Waka fin on sent là, toi seul un mot : Allah El Mustapha. Comment et pourquoi ? Avant de répondre à comment s'organiser dans sa vie, beaucoup de personnes se plaignent de la désorganisation, du désordre qu'elles ont dans leur propre vie.
Elles n'arrivent pas à gérer leur vie, leur temps, leur emploi du temps, organiser leur vie, évoluer professionnellement, tant au niveau de leur évolution. Et quand je parle d'évolution, ça concerne notre relation avec cette vie d'ici-bas, mais aussi au niveau de la relation avec leur Seigneur, d'Allah Ta'ala. Aucun programme scientifique, religieux ou spirituel n'est organisé, ordonné, discipliné.
Donc, beaucoup se posent la question, et c'est une bonne question. On doit toutes et tous se poser cette question : comment s'organiser ? Comment réussir à s'organiser dans sa vie pour évoluer de manière générale ?
Mais avant le comment, pourquoi se doit-on de s'organiser et d'avoir des emplois du temps, d'avoir une discipline dans notre programme journalier ? C'est ce à quoi on va tenter brièvement de répondre dans un bilan. La première des choses à savoir, c'est que je peux vous donner une image ou une métaphore avec des exemples contemporains.
Pense à ta vie d'ici-bas comme à un ring. Toi, c'est toi, tu es dans le ring ; le temps, c'est ton adversaire, et il est avec toi dans le ring. Si tu baisses la garde, eh bien, tu prendras des coups, et tu peux même prendre un KO.
Mais le plus grave, c'est de ne pas reprendre conscience avant que le match se termine. Combien reprennent conscience alors que le match est déjà terminé ? Le prophète, sans avoir livré les wa sallam, nous a tellement montré l'importance du temps qu'il l'a répété dans plusieurs ahadiths prophétiques authentiques.
Parmi ces indices que nous connaissons toutes et tous, il s'impose ici que nous répétions cela, car le rappel profite aux croyants. Le prophète, à la salle Allah 'alayhi wa sallam, a dit : "À l'heure du rendez-vous, quand je vous interroge de ma part. " Nous savons très bien que Dieu nous a comblés des bienfaits.
Jusqu'à ce que Dieu ait dit : "Si vous essayez de compter les bienfaits de Dieu, vous ne pourriez les dénombrer. " Mais là, le prophète met l'accent sur deux bienfaits particuliers pour nous montrer que ces deux bienfaits ont une grande importance. Beaucoup de gens, par une traduction approximative du sens, se font duper et n'y prêtent pas attention.
Ce sont de grands bienfaits, d'immenses bienfaits. A) La santé et B) Le temps libre. Comme vous le savez toutes et tous, nul ne connaît vraiment la valeur d'une chose, d'un bienfait, que quand il le perdra.
On a la santé, on n'y prête pas attention. Quand on perd la santé, on se dit : "Redonne-moi la santé, c'est ce qui est le plus important. " Si tu n'as pas la santé, tu n'as rien.
Tu as beau avoir des millions, des milliards, comment vas-tu profiter des clous si tu es dans ton lit d'hôpital ? Les proches, un moment ou un autre, se sépareront de toi, car ils ne vont pas dormir avec toi dans ton lit d'hôpital. Ils ne resteront pas avec toi 24 heures sur 24.
Tu ne pourras pas vraiment profiter pleinement de ta famille, etc. Les deux grands bienfaits : A) la santé et B) le temps libre. C'est bien ce qu'on a, toutes et tous, quelque part dans la journée.
Il y a des moments de vide, c'est le temps libre. Le problème, c'est que beaucoup de gens ne prêtent pas attention au temps libre. Ils se fondent dans le pays, se font avoir, et ne prennent pas comme il se doit à sa juste valeur ce bienfait.
Ils ne réagissent pas face à ce bienfait comme ils devraient réagir normalement s'ils avaient vraiment compris la valeur de ce bienfait. Le temps libre, et quelquefois, on est là à dire : "Il faut que je tue le temps. " En attendant, c'est à dire cela aussi, pendant le malheureux.
. . Mais la pendule d'Ahmad (à Allah) dit : "Il faut que je trouve quelque chose pour tuer le temps, pour que la journée passe vite.
" Mais tu as oublié que c'est le temps qui va te tuer. Tu es quoi, le temps ? Toi, tu vas partir, le temps va continuer.
Combien sont morts avant nous quand le temps s'est arrêté ? Il est allé, comme tu vas. Tu es quoi, toi ?
Tu vas te faire tuer par le temps. Mais à ma toiture. .
. à rien du tout, et tu es en train de te détruire toi-même. C'est pour ça que ça s'annule.
Le prophète disait : "Vous n'êtes que des jours. " Dis-toi : "Vous n'êtes que des jours. " Lorsque un jour est passé, c'est une partie de toi qui est partie, qui a disparu.
C'est toi qui es en train de disparaître chaque jour. Une partie de toi disparaît, que tu le veuilles ou non. Car on se rapproche toutes et tous.
De projet magnifique, et on se doit d'avoir des projets dans la vie d'ici-bas, et de ne pas s'arrêter à penser qu'à la mort et à ne plus vivre à bananes. Mais ça, ce sont des probabilités. La certitude, c'est qu'on se rapproche toutes et tous de la mort, qu'on le veuille ou non.
Qu'on le veuille ou non, on se rapproche toutes et tous de ce qui, élémentairement, est la mort. C'est pour ça que le dit "cote" un jour passera. Bien, il part, il est bien.
Un jour, passer une partie de toi, qui passe, qui part. Et de Nantes à Lyon, la CMA tournoi est allé. Ghz, et cette fameuse parole : "Il bat à Tool Works, achète Domine Hellmuth.
" Le fait de perdre son temps, c'est encore plus grave que la mort. Quelqu'un a dit : "La mort, il n'y a rien de pire ! " Eh bien non !
Il dit : "La perte de temps, c'est plus grave que la mort. " Pourquoi ? Parce qu'il dit que la mort c'est se séparer de quoi ?
De qui ? Quand tu meurs, ça te sépare de qui ? Ça te sépare de cette vie d'ici-bas.
On est tous d'accord, et ça te sépare de qui ? Des gens, d'accord ? Ça, c'est la mort.
Mais est-ce que ça ne nous rapproche pas automatiquement de Dieu ? Non, peut-être. Tu vas te rapprocher de Dieu, donc c'est peut-être un bien.
Mais la perte de temps, eh bien, ça te sépare. Ça t'éloigne de Dieu. Voilà pourquoi ils ont dit : "Mieux vaut ça, c'est pire que la mort.
" Et c'est pour cela que le Prophète a dit : "Les oiseaux et cela nous a mis en garde dans le hadith rapporté par Ibn Majah, 'Nadine Kazan' : 'L'Antéchrist ne viendra pas avant que l'on ne soit tous, toutes et tous dans cet état. ' Je dirais même plus, c'est qu'on le retient tellement que, où on dit, au plus tôt, je dirais qu'on le vit toutes et tous chaque jour, à tel point qu'on le connaît toutes et tous par cœur. Et vous savez, quand tu appliques quelque chose, où tu vis quelque chose tu retiens plus facilement, d'accord ?
Le texte qui a relation avec ce que tu veux ou ce que tu pratiques. Eh bien, quand on vit seul, est-ce que tout le monde connaissait ? Il a dit cela.
C'est quoi ? Prophète Ali, salat wa salam : 'L'Antéchrist ne viendra pas avant que les années passent comme des mois, les mois comme des semaines, les semaines comme des jours et les jours passent comme une heure ou deux heures. ' C'est-à-dire, la journée comme une heure.
Dans une version, il a dit : 'Leurs jours passeront comme le temps qui faut pour brûler une feuille de palmier. ' Quelques secondes, on le vit toutes et tous ou pas ? C'est pour ça qu'on le connaît toutes et tous, en général, alors pourquoi c'est dit là ?
Pourquoi, Al-Qadiria, lit ? Mais maintenant, oui, il n'aura jamais la SPA, d'Ani Ayalon. Mais d'autres parmi les gens de science, lorsqu'ils ont expliqué la diffusion de ce hadith-là, ils ont donné la raison.
Ils ont dit : 'C'est pourquoi, le temps passera aussi vite. Parce qu'il n'y aura plus là de baraka, de bénédiction, ou très peu. ' Al-Jawala y va, il va enlever, ôter la baraka, la bénédiction du temps.
Donc quand il n'y a plus de bénédiction dans le temps, comme dans de l'argent. Quand t'as pas de baraka, ton argent n'est pas vraiment, il n'y a pas de bénédiction. Eh bien, ça passe vite.
Quand il y a de la baraka, de la bénédiction, eh bien tu sens, tu fais de grands projets avec ton argent. Pareil pour la santé. S'il n'y a pas de bénédiction dans ta santé, dans tes enfants, dans ta vie, dans ton commerce, donc ça ne perdure pas.
Eh bien, le temps, il y aura un monde de bénédiction, donc le temps perdurera. Il passera très vite, et c'est quand Dieu enlève la bénédiction. Eh bien c'est quand le mal se répand.
C'est quand le mal s'installe. Et regardez aujourd'hui, dans l'époque dans laquelle on vit : la méchanceté s'est répandue, le mal s'est répandu, le meurtre s'est répandu. Regardez le mal qu'on vit aujourd'hui !
Grâce aux réseaux sociaux, on peut voir tout le mal qui s'est répandu et qui se répand chaque jour dans le monde entier : l'oppression, la pauvreté, des choses catastrophiques qui nous attristent, sauf celui qui a un cœur dur. Tout ce mal, c'est à notre mauvais comportement : le fait d'avoir cet individualisme, cet égoïsme, de ne plus aider les gens. Eh bien, cela enlève la bénédiction dans le temps.
Et regardez les gens aujourd'hui : la plupart des gens vivent avec "moi, moi, moi". Il y a très peu d'entre-aide. Mais de manière générale, quand on regarde à l'échelle mondiale, il y a une grande demande d'entraide de compassion envers les gens.
Les gens ont plus de haine que de miséricorde, malheureusement, vis-à-vis des autres, de manière générale. Eh bien, à moi-même, le Miséricordieux, qui nous fera entrer au paradis de par sa miséricorde seulement et par la cause ensuite de nos quelques petites actions. Et bien, comment voulez-vous qu'il fasse miséricorde à des gens qui ne font pas miséricorde aux autres ?
Cette bénédiction, elle part. Et regardez les gens comment ils vivent. Quand il voit son frère avoir un problème, au lieu de l'aider, non !
D'abord, quand moi je suis en sécurité, je penserai à mon frère. Alors que dire. .
. De penser à la oumma, la communauté a dit tout à la rage et le prophète n'a-t-il pas dit "Menkhen affichage"? Et, y arrive, regardez la baraka, Kanamaru, fille âgée, comment elle vient, la baraque, à la bénédiction.
C'est en faisant le bien que tu viens en aide à ton frère, donc, sacrifie de ton temps. Être bien, celui qui vient en aide à son frère, fait du bien à son aide. Celui qui donne, Dieu lui donnera; celui qui dépense, Dieu dépensera pour lui.
Celui qui est bon de jeu sera bon envers lui; celui qui est miséricordieux, et bien, de jeu, sera miséricordieux envers lui. C'est comme ça, c'est du donnant-donnant. Mais, comme aujourd'hui on veut tout garder pour nous, eh bien, regardez ça, c'est un mal qui s'est répandu.
La baraka, elle s'est enlevée. Voilà pourquoi il faut prendre conscience, avant tout, avant d'organiser sa vie. Pourquoi?
Parce que c'est essentiel, le temps passe très vite et il faut profiter de ce temps-là pour faire le maximum de bien, de laisser une bonne empreinte derrière nous, une bonne image vis-à-vis des gens, devant. De manière générale, organiser sa vie passe par quoi? Par des priorités.
Et quelles sont ces priorités? Eh bien, nous, en tant que croyants, en tant que musulmans, nous savons que nous devons avoir des priorités. Cela induit le fait que nous donnons de l'importance à toutes les choses de la vie d'ici-bas, c'est-à-dire comme le travail, la famille, le comportement, vos comportements vis-à-vis des gens, s'impliquer dans la société, faire, faire du bien.
Et ça, ça fait partie des priorités. Mais, la priorité dans toutes ces priorités, c'est, en digne, c'est la religion. C'est pour cela que le prophète, sallallahou alayhi wa salam, le prophète, il te rappelle ça clairement.
Regardez, je vous ai parlé de baraka, à ce qu'ils disent: "Je veux de la bénédiction dans mon temps, dans ma famille, dans mon risque, dans mon argent, réussir ma vie d'ici-bas et l'au-delà. " Vous avez compris, la bénédiction par l'obéissance, par le bien. Et regardez ce que le prophète, ali salat wa sallam, nous dit de manière plus précise.
Allez dans le sens: "28 ans, Catherine. " Il dit: "Celui qui fait de la vie d'ici-bas son principal objectif. " Ça ne veut pas dire que tu ne peux pas vivre, s'amuser et t'épanouir.
Et non, la promettent, ils disent: "Et c'est ton objectif principal! " Tu lui parles, c'est mon frère. D'abord, la vie d'ici-bas, les plaisirs, les vacances, et ensuite, oui, le travail, la religion, c'est une option.
Non! Celui-là, la preuve est, il équivaut à faire de sa vie d'ici-bas son principal objectif; eh bien, Dieu mettra la pauvreté devant lui, il mettra le désordre dans ses affaires, et il n'aura de la vie d'ici-bas que ce qui lui a été écrit. Il se fatigue ou pas?
C'est que, dans ce cas-là, de Allah à la maca, tabac noir, ou la roux, casque à la has, c'est lui qui a écrit et on admettra quoi? La pauvreté devant ses yeux. Pourtant, lui s'acharne dans la vie d'ici-bas, mais il a fait de cette vie d'ici-bas mondaine et éphémère son principal objectif.
Le récit de poisson congelé. Il tentera de travailler ou alors de faire des choses, ou, ou être bénéfique pour les gens, faire du bien, aider les gens, prier, jeûner. Allez, on sait, quand j'ai le temps, soit en option.
Bien, voilà! Tu poses la question et ça va pas. Et tu as ta main, tu vois que ta vie, elle est un peu chamboulée, elle est des hordes.
Pose-toi les questions: ce que d'amis les priorités, et à respecter l'ordre ou pas? Et il dit, le prophète, dans le même cas, dit: Quant à celui qui met l'au-delà, la vie future, devant lui comme principal intentions et objectifs, ça ne veut pas dire qu'il ne pense qu'à la mort. Y rigole plus, ils s'amusent plus, prennent plus de vacances.
Il n'a pas des projets de construire, de s'épanouir. Non, loin de là! Là, on parle de priorité, c'est tout.
Celui qui met l'au-delà comme priorité, eh bien, Allah (swt) mettra de l'ordre dans toutes ses affaires. Voilà! Tamis des tatamis comme priorité, l'au-delà.
Au moins, il s'occupe de tout et affaires de devenir, eh bien, une baraka en bénédiction. Quand tu te retires vers cette option, de toute cette relation avec cette vie d'ici-bas, tu vois que tout marche bien, tout fonctionne, tout avance. La baraka, qu'Allah nous accorde une bénédiction dans nos vies, dans nos santés, dans nos demeures, dans tout un minimum.
Eh bien, cette baraka, elle vient comment? Celui qui fait de l'au-delà son principal objectif, dit Allah (swt), va remplir son cœur de contentement. Il sera serein, joyeux, heureux.
C'est ça, la vraie richesse. La vraie richesse, Erin Alcalde, c'est la richesse du cœur. Il est maintenant, il est apaisé.
Et il dit: "La vie d'ici-bas viendra à lui contrainte," c'est-à-dire que lui, il ne fait pas de la vie d'ici-bas une priorité, mais en moi, il va soumettre à lui la vie d'ici-bas, les biens mondains, on va lui ouvrir les portes. Et ça, encore une fois, tout est une question de priorités, de certitudes, de confiance qu'on a envers notre Seigneur. Donc, on a compris que nos priorités, c'est quoi?
Eh bien, c'est la salette, c'est la prière, c'est le jeûne, c'est l'âge, c'est le moment là, c'est rien, c'est… et kate sait faire le bien, c'est aider son aîné, pauvre. Parole! Patronaux, Jane, Nathalie, salins, nourrissant les gens.
De manière générale, vous rentrerez au paradis en paix. C'est de donner une bonne image, d'avoir le sourire, c'est une sadaka, rencontrer ton frère avec un visage radieux. Comme un.
. . analyse sans la toise salam, ces deux basses et de faire ce bien-là, et bien ça.
C'est à priori, tu es dans ta vie, et bien sûr, sans aucun excès, sans aucun an, parce que Dieu ne t'a pas dit de rester enfermé dans la mosquée. Comme vous le savez toutes et tous, j'ai déjà cité le hadith sur l'affable avec un moine. Les bureaucrates, quand il est rentré dans une heure creuse à la mosquée, entre le fait de vol, il a vu un jeune dans la mosquée.
Il a dit à Fulham : « Tu fais là, tu es qui ? » Il dit : « Voilà, je suis un tel. » Il dit : « Et comment tu vis ?
Qui travaille pour toi ? » Il dit : « C'est mon frère. » Il dit : « Ton frère est meilleur que toi.
Sors de la mosquée. » Dans une version, il lui a dit de sortir de la mosquée. Dans une version, il s'est arrêté et a dit : « Ton frère est meilleur que toi.
Pourquoi ? Parce que là, la priorité, c'est quoi ? C'est de rester toute sa journée enfermé dans une mosquée ?
Non, c'est d'aller travailler, de se bouger. Donc, c'est ça les priorités. Ma relation avec mon Seigneur dans les choses obligatoires : la prière, c'est la prière.
Et je sais que c'est à travers ces actes d'adoration que Allah va me donner de la baraka, de la bénédiction dans mon temps et dans le reste. Donc, c'est pour ça qu'on commence la journée avec quoi ? Ça va avec la prière.
On commence la journée avec la prière. Pour quoi ? Pour qui ?
Pour avoir la bénédiction dans notre journée. Même les journées, les journées de joie, les plus grandes fêtes en islam, l'Aïd et l'Aïd el-Fitr, commencent la journée avec quoi ? À 100 %, la salat.
Et on écoute une exhortation, le khutbah, pour avoir le maximum de baraka dans tout le reste de la journée. Parce que Dieu veut nous faire comprendre que la baraka et la joie, eh bien, tu peux être joyeux, tu peux profiter, mais il n'y aura pas de joie et il n'y aura pas vraiment de profits bénéfiques et durables si ce n'est si tu passes par les actes d'adoration. En introduction, c'est ça qui provoque la bénédiction et la joie.
Et ça, c'est quelque chose d'essentiel. Ensuite, bien sûr, en deuxième plan, le Richard Diawara l'a dit. Quoi ?
Le professeur, le Prophète, paix et salut sur lui, est des six épouses dans les tâches ménagères. Nabi, le Messager, que Dieu le bénisse et le préserve, dit le proverbe. Ce qu'ils disent : « Oui, mais l'islam, la famille, la date, nous, il y a quatorze siècles.
» Le Prophète, un Prophète en bois avec cette dure mission, eh bien, il aidait, comme disait Henri Chassé, les épouses dans les tâches ménagères. Et par contre, quand il entendait l'appel à la prière, il connaissait plus personne. Voilà les priorités.
La prière, c'est la prière. C'est ma priorité. La prière est finie.
Hier, il y aura de la ville à Amman, où il y a les mondialistes relativement aux mille dix mois face à Wil. Il a dit que la veillée nous dit : « Aujourd'hui vendredi, quand vous entendez l'appel à la prière, laissez tout négoce et écoutez le rappel dans l'ouest sauvage. » Elle pour adorer Allah, pour prier, pour écouter leurs hôtes.
Ce n'est pas tous les jours ma priorité. Enfin, il est permis à celui sonné de s'attacher au final, better homes in fine, il l'a dit. Par contre, quand la prière est terminée, il dit : « Répandez-vous dans la terre, allez chercher votre subsistance, travaillez.
» Mais il y a des priorités dans la vie. Il faut que tout au long de ta vie, et tout au long de ta journée, eh bien, tu dises : « Mes priorités, c'est ça. J'ai fait ma prière obligatoire, j'ai fait mon dhikr, et bien, ça y est, je passe en deuxième priorité ma famille.
Cette infamie qui fait partie des priorités. » Et aussi, il y a ton travail, la vie professionnelle, pour gagner de l'argent licite, nourrir sa famille et avoir une grande récompense. Mais ici, toutes ces choses qui viennent de manière secondaire, c'est-à-dire la famille et le travail, doivent bien passer d'abord par cet investissement religieux, spirituel, donner ce droit que Dieu a de s'investir pour Dieu, dans la religion, aider son prochain, renaître, et faire de notre mieux.
Les meilleurs des gens, ce sont celles et ceux qui sont les plus profitables et meilleurs pour les gens. C'est pour ça que les compagnons, quand on lit leur sirah, leurs récits, leur biographie, on voit qu'ils avaient sacrifié énormément. Pour qui ?
Eh bien, pour nous, pour qu'en 2019, on soit là, dans une mosquée, avec des belles tapis, dans le confort, en écoutant la parole, dans l'œil du Prophète. L'histoire nous a été demandée de sacrifier quoi ? Juste un peu de notre temps pour faire le bien autour de nous, pour les actes obligatoires, pour s'investir dans une mosquée, dans une association, pour aider les gens de manière générale, pour faire du bien, pour donner de l'argent.
Quand on a du mal à donner des aumônes, c'est ça, ce petit sacrifice qui nous est demandé. C'est tout à notre échelle, et c'est déjà énorme. Donc, prenez en considération ces quelques exhortations afin d'organiser au mieux votre vie.
On met la priorité à notre religion. On ne doit pas laisser notre participation aux alternatives. Comme le commandement a dit : « N'oublie pas ta part d'ici-bas.
» Et tu dois organiser pour ta famille, afin de visiter ta famille, de prendre soin de ta famille, de partir en vacances quelques fois, pour faire des coupures avec ta famille, pour avoir un équilibre familial. Tu dois trouver un travail professionnel qui te permet d'allier pratique religieuse, spirituelle et ici, futurs projets dans la vie d'ici-bas. Ainsi, le billet vert ouvrira les portes d'ici-bas et les portes de l'au-delà à devancer de loin.
Éléments, la chaîne, mois comme moi.