Mais une fois qu'ils t'ont vu à poil, qu'est-ce que tu veux faire de plus ? Tu vas aller faire l'amour avec des chameaux, tu vas manger des araignées. On a des nanas aujourd'hui qui, très tôt dans leur vie, prennent conscience de la valeur marchande de leur propre corps.
Est-ce que le cerveau va se développer correctement après ce genre de choses ? Mais le papa, c'est ça. C'est à ça qu'il sert aussi aujourd'hui.
Vidéo pour le coup un peu spéciale, comme on dit, où je vais commenter l'actu et, en l'occurrence, cette influenceuse qui s'appelle Polska, qui a décidé d'arrêter en Ifans. Donc, on va plonger dans du contenu bien bien l'indignation. On va s'indigner comme des bons gros masculins.
C'est juste moi qui donne un avis. Je ne m'exprime pas en tant que psy. Aujourd'hui, je m'exprime vraiment en tant que Léo.
Voyez-le comme une discussion au PMU. Voilà, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis le débardeur de plouc. On est parti.
J'ai peut-être un peu rapide, alors on va ralentir. Je parle déjà comme elle. Je crois que c'était 450 euros et que mon loyer était 250 en tout cas, et du coup j'étais là-bas.
En fait, elle est dure à comprendre. Je ne sais pas. La première fois que j'ai regardé la vidéo, je l'ai regardée une fois avant.
Je trouve qu'elle est très difficile à comprendre. Elle mange des voyelles, elle a une manière de dire "je vous dis". C'est positif, c'est assez difficile à comprendre.
Pourtant, je n'ai pas 50 piges. Mais à ce moment-là, c'est choquant. J'ai attendu.
Après, on ne voit pas le visage, mais le visage n'est pas forcément son plus grand atout. Par contre, effectivement, les cuisses sont bien. Il y a du volume, au niveau des fesses.
Je comprends que la photo est floue, je valide. Mais je l'ai postée, j'avais écrit "je suis cute" et je vais aller dormir. Lentement, je me réveille et je regarde la grave baissée.
En fait, tout le monde m'insulte. Tout le monde me dit : "Mais t'es pas cute ! " Je ne comprenais pas.
Et là, il y a une mannequin qui arrête de tester, qui prend la défense et qui a lancé un hashtag "Je suis culte". Du coup, toutes les filles, en fait, elles postaient la photo sur ce hashtag. Les femmes normales, dénudées, donc ça se met pour me soutenir.
Et du coup, pour vous dire, c'est à quel moment que c'est un moment "TT". Mais pas ont été en top tendance France. Enfin, tu es démonté carrément.
Pour moi, je vois tout ça, je suis choqué. Je me vois sur Snapchat, j'ai 10 000 vues d'un coup. En fait, moi j'avais zéro vue.
Et en fait, c'est bizarre, mais j'aimais cette attention. J'ai aimé cette vidéo. Ce n'est pas une bonne intention.
Je n'ai pas envie de faire le Red Pillard de service. Parce que cette chaîne YouTube, je n'ai pas du tout envie qu'on se dirige vers la victimisation Red Pill et l'indignation Red Pill, même si on est clairement sur du contenu qui s'y prête. Mais forcé de reconnaître que quand tu es une nana, là je suppose, elle devait avoir 17 ans, elle devait être mineure, tu n'as rien fait de ta vie.
Tu peux prendre une photo de toi, une seule photo, là, devant la salle de bain en face cam, et tu peux taper 10K vues. Et tu peux toucher, non pas toute la France, comme elle vient de le dire, mais le monde entier. C'est un pouvoir énorme.
Après, on va voir ce qu'elle va faire avec ce pouvoir. Parce que c'est bien beau d'avoir du pouvoir, mais est-ce qu'on est capable de l'utiliser à bon escient ? Là, c'est autre chose.
Parce que tout le monde, attention sur moi, même si ce n'était pas très sympathique. Enfin, j'ai aimé ça. Et du coup, au lieu de les ballons de sa tension, voilà, on ne va pas partir sur les DJ Shoes.
Je n'ai pas envie, encore une fois, de faire le Red Killer de service. Mais oui, papa. Un papa qui t'aime, un papa qui te dit qu'il tient à toi, un papa qui est là pour toi, qui cadre les choses.
Il n'y a pas besoin de temps d'attention a priori. Mais bon, je crois que le papa était absent. Elle l'a dit.
Elle a dit qu'au début, il s'est barré, il les a foutus à la rue, etc. Genre, de prendre une bouteille, de la boire, bizarrement. Genre, on s'était mis comme ça.
Je préfère prendre des vidéos comme ça. Et je me suis rendu compte que ça marchait vraiment bien. Dans un premier temps, le bug, ça prenait.
Ça aurait pu s'appeler, et au début, on n'avait pas d'argent avec ça. C'est juste que j'aimais que les gens parlent avec moi. Ça me faisait du bien.
Et en fait, au fil du temps, mes yeux montaient. Je commençais à avoir vraiment pas mal de mots sur sa tête, etc. J'ai commencé à avoir des demandes de pub.
Donc, en fait, il y a des gens, c'est intéressant, parce qu'elle dit : "Je ne faisais pas d'argent au début, mais je faisais des vues. " Et ça me suffisait, j'avais l'attention, etc. Et là, on voit.
Je pense que pour pas mal de ces nanas, je ne prends pas toutes les nanas. Je ne fais pas le Red Pillar justement à faire un homme de paille et à englober toutes les femmes derrière l'archétype de l'hyper femelle qui montre ses fesses sur Instagram. Il ne faut jamais tomber dans ce piège-là.
Beaucoup de mecs tombent là-dedans. C'est un archétype qui est minoritaire parmi les femmes. C'est intéressant de voir à quel point finalement l'attention est plus importante que l'argent.
Le premier réflexe n'est pas de faire de l'argent. Le premier réflexe est de gratter un peu d'attention. Et pourquoi ?
Elle parle comme ça : "Local, le cash, vraiment passé. " Et j'ai rencontré Kinda, donc Kinda Sama, qui est devenue mon meilleur ami. En fait, l'idée d'une agence, du coup, moi, j'ai signé dans cette agence et j'étais tellement heureuse.
En fait, le premier mois, on dirait 2500 €. Je me suis arrangée par personne. Je suis tellement contente de 100 € pour moi.
Je suis ta gueule, ok ? Bien, non, je t'assure. Et tout en bas de PayPal, tu verras, moi, je m'en vais pas.
Et, toi, il te demande aussi à l'arrache. Et là, je sens vraiment un paiement de 200 €. Je me dis "wesh, c'est trop bien".
Du coup, je rajoute et tout, et il me dit : "Ouais, ça, c'est hyper intéressant aussi si les pieds ça vaut 200 balles, le reste du corps, ça vous convient ? " On a des nanas, aujourd'hui, qui, très tôt dans leur vie, prennent conscience de la valeur marchande de leur propre corps, qui, très tôt, prennent conscience de combien elles vont pouvoir marchander leur propre corps, qui rentrent tout de suite dans une mentalité marchande en fait de leur corps. C'est ça, le truc : une jeune nana, une très jeune fille de 13 ans, 14 ans, peut décider de s'exposer comme ça sur Internet.
Il y a un mec bizarre qui est dans les DM, qui va avoir. . .
il propose quelques centaines d'euros pour des photos de pieds, pour voir une partie de son corps sans même montrer son visage. Elle, elle va attribuer une valeur à ça et d'ailleurs, qu'est-ce qu'elle va dire ? "Bah vas-y, ça se trouve mon corps, ça vaut 10 fois plus.
" Et là, vous vous étonnez après. Enfin, tu t'étonnes après que les nanas soient bien plus matures que les mecs en amour. Tu t'étonnes que nous, les gars, on soit obligé d'apprendre à la dure, qu'on soit obligé de consommer du contenu, que ce soit obligé de réfléchir.
Et tu as énormément de mecs de 30 ans, aujourd'hui, qui n'ont pas le degré de maturité d'une femme de 18 ans, d'une jolie femme de 18 ans qui, peut-être, s'est exposée sur Internet, qui a très vite compris la valeur qu'elle avait, qui a très vite compris ses prétentions salariales. C'est exactement comme un cadre qui sort d'une grande école de commerce, qui, très rapidement, se fait chasser par des cabinets, par des cabinets de recrutement, et qui prend très vite conscience de combien il vaut sur le marché de l'amour. Il va faire plein d'entretiens d'embauche, il va très vite gagner en maturité, il sait à combien il peut prétendre.
Elle est là, la maturité, comme elle dirait. Et très souvent, ces femmes-là vont rapidement. .
. enfin, je la connais pas, attention, mais on va dire, on va parler plutôt de l'hyper-femelle : très rapidement, l'hyper-femelle va coucher avec des hommes beaucoup plus vieux qu'elle parce qu'elle fait vite le tour. Ça tourne vite !
Là, en l'occurrence, je crois qu'elle, elle était vierge à cette époque-là, mais on parlait d'autres choses. Et d'ailleurs, je réinsiste à nouveau sur ce point-là : on ne fait pas une métonymie ici. Chez les phylogies, on n'est pas en train de réduire les femmes à l'archétype de l'hyper-femelle.
L'hyper-femelle, c'est un archétype que j'avais défini et inventé il y a deux ans pour parler d'un type bien particulier de nanas, une minorité qui décide de s'exposer, qui, on va dire, utilise ce qu'il y a de plus animal et de plus primitif chez la femme pour exprimer sa fertilité. Il n'y a rien de mal là-dedans d'ailleurs. Et il y a aussi l'hyper-mâle.
Lui, c'est plutôt sur l'aspect de la violence et sur l'aspect sexuel. Encore une fois, c'est tout ce qu'il y a de plus animal chez l'homme et chez la femme. C'est ce que j'appelais l'hyper-mâle et l'hyper-femelle.
Et puis il me dit : "Ouais, si tu veux, on fait ça tous les mois. " Du coup, je vais en mettre. On a commencé à vraiment être en.
. . on va le voir avec ma famille et que son père s'occupait de certaines personnes, de tes réalités.
Je les aidais à gérer leur partenariat, etc. Du coup, j'ai dit : "Ouais, du coup, ton père, il se connaît aussi, tu connais tout. " Il m'avait dit : "Ouais, je les connais si tu veux.
" Bah, je jetterai les partenariats au pire, et moi, je te mets en mode : "Bah, est-ce que je laisse un mec que j'ai rencontré sur Snap gérer ma vie et mes partenariats ? Bah ouais. " J'avais 18 ans, j'étais naïve.
Du coup, il a commencé à se mêler de mes partenariats. On a continué comme ça. Un jour, il me dit : "Mais Polka, en fait, tu fais vachement toute l'année sur les réseaux, mais franchement, tu ne feras pas demi-fan.
" Et là, je le dis : "Fan de moi ? Mais la vie, j'ai trop d'utilité pour ça. " Et tout est fou, quoi.
Il me dit : "Mais tu veux dire des photos sur les réseaux sexy gratuitement ? Donc pourquoi pas, comme monétiser ça ? " Moi, je sais pas et tout.
Bah, normalement, là, parce qu'à l'époque, tout le monde me voyait comme l'acte à cause de toi. S'il te plaît, je t'ai dit que j'étais vierge. Genre.
Bref, en fait, au fil du temps, il répétait ça en boucle, et pas au bout de deux mois, j'ai décidé de dire : "Bah, c'est quoi ? Vas-y, je vais faire un essai. " Du coup, j'ai ouvert mon iPhone, posté mes photos de femmes.
Je faisais que du "sol". C'est toujours compliqué de s'envoyer dedans. C'est marrant parce qu'il y a toujours cette idée que c'est lui qui insistait pour qu'elle le fasse.
Et là, je vois deux choses : soit c'est une vie, cause de la vie, et dans ces cas-là. . .
Elle n'est pas foutue de prendre ses propres décisions ; il faut toujours qu'il y ait un mec qui vienne lui dire quoi faire. Soit elle en avait vraiment envie et elle a du mal à assumer la responsabilité, soit elle a besoin de diffuser plus ou moins cette responsabilité aux hommes, ou aux gens en tout cas autour d'elle. Mais je n'ai pas vu dans un très beau chèque à la fin : vous pouvez manger 10 000 euros, 10 000 fuckings !
Alors, toujours dans l'appartement étudiant de merde que je paie 150 € de loyer, genre c'était le dernier pour moi. Du coup, j'ai partagé ça sur mes réseaux sociaux et là, ça a fait un énorme buzz. Genre, c'est marrant parce qu'on passe de "j'ai fait 10 000 € sur le mois" à "ah, je fais 10 000 euros par mois".
Ce n'est pas la même chose, les gars. On en reparlera à la fin de l'année, parce que ce qui compte, c'est combien tu as fait sur l'année. Et on en reparlera dans cinq ans si tu arrives à maintenir ce niveau de vie.
Tu ne lâches pas une carrière pour avoir fait 10 000 euros sur un mois, et ça, je pense que c'est bien de le dire à tous les mecs qui veulent souvent boss avec des feeders mais qui veulent bosser sur Internet. C'est une chose de gagner 10 000 euros un mois, une fois dans sa vie. C'en est une autre de faire 120 000 euros sur un an et sur plusieurs années.
Et pareil pour OnlyFans, il n'y a pas forcément de pérennité à ce genre de business. Le problème, c'est que ça va être d'avoir des revenus dégressifs tout le long. C'est un rendement dégressif à mesure que tu avances.
Elle va l'expliquer après ; quand tu te lances dans ce genre de business, au bout d'un moment, il faut en faire toujours plus. Donc les 10 000 euros que tu fais au début, tu vas avoir du mal à le maintenir, parce qu'il va falloir que tu fasses toujours plus. Je crois que, là, le principe c'est que c'était une nana qui était assez connue sur les réseaux, donc les gens, ils fantasmaient un peu sur elle.
Ils la voyaient sur son Instagram, sur son Twitter et un jour, elle dit : "Vous pouvez me voir à poil. " Bon, au départ, les gens, ils vont être super excités, les plus chauds qui vont payer. Mais après, ça, ça va réduire.
Tu les fidélises quelques mois, mais au bout d'un moment, les mecs, ils veulent en voir plus. Mais une fois qu'ils t'ont vu à poil, qu'est-ce que tu veux faire de plus ? Tu vas aller faire l'amour avec des chameaux ?
Tu vas manger des araignées pour faire kiffer un mec qui a le fantasme de voir une meuf manger des araignées ? J'en sais rien, c'est une mentalité impulsive où on réfléchit sur l'instant, court terme, récompense à court terme. On ne pense pas au long terme, et son récit ne va être que une succession de mauvaises décisions.
Et ces mauvaises décisions, c'est parce qu'elle n'a pas été capable de se projeter à long terme. Le mois prochain, j'avais fait 30 000 euros, qui est encore un an, et à la rue, c'était une dinguerie. Du coup, j'ai commencé en fait.
Donc ce fameux mec de Snap, qui était devenu mon manager, et bien lui, il est comme dire : "Oui, bon écoute, tu t'es lancée son animal et tout, c'est bien, mais super, plus d'argent, tu en manques. " Plus en fait, il faut que tu arrêtes de te montrer qu'en sous-vêtements, au mal d'or. Parce qu'il faut savoir que, du coup, lui, il gérait ma plateforme.
Donc il répondait aux messages de gens, il m'aidait à pousser des photos, il m'aidait à voir l'inspiration, et moi, je bougeais de l'argent par rapport à ça. Et logiquement, plus je t'aime avant, plus je gagne de l'argent. Oui, il voulait que non, de plus en plus, en fait.
Et moi, ça, c'est débile. Ça veut dire quoi ? Plus tu fais de l'argent, plus ils gagnent de l'argent.
Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le mec, il touche une partie de son chiffre d'affaires. C'est totalement débile, ce n'est pas lui qui se met à poil devant la caméra.
Pourquoi il toucherait une partie de ton chiffre d'affaires ? C'est comme si moi, j'avais mon comptable qui gérait ma société et je lui refilais 10 % de la boîte. Mais non, mais ça ne marche pas comme ça, les gars.
C'est un prestataire, ce n'est pas un actionnaire de ma boîte. Tu te mets à poil, c'est toi qui prends les risques, c'est toi qui mets ta réputation en danger. Le mec, il est là derrière son écran, il se fait ses petites pages de vente, ses petites chattes avec tes clients, d'ailleurs qui sont persuadés de discuter avec elle.
Ça, ce n'est pas du tout éthique. Mais bon, on n'est pas là pour juger. Mais au-delà de ça, c'est aussi un business extrêmement stupide, parce qu'un, déjà en France, la définition du proxénitisme est extrêmement vaste.
Donc lui, il est sûr de rentrer dedans. Je crois même avoir lu quelque part que quand vous aviez un bien immobilier en France et qu'il y avait une femme qui se prostituait dans votre bien immobilier, même si vous n'étiez pas au courant, vous pouviez tomber sous le coup de la loi et être considérés comme proxénète. Donc on ne rigole pas avec ce genre de conneries en France.
La deuxième raison, c'est que vous travaillez avec des nanas de type hyper féminin, impulsif, qui ont décidé de bosser, de gagner leur vie en montrant leur chatte sur Internet. Qu'est-ce que vous croyez qu'il va arriver avec ce genre de truc ? La nana, elle va regretter au bout d'un moment.
La nana, elle est venue là. . .
Par impulsivité, parce qu'elle voulait là pas du gain à court terme, elle repartira pour les mêmes raisons. Par impulsivité, parce qu'elle n'aura pas fait le calcul dans sa tête, parce qu'on le voit bien, c'est des nanas qui ne se projettent pas. Comment vous voulez faire un business avec une nana qui ne se projette pas ?
C'est extrêmement dangereux pour tout le monde. Donc voilà, je sais que c'est devenu à la mode, là, ce business de management OnlyFans depuis Andrew Tate. Vous voyez là où il en est aujourd'hui, en déroute, le destin du proxénète et de finir en tôle, coffret, par la même nana qu'il aura enrichie.
Oui, à court terme, tu t'enrichis, pas de souci. À long terme, boum, tu finiras en tôle par une nana qui changera d'avis. Je ne peux pas montrer plus.
En fait, moi, je suis dans ma tête, même si je parlais plus à me parler des années. Que si on perd un jour, il tombe sur une fan, bah je veux assumer, en fait, vous voyez ? Et si je commence à développer, je ne vais jamais assumer, j'aurais trop honte.
Du coup, je disais au manager : non, c'est moi, je n'ai pas, je ne l'ai pas. Mais il insiste beaucoup. J'en ai, et multiplier ça par le nombre de nanas avec lesquels il bossait, avec des photos sans soutien-gorge, et c'est ça qui était vraiment une plus grosse erreur.
Et comme ça, faire ça là, ce n'est pas me mettre dans ma chambre. Mais finalement, quand je détestais. .
. Enfin, vraiment, pour moi, quand je disais ça, je mettais ça. Du coup, j'ai commencé à faire des photos un peu plus hautes.
Et un jour, en fait, donc moi, j'ai une petite sœur, et donc ma petite sœur, avec le collège, je savais qu'elle était déjà un peu harcelée par rapport aux fixations sur ma sœur. Mais là, en fait, un jour, c'était la goutte d'eau. Elle me voit, je vois qu'elle n'était pas bien, et je lui dis : mais qu'est-ce qui se passe ?
Elle m'a dit qu'en fait, à l'école, ça lui avait montré des photos de moi sans les réseaux, et je me suis dit : mais quel jour de faire ? Je suis en fait, genre, qu'est-ce que je leur envoie comme image ? C'est ça ?
Genre, dit merde, en fait, tu n'es pas une grande sœur. Voilà des mauvaises décisions, un mauvais calcul. Il n'y a pas eu d'hyarchisation des priorités, ou alors peut-être.
. . On ne sait pas, peut-être que le calcul a été fait.
Le calcul, c'était ok, le bien-être de ma petite sœur à l'école ne vaut pas les X milliers d'euros que je vais me faire sur Unifense. Peut-être ça le calcul. Mais en tout cas, là, apparemment, elle semble regretter, donc le calcul n'était pas bon.
Ça veut dire qu'encore une fois, mauvaise décision. C'est une série de mauvaises décisions où cette nana ne sait pas se projeter sur le long terme. Il suffisait.
. . On n'est pas en train de te dire, je vous dis quoi en avance aux échecs, juste te dire, effectivement, peut-être que les photos vont rester et ta petite sœur va les voir à l'école et on va l'emmerder.
C'est la suite logique de quand tu mets tes photos sur Internet. Moi, je dirais, je ne dis pas que c'est mauvais ou quoi, je ne dis pas ça, je dis juste qu'il y aura des conséquences et que les gens doivent être capables de peser ces conséquences-là. Et si elle était trop jeune pour ne pas les voir, ces conséquences-là, si elle n'était pas capable d'anticiper, de se projeter dans le lien, eh bien, il aurait fallu qu'il y ait un parent pour prendre la décision.
C'était tout évident. Ce n'était pas à elle de prendre la décision. Elle n'était pas à même, elle n'avait pas les fonctions cognitives pour prendre ce genre de décision.
Et là, il n'y avait pas de papa. Voilà, bah, le papa, c'est ça, c'est à ça qu'il sert aussi. Il sert à poser le cadre et à faire le boulot que ne fera pas une adolescente de 18 piges, c'est de se projeter sur le long terme, sur l'avenir.
Voilà, c'est pour ça que tes parents te disent d'aller à l'école et de ne pas lâcher l'école pour aller jouer dans la rue avec les copains, parce que la récompense à court terme ne vaudra pas les souffrances à long terme. [Musique]. Du coup, j'ai totalement arrêté ça.
Du coup, je continue à mettre des photos soft, etc. Et là, vous allez me dire : j'avais pas le cas, mais pourquoi t'as pas arrêté totalement Numérami Fan ? Et en fait, je n'ai pas arrêté parce qu'en fait, c'était trop tard.
En fait, je me suis déjà mise dans cette image de tchoin, alors que pourtant je voyais des influenceuses à côté de moi qui étaient bien moins connues que moi, qui avaient bien moins de succès, et super bien avec des partenariats, super bien avec des lauriers, des magnolias et tout. Et moi, je n'aurais jamais pu faire ce genre de personnage, parce que j'étais déjà cataloguée. Parce que tu as [__], ta réputation.
Parce que tu as vendu ta réputation pour quelques milliers de dollars, pour quelques dollars de plus. Parce qu'une réputation, ce n'est pas seulement la reconnaissance sociale, c'est aussi le business. C'est aussi ce que les marques auront envie de s'associer à toi.
Et c'est aussi, est-ce que, est-ce que toi, les gens vont te faire confiance ? Comment les gens vont percevoir à l'avenir ? C'est ton bien le plus précieux, c'est ton actif le plus précieux.
Tu as intérêt à la préserver, ta réputation. Une fois qu'elle est flinguée, c'est fini, tu ne reviens plus en arrière. On n'en a qu'une seule.
C'est comme, je crois, Warren Buffett, il faisait une analogie avec la bagnole pour parler du corps. Donc il disait : bah vous connaissez. .
. Sur terre, imaginez-vous : on vous donne une voiture. Vous n'en aurez qu'une seule, mais on vous l'offre et c'est à vous d'en prendre soin, parce que si elle tombe en panne, bah, après, c'est fini, vous n'aurez pas une deuxième.
Mais c'est pareil pour le corps, pareil pour le corps. On a un seul corps, on a un terrain à prendre soin. Pareil pour la réputation sur Internet, on n'en a qu'une seule.
C'est un vrai calcul à faire, en fait. C'est : combien ça vaut, ta réputation ? À combien tu l'estimes ?
Elle a su estimer combien valait une photo de ses pieds, elle n'a pas estimé à combien valait sa réputation, etc. Et en fait, un jour, il y a bien. .
. je parlais avec une copine à moi qui est aussi sur les plateformes, donc on n'est pas bien, et qui m'attire pour supprimer des clichés de comment tu parles. Un petit par mois, je fais un mec qui supprime les liquides.
C'est quoi ces photos qui fuitent ? Moi, je suis mal, parce que regarde, si tu tapes "s'amuse", tout est nul. Et là, je suis là, sur le fait que c'est nul.
Là, je me suis rendu compte qu'en fait, c'est hyper accessible. Comme vous pouvez voir mes nudes dans les photos, sur une femme. Et moi, je ne savais pas tout ça.
Vous savez qu'il y a des trucs à l'avenir. Est-ce que tu ne crois pas que c'est logique ? Effectivement, tu mets des photos de toi sur une plateforme privée.
Bon, bah, il y a un type qui va le télécharger et puis qui va le balancer derrière sur Internet. Je veux dire, ça me paraît. .
. Des questions, faudrait faire une liste de questions à toutes les femmes, faire une vidéo de prévention à toutes les nanas qui veulent se lancer sur un iPhone et leur poser, leur expliquer : voilà, est-ce que tu es prête à ça ? Est-ce que tu es prête à ça ?
Est-ce que tu es prête à ce que dans 5 ans, il y aura des mecs qui vont voir tes photos ? Est-ce que tu es prête à ce que dans 10 ans, ta petite sœur ou ta fille soit interpellée dans la cour de récré en voyant les photos ? Comment tu vas réagir à ce moment-là ?
On leur balance une liste de questions, on les force à se projeter, à imaginer mentalement ce que ce sera. Et derrière, on leur dit : ok, maintenant, en tout état de cause, en toute connaissance de cause, est-ce que tu décides de prendre cette décision ? Mais ces personnes-là sont beaucoup trop impulsives pour réfléchir à ça.
C'est ça le problème. Elles sont trop jeunes, il n'y a pas un cadre autour d'elles. Il n'y a pas un papa pour recadrer, soit parce que ce sont des ados et que le cerveau n'est pas encore mature.
Pour le coup, ça, c'est bien, ça c'est cool, ce qu'elle fait. Tant mieux. Et pourtant, on est arrivé à l'arbre.
Aujourd'hui, j'ai toujours pas froid. Je fais les demandes pour supprimer mes photos, les photos qui fuient. Maintenant, tous les mois, je suis condamnée.
Je vous souhaite que toutes les photos, je ne les assume pas. Et elle, c'est moi. Mais moi, non !
Ma vie, ça ne me représente tellement pas. Et du coup, c'est pour ça que moi, je regrette. Pourtant, je me faisais des bons salaires, mais c'est ça, le problème, en fait.
Le problème, c'est qu'on a des nanas qui, aujourd'hui, très tôt dans leur vie, vont avoir accès à des sommes d'argent phénoménales. C'est juste pour comprendre le message que ça renvoie au cerveau : tu peux faire de l'argent en étant juste tel quel que tu es. Là, toi-même, boum, tu montes ton corps, boum, tu gagnes de l'argent.
Ça renvoie quel message ? Est-ce que le cerveau va se développer correctement après ce genre de choses ? C'est probablement la chose la plus dangereuse, d'ailleurs.
Et je dirais que c'est l'une des pierres malédictions, c'est de se faire aimer pour ce qu'on est très, très tôt dans la vie et de ne jamais avoir à se développer. Parce que ces personnes-là, les mannequins, les modèles, elles n'ont pas à se développer. Elles ont juste besoin d'être là.
Alors, ok, il y a un peu de difficulté, parce qu'il faut quand même maintenir un certain poids quand on est modèle, etc. Mais au fond, on t'aime tel que tu es. Et si on t'aime tel que tu es, si les gens t'adorent tel que tu es et te donnent de l'argent pour ce que tu es, juste en étant là, devant la caméra, devant le photographe, qu'est-ce que tu vas développer derrière ?
Une grande sœur, une bonne grande sœur. S'il vous plaît, ne vous lancez pas. Je n'ai pas envie de vous influencer à vous lancer sur ces plateformes-là.
Mais tu vois, il y a une contradiction, parce qu'elle dit qu'elle ne veut pas influencer les gens, qu'elle veut changer, etc. Qu'est-ce qui a écrit à droite, là ? Qu'est-ce que je lis ?
Beach ! Voilà, elle garde quand même un pied dans ce genre de truc. Tu pourrais mettre une.
. . je ne sais pas moi, une petite licorne.
Tu mets une ancre dans ma tête avec ce mot-clé-là. En fait, si elle essayait de m'influencer, c'était mal parti. Bon, les larmes, c'est bien, mais le mot "beach", je vois ce mot dans ma tête.
Ça évoque plein d'autres choses. C'est un effet en psychologie, quand tu mets un mot comme ça dans la tête des gens. C'est un effet de science.
Et si malgré ça, parce que j'ai eu beaucoup de battements, beaucoup de constats, etc. , à avoir, quand je vais dans la rue, avec les gens qui m'insultent. .
. "Qui m'aiment, et ça, qui me motive en fait. J'ai envie d'aller faire ce chemin-là, vraiment.
De temps plus trash et très. . .
Je peux vous faire du temps plus trash pour que j'enlève pas du tout. Ce n'est pas parce que je veux, ce n'est pas quelque chose que je n'ai pas envie. Ça pouvait s'anticiper, mais j'espère que les filles maintenant l'anticiperont.
J'ai pas envie que ma mère, elle tombe un jour sur ça. C'est le même principe que dans le porno, et quand vous. .
. tous les mecs savent ça. Quand tu commences à regarder du porno quand tu es jeune, au début tu auras des petits trucs.
Voilà, même moi, je regardais la Redoute. Team Redoute, levez la main ! Moi, la Redoute, ça me donnait beaucoup de plaisir quand j'étais, quand j'étais, quand j'étais jeune.
Puis, au bout d'un moment, tu découvres, il y a des trucs sur Internet, et puis tu augmentes la dose, et ainsi de suite, et une fin. Et tu n'es plus capable de prendre de plaisir avec un magazine La Redoute, tu n'es plus capable de prendre du plaisir avec les premières choses qui, au départ, te paraissaient incroyables. Donc un type sur un iPhone, évidemment, il en voudra toujours plus.
C'est insatiable, le désir sexuel, et peut-être qu'il n'y a pas que l'argent qui rentre en jeu. Encore une fois, on l'a vu au début. Peut-être que le fait de sentir que les hommes désirent tellement qu'ils sont prêts à mettre de l'argent, finalement c'est peut-être ça, le truc qui fait vibrer ces filles-là.
C'est l'attention sous forme d'argent, finalement. C'est ce qu'il y a de plus sincère. Les gens votent avec leur portefeuille, donc s'ils sont prêts à mettre des milliers d'euros sur moi, ça veut dire que je vaux tant.
Ça veut dire que je reçois tant d'attention. C'est peut-être sexy de savoir qu'on vaut 30 000 euros par mois parce que des mecs sont tellement accros à nous. Ils nous trouvent tellement belles, du contenu sur des plateformes comme Instagram, etc.
Vous voyez ce que je veux dire ? C'est hyper compliqué de faire cette transition. C'est très dur de la changer.
On n'est pas aux États-Unis, on est en France. Ça veut dire que moi, la première fois, j'ai vu tout arrêter. Et c'est un truc sur les autres, mais il y a tellement de marques qui ne veulent pas travailler compte qu'une banque comme la.
. . Mais là, en fait, j'ai envie de baiser fort et de me montrer à la CCI, et que l'invente.
. . En fait, après, bien évidemment, j'ai pas changé moi-même parce que les gens me connaissent.
Je suis une personne qui va parler librement de sexe, personne nature, je voulais pas te filtrer ou que sur Snapchat. Mais vous voyez ce que je veux dire ? Genre, je vais pas arrêter d'être la fille que je suis, je vais pas arrêter de faire des blagues sur le sexe et tout, déjà parce que je sais qu'il y a des gens qui vont dire : "Les Polska, ta gueule, arrête de faire la victime !
" La capitale, on a l'impression que les mentalités changent, que les gens se modernisent, entre guillemets, et que c'est encouragé, finalement, pour les femmes de se montrer nues, etc. Peut-être, mais je pense qu'il y aura toujours du mépris pour le fait de faire de l'argent en vendant son corps, finalement, sur Internet. Parce que finalement, c'est une certaine manière, c'est la voie de la facilité.
Je pense que c'est ça, ce qui est méprisé. C'est que c'est la voie de la facilité. Vous savez, on dit : "La prostitution, c'est le plus vieux métier du monde.
" J'y ai pensé hier soir et j'essaie de comprendre d'où elle vient, cette phrase. J'ai pas encore fait des recherches là-dessus, et peut-être que j'en ferai, je regarderai. Mais l'intuition que j'ai, c'est que je me dis que c'est le plus vieux métier du monde parce que, finalement, c'est la transaction la plus primitive qui soit : sexe contre ressources.
Et il y a quelque chose de très archaïque et très animal, finalement, là derrière ça. D'ailleurs, je ne serais pas étonné que les chimpanzés ou les bonobos fassent ce genre de choses. Je crois qu'en échange de nourriture, il y a des femelles qui peuvent se donner sexuellement à certains hommes.
Et donc je pense que c'est ça qui est méprisé, et c'est ça qui sera toujours méprisé, même si les gens n'arrivent pas forcément à mettre les mots là-dessus. Et c'est pour ça que les femmes. .
. On pourrait dire : "Pourquoi les femmes méprisent ça ? " Les femmes méprisent ça parce qu'elles ont conscience de la facilité que c'est, de la tentation.
Je pense que pour beaucoup de femmes, elles ont beaucoup qui ont pensé, qui se sont dit : "Pourquoi je ferais pas ça ? Moi aussi, je pourrais faire de l'argent", etc. Parce qu'en fait, ça donnait finalement à ce qu'il y a de plus animal dans le commerce.
C'est ça, donnait à ce qu'il y a de plus animal dans l'expression de la fertilité. Il y a des femmes, il y a beaucoup de femmes qui parviennent à exprimer cette idée de fertilité de manière subtile, avec finesse, et pas. .
. On pourrait donner des exemples à travers la littérature, à travers les mots, l'intelligence au service de la sexualisation. Quand on est une femme, il y a des nanas qui savent s'exprimer, qui savent utiliser des sous-entendus, qui savent subtilement, à travers leur apparence, leur démarche, exprimer cette idée de fertilité, voire même qui savent monétiser ça de manière très subtile et indirecte au boulot, sans avoir besoin, encore une fois, de s'adonner à cette transaction primitive qui est l'échange sexe contre ressources.
Donc, je n'ai aucun jugement de valeur, j'essaie juste de creuser un petit peu et de comprendre d'où pourrait venir ce mépris que les hommes, et particulièrement les femmes, ont pour ce type d'activité. Et d'ailleurs, c'est très intéressant parce que. .
. " Particulièrement en France, on a paradoxalement d'un côté des filles qui prônent de plus en plus les libertés et le fait de se montrer nues, etc. , et de l'autre des filles qui, à l'inverse, rabâchent de plus en plus.
Donc, on a un quiz des bêtises : de plus en plus d'autres qui se couvrent de plus en plus. Et moi, je suis très curieux de voir ce que ça va donner chez les nouvelles générations lorsque ces deux univers vont se rencontrer. Ça va être un clash très intéressant.
Si vous souhaitez devenir bon en séduction avec les femmes et que vous appréciez ma philosophie et ma pédagogie, vous qui ferez mes sept emails interdits, ce sont mes sept merles leçons pour apprendre à rendre une femme accro à vous, illustrées par des anecdotes personnelles. On y parle de sexualisation, de sexe. .
. Bon bref, que du contenu pas très puritain qui ne passerait clairement pas sur YouTube et qui nécessite d'être abordé par email. Il y a un lien en bas de cette vidéo : vous cliquez dessus et vous y avez accès immédiatement.
Et je vous garantis que vous allez apprendre des trucs que vous ne trouverez nulle part ailleurs, pas même sur ma chaîne YouTube.