Comment la société réprime votre féminité

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Léo décrypte les hommes
La société a t'elle un impact négatif sur votre féminité ? Que signifie être féminine aujourd'hui à ...
Video Transcript:
On parle beaucoup des hommes sur cette chaîne YouTube, mais aujourd'hui, je vous propose de parler de vous et de votre féminité. Je ne vous fais pas un dessin : on vit à une époque qui prône le culte de la performance, la course à la productivité, la discipline, le contrôle, et on n'est pas tous égaux face à ça. Il y en a qui adorent, il y en a qui s'épanouissent là-dedans, et il y en a d'autres pour qui ça génère du stress.
Et peut-être que vous, mesdames, certaines d'entre vous, faites partie de cette frange de la population pour qui ce n'est pas forcément épanouissant. Pour qui le culte de la performance n'est pas forcément ce qui vous donne envie de vous réveiller le matin. Vous savez, quand on regarde bien, le corps féminin n'est peut-être pas si adapté que ça à cette idée de performance, de performer à tout prix.
Si on se concentre sur le culte de la performance, qui est une facette parmi tant d'autres, une facette de la réussite, eh bien, la réussite, plus on va dire mesurable, quantifiable, matérielle, dans le culte de la performance, il y a cette idée de discipline, de productivité, de stabilité émotionnelle, notamment au travail, d'être fort, etc. Mais le corps féminin, il y a quand même un truc qui revient souvent, que l'on n'a pas chez les hommes : ce sont les cycles. C'est changeant, ça fluctue : les émotions, les hormones.
Ce n'est pas mauvais, c'est comme ça. Le corps féminin a besoin de plus de sommeil, ça, je l'ai appris tardivement dans ma vie, pour le coup. Je pensais connaître les femmes, mais le corps féminin a besoin de plus de sommeil.
Je l'ai appris parce que, quand je dormais avec mon ex et que je me couchais plus tard qu'elle, et me levais plus tôt qu'elle, j'avais été un peu dur parfois en lui faisant comprendre "tu fais un peu la grasse matinée", etc. Mais en fait, non, non, non, elle m'a expliqué, elle m'a sorti des articles. Il a fallu qu'elle me le montre, qu'elle me dise : "Non, non, non, non, en fait, mon corps a besoin de plus de sommeil.
" Ce n'est pas que je suis une flémarde, c'est juste que je la voyais avec mes lunettes, ma perspective masculine et mes lunettes de performance, etc. Peut-être aussi que le corps féminin ne vit pas cette course à la performance de la même manière. Peut-être qu'il y a plus de stress dans le corps féminin, peut-être que la tolérance au stress n'est pas la même entre les hommes et les femmes, et qu’in fine, ce stress vous épuise, vous fatigue.
Vous savez pas l'expliquer, vous n'avez pas forcément les mots, mais peut-être que ce stress, ce sentiment de ne pas forcément être à votre place, c'est ce qui fait que vous sentez que votre féminité est écrasée, qu'elle est réprimée. On pourrait rentrer dans des détails un peu plus techniques, peut-être, et dire que lorsque vous ne vous sentez pas à votre place, lorsque vous vous sentez stressé par cette idée de performance, ça génère du cortisol. Et le cortisol, ce n'est pas bon pour les œstrogènes, pour la production d'œstrogènes.
Évidemment, c'est toujours plus compliqué que ça dans le corps humain, mais il y a quand même une corrélation négative entre le cortisol et l'œstrogène. Bien sûr que vous avez besoin de cortisol : c’est ce que vous libérez le matin pour vous réveiller. Mais lorsque cette production de cortisol s'installe de manière chronique sur le long terme, sur des semaines, sur des mois, peut-être même des années, est-ce que ça n'abîme pas quelque chose ?
Est-ce que ça ne vient pas abîmer une féminité profonde en vous ? Est-ce que ça ne vient pas casser quelque chose ? Pourquoi est-ce que les femmes continuent à choisir, en majorité, des métiers plus orientés vers le social, vers le care, c'est-à-dire vers le soin des autres ?
Les infirmières, tous les métiers du social, pourquoi les femmes continuent-elles à choisir plus souvent ce type de métier au détriment de métiers peut-être plus orientés vers la performance, où il faut être productif ? Il n'y a pas beaucoup de femmes dans des métiers commerciaux avec un salaire indexé sur une part variable, qui est indexé sur votre performance. Du coup, il y a quand même beaucoup, beaucoup moins de femmes.
Comment ça se fait qu'il n'y a pas un truc qu'il faut accepter dans le corps féminin, en tout cas chez certaines femmes, chez peut-être même beaucoup de femmes, qui les rend peut-être un peu moins adaptées à ce monde masculin tourné vers la performance, vers la productivité, vers l'entrepreneuriat, là où tout le monde devrait compter ses heures, être productif, travailler plus, boire plus de café pour faire plus de. . .
Est-ce que ça vous convient, est-ce que ça vous convient les modèles féminins qui sont mis en avant, qui sont le fruit de la performance ? Si on regarde bien le culte de la finesse, ça vient d'où, ça ? Pourquoi on voit ça partout dans les magazines ?
Pourquoi les femmes sont obsédées par ça, les femmes bien plus que les hommes, d'ailleurs ? Ça vient d'une époque où on a mis en avant un modèle féminin qui était le mannequin, grande, fine, extrêmement fine. Mais pourquoi ce corps-là ?
Pourquoi ? Parce que ce corps-là permet de mettre en valeur des manteaux, des fringues ? Ce corps, issu de la performance, moi j'en ai connu des mannequins quand j'étais plus jeune.
Ce n'est pas tout rose, hein ! Les névroses, les médicaments pour maigrir, la boulimie, l'anorexie, la honte de son propre corps, la honte d'avoir pris un gramme. .
. La honte d'avoir mangé un truc qu'il ne fallait pas, c'est terrible tout ça, au service de quoi ? Au service de grands couturiers homosexuels qui, très souvent, ont assez peu d'empathie pour le corps féminin.
En tout cas, on ne peut pas dire qu'ils ont du désir, mais c'est fou de dire que des mecs comme Karl Lagerfeld, tous ces grands couturiers, ils ont mis en avant des modèles féminins qui ne correspondent pas du tout à ce que devrait être le féminin, à ce que devrait être votre corps, à ce vers quoi votre corps tend naturellement. Votre corps, il a des rondeurs, il a des formes, il a un peu de gras, il a du gras sur le ventre, il a des vergitures, il a plein, plein de petits trucs comme ça. Mais c'est ça, le vrai corps féminin, et on a mis en avant des corps issus de la performance, d'une performance qui fait souffrir et qui, paradoxalement, vient ternir le féminin.
Pas forcément parce que ce sont des corps maigres, mais surtout parce que c'est le fruit d'une souffrance, d'un stress. C'est stressant de faire maigrir son corps comme ça ! Je vois beaucoup de vidéos sur le jeûne intermittent, le jeûne tout ça, mais ce n'est pas pour les hommes.
Ça peut être très bien le jeûne, mais pour les femmes, ce n'est pas bon. Le corps féminin n'est pas adapté aux jeûnes. Donc ce culte de la finesse, qui est une obsession, un stress, est devenu un véritable stress chronique pour beaucoup de femmes.
C'est une vision très masculine, finalement, du corps. C'est d'ailleurs, la plupart des hommes hétéros, ils ne veulent pas des corps de mannequin ; ce n'est pas un fantasme, c'est un fantasme d'homos. Ce n'est pas ce que veulent les hommes.
Et quand bien même ce serait ce que voulaient les hommes hétéros, là ne serait pas le problème, puisque aujourd'hui on met aussi en avant, à l'extrême opposé, le pendule se décale vers l'autre côté, cette fois avec les clips de rap : le culte de la fesse, le culte de la grosse fesse, de la bimbo, Kim Kardashian, Instagram. . .
À qui aura les plus grosses cuisses, les plus grosses fesses ? Peut-être qu'il y a plus d'hommes, mon avis, c'est qu'il y a plus d'hommes qui apprécient ce modèle-là que le précédent. OK, le fait est que c'est déjà.
. . je dis plus d'hommes, mais attention, pas beaucoup d'hommes non plus, hein, c'est une caricature.
J'ai beaucoup parlé avec des hommes, ça ne les attire pas. Ça ne les attire pas, mais ce n'est pas l'objet de cette vidéo. Ce que je veux vous dire, c'est que c'est le fruit, encore une fois, d'une performance.
Comment on fait pour avoir un gros cul ? Dire "ouais, un gros cul, quoi". Comment on fait ?
Bah, on va faire des squats, on va à la muscu, on se discipline. C'est très masculin, ça ! Est-ce que les hommes ont besoin de ça ?
Est-ce qu'un homme, pour vous aimer, il a besoin de voir un gros cul énorme ? Est-ce qu'il a besoin même que vous alliez le faire refaire, faire de la chirurgie ? Pas forcément.
Et surtout, c'est toujours le fruit de la performance, au service de la performance, au service de la performance d'entreprises qui se servent de femmes comme femmes-sandwich pour mettre en avant leurs produits, leurs marques. Et on met ça, on étiquette ça comme des modèles féminins, comme des modèles de ce que devrait être le corps féminin. C'est une blague !
Et ça, ça crée des névroses chez les femmes après, parce que "je n'ai pas un cul assez gros", parce que "je ne montre pas mon corps comme ça". Moi, j'ai eu des femmes au téléphone qui m'ont dit : "Léo, le mec que j'aime bien, il regarde beaucoup ces femmes sur Insta, il parle avec elles, etc. .
. Mais moi, je ne suis pas trop comme ça, moi j'aime bien juste mettre mes dessins sur Insta. Ça, ça me met mal à l'aise de mettre mon corps.
" Mais ne rentrez pas là-dedans, vous ne vous sentez pas obligées ! Ce n'est pas votre compétition à vous. Il y a des femmes pour qui ça leur fait kiffer cette course-là, la course à la performance aux plus grosses fesses.
Tant mieux ! Mais vous n'êtes pas obligées de rentrer là-dedans, vous n'êtes pas obligées de rentrer dans ce jeu masculin de la course à la performance. Vous n'êtes pas non plus obligées de le rejeter, mais ces femmes-là qui vont sur les réseaux, qui font de la muscu, qui sont productives, qui sont performantes, et c'est leur kif !
Elles aiment ça, elles le font parce qu'elles aiment, et elles rentrent en contact avec un homme qui aime faire ça avec elles. Et c'est ça qui est beau, c'est ça l'amour. Et elles rencontrent des copines qui aiment faire ça.
Mais si ça crée de la souffrance chez vous, il ne faut pas le faire, parce que ça vient abîmer quelque chose d'autre à côté, quelque chose de plus profond, quelque chose de foncièrement féminin en vous. Ce féminin sauvage, le vrai féminin, ce n'est pas ça, ce n'est pas le culte de la finesse, ce n'est pas le culte de la fesse. Le féminin, c'est quelque chose de plus sacré, c'est quelque chose de plus profond que vous avez en fond de vous.
Mais vous savez, moi en écrivant cette vidéo, je me suis dit, en réfléchissant à tout ça, je me suis dit : "Ouah, mais comment la société peut réprimer la féminité ? " Je la vois partout. Ben non, ce n'est pas ce féminin sacré dont je vous parle.
Ce qu'on voit partout, c'est un féminin instrumentalisé, c'est une féminité instrumentalisée, travestie. Puisque même aujourd'hui, les hommes peuvent finalement devenir cette féminité superficielle, ce n'est plus l'apanage du sexe. Un homme peut lui.
. . Aussi se transformer et incarner cette féminité superficielle, construite en carton, puisque, comme disait Simone de Beauvoir, d'ailleurs la féminité, on ne naît pas femme, on le devient.
Et je pense qu'elle a fait beaucoup de mal aux femmes, tout en faisant aussi beaucoup de bien. Simone de Beauvoir a fait plein d'avancées philosophiques sur les femmes, mais il faut se rappeler aussi que Simone de Beauvoir, elle a quand même une haine du corps féminin, un rejet plutôt violent du corps féminin. Simone de Beauvoir, je rappelle, c'est celle qui disait que les menstruations étaient un fardeau, c'est celle qui parlait des seins comme étant insolites et gênants, et de la maternité comme un asservissement à l'espèce, une soumission à l'homme.
Finalement, tout ce qu'il y a de plus sacré chez la femme est considéré comme construit socialement, historiquement, et comme étant une soumission à l'homme. C'est terrible de voir ça comme ça, et cette pensée-là influence beaucoup aujourd'hui notre vision de la femme, notre vision du corps féminin. Parce que, comme je vous disais tout à l'heure, quand je dis à une fille : "Lève-toi tôt, tu fais ta fléarde", ça rejoint un peu ça.
Pourquoi tu boues là ? Pourquoi tu as des variations émotionnelles ? On ne comprend pas le corps féminin, on ne cherche pas à le comprendre, on ne cherche pas à nous en parler.
Moi, il y a des choses que j'apprends encore aujourd'hui. On ne nous l'a pas appris ; on nous parle de conneries sur l'égalité, l'égalité, l'égalité, mais on ne nous parle pas de ce que c'est vraiment la femme, le corps féminin, les cycles. C'est quoi le cycle hormonal ?
On nous en parle, mais brièvement. Qu'est-ce que ça implique ? Je vais vous dire une anecdote qui est un peu à l'origine de cette vidéo, et peut-être même à l'origine de cette chaîne YouTube.
D'ailleurs, celle qui m'a le plus influencée sur ce que c'est le charme féminin, c'est ma mère. Ma mère était une mère au foyer qui a joué le jeu de la mère au foyer jusqu'au bout, qui était là pour nous, qui nous a fait grandir, etc. , mais qui a pas mal souffert de ça.
Ma mère avait quand même un complexe qui a grossi avec les années : c'est le complexe de ne pas être une femme accomplie. C'est-à-dire, une femme qui travaille, une femme qui a une carrière, une femme qui court dans tous les sens, qui est dynamique, qui a des projets. Ma mère n'était pas comme ça, et on lui a bien fait comprendre pendant des années.
Parce que les femmes, souvent, dans la bouche d'autres femmes, ce sont souvent les femmes qui sont très dures là-dessus. Et très dur, moi, je l'ai appris avec ma mère parce qu'elle nous en parlait, parce que ça la pesait. Jusqu'au jour où elle a essayé de devenir cette femme accomplie, mais elle n'a pas réussi.
Elle a pensé qu'elle était nulle, elle a essayé de se plier et de s'aligner finalement sur le masculin, ou sur les autres femmes qui essaient de jouer au jeu de la performance, mais elle n'a pas réussi. Ce n'était pas son truc, et elle a cru qu'elle était nulle. Il a fallu qu'on en parle et que je lui dise : "Non mais tu n'es pas nulle, tu as réussi, tu as réussi dans l'amour, tu as réussi dans la maternité, tu as réussi dans la douceur, dans plein de choses.
" Mais la réussite n'est pas forcément mesurable, elle n'est pas forcément quantifiable, elle n'est pas forcément à des fins matérielles. Je pense qu'il est là le message clé de cette vidéo : il n'y a pas qu'une manière de réussir. Parce que comment voulez-vous mesurer l'amour d'une mère pour son enfant ?
Comment voulez-vous mesurer l'amour d'une femme pour son homme ? Comment voulez-vous mesurer l'inspiration qu'une femme suscite chez un homme ? Comment voulez-vous mesurer à quel point une femme peut être touchante quand elle est vulnérable, quand elle exprime le fait qu'elle ne contrôle pas tout et qu'elle n'y arrive pas ?
Pas en gueulant, mais à sa manière. Comment voulez-vous mesurer la connexion qu'une femme est capable de créer avec d'autres êtres humains ou des animaux ? Comment quantifiez-vous la sérénité ?
On n'en parle pas de ça ! Si pour certaines femmes, la réussite c'était la sérénité, c'était se sentir bien, juste, il n'y a pas besoin de courir après les calories en moins, les fibres musculaires en plus, au niveau des fesses, l'argent, le matériel, la grande maison, le mari riche. Même parce que là aussi, il y a du statut.
On aurait pu en parler : le besoin de réussir avec un homme riche, forcément. Ou quoi ? Ce n'est pas forcément votre définition du succès.
Mais elle ressemble à quoi, la vôtre ? Et est-ce que vous avez pris le temps de vous écouter là-dessus ? Parce qu'on ne s'écoute plus.
On a des trucs dans les oreilles, on a des podcasts, des vidéos YouTube, des gens qui nous disent comment on doit penser. Souvent, ce sont des gens autour de nous qui ont leur vision, leur définition du succès, et ça nous influence. C'est normal, mais parfois on choisit mal son univers.
On ne choisit pas forcément l'environnement qui célèbre la femme qu'on a envie de devenir. Elle ressemble à quoi, la femme que vous voulez devenir ? Et quel univers célèbre cette femme ?
Est-ce qu'il n'y a pas un univers qui respecte la femme que vous voulez devenir, qui la met en avant, qui la met sur le pinacle ? Peut-être que c'est. .
. Pas dans une tour à La Défense. Peut-être que ce n'est pas dans une salle de muscu, à courir sur un tapis de course pour essayer de perdre des calories.
Peut-être que ça dépend. C'est juste au fond de vos tripes : c'est quoi pour vous, la féminité ? C'est quoi, la femme que vous voulez incarner, votre féminin ?
Votre RIP à vous, passez du temps avec vous-même, à vous écouter, à vous poser cette question-là. Choisissez ensuite l'environnement, puis les gens, qui vont vous aider à atteindre cette femme-là, pas l'inverse. Dites-le nous dans les commentaires : elle ressemble à quoi, la femme rêvée pour vous ?
Le modèle de réussite, votre modèle à vous, votre définition du succès, c'est quoi pour vous ? Dites-le nous, on a envie de savoir. Les autres femmes ont envie de savoir, moi j'ai envie de comprendre.
Et les quelques hommes qui passeront par là, ça leur fera du bien de comprendre aussi. Je vous remercie, mesdames, de revenir chaque semaine écouter mes vidéos. Ça me touche beaucoup et ça me donne une certaine responsabilité.
Ça me donne une belle motivation pour continuer à faire tout ça.
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