Le mec que vous voyez à l'écran, c'est Scott Galloway. C'est un gourou business qui pèse de plus en plus aux États-Unis, qui est devenu richissime clairement en investissant dans l'industrie de la tech, qui a écrit des bouquins, qui est professeur également de business à l'université de New York. Dans cette vidéo, il nous donne ses quatre meilleurs conseils pour gérer sa vie financière et amoureuse lorsqu'on est en fin de la vingtaine ou au début de la trentaine, donc comment gérer au mieux sa trentaine, en gros, avec des conseils auxquels on ne penserait pas instinctivement.
Je trouve qu'il a une approche assez contre-intuitive mais passionnante, donc on va écouter ça. Ce mec est totalement légitime pour nous donner des conseils sur ce plan-là. Donc, je vous invite à prendre votre pop-corn et à regarder ça avec moi.
Allez, on est partis. I think it's really situational; I don't think there's a user manual. I think there are some best practices, and I don't think it's that much different than in your 20s.
The first is very primal. I think every person in their 20s and 30s should lift heavy weights and run long distances. In their brain and in the gym, push your muscles and your endurance.
You don't even realize how old you are. 34? Okay, so like, you look like a beast.
In 20 years, you're just going to look back on how strong you were and just marvel at it. And you're going to wish, as strong as you were, that you had even pushed yourself harder. I rode crew; it was such a valuable part of my life.
I did it at the age of 19, and I remember in the midst of a race, it's a 2000-meter race, and I remember not being able to feel my legs, starting to black out, and having to concentrate on not blacking out from exhaustion. The oxygen, or the air, going down my esophagus was on fire, like blood and metal in your throat. Yeah, and that was at 800 meters, and you go 2000.
That ability—just when you think you can't take anymore—means you're about a third of the way to your limits as a human, as a species. Learning that as a young man or woman is a blessing because what it means is you have the confidence that when things are hard physically, emotionally, or mentally, you realize, "Oh mon dieu, en fait il est pour moi. " Le secret, si je peux dire, de la confiance en soi est en partie là.
C'est-à-dire démontrer à son corps qu'on a un contrôle sur l'univers via le contrôle de son propre corps. Je ne peux pas contrôler ni influencer l'univers tant que je n'ai pas réussi à contrôler mon corps. Le fait de contrôler son corps, que ce soit en soulevant des charges lourdes, en me déplaçant rapidement d'un point A à un point B, en nageant, en escaladant, et en me battant éventuellement, tout cela renvoie un message à mon cerveau comme quoi je suis adapté à mon univers.
Je suis une bonne machine de survie. Ce véhicule que j'occupe en ce moment me permet de survivre dans cet environnement. Il me permet de survivre, et donc le message que je renvoie à mon cerveau, c'est : "Détends-toi, c'est bon, tu sais courir, tu sais te battre, tu sais escalader, tu sais grimper, tu sais nager, tu sais te déplacer d'un point A à un point B.
" C'est bon, tu peux te détendre. Le niveau de stress diminue, le seuil de stress diminue, et le sentiment de confiance en sa capacité à contrôler son corps, et donc son univers, augmente. Pour moi, c'est la première étape.
Une fois qu'on sait contrôler son corps, c'est beaucoup plus facile de contrôler son cerveau. Une personne en bonne santé est capable de faire grimper rapidement son rythme cardiaque s'il y en a besoin pour un effort soutenu, mais juste après, dès qu'il n'y a plus besoin, elle doit redescendre son rythme cardiaque au niveau de repos. Ça, c'est ce qu'on appelle la variabilité de fréquence cardiaque.
Plus vous êtes en bonne santé, plus la variabilité de fréquence cardiaque est élevée. Donc, je peux faire circuler mon rythme cardiaque au maximum très rapidement, et juste après l'effort soutenu, je le ramène au rythme cardiaque de repos le plus bas possible. Quand vous vieillissez, et ou quand vous arrêtez de prendre soin de votre corps, généralement vous allez avoir beaucoup plus de mal à faire monter le rythme cardiaque lors d'une effort, et à atteindre votre maximum.
Plus on vieillit, généralement, plus la fréquence cardiaque maximale diminue. Quand on a 20 ans et qu'on est en bonne santé, on peut monter à 200, et quand on a 30 ans et qu'on ne fait plus trop de sport, le rythme cardiaque maximal va peut-être être de 180, 185, ou 190, en tout cas, ce sera plus bas, et ça va diminuer avec l'âge, surtout si on ne fait pas de sport. Le rythme cardiaque au repos va avoir tendance à augmenter si on ne fait pas de sport.
Les médecins, on attend vos retours à l'écrit avec grand plaisir. Alors, lui, ce qu'il dit, c'est qu'il vaut mieux être un petit poisson dans une grande mare, parce que par comparaison ascendante, on va se comparer avec des gens qui sont meilleurs que nous, et ça va nous pousser vers le haut. Si vous vous comparez avec des gens qui sont trop au-dessus de vous, ça va vous écraser.
Si vous vous comparez avec des gens qui sont un petit peu au-dessus de vous, ça va vous stimuler, ça va vous pousser vers le haut. Des gens qui sont à votre niveau ou en dessous, vous n'allez pas progresser. Et si vous vous comparez avec des gens en dessous, ça va vous faire du bien à court terme.
Vous allez avoir un shoot d'estime de vous, mais vous n'avez pas progressé. C'est pour ça que je dis souvent que c'est bien, finalement, c'est bien de ne pas s'aimer, parce que quand on ne s'aime pas, on a envie de changer les choses. Moi, j'ai toujours dit que l'estime de soi était surcôté et que ce qui est sous-côté, c'est le sentiment de contrôle qu'on a en ses capacités.
Le fait d'avoir une bonne estime de soi, de s'imaginer beau, riche, grand. . .
tout ça, ouais, c'est bien, c'est bien à l'instant T. Ça me donne un sentiment positif, de la sérotonine, mais ça ne me donne pas la dalle. Ça ne me donne pas envie de continuer.
Par contre, si je me dis : « Euh, je ne suis pas musclé. Euh, si je me dis que, euh, je ne suis pas au top, je ne suis pas optimal sur mes connaissances, il faut que j'apprenne plus, euh, il faut que j'aille plus à la muscu, il faut que j'en fasse plus », bah ouais, ça, ça va me pousser vers le haut, la dalle. Et ce ne sont pas les mêmes neurotransmetteurs qui sont impliqués, d'ailleurs.
Pour illustrer ça, et en schématisant et en vulgarisant grossièrement, il faudrait voir le rôle antagoniste que joue la sérotonine par rapport à la dopamine. Donc, la sérotonine, c'est un neurotransmetteur qui est impliqué dans plein de phénomènes, mais qu'on va retrouver, par exemple, dans la satisfaction, dans l'estime de soi, dans le fait de se sentir bien. Voilà, quand vous êtes posé avec votre famille ou vos amis au resto et que tout se passe bien, que vous êtes en train de contempler ce que vous avez fait tous ensemble en vous disant : « Voilà, quand même, on est bien là en ce moment, ça se passe bien », là, vous êtes satisfait, vous êtes repu, vous vous sentez bien.
C'est la sérotonine, en partie. Je schématise. Ce qui est intéressant, c'est que la sérotonine a un rôle antagoniste avec la dopamine.
La dopamine, en revanche, c'est plutôt ce qui va vous pousser à la prise de risque, ce qui va vous pousser à fournir des efforts pour atteindre un objectif, ce qui va vous pousser donc à ne pas être satisfait de l'état présent, de ne pas être satisfait avec ce que vous avez dans l'instant T. Donc, si vous regardez dans le miroir et que vous êtes là en mode : « Ah, je suis bien quand même, je suis bien baraqué, j'ai le corps qu'il faut », ou alors vous regardez votre compte bancaire, ou vous regardez l'état de vos connaissances, vous dites : « Je suis bien quand même, ça va, franchement, ouais, c'est bon ! » À ce moment-là, vous n'êtes pas en train de vous dire : « Il faut que j'aille affronter des ennemis, que je parte à la salle, que je soulève des charges lourdes, que je me pousse vers le haut.
» Vous êtes en train de vous contenter de ce que vous avez. À ce moment-là, donc, pour revenir au conseil du monsieur : quand vous vous comparez avec des gens en dessous de vous, votre estime de soi grimpe, c'est de la sérotonine, mais vous n'avez plus la dalle. Vous n'avez pas envie d'aller affronter le monde, parce que vous vous dites : « Je suis bien comme je suis, c'est top !
» En revanche, si vous vous comparez avec quelqu'un qui est au-dessus de vous, alors oui, ça va écraser l'estime de soi temporairement. C'est ce qui va vous pousser à avoir la dalle. C'est l'insatisfaction qui pousse au développement.
Donc, plutôt que de chercher à avoir confiance en soi ou de s'aimer tel que tu es, non, ne t'aime pas ; en revanche, a confiance en ta capacité à changer. Ce que je vous répète depuis des années. Donc, il fallait que.
. . comment il s'appelle ?
Pas Laam, je crois, Etex. Il nous le dit, pardon les gars, qu'est-ce que je vous répète depuis des années ? Badinage.
Et c'est intéressant, parce que s'il a besoin de rappeler ce conseil-là sur cette vidéo qui est toute récente, ça doit faire un an, pas plus qu'elle est sortie. S'il doit rappeler ce concept, qui, pour sa génération, est probablement assez simple et banal, s'il est obligé de le rappeler, c'est parce qu'en fait, les jeunes aujourd'hui n'ont plus le réflexe de parler autour d'eux avec les gens qui sont autour d'eux. La capacité de lancer une interaction ex nihilo, euh, avec une commerçante ou un commerçant, avec une femme euh qui vous plaît ou avec un autre homme, elle est précieuse cette compétence.
Elle est rare et elle est précieuse. Est-ce que vous avez déjà essayé de faire la petite conversation avec une caissière et de voir son visage s'illuminer ? Moi, j'ai eu de la chance, parce que j'ai eu un papa qui était, euh, pour le coup, qui faisait partie de cette génération, euh, d'hommes, enfin, je ne sais pas si c'est une question de génération.
Non, je ne pense pas du tout. Mais mon papa, en tout cas, était très sociable. Je le dis très sincèrement, j'ai appris ça, le badinage, moi, je l'ai appris avec mon père dès tout petit.
Il avait une phrase qu'il nous répétait quand on allait faire les courses : au moment d'arriver, il nous disait : « Allez, on va faire rigoler la caissière aujourd'hui ! » Donc, il arrivait, il sortait sa petite vanne de papa, et puis, la caissière, elle rigolait. Bon, des fois, elle ne rigolait pas, mais bon.
Et là, il nous faisait une petite blague. Après, tu as vu, elle n'a pas rigolé. Bon, on essaiera une autre la prochaine fois, etc.
À la fin de chaque interaction avec la caissière, mon père disait toujours : « Tu vois, elle attendait que ça ! » Et je ne dis pas que c'est vrai à 100 %. Il y a peut-être des caissières qui ont envie qu'on leur foute la paix, bien sûr.
Mais en tout cas, le message que ça m'a renvoyé dans la tête, c'est vraiment : ouais, les gens ont envie de parler, tchat avec la caissière, limite pour son bien-être à elle, parce qu'elle a croisé 150 milliards de Parisiens qui lui ont fait la tronche. Dis-lui un truc sympa, fais-lui une vanne, fais une petite connerie. Et ce n'est pas juste par altruisme que je fais ça, c'est par intérêt personnel, parce que ça stimule mes compétences sociales, ça augmente ma capacité à rapidement trouver quelque chose à dire, la créativité.
Et puis parce que si demain, la caissière elle est super jolie, si demain juste derrière moi, la nana qui attend rigole, et c'est une jolie femme qui me plaît, eh bien ça me fait une rencontre. La vie est un échauffement avant de rencontrer la bonne. Moi, c'est parce que, et mes clients, c'est parce qu'à chaque fois qu'on a une opportunité, homme ou femme, eh bien on va saisir l'occasion, l'opportunité de faire rigoler la personne, de lancer un peu l'interaction, de créer de la tchatch avec le facteur, avec le mec qui est assis à côté de moi dans le bus, ouais, jusqu'au jour où ce sera la femme de ma vie.
Jusqu'au jour où c'est une gonzesse que je trouve super jolie, avec qui, boum, ça déroule derrière. Et quand vous avez cette capacité, aujourd'hui précieuse et rare, de créer des rencontres, vous avez un immense pouvoir. Vous avez la capacité à provoquer ex nihilo une interaction.
C'est un énorme pouvoir. Le premier réflexe, aujourd'hui, pour un mec de 20-30 ans pour rencontrer une femme, c'est inertie, c'est les applications de rencontre. C'est chaud, quoi, d'avoir besoin d'un intermédiaire pour rencontrer une femme.
C'est chaud, non ? Je n'ai pas besoin d'une institution pour rencontrer une femme. J'ai le contrôle de ma vie amoureuse.
Je ne mets pas le destin de ma vie amoureuse dans les mains d'un algorithme. C'est moi qui décide. Et moi, j'ai des fois des mecs qui ont des résultats sur Tinder, sur les applis, qui me disent : « Mais en fait, ça me casse les couilles, quoi, parce que je ne contrôle pas, je ne décide pas de qui je vais rencontrer.
C'est l'algo qui décide pour moi, comme un jeu vidéo. T'as l'impression d'être libre ? Eh bien non, tu n'es pas libre.
Il y a des développeurs qui ont décidé du périmètre que tu avais le droit d'explorer sur Tinder. Il y a un périmètre qui t'a été octroyé. C'est que vous allez vous batailler pour 5 % de la population féminine.
Non, moi, je n'ai pas envie. Moi, je veux pas de limite. Je veux la liberté.
Bah, liberté financière, liberté amoureuse, c'est pareil, hein ? C'est bien beau de courir après la liberté financière, c'est bien beau de courir après l'absence d'intermédiaire. Je ne veux pas de patron, machin.
Bah ouais, mais coupe les intermédiaires entre toi et la future femme de ta vie. Voilà, c'est le même principe. Si vous voulez vous émanciper de cette nouvelle hiérarchie sociale qui est en train de se créer sur les réseaux sociaux par le nombre d'abonnés, et souvent déterminée par le physique, hein, si vous avez une nana qui est canon, elle a 100 000 abonnés sur Insta.
Le seul moyen d'accéder à une femme comme ça, c'est en lui parlant au Starbucks dans la queue, quand elle va chercher son matcha latte ou je ne sais pas quoi. Mais c'est beaucoup plus simple, vous passez à travers toutes les barrières. Les gars, vous sortez du schéma classique.
Donc moi, je le dis, hein, apprenez à cultiver cette capacité merveilleuse qui est la petite conversation, le badinage. Il y a toujours un peu, même, il y a du flirt dans le mot « badinage ». Apprenez à badiner pour faire plaisir aux gens, pour leur apporter du bien-être : la caissière, le barista, peu importe, pour rencontrer des gonz qui vous plaisent, prendre le contrôle sur votre vie amoureuse et pour faire du réseau, pour rencontrer des mecs avec qui bosser, des clients, des amis, peu importe.
Je reviens sur la notion de rejet. Je vous le dis sincèrement, les gars, je vais être un peu dur avec vous là. Ce n'est pas que je vais être dur, non, je vais être sincère avec vous.
On parle beaucoup d'hypergamie, de féminisme, et moi aussi, j'ai cru pendant une période que c'était la source de tous nos problèmes. Et je pense aujourd'hui que c'est, euh, l'hypergamie, le féminisme, on a bon dos pour justifier la perte de couilles des mecs. Qu'est-ce que j'entends par perte de couilles ?
Je pense que les gens, euh, deviennent de plus en plus timides. Je pense que les gens n'ont plus autant besoin qu'avant d'utiliser leurs compétences sociales pour obtenir des choses. Voilà, par exemple, là, si je veux commander un bouquin, je clique sur Amazon, boum, c'est livré.
Je n'ai pas besoin de parler au facteur. Je peux faire livrer les courses, je peux obtenir beaucoup, je peux faire de l'argent sur Internet sans avoir besoin d'aller parler avec des humains, littéralement. Et le problème, c'est que tout ça, effectivement, ça vient atrophier nos compétences sociales.
Je pense que les mecs, aujourd'hui, effectivement, ils ont peur. Ils ont peur d'aller parler à une fille, et c'est normal, c'est normal d'avoir peur du rejet. Mais la peur du rejet, elle a toujours été.
. . Là, pour tous les hommes de toutes les époques, on a toujours eu peur de se faire rejeter.
C'est normal, on est des animaux grégaires, on est des animaux sociaux. Se faire rejeter, ça revient un petit peu à une mort sociale, ça revient à l'idée de se faire rejeter de la tribu et de crever seul. On ne peut pas vivre seul.
On a beau croire qu'avec Internet, on peut tout faire seul de son ordinateur, tout ça. . .
Non, on a besoin des humains. Et au dernier niveau, même si vous avez acquis toutes les strates de la pyramide de Maslow, il vous restera le besoin affectif, le besoin d'être entouré de personnes qui vous ressemblent, des personnes de votre clan. Donc, on aura toujours besoin des autres.
On a besoin du regard des autres et on a besoin d'être aimé des autres. La première fois que j'ai fait une approche, j'avais 17 ans. Le mec à côté de moi avait 16 ans, s'appelait My et dit : « Vas-y, fais-le, va lui dire qu'elle a un bon style.
» Je dis : « Mais j'ai pas vu leur tête, je sais pas à quoi elle ressemble. En plus, elles sont deux, ça fait peur. » Il dit : « Si, si, vas-y, t'inquiète.
Mais attends, je crois qu'elles sont plus âgées que moi, en fait. Je crois qu'elles ont genre 30 ans, un truc comme ça. » Non, j'ai vu, t'inquiète, elles ont ton âge, tu peux y aller, vas-y, fonce.
Et là, le mec me pousse littéralement, il me pousse. Donc, j'arrive en trébuchant devant les deux nanas, au Forum des Halles, pour ceux qui veulent savoir, et je bégaye. Je leur dis : « Tu avais un bon style.
» Elles éclatent de rire et elles se barrent comme si de rien n'était. Évidemment, elles n'ont pas ménagé leur réponse : voilà, elles n'ont rien demandé. Il y a un ado qui débarque devant elles et qui leur dit : « Tu as un bon style.
» Bon, elles rigolent et elles se barrent, premier rejet que j'ai pris. Je reviens le voir, j'avais envie de l'engueuler, de dire : « Mais pourquoi tu me fais faire ça ? » Je vois que le mec est passé à autre chose, le mec, c'est rien, quoi.
C'est un peu de mouche, quoi. Tu ok ? Ouais, la meuf, tu ne l'as pas calculée, et alors ?
Et alors, tu passes à autre chose. Là, j'ai le choix de continuer à alimenter ce discours intérieur et donc de renforcer la charge émotionnelle, ou alors je décide de passer à autre chose doucement, de penser à autre chose. Et là, en l'occurrence, le mec qui était à côté de moi, il me dit : « Ah ouais, tiens, vas-y, on va refaire une autre approche et tout.
» Boum ! Et on passe à autre chose et on oublie. Un conseil que je donnerai à tous les jeunes hommes, c'est de passer par cette phase de rejet le plus tôt possible dans sa vie.
On ne pourra pas y échapper. Il faut, à un moment donné, soit vous le faites tôt, soit vous le ferez plus tard, mais ça fera plus mal. Parce que quand on est plus vieux, c'est plus difficile.
Quand on se prend un rejet social de la part d'une femme ou de la part d'un client ou autre, il faut apprendre le plus tôt possible à encaisser ça comme de l'eau, comme de l'eau, comme dirait B. R. On apprend à son cerveau que ce rejet, ce n'est pas la fin du monde, c'est rien d'affolant.
Il n'y a pas besoin de déclencher l'alerte dans tout le corps, c'est juste un petit rejet. Ça n'aura aucun impact sur ta vie professionnelle, sur ta vie sociale, sur ta vie amoureuse ou sur ta santé. C'est rien du tout.
Who you decide to ultimately have kids with. . .
J'ai des amis proches qui sont monstrueusement réussis par tous les critères externes, et ils n'ont pas de grandes vies parce qu'ils n'ont pas de vrais partenaires dans leur vie. J'ai d'autres amis qui luttent économiquement, et c'est dur, mais tout est un peu plus facile pour eux parce qu'ils ont un vrai partenaire. La manière de dépasser ses limites et de trouver un excellent partenaire, que ce soit émotionnellement, intellectuellement, d'un point de vue des valeurs ou sexuellement, c'est de vous donner le plus d'opportunités possibles.
Mon histoire, c'est que j'ai rencontré ma partenaire, avec qui j'ai eu des enfants, au R. W. Hôtel, à la piscine du Rale Hôtel à South Beach, il y a environ 17 ans.
C'était en plein milieu de la journée. Je suis entré et je pense que c'est important de le faire. Je suis entré et j'ai vu quelqu'un qui m'attirait vraiment, et je me suis dit : « Je vais parler à cette personne avant de partir.
» Je me suis promis cela et je suis allé vers elle en plein soleil de midi, alors qu'elle était assise avec des amis. Il s'est comporté comme un homme. Bon, je ne dis pas qu'il faut forcément aller aborder une fille qui est entourée d'un mec.
Il n'y a pas besoin d'en faire autant. D'ailleurs, c'est pour ça que, dans le programme sur la créativité, je vous explique comment apprendre à badiner sans avoir besoin d'en faire des caisses et des caisses, de devoir forcément faire un grand saut dans le vide. Les choses peuvent se faire beaucoup plus simplement, mais il y a toujours une prise de risque.
On peut minimiser cette prise de risque, mais il y aura toujours une prise de risque. Et cette capacité à prendre le risque vous ouvrira toutes les portes. Les mecs de son âge, peut-être qu'ils faisaient encore un peu ça, mais déjà, rien qu'à son âge, c'était exceptionnel ce qu'il a fait.
À notre âge, c'est fini, au plus jeune, les débuts, 20 ans. Font plus ça, mais c'est vu comme un truc de boomer presque limite. Pourtant, les petites gamines, les petites nanas de 20 ans, elles attendent ça parce qu'elles regardent les séries Netflix.
C'est pareil, ça que je connais, mais elles regardent des films dans lesquels le mec va parler à la fille. Et vous inquiétez pas, la société se modernise, mais les attentes féminines, elles ne changent pas. Les attentes féminines.
Le deuxième point qui est intéressant, donc, il parle de la capacité à choisir un partenaire. Les gars, il résume tout ce que je dis sur cette chaîne YouTube depuis des années. Souvent, les mecs, quand on leur dit qu'il faut que vous soyez dans l'abondance, ils paniquent.
Ils disent : « Ouaich, moi je veux pas coucher avec 150 filles ! » Mais personne t'a demandé de coucher avec 150 filles ! Ce qu'on demande, en revanche, c'est d'être capable de choisir une femme dans un grand échantillon.
Parce que si tu choisis une femme, et que c'est la seule qu'on t'a proposée, que tu n'as pas eu le choix, bah déjà, c'est un manque d'amour propre pour toi-même. C'est un manque de respect pour ta femme parce que ça veut dire que ta femme, la pauvre, bah c'est la seule qui a bien voulu de toi. Super, la relation, elle le sentira.
Tu le sentiras. Ça sera un mariage catastrophique ou une relation dégueulasse, faut le dire. Et si tu as eu le choix, si tu l'as choisie sur un échantillon de 10 nanas, de 100 nanas, parce que toi tu en as connu des nanas, eh ben dans ce cas-là, elle le sentira.
Elle saura qu'elle a été choisie. Elle saura qu'elle a été l'élue et c'est toi qui aura décidé : « C'est avec elle que je vais faire ma vie, c'est toi que j'ai choisi. » Vous renvoyez un excellent message à vous-même, mais aussi à la fille.
C'est flatteur pour la fille parce que tu as pu voir un certain échantillon de gonzesses avant de choisir la bonne. Tu sais ce que c'est, une femme qui est bien pour toi, une femme qui n'est pas bien pour toi. Mais le problème, c'est que les mecs passent trop de temps à se trouver des excuses, à dire : « Quand tu fais 1m95, c'est trop difficile !
Si tu as pas le physique d'Alain Delon, ça marchera pas. » Et il y a toujours une part de vérité, il y a toujours une part de vérité derrière ces excuses, sauf que la réalité est beaucoup plus nuancée que ça. Dans la réalité, on voit des mecs plus petits avec une nana plus grande.
Dans la réalité, on voit des mecs qui se tapent des nanas qui sont beaucoup plus jolies, des nanas amoureuses alors que le mec est moins beau. Dans la réalité, on voit des couples qui se créent naturellement. Voilà.
Donc oui, s'il y a bien une optimisation et une décision à prendre sérieusement, et qui va avoir un immense impact sur toute votre vie, sur vos finances, même sur votre productivité au travail, sur votre santé, sur votre santé psychique, sur votre santé physiologique, c'est le choix du partenaire. Vous pouvez prendre toutes les bonnes décisions dans votre vie, toutes les meilleures décisions financières de votre vie, il suffit d'une seule mauvaise décision en amour pour tout flinguer. If you don't know, having one in you got a third of relationships begin at work.
I'm not suggesting anyone should ever use their power, not suggesting you shouldn't be very careful that you're ever leveraging power, making anyone uncomfortable. But for God's sake, go up and talk to. C'est très bon encore une fois.
Un homme, je sais pas, 50 ans, qui remet les pendules à l’heure, c'est très bien qu'il rappelle ça. C'est-à-dire cette peur qui est devenue maladive aujourd'hui chez beaucoup de jeunes, 20-30 ans. Cette peur très américaine, très influencée par les histoires effrayantes, McTao, Red Pill, qui ont traversé l’Atlantique, de cas de figure où le mec aurait tenté de parler avec une femme et il serait tombé pour harcèlement, etc.
Alors déjà, il faut contextualiser : c'est les États-Unis. Tout est dans l’extravagance, tout est extrême. Les médias s'emparent des trucs, tout le monde.
Voilà, tout est beaucoup plus gros aux États-Unis. Mais aussi, ce qui est important, c'est qu'il faut rappeler que cette peur-là, elle est devenue complètement irrationnelle. Cette peur de : si j'adresse la parole à une inconnue, elle va appeler les flics ou autres.
Mais ça sort d'où, quoi ? C'est dans la réalité. Ça ne se passe pas comme ça.
Ce n'est pas parce que sur TikTok vous avez vu deux vidéos tournées où une femme a réagi de manière extravagante parce qu'un homme a osé lui faire un compliment, que dans la réalité, c'est ce qui se passe. Dans la réalité, une femme va vous accueillir si vous lui faites un compliment. Moi, je ne recommande pas les compliments pour d'autres raisons, mais même si vous faites un compliment physique à une jeune femme aujourd'hui dans les rues de Paris, elle ne va pas vous dire : « Qu'est-ce que tu fais ?
C'est du harcèlement. » Elle va vous dire que c'est du harcèlement si vous la suivez dans la rue, si vous marchez avec elle. Ça paraît très rationnel de sortir un short TikTok pour montrer que regardez, aujourd'hui les femmes sont devenues des timbrées féministes qui vont t'accuser de harcèlement sexuel ou autre.
Mais, les gars, c'est complètement irrationnel. Ce sont des anecdotes, ce sont des scènes minoritaires qui ont été filmées et qui, parce qu'elles sont extrêmes et choquantes, ont fait le tour de la toile. Mais ce ne sont pas les arguments, ce n'est pas représentatif de la réalité.
Il serait temps que les jeunes de 20 à 30 ans apprennent à. . .
Distinguer, euh, le monde réel du monde virtuel, de ce qui se passe sur les réseaux, de ce qui a été mis en avant par l'algorithme, parce que, justement, c'est choquant dans la réalité quand vous faites un compliment à une fille et qu'elle dit : "Merci, c'est gentil. " Dans le meilleur des cas, elle fait un sourire et puis elle s'en va quoi. Et ça sera pareil à Londres, à New York, à Zurich.
D'où l'intérêt de la créativité. D'ailleurs, quand vous êtes dans le contexte, quand vous êtes capable de verbaliser ce qui se passe dans le contexte et d'engager la conversation sur le contexte, ça témoigne d'une bien plus grande intelligence sociale et verbale. Ça vous fait gagner beaucoup plus de points auprès de la fille.
Alors que si vous lui dites : "Tu es jolie", eh bien, vous êtes juste en train de montrer que vous avez zéro créativité et vous ne donnez aucune info sur vous. And do something else. I don't want to stereotype all introverts as leading to bad places; that's not true at all.
But the majority of men you talk to, they want to be financially successful et ils veulent avoir un great partner à un moment donné. Et cela dépend de votre volonté de vous mettre dans des situations inconfortables. So anyway, get mentally and physically strong, take economic responsibility for your household, get out of the house as much as possible.
Try and find things where you can build something in the agency of others. I don't know, every day you should be around strangers. Every day, it's work, it's church, it's a non-profit, a softball league, the gym, classes, whatever it is.
You need to be around a massive number of strangers, finding reasons to bump into them and find economic, personal, and platonic opportunities as often as possible. We are a social species. Get to a city, get around a lot of people, get out there every day, start making money, and become really strong.
You should be able to walk into any room. En conseil, cette vidéo YouTube, les trois conseils qui sont donnés par ce monsieur : excellent, excellent, j'ai rien à rajouter. Si vous voulez aller plus loin, les gars, sur la séduction, alors moi je vous recommande de regarder ce qu'on a vu, si cette thématique vous intéresse, mon programme sur la créativité, parce que vous apprendrez justement à créer du lien à partir de rien, à créer une interaction à partir du contexte, en minimisant la prise de risque.
On ne vous demande pas de courir après une fille dans la rue, on ne vous demande pas de faire des choses spectaculaires, on ne vous demande pas de vous humilier avec des compliments qui vous mettent en position de faiblesse. On vous demande simplement d'être capable de parler du contexte, d'être capable d'utiliser sa répartie et sa créativité pour broder sur le contexte et pour faire tenir une interaction. Ça, ça vous aidera pas seulement à l'approche, mais ça vous aidera aussi, surtout, durant les rencards.
C'est bien beau d'avoir accès à des femmes via Tinder pour des rencards, mais si vous ne savez pas quoi dire une fois que vous êtes face à elle, ça va être compliqué. Donc la créativité, c'est la clé. C'est ce qui vous permet de faire durer une interaction et surtout d'être intéressant durant une interaction, d'être captivant, d'arriver à tenir son attention.