Unknown

0 views3261 WordsCopy TextShare
Unknown
Video Transcript:
La antisèche numéro 1 des mecs aujourd'hui, c'est la friend zone. Pourtant, la friend zone, ça ne veut pas dire que c'est mort avec cette fille. C'est même plutôt l'inverse.
Je sais que ça va à l'encontre de ce que vous avez appris sur Internet depuis des années, comme quoi la friend zone, c'est le diable, c'est mort, etc. Mais je vais vous montrer, point par point, dans cette vidéo pourquoi la friend zone est probablement le meilleur moyen de trouver une copine dans un format un peu plus sérieux que d'habitude. Il faut le reconnaître, malgré la légèreté du terme friend zone, va falloir s'accrocher un petit peu.
Et je vais aussi, surtout, vous montrer qu'il existe deux types de friend zone : il y a une bonne friend zone et il y a une mauvaise friend zone. Donc, on est parti. On va commencer par l'article scientifique.
Donc, en fait, ce qu'ils ont étudié, c'est quel est, aujourd'hui, parce que c'est récent, c'est 2022, quelle est la manière la plus répandue chez les jeunes de se mettre en couple. Et ce qu'ils ont remarqué, c'est qu'ils n'ont pas étudié que les jeunes ; ils ont étudié un peu tout le monde, on va le voir juste après dans l'échantillon. Mais l'étude est récente.
Donc là, on va descendre et on va commenter le premier résultat qui m'intéresse, le plus important. Tout simplement, on va directement à l'essentiel : 68 % des individus qui ont été interrogés, donc 68 %, étaient d'abord des amis avant de se mettre en couple. Voilà, ça, c'est le chiffre clé.
Donc, on leur a demandé : quelle était votre relation avec votre partenaire avant de vous mettre en couple, avant de sortir ensemble ? C'était quoi votre relation ? Donc soit ils étaient amis, soit ils étaient amis d'amis, connaissance, collègue, inconnu ou autre.
Et là, en l'occurrence, la majorité, c'était des amis, pas des amis d'amis, des amis. Donc, ils avaient été dans cette friend zone avant de se mettre en couple, en tout cas pour 68 % d'entre eux. Deuxième chose qui va nous intéresser, qui est probablement la chose la plus intéressante, c'est que plus ils sont jeunes, plus ils ont tendance à se mettre en couple avec leurs amis.
Donc là, on va descendre un peu plus bas. Donc les résultats qui m'intéressent, c'est que chez les plus de 40 ans, donc les couples de plus de 40 ans, 69 % d'entre eux étaient d'abord des amis, et chez les moins de 29 ans, ça monte à 84 %. Donc seulement 69 % pour les plus de 40 ans, et on monte à 84 % pour les moins de 29 ans.
C'est-à-dire, en gros, que chez les jeunes, il y a beaucoup plus de probabilité d'être passé par la case friend zone avant d'avoir été en couple que chez les vieux. La question qu'on peut se poser maintenant, c'est : cet écart qu'on retrouve entre les jeunes et les moins jeunes, est-ce qu'il est lié à une question de génération ou est-ce qu'il est lié à une question d'âge ? Est-ce que c'est parce que ces couples sont jeunes qu'ils ont décidé de passer par la friend zone avant, ou alors est-ce que c'est plutôt quelque chose de générationnel ?
Est-ce que c'est quelque chose de nouveau ? La génération Z aurait tendance à utiliser plus la friend zone pour se mettre en couple. Donc, je vais vous donner mon avis là-dessus.
Alors moi, j'ai une explication pour expliquer un petit peu ce retour à la friend zone. Je vais vous expliquer. On va partir un tout petit peu loin, mais on va revenir.
On ne va pas partir sans vrai. Et pour ça, je voudrais vous citer une étude de l'Ifop qui montre que 43 % des moins de 25 ans n'ont pas eu de rapport sexuel en 2021. Les hommes et les femmes, c'est pareil.
Globalement, les jeunes de 18 à 24 ans, la génération Z, les jeunes couchent moins que les autres générations. Ils couchent moins même que leurs aînés de 25 à 34 ans. Il y a moins de rapports sexuels, et c'est pareil chez les hommes et chez les femmes.
Non, des plaisanteries au Red pillers qui sont persuadés que toutes les gonzesses couchent à droite à gauche, non. Et ces résultats, ils ont été aussi observés aux États-Unis. Alors pourquoi on observe ça ?
La raison principale, en tout cas dans la littérature scientifique aux États-Unis, donc ça avait été fait par le General Social Survey, c'est l'équivalent de l'Ifop aux États-Unis. Ils avaient eu les mêmes résultats. Et donc, l'explication, c'était l'alcool.
Il semblerait, bah du coup, qu'ils ont moins de comportements à risque. Il y a moins de sexualité débridée. Les plus jeunes sociabilisent moins, ils ont plus de difficultés avec le paradoxe des réseaux sociaux où, en fait, ils sont connectés, mais ils ont moins de rapports sociaux dans la vraie vie.
Ça, c'est une autre explication. Il y a aussi plus de dépression, plus de comportements, plus de troubles de la dépression. Et parmi toutes ces variables, parmi ces nombreuses variables qu'on essaiera dans toutes nos vidéos d'énumérer, il y en a une, il faut le reconnaître, c'est une variable dont on n'a pas parlé, c'est une variable économique, c'est une variable même macro, en fait.
C'est-à-dire qu'on vit dans un monde incertain. Je pense que je ne vous apprends rien si je vous dis qu'on vit dans un climat politique, un climat social, un climat économique complètement instable et incertain. Et je pense que s'il y a bien un mot qui définit, aujourd'hui, le climat dans lequel arrivent les générations Z, les plus jeunes, âgés de 18 à 24 ans, c'est l'incertitude.
C'est le chaos. Pas ce qui peut se passer, est-ce que demain on ne va pas avoir un méga confinement, une explosion nucléaire ? On ne sait plus, aujourd'hui, on ne sait plus du tout.
Et donc, qu'est-ce qui se passe ? Quand vous vivez dans un climat incertain, c'est que vous avez tendance à rechercher la stabilité. Quand vous êtes dans un climat incertain, quand vous êtes dans le chaos, vous voulez revenir aux fondamentaux.
Et cette recherche de stabilité, on va la retrouver à plusieurs niveaux. Déjà, on la retrouve avec un retour du religieux chez les plus jeunes. Et vous allez voir, on va faire le lien avec la friend zone.
On y arrive, à deux pas, à deux coups. Il y a donc un retour du religieux aujourd'hui parmi les plus jeunes. Euh, on sait que, je crois que je vous mettrai les chiffres à l'écran.
Je crois que c'est la première fois depuis 40 ans qu'il y a, parmi les plus jeunes, plus de croyants que de non-croyants. En tout cas, on est sur des chiffres parmi les plus jeunes qui sont plus élevés que d'habitude. Et ce n'est pas juste pour l'islam, c'est vraiment dans toutes les religions, enfin, le catholicisme et l'islam, en l'occurrence, en France.
Euh, donc, il y a beaucoup de gens, de plus en plus de gens qui se retournent vers la religion. Moi, ça ne m'étonne pas : recherche de stabilité dans un monde incertain, on se rattache à des choses qui nous rassurent et à ce qu'on considère comme étant plus stable. Il y a, mais au même titre finalement, au même titre, et c'est pour ça que j'appelle ça l'hypothèse de la valeur refuge dans le domaine amoureux.
Au même titre que les investisseurs, lorsque les marchés financiers deviennent volatils, lorsque les politiques monétaires deviennent imprévisibles, alors les investisseurs se tournent vers une valeur refuge, quelque chose qui ne bouge pas, qui garde sa valeur dans le temps et qui a fait ses preuves dans les derniers siècles et voire millénaire. C'est pour ça qu'en amour, je vais appeler ça l'hypothèse de la valeur refuge. Et donc, on y arrive sur l'amour.
Il y a une étude, une autre étude qui m'a mis la puce à l'oreille, qui montre que lors des périodes de récession, les femmes avaient tendance à rechercher des hommes moins dominants. Et alors, l'étude, ils l'avaient faite en l'occurrence avec l'effet de Saïence. Donc, ils avaient fait lire à des femmes des articles un peu anxiogènes sur l'économie, sur la récession, etc.
Et ces femmes-là avaient tendance, du coup, à trouver plus attirants les hommes qui étaient considérés comme moins dominants, moins mâles alpha. Pourquoi ? Le mâle alpha, finalement, n'est pas le choix premier lors d'une période de récession parce que le mâle alpha est trop volatile, parce que le mâle alpha est trop coureur finalement.
Et le mâle alpha, certes, il a potentiellement une qualité génétique supérieure à la moyenne, mais on n'a aucune garantie de sa stabilité en séduction. Il y a une recherche de régulation du risque chez les femmes. Il y a toujours une prise de risque dans le fait de coucher avec un homme, il y a une prise de risque dans le fait d'aller en rendez-vous avec un homme.
Il y a une prise de risque. Les mecs ne voient pas ça, les mecs ils voient misère sexuelle, machin, ils ne voient pas la prise de risque, et pour certaines, l'anxiété qui peut en découler. La friend zone, c'est minimiser le risque.
Pourquoi ? Parce que dans la friend zone, on a un homme qui s'engage, on a un homme qui s'est investi auprès d'elle, on a un homme qui a fait ses preuves, qui pendant de nombreux mois s'est investi auprès d'une femme. Et donc, on revient à cette histoire de période incertaine, on revient à cette histoire de chaos.
Bah, c'est beaucoup plus rassurant pour une fille, dans un climat anxiogène, finalement, de se mettre en couple avec un homme qu'elle connaît déjà bien, un homme qui la rassure, avec qui il y a du désir, évidemment. Parce que ce n'est pas juste minimiser le risque, il faut aussi booster le bénéfice. Minimiser le risque, booster, maximiser le bénéfice, c'est plus intéressant dans ce cas-là.
Et moi, je pense qu'à mesure qu'on avance dans une période dans un climat incertain et chaotique, eh bien, les femmes vont de plus en plus se tourner vers des relations amoureuses avec leurs amis. Évidemment, ça ne va pas se faire comme ça. Il ne suffit pas d'être pote avec sa copine, sinon ça se saurait.
Il y a une manière de faire les choses, parce que sinon, on se retrouve comme un guignol dans ce que j'appelle la FR zone d'intérêt, une friend zone totalement asymétrique où c'est l'homme qui s'investit seulement et la femme qui prend. Et dans ces cas-là, ça mènera nulle part, ça mènera juste à de l'esclavagisme, une certaine forme de machiavélisme dans certains cas, c'est-à-dire une femme qui fait volontairement l'ambigu pour obtenir les faveurs d'un homme. Mais bon, ce n'est pas la majorité, ce sont des cas spécifiques, contrairement à ce que veulent nous faire croire les redpillards qui s'indignent très facilement.
Donc oui, il y a plusieurs types de friend zone. Il y a une friend zone d'intérêt, une mauvaise friend zone, et puis il y a une bonne friend zone, la friend zone que j'appelle stratégique, dont je vous parle dans une vidéo que j'ai faite, qui est sur mon site. Donc je vous mettrai le lien, ce sera le premier lien en description de cette page, où je vous explique justement comment ne pas tomber dans cette friend zone d'intérêt et comment faire.
En sorte, absolument, de prendre tout ce qu'il y a de bon dans la friend zone pour finalement faire une fr zone stratégique qui aboutit à une relation amoureuse. Maintenant, j'aimerais revenir sur l'étude et vous donner trois B en termes de stratégie pour vous, les hommes. On a fait preuve d'empathie, on a essayé de comprendre un petit peu mieux le besoin féminin.
Je vais refaire un peu du Nostradamus là, juste après, mais j'aimerais d'abord vous donner un petit point de stratégie. Grosso modo, il y a deux manières de se mettre en couple selon les chercheurs : soit on était des inconnus et on s'est mis en couple, donc c'est ce que j'appelle une approche à froid ; soit on était des amis avant et on a décidé de se mettre en couple sur du plus long terme, parce que cette transition prend plus de temps, ce que j'appelle la séduction lente, une approche à chaud. Donc, approche à froid, approche à chaud, inconnu ou ami.
On a beaucoup insisté sur l'approche à froid, sur la rencontre entre deux inconnus et la passion amoureuse qui part d'un coup, mais un petit peu moins sur la séduction lente. Je vais vous dire dans quel cas c'est intéressant de choisir telle ou telle stratégie, parce qu'à un moment en séduction, il faut savoir être stratégique. L'approche à froid, c'est-à-dire celle qui est basée sur la rencontre entre deux inconnus, elle est intéressante pour un homme qui est doué dans l'art de faire une bonne première impression, à jouer sur la créativité, sur l'humour, sur le charisme, etc.
Et puis, il y a ceux qui sont moins bons, finalement, pour faire une bonne première impression, et ces gens-là vont plutôt bénéficier de l'approche de la séduction, de l'approche à chaud, c'est-à-dire deux amis qui progressivement tendent vers le couple. Pourquoi ? Parce que là, dans ce cas de figure, on ne va pas jouer sur une première impression rapide en 5 minutes.
Il faut plaire à la fille ; là, on a plus de temps puisqu'on est amis d'abord. Donc, on a plus de temps pour faire une bonne première impression. Dans ces cas-là, pour moi, ça devient intéressant pour un mec qui n'a pas forcément un physique exceptionnel.
Ça devient intéressant pour un mec qui n'a pas forcément un charisme exceptionnel. On va jouer sur d'autres effets psychologiques, mais sans pour autant tomber dans les pièges classiques de la friend zone. C'est là qu'il faut faire attention, parce que rassurer, c'est bien, mais il ne faut pas non plus que ça vienne entraver le désir.
C'est pour ça que je vous invite à aller voir la vidéo que je vous mets en lien où je vous explique vraiment comment utiliser la friend zone de manière stratégique, sans tomber dans les pièges classiques de la mauvaise friend zone, et surtout en utilisant les bonnes choses de la friend zone et en boostant le désir entre vous et la fille, en tablant à la fois sur une fusion, un rapprochement émotionnel avec la fille, mais en même temps sur le désir, en boostant le désir de la nana subtilement. Voilà, c'est ce que j'appelle la friend zone stratégique. Donc, ça, effectivement, c'est plus adapté à un type qui n'est pas forcément doué dans l'art de faire une bonne première impression pour les raisons qu'on a évoquées, mais qui a plutôt envie de jouer, on va dire, sur un aspect plus stratégique.
Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise séduction, il y a votre séduction. Mais même au-delà de ça, je veux dire, il y a une séduction qui va être adaptée dans certains cas de figure. Il y a des mecs qui sont bons pour aborder des filles dans la rue, il y a des mecs qui sont bons pour créer du lien social avec une collègue parce qu'ils vont jouer sur d'autres critères, il y a des mecs qui sont bons pour passer par la friend zone parce qu'ils sont subtils, parce qu'ils sont malins, parce qu'ils arrivent à garder une approche un peu stratégique pour subtilement amener le désir là où ils le veulent.
Il y a des mecs qui sont bons sur les boîtes de nuit, qui vont être beaucoup plus extravertis, beaucoup plus dominants, et il y a des mecs qui sont très bons sur Tinder parce qu'ils ont une gueule exceptionnelle et qu'ils ont juste envie de coucher rapidement avec des filles moyennes. Chacun son style ! Vraiment, il n'y a pas de bonne ou mauvaise réponse, mais il faut être le plus réaliste vis-à-vis de vos forces et vos faiblesses et aussi vis-à-vis de vos objectifs.
Donc voilà, en tout cas, si ça vous intéresse, vous pouvez aller voir la vidéo pour vous expliquer comment utiliser la friend zone de manière stratégique, justement, comment aller plus loin là-dessus. Pour revenir un petit peu sur mon hypothèse de la valeur refuge, je pense qu'il va y avoir des changements dans les comportements amoureux féminins dans les années à venir, pas forcément dans le sens que vous pensez. Moi, je ne dis pas que ça exclura les comportements des "dées only fans," montrer ses fesses sur Instagram, etc.
Je pense que, pour moi, ça reste une minorité bruyante, ça reste quelque chose d'assez niché encore aujourd'hui, et ça reste quelque chose qui va être de plus en plus décrié, à mon avis, par la moyenne des femmes, par la médiane, par la majorité des femmes. Et c'est là où je vais me permettre de faire quelques prévisions à la Nostradamus. Moi, je pense qu'il va y avoir un rejet de plus en plus fort.
De cette culture hookup, de cette culture Tinder, de cette culture Insta, Insta fesse, hyper femelle, etc. , de la part de la majorité. Je parle bien de la moyenne, je ne parle pas des minorités extrêmes.
Je parle vraiment de la Girl Next Door, la femme que vous côtoyez au quotidien, pas celle qui habite à Dubaï et qui fait des choses extravagantes. Donc, un rejet de cette culture-là, je pense qu'il va y avoir, encore une fois, on revient sur mon hypothèse de la valeur refuge : une demande toujours plus grande pour le mariage, un retour vers la mode tradwife dont on a parlé dans ma vidéo. Je n'avais pas donné les causes, selon moi, de ce retour à la tradwife, mais c'est exactement ce que je vous ai dit aujourd'hui.
Pour moi, les causes du retour de la tradwife, déjà, ça va augmenter, ça va continuer, et les causes pour moi, c'est la récession, c'est l'incertitude, c'est le chaos, c'est le besoin de stabilité qui pousse les nanas à rejeter, je pense, de plus en plus la carrière. Je ne parle pas des études, je parle bien de la carrière. Je pense que les femmes, de plus en plus, vont rejeter la carrière et vont revenir vers un mode de vie beaucoup plus trad, à la sauce à la carte, comme on dit.
Je pense que ça va devenir de plus en plus important pour les femmes. Et donc, on en revient à mon hypothèse de la friend zone. Finalement, on ne va pas forcément coucher avec le mâle alpha sur Tinder qui a couché avec 150 filles avant, et pas forcément coucher, encore une fois, et tester des dizaines de mecs sur Internet, sur les réseaux.
Je pense que oui, il va de plus en plus y avoir cette recherche de stabilité. Donc, le fait de se mettre en couple, finalement, avec un ami proche, quelqu'un qu'on connaît bien, mais à condition que ce mec-là sache la séduire. Parce qu'il ne suffit pas juste d'être son pote, il faut aussi être capable de booster son désir, tout ce que je vous enseigne dans la vidéo sur la friend zone stratégique, donc en description.
Voilà, les amis, on reparlera de tout ça. C'est un sujet qui, moi, me fascine.
Copyright © 2025. Made with ♥ in London by YTScribe.com