[Musique] Vous marchez toutes les deux comme ça, et là, ça renvoie une sorte de mire un peu sombre, un peu, un peu comme Angela. Et tu vois mes versions, version côté sombre de la force, quoi. La petite en verte là, je peux, toi, j'ai pas osé.
Faut qu'on doit souvent te dire : « mettons, masse, qui est fait, on dirait un peu une couche d'enfants », et pas, mais c'est pas, c'est très bien. Mais il y en a, des types de masques, on va dire qu'il faut un peu couche d'enfants. [Musique] Ah bon, juste le sacre Mac, tu l'as chopé par curiosité ?
Excellente réponse, parce que j'ai trouvé super beau, et je me suis demandé si tu n'avais pas acheté d'occasion sur le bon coin. Il est vraiment, franchement, il est vraiment stylé. J'ai jamais vu un snack avec des rennes comme ça, Subaru, très bon style.
En tout cas, ça fait plaisir. Thueux, ils sont encore Oberle à la Fnac, c'est ok. Bah ça marche, bah merci en tout cas.
Ça lui, c'est quoi la marque de ton masque ? Sa valeur ? Ok, j'avais pas vu, c'est très stylé.
Écoute, après ça, ça me ferait plaisir, neutre, voire pour discuter littérature. Je fais ce que tu veux. Pas trop, pardon, je voulais juste dire que je t'avais vue, je te trouvais plutôt joli.
Tu as un axe entre à Juba, j'entends, tiens bon au goût, mais tu es doubs. Alors salut, toutes les choses qui sont difficiles, en fait, à la fin, quand on en ressort, on se sent terriblement bien. On est fier de soi, et ça, je le crois que c'est l'une des clés, non seulement pour vaincre la dépression, mais aussi pour, en fait, être sûr de soi et être bien dans sa peau.
Il y a une sensation de bien-être quand vous sortez de la salle de boxe avec les bleus sur les tibias et que vous vous êtes pris des coups. Il y a cette même sensation de bien-être quand vous sortez de là, d'une approche que vous avez provoquée dans la rue, d'une interaction. Il y a cette sensation où, en fait, vous étiez et aussi ce truc-là ; si vous étiez tellement concentrée sur le moment que c'est comme une séance méditative.
En fait, on a tellement été concentrés sur les mots, ça a tellement demandé d'énergie, et puis ça, c'est dur. Ça demande de la concentration, il y a l'adrénaline qui redescend. Et donc, il y a beaucoup de ressemblances, je trouve, avec la boxe thaï.
L'opportunité est bonne à prendre, ça coûte rien. Ouais, mais même, alors oui, effectivement, il y a le sac à dos de la culpabilité qui devient de plus en plus lourd, fur et à mesure des années. [ __ ] J'ai loupé ça, j'ai loupé, si j'ai loupé sa tournée, repenser ça, et ça, ce sont des chaînes comportant des fictions de plus en plus lourdes.
Mais au-delà de ça, et d'ailleurs, il n'y a aucune culpabilité quand on est partis. Moi, j'ai jamais eu, j'ai jamais connu un mec parmi mes clients qui faisait : « Je regrette tellement cette interaction, je regrette ce râteau ! » Quand les mecs reviennent après le râteau, alors ils sont un peu déstabilisés, il faut leur dire : « T'inquiète, on désacralise ça ensemble.
» Leur GSMA, des râteaux, c'est pas de la drague. Et en fait, vous, normalement, le mec, il est fier de lui, parce que quand on en reparle, on dit : « Mais, en fait, là, tu viens de me démontrer ta résilience. » [ __ ] De résilience que peu de gens ont.
La plupart des gens se seraient effondrés après ce rejet. Toi, tu es resté debout. Hier, Rihanna a juste sorti une vanne.
Dommage, c'est pas en vidéo, on l'a pas en vidéo. J'ai sorti une vanne sur le masque, c'est pas très drôle. Elle a dit à Arras : « Et tu trouves ça drôle ?
» Aurait dit ça comme ça, et j'étais avec un client à côté de moi, et j'ai dit : « Mais tu vois, ça, un débutant ou même moi il y a dix ans, je me serais fondu là-dessus. » Et c'est ce que m'a permis une des choses merveilleuses que j'ai appris dans la rue, c'est qu'en fait, plus rien, un peu de choses peuvent m'atteindre psychologiquement. Le rejet, m'atteint pas trop, Gilles.
Pendant un moment, là, pendant une ou deux secondes, après, j'oublie, en fait. Et le côté « bats les couilles », on parle souvent du côté « bas les couilles ». Bah voilà, une manière de l'obtenir.
Et je reviens à la boxe thaï, la boxe thaï, c'est pareil. Le premier jour, on arrive, on est tendu, on a les bogues, on a les gants comme ça, on est tendu. En boxe, dure, du coup, quand ce point qu’on a, super mal, et à moi, après, déjà, on est beaucoup plus sec.
Et en fait, on se prend des coups, mais c'est banal. C'est exactement la même chose avec les râteaux, les malaises. C'est tous les mecs qui misent malaise, malaise, s'en battent les couilles.
J'adore ton masque, il a une forme que j'ai jamais vue auparavant, c'est-à-dire une forme convexe, à la fois poussée vers l'avant. Ouais, tu joues, tu marches plus vite avec ça, non ? Tu sens que tu as du mal à rattraper quand elles marchent, ces autres, parce que je t'ai vu de loin.
C'est vrai que tu marchais. Tueur, on sent que tu montes la rue plus vite, limite, c'est comme si je voyais l'air qui passe sur les côtés. En fait, exactement, tu es pilote.
Tout, t'as été pilote. Quand tu es petit, tu avais genre 5-6 ans, tu pilots et des planeurs. En général, c'est les enfants, ils pilotent plutôt les planeurs.
Après, quand tu grandis, les avions de chasse ou les avions, il faisait état. Mais en fait, c'est ce qu'on appelle, bac, tu le sais, mieux que moi, le phénomène de portance. Portance, tu sais, c'est en fait ce qui fait que l'air passe sur le côté de l'ale.
Est-ce qu'ils aspirent finalement le truc? Vous, qu'en fait tu te sens inspirée. Non, avec ce masque, c'est incroyable !
D'où tu nous sors ce masque ? D'où ça vient ce truc ? Moi, je veux savoir qui… dis-moi qui, qui, qui a ce masque ?
C'est un British masque à Cannes. Arrive qu'on peut masquer… Prises le port de masques. Moi, je veux… je peux en trouver comme ça.
Je vais faire un business ! 2, ouais, j'avoue plus tard. Mais il faut des Chinois pour m'aider à bosser.
Mais là, ils veulent plus. Vous n'êtes pas des potes étudiants, là ! Fauché, qui auraient besoin d'être payés 5 euros de l'heure, il y a moyen pour faire des masques comme ça, quoi.
Je voudrais faire plein. Après, je viens millionnaire, donc ça, ça m'évitera d'aller couper du bois dans l'est, dans les forêts, quoi. Cela, je suis bûcheron aujourd'hui.
Du chemin, je suis plus rond. Je travaille le bois de Boulogne. Moi, je pense que l'avenir… il allait finir.
L'avenir, il est là ! Ce n'est pas en fac de socio que vous allez trouver du bourg à nous. On va utiliser du titane, du titane et de l'edu et de la platine justement.
On va faire un truc pour les gens riches. On va faire… on va aller dans une niche. Ça s'appellera le masque.
On va faire des masques de niche. Qu'est-ce qu'on appelle ça ? Des masques de niche.
Donc, on va vendre des masses. En fait, moi, je vous dis un truc, juste les fismois. Moi, j'ai une vision pour le monde.
Je crois que les gens, demain, exprimeront leur statut social au travers de leurs masques. Et ça veut dire que, tu vois, ces masques de pauvres, va, et ce côté tueur au masque de classe moyenne. Sub, et nous, on va faire des classes de classe subsume.
Voilà, tu vois. Et je vais dire : attends, la classe ultra-sup. Tu sais ce que c'est ?
C'est ceux qui n'ont pas de masque. C'est pourquoi ils n'ont zéro masque, pas de masque, parce qu'en fait, ils sont tellement riches qu'ils peuvent se permettre de payer toutes les amendes. Donc ça, en fait, ils s'en foutent.
C'est la classe, tu vois. Il y a un flic qui passe. Je dirais : "Monsieur, vous n'avez pas de masque.
" Tu sors les biftons. Je dis : "Tiens, allez hop, on va t'acheter un cinoche. " Wave à Zidane… madone, maintiens par hasard.
Thomas, c'est AFP. Trois îles et genre bluffant, quoi ! Genre, ton masque est très beau, mais c’est enfin… il y a un côté très high-tech, fintec, que je n'ai jamais vu auparavant.
Mais c’est un trop beau cadeau ! En vrai, je viens de me donner le cadeau pour ma sœur. Vous ne savez pas quoi offrir.
Et en plus, à trois roses, apparemment ça donne le sourire. Donc, fait que le petit drapeau basque, du coup, on peut penser que tu es danoise ! Ses salades, c'est Danemark sonne.
Tu sais ce que tu portes, quand même, tu l'as déjà vu ? D'accord, ouais, pas de soucis. Tarde un accent juste et partagé à Drsde.
Whittier, Yahoo, Chluski, dans un livre. J'ai pris un petit livre, tout petit. Je suis ravie, plein de rencontres en russe.
C'est trop cool ! Ah bah, j'ai des amis russes, mais je n'ai pas rencontré deux femmes russes au corps. Ouais, carrément, bah ouais, trop cool.
On va échanger, on va échanger de numéro, super. T'as d'autres coptes ? Plein de copines russes, j'en ai tous mes potes français, puis on va créer des rencontres.
C'est trop cool ! Il y est alors ? Donne-moi ton numéro d'appel, Anastasia !
Et mon pote russe, Hindi, mec ! Pourquoi les Français ? Cela ne peut même pas… je suis désolé, c'est vrai que c'est bizarre.
Et ils ne s'imaginaient pas à ça. Ils me disent : "Un russe, quand il vient en France et qui rentre chez lui, il n'aime plus la France après. " C'est pas vrai.
Je dis : "Moi, tu viens d'où en Russie ? Moscou, Moscou, va, davaï, davaï. " Bah ouais, ok.
Bah écoute, on peut essayer de se retrouver tout à l'heure. Ce n'est pas sûr à 100% que je sois dispo, mais ça me ferait bien plaisir. Léo, enchanté.
Comment tu dis enchanté déjà en Russie ? À tout à l'heure. Alors ça, lui, en fait, quand on discute avec une fille, peu importe le résultat, d'avoir affronté sa peur, d'avoir provoqué quelque chose qui n'existait pas à la base, d'avoir créé finalement une interaction ex nihilo comme ça, qui sort de nulle part.
On se dispute à 10 ans. On sent qu'on a deux là, on sent qu'on a de l'emprise sur notre vie. Et le sentiment, après coup, il est incroyable.
Il y a un sentiment, certaines, un peu d'invincibilité, quoi. C'est vrai, je suis capable. N'importe qui ici, dans ce parc, je peux parler avec sept personnes, homme ou femme, d'ailleurs.
Être capable de créer une interaction sociale à partir de rien, j'ai presque envie de dire, c'est l'un des pouvoirs les plus puissants au monde. En lega, moi, je suis accro à ça. Je n'arrêterai jamais, je n'arrêterai jamais les interactions sociales.
Aucun confinement ne m'arrêtera, aucun masque ou quoi que ce soit. Et ils iront le chercher avec les temps que s'il le faut. J'en ai rien à faire !
Je continuerai à faire des interactions, parce que c'est la vie ! C'est ça ! La rue m'a tout donné.
Comme je dis tout le temps, ça fait un peu dealer de drogue, mais moi, je dis ça faisait dix ans que je m'étais pas retrouvé dans une période où je parlais plus aux gens. C'est après une fois, depuis dix ans, que j'ai commencé à 16 ans. C'est la première fois que je me retrouvais quatre mois sans aucune interaction sociale.
J'en ai une très jeune équipe, jeune, mais très peu. Eh bien, je vous garantis que maintenant, je. .
. Sais exactement ce que la rue m'a offert, parce que je sais ce que j'ai perdu. Quand j'ai repris, je le vois maintenant, là sur le terrain, ce que j'ai perdu.
Et plus jamais j'arrêterai. Donc, que de belles choses ! Je pourrais faire.
Des fois, j'en parle en club, et ça fait des longues réunions, mais je pourrais en parler des heures et des heures de tout ce que j'ai appris dans la rue. En fait, c'est incroyable. C'est juste les deux plus belles choses qui me soient arrivées dans la vie : la boxe thaï et la rue, quoi.
Voilà, les deux choses qui font peut-être d'un garçon un homme. Aux siens.