il n'y a pas de honte à vouloir aimer être aimé retour c'est normal c'est instinctif ce besoin de lien affectif fait partie de notre humanité de notre composition biologique et psychologique nous sommes naturellement programmés pour éprouver ce besoin de lien affectifs mais ne confondant pas le besoin instinctif d'affection avec ce que j'appelle et ce que j'ai appelé dans d'anciennes vidéos la fringale affective lorsque cette fringale nous rend dépendant et accro à une personne en particulier ou bien lorsque ça nous rend accro à chaque fois que l'on rencontre quelqu'un ou à chaque fois que qu'on est
qu'on aime quelqu'un qu'on est en relation avec quelqu'un que ce soit en amour ou en amitié ça ce n'est plus de l'amour c'est de l'addiction mais la substance est tout à fait légale et je vais reprendre un commentaire vraiment bouleversant qui a été publié récemment sous l'une de mes vidéos c'est une personne qui utilise la notion d'addiction et de drogue pour faire référence à sa relation avec quelqu'un et voilà ce que dit le commentaire je vis sous l'effet de cette drogue depuis près de deux ans entre parenthèses en parlant de sa relation une véritable addiction
au miettes qu'il me donne je ne me reconnais plus tirailler entre mon cœur et ma raison une descente aux enfers je suis accro j'avais eu le pressentiment de ne pas y aller je me suis pas écoutée le désir et le manque affectif furent plus fort il m'a accueilli avec de la douceur des paroles mais aucune cohérence entre ces dires et c'est fait mais j'avais goûté au poison je vis sur des montagnes russes au quotidien je me retrouve dans un désespoir total je vis dans cette dépendance horrible lucide je me sens masochiste en tout cas devenu
addict moi qui est toujours fuit illégales ce commentaire m'a vraiment touchée émue j'étais vraiment bouleversée avoir lu ça et ce n'est pas l'unique commentaire ou bien l'unique message que je reçois dans ce sens et c'est pour ça que j'ai décidé de faire cette vidéo à l'autre triste ce commentaire elle décrit parfaitement le schéma de l'attachement traumatique c'est appellation qui est anciennement appelée le syndrome de Stockholm et qui est la traduction de l'anglais de trauma banding cette personne dit être parfaitement lucide et consciente de ce qui se passe notamment des incohérences dans le comportement de son
amoureux mais qu'elle est accro qu'elle est devenue dépendante et qu'elle ne peut plus s'en détacher il y a une autre notion clé que je souligne dans son commentaire c'est les montagnes wesh bon pour comprendre cette notion d'attachement traumatique pensez à une personne en captivité complètement démunie face à son ravisseur mais qui avec le temps commence à éprouver des sentiments contradictoires d'amour et de loyauté envers cette même personne qui lui fait du mal mais aussi c'est son seul fournisseur de nourriture donc elle dépend physiquement de son ravisseur pour sa survie bon je sais très bien qu'il
s'agit d'un exemple un peu extrême mais la captivité ici quand je parle d'attachement traumatique n'est pas physique elle est psychologique le sentiment que prouve une personne en captivité physique et très similaire à ce qui est prouve une personne en captivité psychologique à ce que ressent une personne dans un schéma d'attachement traumatique les barreaux de prison sont invisibles l'expérience émotionnelle peut-être très similaire pour une personne sous emprise l'attachement traumatique ou le trormabanding est un concept qui était proposé dans les années 90 par le chercheur paprika dans le cadre de ses travaux sur l'addiction c'est un attachement
dysfonctionnel et il se produit dans un schéma typique de relation abusive une relation où il y a un déséquilibre de pouvoir en d'autres mots il y a une personne dominante et une personne qui devient avec le temps dépendante de la relation et elle a l'impression d'être en captivité psychologique et que ça survit dépend de cette personne ou bien de cette relation la tâchement traumatique se produit lorsqu'une personne vous donne de l'amour et de l'attention généralement d'une façon assez excessive assez intense surtout au début et puis vous les retire ensuite elle voulait ordonne ensuite elle voulait
retire elle voulait reprendre et ça s'enchaîne dans des cycles répétitifs aléatoires imprévisible sporadique et petit à petit ces élans d'affection d'attention et d'amour tendent à s'amoniser avec le temps d'ailleurs le terme utilisé évoqué dans les commentaires c'est des miettes d'amour ou des miettes donc petit à petit ça se transforme en miettes après chaque circonstance d'abus dans d'autres termes après un cycle d'estorage émotionnel la partie dominante professe des regrets montre des sentiments d'amour d'attachement il s'ensuit des périodes de retrait d'indifférence ou bien des disputes enflammées souvent sans fondement logique on sait même pas pourquoi on se
dispute des crises de colère peut-être que le terme crise de colère n'est pas assez fort des crises de rage des crises d'orage qui peuvent être tout à fait retentissants très bruyantes où on est toujours l'accusé le fautif bien sûr et en général on sait pas vraiment de quoi est-ce qu'on est coupable on sait pas ce qu'on a fait mal au juste on se retrouve juste sur le banc des accusés il y a aussi ces crises de rage froides où il y a pas de bruit il y a pas de cris il y a pas de
hurlement ce sont des rages silencieuses mais avec un silence qui nous tue à petit feu le regard sombre est menaçant vous êtes effrayé vous ne savez pas pourquoi mais vous anticipez vous appréhendez sa réaction et quelques jours ou bien quelques semaines plus tard des démonstrations d'affection des excuses ou en tout cas un changement significatif dans l'attitude et le comportement et comme on est déjà en Pétré dans un schéma d'addiction de dépendance à cette personne on aura tendance à interpréter le moindre petit signal comme étant quelque chose d'hyper positif parce que ça nous permet tout simplement
de calmer l'anxiété et avec chaque dose de renforcement positif en vous libère une dose de cette drogue légale et il y a un point très important à souligné à ce niveau c'est que certaines personnes sont beaucoup plus vulnérables à ce schéma relationnel en raison de leur blessure d'enfance l'attachement traumatique est quelque part un schéma familier qu'on a connu avec l'un de nos parents qu'on a connu dans notre famille peut-être pas pour tout le monde mais voilà d'une façon générale et je sais aussi qu'il y a une sorte de culpabilité de fond et je sais qu'il
y a beaucoup de personnes qui s'en veulent mais on arrête de culpabiliser ça n'a rien à voir avec trois niveaux intelligence avec votre quotient intellectuel de l'ordre de l'affectif on peut être une personne très pragmatique très lucide très raisonnable très rationnelle dans certains domaines de la vie mais quand il s'agit des relations proches et intimes on perd un petit peu de cette lucidité se discernement ce n'est pas qu'on ne le sait pas c'est quelque chose de l'ordre de l'émotionnel ça se passe pas dans la même zone du cerveau dans cette capsule et en m'appuyant sur
une revue de littérature de quelques références universitaires je vais essayer d'apporter une explication à partir de la mécanique neurobiologique j'indiquerai les références dans le premier commentaire épinglé et en voyant les choses de cette perspective c'est-à-dire d'une perspective neurobiologique de ce qui se passe dans notre cerveau c'est à la fois déculpabilisant mais aussi ça redonne espoir parce que en comprenant cette mécanique on peut aussi réfléchir à la manière d'inverser la tendance je ne suis pas en train de dire que c'est facile une partie de l'explication de cette addiction vient de cette dépendance affective se trouve dans
notre cerveau plus particulièrement la façon dont notre cerveau gère les traumatismes et nous aide à nous adapter pour notre survie et on va partir du constat qu'une relation abusive une relation d'emprise est basée sur un schéma cyclique avec des phases positives qu'on va appeler renforcement positif et des phases de souffrance ou des phases négatives des phases de chaos qu'on va appeler les phases de renforcement négatifs les phases positives actives notre système d'attachement primaire et en plus nous procure un sentiment de satisfaction un sentiment de bien-être et au niveau du cerveau cela se traduit par une
activité neurochimique très intense qui va renforcer les liens avec l'autre mais aussi qui va nous inciter à reproduire les mêmes comportements c'est à dire que ça va nous donner envie de refaire la même chose pour mener au même résultat et il y a trois substances neurochimiques principales à retenir la dopamine l'ocytocine surtout du côté des femmes et la vasopressine du côté des hommes les deux derniers sont deux neuropeptides caractéristiques de l'attachement alors que la dopamine c'est un neurotransmetteur qui impliquait dans la motivation et le système de récompense les phases négatives ou le revirement de situation
vient toucher un autre instinct de survie ça touche à notre sentiment de sécurité d'appartenance ce sont nos instincts primaires dans des phases négatives où le renforcement négatif ce sont des sentiments de peur des sentiments de manque qui vont nous dominer il y a deux choses à retenir 1 le sentiment de manque que je vais expliquer par la suite mais aussi le sentiment de peur qui sollicite notre système limbique notre notre cerveau émotionnel et plus particulièrement l'amygdale et donc par conséquent à desclenche nos mécanismes de survie les plus basiques lorsqu'on est en mode survie on réfléchit
plus de la même manière même si on comprend les choses au niveau rationnel c'est pour ça que la personne je disais que elle était lucide qu'elle comprenait les choses au niveau rationnel et qu'elle se sentait un peu masochiste et j'aimerais m'adresser à cette personne et lui dire si elle m'écoute que vous n'êtes pas amazoniste c'est juste que cette mécanique assez complexe du cerveau fait que on n'a pas le même discernement bon on va d'abord s'intéresser au rôle de la dopamine la libération de ce neurotransmetteur puissant lors des phases positives la dopamine joue un rôle très
important dans la mécanique de l'addiction quelle que soit l'objet de l'addiction il s'agit d'un neurotransmetteur puissant ayant un rôle majeur dans le traitement de la récompense dans le cerveau ce n'est pas l'unique il y a d'autres bien sûr d'autres facteurs il y a d'autres neurotransmetteurs mais c'est l'un des neurotransmetteurs les plus importants quand on parle d'addiction et dans la recherche on neurosciences on a trouvé que la dopamine intervient fortement en amont lors du process de récompense lors du traitement de l'information concernant la récompense c'est-à-dire qu'elle nous motive pour obtenir la récompense bon en terme plus
simple notre cerveau libère de la dopamine avant même qu'on obtienne une récompense bon pour comprendre les choses une façon assez schématique le fait d'imaginer que je vais manger un bon dessert plus tard mon cerveau commence déjà à libérer de la dopamine si en plus je dois fournir des efforts pour obtenir ce dessert la dopamine va jouer un rôle très important dans la motivation pour m'inciter à fournir ses efforts dans des recherches récentes sur la mécanique de l'addiction la dopamine a été utilisée pour mesurer le potentiel addictif de certains comportements et quelques substances chimiques notamment la
cigarette certains médicaments le sucre les jeux vidéo et le sexe et les résultats sont très intéressantes parce que ça nous permet de comprendre la mécanique derrière cette addiction dans les relations amusives on a trouvé l'association suivante il existe un lien entre la vitesse de libération et le dosage de la dopamine d'un côté et le potentiel addictif de l'autre côté en d'autres mots plus la dopamine est libérée rapidement et plus en dosage est élevé plus le potentiel addictif est fort autrement dit si la dopamine est libérée intensément et rapidement le potentiel addictif est beaucoup plus significatif
c'est pour ça qu'il y a certaines substances qui sont beaucoup plus addictives que d'autres par exemple le fait de manger une pomme ça procure un sentiment de satisfaction et donc notre cerveau va libérer de la dopamine mais ce n'est pas la même vitesse ni au même degré comparé au fait de manger une tablette de chocolat manger une tablée de chocolat ça va contribuer au fait de libérer la dopamine un dosage vraiment très élevé d'une façon très intense et très rapidement et dans ces études on a trouvé que par exemple fumer une cigarette c'est beaucoup plus
addictif que manger une tablette de chocolat dans les relations abusives il y a des phases il y a des cycles et les débuts sont souvent très forts ça démarre sur les chapeaux de roue le sentiment d'exaltation des débuts sont forts le sentiment d'exaltation des débuts est fort intense c'est presque magique et on a l'impression de flotter sur un petit nuage et souvent dans des schémas abusifs souvent la personne dominante prend le temps de mettre en condition notre partie elle lui donne de fortes doses d'attention d'affection d'amour de temps d'énergie d'une façon assez exagérée presque irréel
il y a aussi d'autres substances qui sont impliquées dans ce processus d'attachement notamment l'ocytocine la vasopressine et d'autres neurotransmetteurs qui qui contribue renforcement de ce lien mais disons que la dopamine est impliquée dans le sentiment de manque qui va suivre dans les prochaines étapes dans la suite du cycle et vous allez comprendre pourquoi est-ce que je vous ai donné cet exemple de comparaison entre la pomme et la tablette de chocolat dans cette phase idyllique la dopamine va être libérée très rapidement à un dosage très élevé et très intensément ce qui va contribuer à la mécanique
addictive qui va s'en suivre rappelez-vous que plus la dopamine est libéré rapidement intensément et un dosage élevé plus le potentiel addictif est fort au début on va dire tout se passe bien ce qui va contribuer à rendre les choses plus compliquées et ce n'est pas seulement l'intensité de cette fatidique c'est le fait d'alterner des périodes de chaud et de froid des périodes de satisfaction et des périodes de retrait de l'amour qui va renforcer ces dynamique bon il faut quand même préciser que les changements neurobiologiques qui se produisent chez tout être humain lorsqu'on est amoureux sans
tous presque les mêmes il est tout à fait normal et naturel de se sentir un petit peu exalté de se sentir un peu marcher ou flotter sur un petit nuage quand on est amoureux c'est tout à fait normal mais dans une relation saine c'est sensation forte vont s'aider progressivement la place un sentiment de confiance mutuelle un sentiment de sérénité de sécurité de stabilité mais ce n'est pas le cas dans une dynamique dysfonctionnelle de l'emprise et on sait très bien d'après les travaux de Skinner que le renforcement intermittent à un très fort potentiel d'engendrer une mécanique
addictive en termes moins savant le renforcement intermittent c'est lorsque des simuler positifs de récompense et des simuler négatifs de souffrance sont alternées d'une façon aléatoire et sporadique et il convient peut-être à ce niveau de se pencher un petit peu sur un principe fondamental du fonctionnement de notre cerveau ou de sa recherche constante d'équilibre entre la douleur et le plaisir la récompense et la souffrance de chercheurs Richard seulement et John corbit ont trouvé que tout écart prolongé ou répétées de l'état de neutralité affective ou hédonique engendre une post-réaction opposée bon qu'est-ce que ça signifie au juste
et pourquoi est-ce important d'en parler pour comprendre le fondement de l'attachement traumatique dans le cerveau la douleur et la récompense sont traités dans des zones qui se chevauchent qui sont en recouvrement et ce processus fonctionne dans une dynamique d'opposition c'est-à-dire que notre cerveau cherche constamment à réguler ces deux aspects ces deux états douleurs et plaisir notre cerveau cherche conçoit constamment dans un état d'équilibre dans un état de neutralité l'homéostasie lorsque le dosage de la dopamine est modérée parce qu'il est légèrement élevé par exemple après avoir mangé une pomme il n'y a pas de souci on
est tous dotés de mécanismes naturels de régulation mais si le dosage de la dopamine est trop élevé à un moment donné il s'ensuit une régulation à la baisse très très forte une baisse significative qui va nous faire pencher très très bas en d'autres mots ça se transforme en souffrance c'est l'état de manque de cette personne ou la compulsion de recevoir une miette un signe de sa part un signe quelconque de validation ça c'est le moment de la fringale affective et cette mécanique est la même pour toute substance addictive mais là je parle Lucas de la
dépendance affective dans le cadre de l'attachement traumatique pour comprendre cette fringale pensez à l'envie de reprendre une chips de resservir une part de gâteau ou bien de regarder encore une saison de votre saison préférée ou bien de jouer encore une partie à votre jeu vidéo préféré pensez à ce qui pourrait potentiellement vous procurer des sensations agréables et positives d'une façon intense et rapide la notion de gratification à instantanée qui est d'ailleurs typique de notre société moderne et il est tout à fait normal de vouloir recréer ses sensations et bien sûr la solution la plus simple
consiste à reproduire les mêmes comportements pour retrouver ses sensations fortes sauf que ça devient destructeur sur le long terme de même au début de cette relation si vous avez connu des sensations fortes qui au passage ont contribué à calmer votre anxiété de l'abandon votre cerveau va automatiquement chercher à recréer ces mêmes sensations d'où le concept de fringale et ici la substance n'est pas chimique mais elle est d'ordre affectif il y a deux problèmes majeurs le premier c'est l'intermittence des simuler positifs donc le caractère incertain et la peur associé pendant les phases négatives et le deuxième
c'est que l'exposition au même stimuli positif c'est-à-dire l'objet de l'addiction avec le temps la déviation initiale du côté plaisir devient plus faible et plus courte ça veut dire que on aura moins de satisfaction moins de dopamine et donc on a besoin de doses plus élevées et par opposition la réponse postérieure devient plus forte et plus longue c'est à dire la réponse d'équilibrage lorsque notre cerveau va essayer de s'auto réguler avec des termes plus simples au fil du temps le dosage de la dopamine tant à diminuer lorsqu'on répète le même comportement c'est à dire on répète
la même chose mais ça nous octroie moins de satisfaction et pour contrebalancer selon le principe de régulation la fringale sera encore plus forte et plus longue donc une plus grande souffrance une souffrance qui va durer plus longtemps mais qu'en est-il des deux autres substances que j'ai cité au début de cette vidéo notamment l'ocytocine chez les femmes et la vasopressine chez les hommes ce sont deux neuropéptides qui jouent un rôle très important dans la difficulté de quitter un partenaire ça va contribuer à la difficulté de éloigner de quelqu'un qu'on aime de rompre les liens de prendre
ces distances et ce malgré la compréhension au niveau intellectuel qu'il s'agit d'une relation néfaste ces deux neuropéptides ont un double effet et ça c'est surtout valable pour les femmes l'ocytocine c'est un neuropépite qui est très puissant dans le système d'attachement et il est très sensible à notre environnement social d'un côté l'ocytocine contribue à réduire notre anxiété donc l'attachement fort dans les phases positives permet de calmer notre peur de l'abandon de calmer notre système d'attachement hyperactivé mais le revers de la médaille c'est que des doses très élevées d'aussi tocines peuvent aussi rendre le détachement très difficile
cela explique aussi en partie pourquoi malgré notre compréhension au niveau rationnelle malgré notre discernement notre lucidité malgré notre conviction on a du mal à partir et on reste à la recherche de la prochaine miette d'affection on est là à vouloir quémander la prochaine mettre d'attention et d'amour mais essayons d'avoir un brute sur la réalité essayons de voir la réalité en face l'amour ça ne se quémande pas et je sais que ça peut être très dur à entendre pour certaines personnes dans cette première partie mon but était surtout d'apporter une vision déculpabilisante parce que j'ai tout
à fait conscience de la honte et de la culpabilité qu'on peut éprouver dans une telle situation j'espère que ces explications vous aide à y voir plus clair et j'espère que ça vous aide à atténuer ce sentiment de culpabilité cette gêne et en tout cas dans un premier temps parce que je sais que comprendre tout ça ça ne résout pas le problème mais j'espère que c'est un début de prise de conscience est-ce que j'explique d'ailleurs dans mon livre sur les relations toxiques plus particulièrement dans le cinquième chapitre et dans la prochaine vidéo sur la même thématique
je vais partager avec vous des pistes supplémentaires de compréhension et de travail pour avancer dans la direction de la Libération pour briser l'attachement traumatique pour fêter la sortie de mon livre j'organise un webinaire gratuit le 29 octobre sur la thématique de la manipulation et du chantage affectif pour vous inscrire vous trouverez le lien dans la description et dans le premier commentaire épinglé et un petit pouce avant de partir parce que ça contribue à améliorer le référencement de cette vidéo sur Youtube et faire en sorte qu'elle parviennent à d'autres personnes qui pourront bénéficier de ce contenu
merci beaucoup pour votre écoute et à bientôt