressant, ces gens qui sont très égocentriques. Je pense en fait que c'est des gens qui aiment parler. Il faudrait qu'il
faut quand même découler, et bien sûr une... de perdre. Et pense à moi, j'ai du respect quand même pour un... Est-ce qu'il y en a... Même après ce qui se mange sur l'avant dans les commentaires. Et déjà pendant, qu'ils vous envoient des messages qui me disent, oui, pour qu'ils discutent un petit peu avec moi. Mais ne demande pas d'être aux leurs. C'est vrai, la plupart des défauts s'appellent. Je n'ai jamais eu une personne que j'ai interrogée dans mes vidéos qui m'a dit : "A, j'ai trafiqué au montage de ce que j'ai dit." Et c'est moi,
j'ai toujours laissé tel quel les cuts. Que ce soit les gars aussi, peut-être, le faire. Lancer rien mais vraiment, les trucs qui coupent le rythme de la vidéo, tu vois. Donc des fois, tu peux avoir l'impression qu'il y a énormément de cœur, mais ce n'est pas la phrase que je coupe. C'est vraiment juste pour le rythme de la vidéo. Du coup, Scott, les blancs, les trucs comme ça. Mais je n'ai jamais que tu peux dire une personne. Enfin, je ne quitte pas son argumentaire en servant de questions. Elles restent toujours ce qu'elle dit. Donc s'il
y a une bêtise ou quoi que ce soit, elle le dit. Généralement, ils le savent. C'est pour ça que je n'ai jamais eu un message d'une personne qui a dit sur les réseaux sociaux : "J'ai été interrogé par El Ryan, il a menti, il n'a pas mis une interview." Le premier qui me dit... Ça, j'ai toutes les archives de l'interview complète. Je garde toujours, je regarde toujours tout au cas où ça sort. Balance l'interview complète, comme ça il ferme sa gueule. Tu vois là alors ? Cède à pécho, la popularité, c'est indéniable que ça aide.
Passons, la popularité ça aide énormément, ça attire la curiosité des gens. Je ne parle pas que des filles, d'ailleurs, de tout le monde. Les gens veulent apprendre à se connaître, ils posent des questions, ils veulent faire ami-ami avec toi, ça, c'est une évidence. Après, moi, je suis dans une niche, et c'est très clivant. Donc c'est soit ça passe, ou ça casse au niveau des intérêts. Je j'en parle souvent des marchés niches, et quand tu es dans un marché niche, les meufs soit elles te détestent, soit elles t'adorent. Je suppose qu'il y a des meufs qui
m'aiment, et d'autres qui détestent. J'ai jamais eu affaire à ça, sauf à la fac, mais là, c’est parce que je n'avais pas encore commencé ma chaîne YouTube pour les entraîneurs. À mi-chemin vers ce vrai. Mais là, sur YouTube, jamais une fille ne me déteste. Par contre, elles adorent Kembo, puisque ce que je fais beaucoup sur ma chaîne cherche à donner. Il y a 10 % de femmes. Ça veut dire qu'il y a une personne sur dix qui regarde mes vidéos sera une personne sur dix sur la vidéo qui est une femme. Généralement, c'est après l'interview.
Tu sens que la nana a envie de continuer de parler. Ouais, tu fais quoi ? Pourquoi est-ce que tu fais ça ? Ça marche bien pour toi ? Hein. Tu sens que si tu forces un tout petit peu, tu peux vraiment l'avoir. Personnellement, je ne le fais pas, parce que ce n'est pas le lieu approprié. En tout cas, j'ai dans mon jeu. Sinon, je suis tellement dans "Moneyball", au Sahel. Il y a des lieux faits pour ça. Qu’on gagnera, dams éclat. Mais pour le coup, je suis tellement dans mon boulot que je ne sais pas.
Je n’ai pas le temps pour la génétique non plus. En revanche, si je voulais, je pourrais, mais je suis tellement en train de faire autre chose que ça ne m'intéresse pas. Est-ce que tu pourrais aborder les sujets que tu abordes dans tes micro-trottoirs afin qu'ils demeurent encore hors caméra, cachée YouTube, etc. ? Ou hors micro-trottoirs, à ce que moi, bien sûr, de façon dessus de la barre ? Ce bar, le genre de sujet dans l'est dans les rangs, car on parle de sujets politiques, culturels. Ça peut être qu'il y a des ventes avec certaines nanas,
après tout. Par défaut, ces clients-là. Par défaut, ses clients. Et oui, tu peux en parler, puisque dans tous les cas, ça fait toujours écho à ce que les gens vivent dans leur vie au bout d'un moment. Là, on vit en situation de passes sanitaires et pas mal de choses. Il y a ça, parle de vaccin, ça fait partie de l'actualité politique, ça touche tout le monde, donc ça va forcément ressortir à un moment dans la discussion, ne serait-ce que pour aller boire un verre en terrasse. Donc au bout d'un moment, toi, tu me parles de
drague de rue, de badinage. Au bout d'un moment, il y a souvent la question du harcèlement ou du consentement, ce genre de sujets qui finit par ressortir, où il y a au moins une nana sur dix qui est féministe, et du coup, elle va te faire tout un speech sur la question du harcèlement et de l'homme blanc privilégié. Donc ce que tu veux, ça finit toujours par ressortir, ce genre de choses. Maintenant, pour créer une connexion émotionnelle avec une fille sur ce genre de sujets, ça dépend du degré d'intérêt que la nana a pour les
sujets politiques. C'est-à-dire que si c'est une nana qui est dans la politique et qui s'intéresse vraiment à l'actualité politique, là, ça peut être un coup de foudre assuré, si vous avez plus ou moins les mêmes opinions. Pas que n'existent des couples dont les opinions politiques sont totalement contraires. Mais toi, tu amènerais le sujet sur la table volontairement, parce que tu dirais que ça va pimenter le rencard. Ou alors, est-ce que tu dirais : "Bon, je fais d'abord mon coucher ensemble, on évite d'en parler, on évite de parler de ces trucs-là et puis on verra après"
? En termes d'efficacité, qu'est-ce que tu choisirais ? Là, vraiment, on se met dans l'optique où j'ai juste envie de la bd. Ça dépend, en fait, de mon intérêt pour elle. Après tout, c'est peut-être que plus tard, tu coucheras avec elle, tu auras envie d'être en couple avec elle. Mais là, on va dire que ça, c'est ton but, c'est d'être efficace. Si je veux juste la nuque ouais, juste l'amitié islamique, comme ça, tu laquelle faire ? Je me suis mis dans un pot en philologie deux fois en deux minutes jusqu’à indiquer si je voulais juste
l'indiquer, ce que je lui en parlerais. Ouais, ça pourrait passer, après, non. Je pense que j'éviterais quand même certains sujets, mais il y a forcément, comme ça, dans les discussions, ça finit toujours par sortir une fois ou deux. Et moi, j'ai tendance quand même à assumer ce que je pense. Je n'aime pas qu'on dise quoi penser. Donc je te pose la question, peux-tu parler de politique lors de tes rencards ? Parce qu'on dit souvent ne parle pas politique, religion et de vos ex. Et il y a probablement pas mal de mecs parmi tes abonnés qui
disent : "Merde ! Est-ce que je peux aborder ce sujet-là ?" Il y a quand même des types pour qui la politique, c'est un truc important. Ils y pensent souvent, c'est un sujet qu'ils ont sur la bouche, qu’il soit à droite ou à gauche. Et ils se demandent : est-ce que je peux en parler au rancart ? Quoi ? À partir du moment où tu as créé l'impasse à susciter l'intérêt de la personne que tu as en face de toi, tu peux lui parler de ce que tu veux, elle finira par gober. Je pense que,
comme tu le disais tout à l'heure, ça fait partie de notre quotidien. Aujourd'hui, on est tous prêts à parler de politique toute la journée, ne serait-ce que du vaccin, comme tu l'as dit. Et moi, j'aurais dit que c'est une très bonne conversation sur mac, cinquième affrontement. Ça ne m'étonne pas, bah c'est des petits sujets, alors, pas des très bonnes, faut pas exagérer. Ce n'est pas non plus un sujet facile, mais c'est un choix. Je peux créer une première interaction avec une nana comme ça, en plus un bon prétexte à dire que, déjà, je suis... Enfin,
tu peux t'amuser là-dessus, tu peux créer des... Moi, j'aime pas, j'aime bien parler de sujets sérieux, mais en faisant le bordel, en rigolant, tu vois. Moi, je ne suis pas forcément l'homme le plus féministe au monde. J'ai certains trucs, quand même, que je trouvais intéressants dans ces milieux féminins, mais pas féministe. Mais il y a certains points communs avec le féminisme, ça ferait certains penser que j'achète. Je dégage, mais vraiment. Et puis, c'est vrai, je n'expliquerai pas un jour... Vraiment, je pense qu'il y a du bon. L'idée, bonne en tout cas. L'idée est bonne. OK,
ce n'est pas racheté. Et il m'est déjà arrivé de me retrouver face à des nanas qui étaient assez engagées dans leur combat féministe, et en fait, on s'est super bien entendus, on a bien couché ensemble. Et même, même, je me tais. Je la taquiner un peu, je rigolais un peu, têtu. Même parfois, des petites incohérences, comme ça, en fait. Mais comme tu fais dans tes, exactement ce que tu fais dans tes micro-trottoirs, c'est Messi qui leur ouvre quand même, c'est le cheval de Troie. Plutôt que d'arriver avec des arguments pour essayer de convaincre les autres
que tu as raison, ben tu lèves des petites incohérences avec humour. En fait, c'est bien. Je reste dans l'ironie, puisque après, tu passes au travers de ton prisme et de tes convictions. En fait, tu fermes, tu fermes ta... Tu élargis plus. C'est été possible de créer, en fait, toute forme de connexions possibles avec d'autres êtres humains. Quand tu es fermée, les prédéfinis... Du coup, tu ne pourras rencontrer que des gens qui sont d'accord avec ton politiquement. Tu ne pourras plus jamais avoir l'interaction avec la fille qui est en train de lire un livre là-bas et
qui est peut-être de gauche, soi-disant, j'en sais rien, mais je m'en branle. Quoi ! Je peux au moins parler avec elle pendant 15 minutes. Dans les quinze minutes, après, peut-être on n'est pas d'accord sur tel ou tel sujet, ce paravent mangé. Sain aura bien un tragique Huawei, et ça, c'est un très bon argument. Du coup, ça peut aussi vouloir dire peut-être pas d'être auto-parler de politique. Mais c'est super vrai ce que tu dis, c'est la beauté de la rue. Je pense qu'on rencontre un panel de nanas qui est super diversifié, et moi, j'en suis ravi.
Parce que le problème de la fac, c'est qu'il n'y avait pas un type de meuf d'heure. Quand je les rencontrais, des gars comme toi, défi l'origine quoi, je me suis dit "Melissa existe". Je croyais qu'il n'y avait que des sorgues, le vaisseau d'or, des jeux de la bla, bla, valeur du mot dessus de tout. C'est l'ouverture d'esprit, en fait. C'est de parler avec tout le monde. C'est vraiment la... [__] de valeur. Du mois de suite, où tu es couché avec une fille. Moi, je trouve ça très excitant de me dire que je couche avec une
fille qui ne pense pas du tout comme moi. Parfois, même, elle ne sait pas forcément comment je pense d'ailleurs, mais tout ça est hyper excitant. Touchés avec des filles qui n'ont rien à voir les unes avec les autres, qui pensent créer une connexion avec l'amour jumel. Ferrante, dans mes micro-trottoirs généralement, nous pose souvent la question. Nous demande d'aller faire par exemple des micro-trottoirs avec des personnes, justement, qui sont peut-être en accord avec moi. Histoire de soulager un petit peu la bonne conscience des gens qui me suivent. Ce serait peut-être un qui serait d'accord politiquement avec
ce que moi je pourrais penser. Et moi, en fait, la question c'est toujours : non, ça ne stimule pas. Justement, d'aller parler avec des gens avec qui je ne suis pas forcément d'accord. Moi, je trouve plus à ça. Ça me stimule plus l'idée de me dire que je vais avoir des places de la République et interroger des gens avec qui je suis en opposition totale. Parce que c'est là qu'il se passe quelque chose. Il y a du pain, comme tu dis, tu vois, il se passe quelque chose. Et puis, il y a une vraie connexion
qui s'établit. Lui-même, des fois, je ne finis même pas par continuer à discuter avec les gens hors caméra, et c'est toujours intéressant. Et non, je trouve que pour le coup, la rue, c'est ça que c'est magique. C'est d'ailleurs aussi pour ça que je ne vais pas aux manifestations. Parce qu'en manifestation, c'est comme à la fac, il y a une sélection. Il y a une sélection de pensée, donc les gens pensent pareil. Ils ont déjà un discours qui est prêt, qui est prémaché. Donc, ils savent quoi répondre, ils sont déjà préparés à l'idée qu'ils aient des
caméras. Donc, à véhiculer leurs discours. Donc là, on a affaire à des prestataires. Tandis que dans la rue, les gens ne sont pas parfaitement préparés. C'est toi qui les amènes sur certains sujets. Tu leur fais poser les questions qu'ils n'ont pas. Forcément, l'habitude de se poser... Et puis, généralement, c'est assez spontané. C'est même très intéressant parce que je peux leur faire évoluer, je peux faire évoluer leurs schémas de pensée, vu qu'ils ne sont pas tranchés sur certaines questions. Tu leur présentes le schéma de pensée d'un camp et de l'autre, et puis après, ils vont faire
leur mix. Puis, ils rentrent chez eux avec les arguments. Tout le monde ne me pose pas des questions aussi, je me pose moi-même mes questions. Soit c'est une catastrophe. C'est quoi le secret pour tomber à l'examen ? Mme Leila, ben non, c'est la première question que j'ai vue. C'est quoi ce crime à l'héroïsme ? Bonne soirée pour lui, Talât avec les Roger. L'absence ne pèse pas déjà sur ton cerveau et s'adapte au projet. Donc, au bout d'un moment, tu te bats les couilles. Mais au-delà de tout ça, je dirais que c'est le fait d'avoir des
objectifs. Quand tu sais ce que tu veux, tout ce qu'il y a autour du handball, et oui, c'est beau si tu sais où tu veux aller. Globalement, tout ça autour de la photo, mon secret pour m'en battre les couilles, que ce soit en vidéo ou dans la vie de tous les jours, c'est que je sais où est ce que j'ai envie d'aller. Alors, nouvelles questions. Toi et moi, on est des nains selon certaines. Tu mesures 1,75 m et moi, moins 1,76 m. Qu'est-ce que tu dirais au niveau de l'importance de la taille ? Alors, Jamie,
selon certaines, je te dis : toi et moi, on mesure un mètre un million cent seize centièmes. Je pensais quand même aussi, c'est triste. J'aurais aimé un mètre 76. Ben, je tiens vraiment, enfin, je tiens beaucoup d'importance au culot. Au moins, le culot a énormément d'importance dans ce genre de situation. Est-ce que, admettons que je fasse vraiment avec 60 qui sont humains, etc. Plus tu vas donner de l'attention, plus tu vas montrer que tu es complexé par rapport à ça. Plus la meuf en face de toi va le remarquer. Du coup, on va te poser
des questions dessus. Tandis que tu ignores totalement, déjà rien que le ressort comique et les normes. Parce qu'en fait, HEC, parce que déjà le secteur 1, et en plus tu n'en parles pas. Deuxièmement, tu t'emballes, et quid donc, c'est encore plus stylé. Donc déjà, tu as meilleur thé chance de pouvoir, suivant pourquoi. C'est en France, il y a deux personnes sur qui tu peux taper : les roms et les nains. Bataille, c'est vrai que sur le reconnaître, c'est quand même un critère super important, tout important, mais comme des coefficients, c'est comme les costumes et rattrape
dans d'autres matières. C'est un marché, pas... C'est comme si la taille, pour moi, c'est comme si tu passais un bac S avec équité. Petit, c'est comme si tu passais un bac S avec une mauvaise note en maths. Donc, c'est vrai que ces casques whiskas vt, la CFDT reste la bio et bases de la physique chimie. Et voilà, c'est ces cas... Ce que l'on peut avoir, tu l'as dit : le fait, en fait, quand tu es petit, tu es petit, tu ne peux rien y faire. Si tu peux te mettre des semaines... À la limite, moi
je ne pensais pas idiot, à vrai dire, si vraiment tu es efficace, je dois placer le mètre des semaines, mais des timbers. Voilà, la bande audio du film de cul, Outardes Wakim, et qui m'aidait, Timberland sur la tête de ma mère, ce n'est pas la meilleure chose à faire. C'est de l'accepter, comme tu dis, d'y aller au culot. Et en fait, comme tu dis, ben la meuf... Enfin, le fait d'y aller, d'ignorer, en soi, vu que tu es petit, tu parles vraiment petit, c'est tellement étonnant qu'un homme petit... Bienvenue par les loisirs, mais ce mec
doit avoir un truc quoi, c'est pas possible. Est-ce qu'il a une grosse [ __ ], est-ce qu'il a un truc quoi ? Et si tu portes de l'attention à des défauts, tout le monde va le remarquer. On dit que si tu es sans même essayer de les masquer, ou alors même encore pire, c'est être le premier à t'en vanter, et dessus, c'est encore plus puissant. Ce qu'on en fait, les gens, après ils peuvent plus trop lent sur ce genre de sujet. Mais à partir du moment où tu t'es déjà mis certaines balles quand même dans
le pied à propos des sujets qui peuvent te complexer, en fait, la personne en face de toi, elle ne peut plus rien dire quoi. C'est génial, à un tel taux, valorise. C'est Eminem a commencé ça, on semble bien ridicule. Cheveux 403, quelques Ribao, je suis premier à rire, mais après, de bon, ne me trompe pas, je suis désolé. Pour moi, c'est la mi-temps à 75,9 ; bien en dessous d'un mètre soixante-dix qui s'annonce peut-être à devenir un peu problématique. C'est vrai, quand soudain 8/10, la taille commence vraiment à toucher. Mais après, je veux dire, les
femmes qui font un mètre quatre-vingts, Sakura l'aérée, non plus, elles sont aussi, elles-mêmes, complexées par leur taille. Donc, je suis désormais l'un à 80. C'est déjà grand pour un homme, c'est très grand. Même si tu fais un mètre soixante et que tu arrives à toi, une fille qui fait un mètre cinquante. Après, tu fais de la muscu, du bruit, parce qu'il faut que tu la domines quelque part. C'est ça le truc. Mais c'est ça, et idéaliste sur quelque chose. Exactement, il faut qu'elle t'admire, qu'elle te voie d'en bas. Sur un truc, il y a plein
d'avantages. D'être un mec, c'est qu'il y a plein de domaines sur lesquels on peut être grand. On peut être grand sur la challe, sur l'intelligence, sur la muscu, sur la [ __ ], même sur... Un peu faim et tout, et être super dominant au lit, qui aurait une manière de te rattraper, tu vois. Des approches étaient en vacances là, il y a quelques semaines dans le sud, et j'ai vu un mec, pas ses visées, Jean Ramet 75 quoi. Il n'allait pas très bon d'ailleurs, un peu normal. Il était franchement irrité, pas hyper beau, tueur !
Il sortait avec une meuf, c'est genre à mettre 80-85 jamais ! C'était une bombe atomique. Et j'aurais allé comme ça, j'ai dit : "Mais attends !" et là, je tenais comme ça par le choix du gym. Comme quoi, tout est possible bien sûr. On croit souvent des coupes dans la rue, où la meuf est un peu plus grande quoi. Après, c'est sûr qu'il y a toujours un truc un petit peu ma maison, parce que là, comment s'appelle ? La nature nous a pas sélectionnés pour ça, c'est-à-dire que, quand même, l'homme sa psychologie évolutionniste, quand même
l'homme qui apporte, y apporte les ressources. Il a été sélectionné mais logiquement pour avoir certaines prédispositions physiques. Il est un peu plus grand que chez les femmes, il y a plus de musculature. Donc on est quand même un peu plus donné. Maintenant, on est dans une époque où ces critères sont un peu revus à la baisse. Petit côté festif, et un petit peu féministe, vois, les tendances sont un petit peu en train de se... Moi, je suis totalement pour les gars, donc moi, j'adore les femmes plus grandes, j'adore les femmes noires, il n'y a aucun
problème, je trouve ça génial. Et puis ça donnera des avantages pour tes enfants, enfin pour la progéniture. C'est exactement, moi, je trouve ça génial. Quand elle a un faux jeu, coucher avec une fille, elle fait un mètre 76, j'étais une allemande 76. Je m'étonne pas alors rien à [__]. Ouais, mais tu vois, ça aussi, c'est bon. Côté là-bas, ils ont le bon féminisme, là-bas tu vois. La meuf, il n'y a pas de problème. Après, y'a pas de problème, égalité des chances, égalité des chasses, dure réalité des échasses. Et la nana, Judy M10, rage de ce
paramètre météo jeudi, mais méritée [__] de talons. Mais les méninges 85 bavassent, ça aussi, être bien dans tes baskets. Et surtout, ne complique pas, parce que si vous complexez, les gens finiront par le remarquer, quoi. Bon, ben les amis, j'espère que cette petite vidéo vous aura plu. Écoute, merci mec d'avoir tourné. Merci à toi, c'était drôle, j'ai passé un bon moment. Moi aussi, c'était sympa. Tosh, déçu quand même que tu ne sois pas fait reconnaître, mais ça fallait pas dire, mec, fils de [__]. Après, je vais faire de toi une star, mais qui s'embrasait [__].
Faire de toi et de stars, la veille, les principaux effets comme ça. Non mais j'ai mis ma casquette pour pas qu'on me reconnaisse, pas ce que tu sais. Moi, je suis quand même vachement visible à, moi, c'est le Bauhb, parce que quand j'enlève le bob, personne ne me reconnaît. Il y a un genre, une personne sur dix, et quand je le connais, c'est ça, comment ? Division 0, vivons cachés. En tout cas, les amis, à la prochaine, passez un bon week-end, un bon dimanche. À bien, tu vas où, les fils ? Jean, moi, j'ai besoin
de forcer. Justement, chez eux, la légende raconte que si son baume se cache, le néant. En fait, il n'y aurait rien, ah, il de lever un jour, d'où la discussion avec. C'est pour ça que je conseille sur les cheveux comment est-ce que les alouettes, à densité capillaire, c'est naturel. Même expliqué tout à l'heure a ajouté Méditerranée, cela a... C'est vrai.