Pourquoi les hommes intelligents galèrent avec les filles?

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Les Philogynes
On explique pourquoi les hommes intelligents (ou haut potentiel) galèrent avec les filles. Inscrive...
Video Transcript:
Dans cette vidéo, messieurs, je vais vous expliquer pourquoi les hommes intelligents galèrent le plus à trouver une copine, galèrent le plus en séduction. Vous allez comprendre précisément pourquoi, ça va probablement vous permettre de mettre la lumière sur des problématiques que vous traînez depuis 5, 10 ans en séduction. Donc, je vous invite vraiment à regarder jusqu'au bout.
Euh, c'est une vidéo qui est assez dense, assez riche en informations et qui, à mon avis, va provoquer un déclic. Vous me direz ça dans les commentaires. Et c'est bientôt Black Friday, messieurs !
Donc si vous voulez avoir accès à toutes les réductions que je vais faire sur la boutique, toutes les formations seront en réduction. Inscrivez-vous à la newsletter, comme ça vous recevrez tous les mails de réduction sur toutes les formations de la boutique. Voilà, on passe à la vidéo.
Il y a une étude qui est parue en 2000, qui s'intitule "Smart teens don't have sex". Vu que je m'adresse à des OCI dans cette vidéo, je n'ai pas besoin de traduire cette phrase. Non, "Smart teens don't have sex", c'est-à-dire que les adolescents intelligents n'ont pas de rapports sexuels.
L'étude montrait que les adolescents avec un QI de plus de 130 avaient en moyenne trois fois moins de probabilité d'avoir des rapports sexuels que leurs petits camarades qui avaient un QI dans la moyenne. Euh, et même Elon Musk avait repris cette étude. Il l'a reprise.
Bon, elle date des années 2000, donc elle est assez ancienne, elle n'est pas forcément adaptée aujourd'hui à notre époque. On peut imaginer que ce soit toujours le cas. En tout cas, ce qu'il en ressort, c'est que les adolescents avec un haut QI ont moins de rapports sexuels.
Quand vous étiez ado, si vous faites partie de ces adultes avec un haut QI, eh bien, vous baigniez probablement dans un contexte familial aisé, parce que les parents aisés, généralement, font des enfants plus intelligents que la moyenne. Les parents plus intelligents que la moyenne font des enfants qui, plus tard, seront plus aisés. C'est une corrélation, ce n'est pas une loi, mais pour le faire simple, effectivement, les riches font des enfants intelligents, et les parents intelligents font des enfants riches plus tard.
Je schématise pour que ça aille plus vite, mais il y a une corrélation entre le niveau de revenu et l'intelligence des enfants. Or, les enfants qui grandissent, les ados qui grandissent dans des familles aisées, eh bien, généralement, dans ces familles, il y a plus de discours de prévention autour du sexe. Il y a une éducation un peu plus importante autour de ça : "Attention, protège-toi, les préservatifs, attention, tu peux tomber enceinte, les MST, le VIH.
" Euh, ce n'est pas forcément encouragé d'avoir des rapports sexuels dans ces familles. D'ailleurs, dans les familles où il y a les deux parents, dans les familles où il y a un vrai soutien, où on fait le point chaque week-end sur les notes, sur les trucs, etc. , ça c'est ce qu'on retrouve plus dans les familles aisées, plutôt que dans les familles cassées, monoparentales, euh, tout ça.
Donc, il y a plus cet encadrement qui fait que, bah, le gamin qui à la fois est encadré sur sa vie scolaire, sur ses études, il va aussi être un peu plus encadré et moins encouragé à avoir des rapports sexuels, parce qu'il y a une surveillance plus importante des parents et plus un discours de prévention autour du sexe, des soirées, de l'alcool, etc. Tout cet univers fait que, bah, c'est plus difficile pour un adolescent qui grandit dans une famille aisée, et donc une famille qui apporte un cadre, c'est plus difficile pour lui de faire un petit peu les conneries des ados : des soirées, de l'alcool, coucher, courir après les filles, etc. C'est plus difficile, parce que l'ado, qui est l'enfant de ces parents, et ses parents sont probablement plus intelligents que la moyenne, eh bien, ils se projettent déjà sur les conséquences négatives du sexe.
Quand vous êtes intelligent, l'une des particularités de l'intelligence, c'est que vous n'avez pas besoin de voir la chose sous vos yeux pour savoir qu'elle existe. Vous êtes capable de vous projeter dans l'avenir. C'est un indicateur de l'intelligence, vous êtes capable de penser un, deux, trois, quatre coups en avance.
Vous êtes dans le futur en train d'anticiper. Donc que font les adolescents intelligents ? Eh bien, en fait, ils se projettent sur l'avenir.
Ils se disent : "Ok, alors attends, si j'ai un rapport sexuel là, ça veut dire que potentiellement, je peux, euh, choper une MST. Potentiellement, je peux ne plus être concentré sur mes études, parce que si je vais en soirée ce soir, je travaillerai moins, donc j'aurai peut-être de moins bonnes notes, j'aurai peut-être de moins bons choix d'écoles, une moins bonne carrière, etc. , etc.
" Le gamin qui est dans la moyenne, ou qui est en dessous de la moyenne en termes d'intelligence, il ne se projette pas à ce niveau-là. Lorsque vous êtes un gamin et que vous apprenez à embrasser les filles, à parler aux filles, ce sont des choses qui ne demandent pas un QI très élevé, mais qui demandent d'être capable de reconnecter avec ce qu'il y a de plus profond en nous, c'est-à-dire notre besoin de reproduction, même si l'objectif n'est pas de faire des enfants. Mais vous voyez ce que je veux dire.
C'est comme quand vous êtes gamin et que vous allez faire du foot, tous les. . .
Weekends, vous courez, vous gueulez, vous poussez, vous faites des tacles, etc. Eh bien, vous êtes en train d'exprimer ce pour quoi votre corps a été conçu, en partie, c'est-à-dire la survie. Vous êtes en train d'exprimer toutes vos capacités liées à la survie.
Votre corps est en train d'exprimer ce pour quoi il est conçu, c'est-à-dire la survie, et ça lui fait du bien. Donc, ça, c'est une première raison pour laquelle les adolescents, à ce stade, ont moins de rapports sexuels. Eh bien, en fait, il se trouve un milliard de raisons logiques et rationnelles de ne pas coucher, de ne pas avoir de rapports sexuels et de ne pas aller en soirée.
Mais aussi, il se trouve des raisons de bosser, de bosser plus, de se projeter davantage sur l'avenir, de travailler plus, plutôt le samedi soir plutôt que d'aller en soirée. Eh bien, en fait, on se couche tôt parce que, le dimanche matin, on va travailler. Parce qu'on va travailler pour avoir non pas la moyenne au bac, mais les meilleures notes, les mentions, pour pouvoir accéder aux grandes écoles, aux prépas, tout ça, tout ça, parce qu'on se projette sur l'avenir.
Parce qu'on sait que ce qui compte, c'est l'avenir. Et alors, c'est intéressant, parce que le problème, c'est que quand vous vous projetez sur l'avenir, eh bien, vous n'êtes pas à un endroit, c'est-à-dire le moment présent. Alors, le meilleur moyen d'être adapté à la survie, à la reproduction (on y revient), c'est d'être ancré dans le moment présent.
Si vous êtes là, assis avec moi à philosopher sur le sens de la vie, euh, vous n'êtes pas concentré sur la petite blonde là-bas, au fond de la salle du café, qui est en train de m'envoyer des regards et des petits sourires pour que je vienne lui parler. Et d'ailleurs, vu que je suis en train de philosopher sur le sens de la vie, je ne suis pas concentré sur ce que je pourrais lui dire, quel compliment je lui sors, etc. Si je suis dans la rue, là, je ressors et euh, je réfléchis aux factures URSSAF que je dois payer et que je me projette sur les échéances de je ne sais pas quoi, eh bien, en fait, je ne suis pas concentré sur la Twingo qui vient de griller un feu rouge et qui peut potentiellement me tuer.
Je ne suis ni concentré sur ce qui sert ma survie, ni concentré sur ce qui sert la reproduction, parce que je suis dans la tour de contrôle. Je ne suis pas dans les fonctions essentielles, si je puis dire, du corps. Parce que mon corps, il a été conçu pour deux choses : il a été conçu pour survivre et pour se reproduire.
Mon corps, c'est le fruit. . .
ça ne veut pas dire que c'est après quoi je dois courir et que. . .
non, ce n'est pas du tout ce que je suis en train de dire. On n'est pas des animaux ! Au contraire, la beauté de l'humain, c'est qu'il est capable de s'émanciper de ses besoins de survie et de reproduction.
Et c'est ça qui est magnifique chez l'humain. Mais l'humain, c'est également qu'il faut se soumettre d'une certaine manière à ces besoins-là, parce qu'il ne pourra jamais s'en émanciper. De ses besoins de survie et de reproduction.
Et c'est pour ça que tous les grands chefs d'entreprise aujourd'hui, prenez tous les CEO de Facebook, tous les mecs brillants que vous voyez même sur Internet, euh, Elon Musk, Mark Zuckerberg, Steve Jobs, tous ces gens-là, en fait, eh bien, ils passent du temps à la salle, ils passent du temps à faire des programmes spécifiques de sport. Marc Zuckerberg, par exemple, fait du jiu-jitsu. Il y a beaucoup, d'ailleurs, de CEO aux États-Unis, surtout les jeunes générations, qui sont sur un sport de combat.
Et très souvent, c'est le jiu-jitsu, parce que c'est l'un des sports de combat où vous avez la plus longue longévité, c'est moins traumatisant que la boxe. Mais pourquoi ces hommes-là font des sports de combat ? Pourquoi ces hommes-là font souvent des sports où il y a un peu de compétition ?
Parce qu'ils savent très bien que c'est nécessaire pour leur équilibre et que si le corps n'est pas bien, si le corps n'est pas en bonne santé, derrière, l'équilibre mental, ça ne va pas bien se passer et la boîte ne va pas tourner. En fait, vous pouvez vous arrêter à cela : il n'y a pas de scission entre le corps et l'esprit. Ça, c'est.
. . c'est.
. . c'est bullshit !
Votre corps, c'est votre esprit, c'est la même chose. Le corps, le cerveau, tout ça, c'est la même chose. Il n'y a pas de barrière entre les deux.
Donc, ces gens-là, extrêmement brillants, savent très bien qu'ils passent leur journée dans leur tête, à se projeter, anticiper, calculer. Mais il faut un moment revenir à quelque chose de complètement animal, à quelque chose qui vient servir la survie, c'est-à-dire le sport. En fait, pour beaucoup, faites n'importe quel sport.
Le sport, finalement, c'est le sport, être en bonne santé, courir, le footing, toutes ces choses-là, finalement, c'est redoter votre corps, permettre à votre corps d'exprimer ce pour quoi il a été conçu, encore une fois, c'est-à-dire la survie. Et survivre, c'est être capable de courir, d'escalader, de se battre, de nager et de fournir un effort intense en un court instant. C'est toutes ces choses-là, la notion de survie.
Le sport n'est rien d'autre, d'ailleurs, que l'héritier de la chasse. Et donc, si vous êtes apte, si vous êtes doué au sport, généralement, c'est que vous avez un. .
. si vous êtes athlétique, c'est que vous êtes en train d'exprimer toutes ces capacités qu'on retrouvait dans le passé, au niveau de la chasse. Et ça vous.
. . et vous vous sentez bien.
Sentez-vous bien, parce que vous êtes en train de servir cet objectif de survie pour lequel votre corps a été conçu. Mais on oublie bien souvent qu'il y a aussi la reproduction. La reproduction, ce n'est pas forcément, euh, pondre plein d'enfants, pondre plein de gosses.
Ce n'est pas ça, la reproduction. La reproduction, c'est être capable d'exprimer tout le chemin qui amène à la procréation : la séduction, en l'occurrence. La reproduction, c'est d'être capable d'arrêter de se projeter dans l'avenir et de se recentrer sur des choses très basiques, très animales, telles que provoquer une approche, parler à une fille qu'on ne connaît pas, ou se rapprocher d'elle pour l'embrasser, euh, après, euh, discussion, hein, pas de l'approche, évidemment, et puis consentement, tout ça, tout ça.
Euh, la reproduction, être capable d'exprimer toutes ces choses-là, bah c'est la capacité à créer un rapprochement physique avec une femme, un rapprochement sexuel. La sexualité, infinie, et toutes ces choses-là, quand on est dans sa tête, on n'est pas focalisé, on n'est pas dans une situation optimale pour favoriser ça. Donc je reviens à nos gamins intelligents, nos adolescents intelligents, qui plus tard deviennent des adultes intelligents avec carrière et poste à haute responsabilité ou stressant, ou en tout cas boulot très intellectuel, cérébral.
Ben, ces gens-là, on les retrouve, ils ont fini leurs études. Voilà, l'adolescent a fait ses études, euh, il a fini, à 23 ans, il a commencé à bosser, 1 an, 2 ans, euh, 3 ans éventuellement. Donc il arrive à 26, 27 ans, ça y est, il a son boulot qui est bien lancé, il a ses revenus, il a son appart, il a son CDI.
Il peut souffler un peu pour la première fois de sa vie et se dire : « Ok, c'est bon, j'ai le CDI, c'est bon, j'ai l'appart, j'ai le permis, j'ai la carrière qui est toute tracée. Papa, maman sont fiers, je reviens les voir le weekend, tout se passe bien. Et maintenant, elle est où, la petite copine ?
» En attendant, elle est où ? Parce que, bah, ouais, c'est absurde. Sauf qu'en fait, les parents t'ont formaté pour avoir la carrière, le boulot, tout ça, et c'est très bien, mais ils t'ont pas beaucoup aidé sur le plan amoureux.
Et euh, là, tu commences à te dire : « Merde, ah c'est vrai quoi, j'ai le pognon, la carrière, l'appart, mais elle est où, la gonzesse ? » Et c'est souvent là qu'on commence à se poser des questions. Et le problème, c'est que ces 5 à dernières années de votre vie, voire plus parfois, les 10 dernières années, hein, elles ont été entièrement consacrées au travail, aux études, aux projections dans l'avenir : « Comment j'investis mes sous ?
Comment je me projette ? Est-ce que j'achète ? Est-ce que… » Tout ça, les choix de carrière, machin, mais absolument pas à ce qui parle des tripes.
Souvent, vous l'avez compris. Pour le sport, comme on l'a vu tout à l'heure avec la notion de survie, vous avez compris que c'est important de faire du sport, parce qu'en fait, c'est con, le sport, mais notre corps, il est conçu pour ça. Et quand on lui donne ce pour quoi il est conçu, aussi stupide que ça puisse paraître, bah ça lui fait du bien.
Mais vous l'avez oublié pour la reproduction, pour beaucoup d'entre vous, et particulièrement les CUI. Et ça, c'est un problème, parce qu'on ne va pas forcément en sortir avec euh, l'intellect, comme on l'a fait pour la carrière, comme on l'a fait pour euh, la vie professionnelle, ou même pour le sport. On va en sortir, non pas à travers l'intellect, mais en débranchant le cerveau.
Et ça, ça fait peur. C'est pour ça que les gens débiles, les débiles, enfin, je dis débiles, j'exagère, mais les gens pas très intelligents, finalement, c'est plus facile pour eux, d'une certaine manière. Pourquoi ?
Parce qu'ils arrivent à débrancher le cerveau, particulièrement sur deux ou trois moments clés de la séduction. Et cette phase de reproduction, c'est-à-dire provoquer la rencontre, tenter le rapprochement physique et coucher, sexe, le sexe, on ne peut pas anticiper quand on fait du sexe. On n'est pas en train de se projeter dans l'avenir, on n'est pas en train de penser aux factures, pour vraiment être en train de vivre un bon moment, un beau moment sexuel.
Bah, il faut être pleinement dans le moment présent. Et c'est exactement pareil pour la rencontre, et c'est exactement pareil pour le premier bisou. Il faut être ancré dans le moment présent, et ça, c'est quelque chose sur lequel les gens, ces gens, ont beaucoup de mal, parce qu'ils sont constamment en train de faire tourner la machine à se projeter, à anticiper, à calculer.
Et donc, ils n'arrivent pas à être dans le moment présent. Mais ça, c'est le problème de l'occidental, hein. Le sport national de l'occident, le fléau du siècle en Occident aujourd'hui, c'est cette difficulté à se recentrer dans le moment présent, à faire fermer sa gueule à la, au flux incessant de pensée, euh, pensée qui parfois peuvent être hyper adaptées pour améliorer sa vie.
Mais dans la majorité du temps, ces pensées-là, elles ne servent strictement à rien. Quand on est là, en rendez-vous avec une fille et qu'on est en train de se projeter dans sa tête et amener sur des conversations ennuyantes, chiantes, sur des trucs peut-être hyper intéressants, mais qui, en fait, vous déconnectent complètement de cette idée de reproduction. Mais c'est pour ça qu'en fait, vous ne voyez jamais les filles, parce que vous êtes, et peut-être même qu'elles vous y encouragent, mais vous êtes trop centrés sur l'intellect.
Vous êtes trop, pas investis sur le cortex préfrontal et pas assez sur le reptilien, entre guillemets. Vous n'êtes pas. Pas assez.
Vous, vous, vous, vous ne vous exprimez pas assez avec les tripes, parce que vous n'avez pas appris à le faire. Parce que ces cinq à dix dernières années, vous avez surinvesti le cortex préfrontal au détriment du reptilien, au détriment, euh, de tout ce qui a trait à la reproduction et à la survie. Le débile, il ne se pose pas de questions au moment d'aller parler à une fille.
Le débile, il n'est pas en train de se dire : "Alors attends, elle m'a regardé, mais bon, elle m'a regardé qu'une fois, du coup c'était peut-être du hasard, et puis je crois qu'elle regardait derrière moi. Et puis, en fait, qu'est-ce qu'il me dit ? Qu'elle n'a pas déjà un copain ?
Et puis, que, en fait, je vais la déranger parce qu'elle a peut-être ses écouteurs, donc elle est peut-être occupée à faire quelque chose. Et puis, en plus, bah, tu sais, en ce moment, enfin, les femmes, elles sont devenues féministes, donc c'est compliqué. Puis moi, tu sais, je suis concentré avec mes études, c'est compliqué.
J'aurais pas le temps de gérer une relation, etc. " Le débile, il ne se prend pas la tête avec ça. Il aborde, et il réfléchira éventuellement après.
D'ailleurs, j'avais un pote à moi, bon, c'est très vulgaire ce que je vais vous dire. Quand j'étais plus jeune et que je me posais beaucoup de questions, ce genre de questions, il me disait, pour rigoler, faut pas le prendre au pied de la lettre, mais il me disait : "Baise-la, tu verras après. " C'est très vulgaire, mais c'était une manière de dire : "Léo, arrête de te poser un milliard de questions.
" Parce que je disais : "Ouais, mais j'habite loin, tu comprends, si jamais un jour j'ai envie de la revoir, cette fille, mais en même temps, tu comprends, il faut que je prenne le train de banlieue pour venir sur Paris, j'habite chez ma mère, c'est compliqué," etc. Il s'épait là, tu vois. Après, voilà, ça plaira pas à quelques filles qui verront cette vidéo, euh, mais c'était sa manière à lui de me dire : "Ferme ta gueule, débranche ton cerveau.
" Et c'est ça qu'ont beaucoup de mal à faire, euh, les individus, euh, ou alors les individus qui surinvestissent l'intellect. Parce que souvent, l'intellect, euh, le cerveau n'est pas forcément bien investi. Hein, c'est pas parce que vous ruminez, ruminez, ruminez dans votre tête que ce flux de pensée est adapté à votre vie et qu'il vous aide à améliorer votre vie, et qu'il vous aide même à mieux résoudre des problèmes.
Très souvent, c'est mal investi. C'est comme si moi, je prenais des haltères et que toute la journée je faisais ça. Bah, je ne vais pas prendre du muscle, hein, ça ne va servir à rien du tout.
Donc, [Musique] surinvestir un organe, c'est bien, mais à condition de le faire aussi de manière intelligente. Mais donc, c'est aussi d'être capable de débrancher. Et donc, il y a ces moments-là où l'être humain doit redevenir con, doit redevenir animal et débrancher complètement la machine à projeter, anticiper, calculer.
Et dans la séduction, ces moments-là, c'est provoquer la première rencontre. Quand on est un homme, on est obligé d'y aller. Quand tu croises une femme qui t'a envoyé un petit regard avec un sourire, il y a un moment où, en fait, ça n'obéit plus à des choses rationnelles.
C'est juste : elle t'envoie un regard, tu sais que tu dois aller lui dire un truc. Et à ce moment-là, il faut devenir con. Et le moment où le mec part pour parler à la fille, moment très anxiogène pour la plupart des hommes, je l'entends, je le sais, je vous connais, je vous ai vus dix ans, hein, sur le terrain.
Ce moment-là, en fait, celui qui gagne, c'est celui qui ne réfléchit pas et qui va. Le moment où tu commences à t'arrêter pour te dire : "Ok," tu vas trouver un milliard de raisons rationnelles tout à fait légitimes de ne pas y aller. Pareil pour embrasser une fille, pour se dire : "Ouais, mais non, attends, c'est bizarre, on vient de se parler, là, je vais tendre la joue comme ça, ça se fait pas, c'est bizarre, attends.
" Et puis : "Si elle me fait un râteau ? Et puis d'ailleurs, elle ne m'a pas prévenu qu'elle avait un copain. " Il y a un moment où il faut débrancher, quoi.
Pareil pour l'acte sexuel, il y a un moment, il faut débrancher, avec le consentement, évidemment. Une fois qu'on a le consentement, il faut débrancher. Et ça, c'est très dur, c'est très dur.
Encore une fois, euh, c'est à la fois très dur et très simple. C'est très dur parce qu'on est surinvesti dans la tour de contrôle, et c'est très simple parce qu'en fait, on a été conçu pour ça. On est des animaux à la base, conçus pour survivre et se reproduire.
Et c'est pour ça que, quand on va courir, ça nous fait du bien, parce que c'est instinctif, au fond. Euh, escalader, c'est instinctif, faire l'amour, c'est instinctif, c'est quelque chose qui doit partir des tripes, au fond. Mais quand on n'a pas pris l'habitude de développer ça et de mettre son corps, d'exposer son corps à cette notion de survie et de reproduction, eh bien, effectivement, au début, on va être gauche, on va être maladroit, on va être anxieux, on va rester dans notre tête, on va avoir du mal à revenir dans le corps.
Et c'est là, je pense, toute la difficulté d'énormément d'hommes, et particulièrement les hommes intelligents, et les femmes aussi, mais ça, ce n'est pas le sujet. C'est de revenir dans le corps, un petit peu, de revenir un peu là-dedans et de faire fermer sa gueule à ce discours interne qui. .
. Va trouver toutes les meilleures raisons du monde de ne pas se concentrer sur de ne pas aller parler à une fille, de ne pas embrasser une fille. Ouais, mais Léo, tu comprends, moi, je me focus sur moi en ce moment.
Je suis sur mon sigma mindset, où je travaille avec ma capuche. Comme ça, je me concentre sur ma carrière, devenir riche et puis devenir musclé, et puis les filles viendront plus tard, etc. Mais ça, c'est du.
. . comme en anglais, il dit, c'est du C.
C'est des stratégies d'évitement pour éviter ce truc-là essentiel qui est la reproduction. C'est une stratégie d'évitement avec toutes les meilleures raisons du monde d'éviter de vous confronter à ce qui est essentiel, c'est-à-dire votre capacité à parler à une fille, votre capacité à provoquer une rencontre, votre capacité à embrasser une fille. Toutes ces choses-là, ça ne viendra pas en étant plus riche.
Moi, des mecs riches et musclés, j'en ai tous les jours en séance, j'en ai tous les jours. Devenir plus riche, c'est. .
. les mecs, ils s'imaginent que quand ils auront plus d'argent, ça marchera mieux avec les filles. C'est un fantasme de puceau et prolo.
C'est la preuve même que le mec qui pense ça, c'est la preuve même qu'il n'a jamais connu de femmes, en fait. Parce que s'il avait connu les femmes, il saurait très bien que ce n'est pas comme ça que ça marche, que l'argent, ça ne sert à rien du tout. Ça ne se voit pas.
L'argent aide à améliorer une relation amoureuse à partir du moment où vous avez une fille amoureuse avec vous, parce que ça fluidifie les expériences, ça permet de vivre plus de choses. Mais tant que la fille n'est pas amoureuse, votre argent, ça ne change rien du tout. Ça vous permettra juste de vous payer des plus belles choses, je suppose, mais c'est tout quoi.
La muscu, c'est génial, les filles adorent les mecs musclés, mais encore faut-il que vous provoquiez l'approche. Il faut que vous puissiez connaître cette fille-là. En fait, si vous ne tentez rien, s'il n'y a pas de rapprochement entre vous et la fille, vous n'existez pas aux yeux de la fille.
Les filles sélectionnent uniquement des hommes parmi ceux qui sont venus lui parler, parmi ceux qui ont tenté un rapprochement physique avec elle. Les autres hommes n'existent pas. Si vous n'êtes pas parmi ceux qui ont tenté le rapprochement physique, qui ont proposé, qui ont été à l'initiative logistique puis physique, vous n'existez pas à ses yeux, parce que vous avez failli au premier test, cette barrière de sélection qui est : est-ce que j'ai les couilles d'exprimer ça du plus profond de mes tripes ?
Est-ce que j'arrive à exprimer ce truc-là qui est animal, au fond, qui est le débranchement de cerveau, la réactivation de la testostérone pour venir te parler ? C'est ça, au fond. On débranche le cerveau, et l'excès d'intellect ou l'inaction est perçu comme une marque de faiblesse aux yeux des femmes.
Le mec qui n'aborde pas, en fait, il n'existe pas, parce qu'il est éliminé d'office. Il n'a pas ce qu'il faut, il n'a pas cette vitalité au fond de lui, cet instinct de reproduction qui m'intéresse moi, en tant que femme. Il n'existe pas, en fait.
Il ne rentre même pas dans la case des mecs que j'aimerais bien. Non, il n'est pas venu, il n'existe pas. Il n'a rien tenté.
Il n'existe pas. C'est pour ça que les femmes, souvent, les mecs me disent : « Léo, il y a une fille, je ne comprends pas. Elle était à fond au début, les femmes sont trop compliquées.
Elle était à fond au début, elle m'envoyait plein de regards, et puis même elle est même venue me parler plusieurs fois, et cetera. Et puis je ne comprends pas, là, ça fait six mois que je n'ai plus de nouvelles. » Bah oui, frérot, mais tu ne lui as jamais proposé de boire un verre, tu ne l'as jamais embrassée, tu ne lui as jamais rien proposé.
Tu n'as rien fait évoluer. Tu te contentes d'attendre. C'est quoi ?
Effectivement, au bout d'un moment, la fille, elle se désintéresse, parce qu'elle dit : « Ce mec-là, il n'a pas ce que je veux. Moi, ce qu'il me faut, c'est cette vitalité, c'est cet instinct qui sort des tripes. » En fait, vous voyez ce que je veux dire ?
Et l'excès d'intellect est perçu comme une marque de faiblesse. Quand vous passez, quand vous retrouvez un rendez-vous avec une fille, et puis vous passez. .
. On a tous fait l'erreur. Moi aussi, je ne dis pas ça parce que je suis plus intelligent.
C'est exactement pour ça, par faiblesse. J'ai parlé, parlé, parlé, parlé, parlé. Parce qu'on parle, on parle.
Quand vous parlez pendant trois heures, pendant un rendez-vous, et qu'il ne se passe rien, aux yeux des filles, c'est perçu comme une marque de faiblesse. C'est perçu comme une incapacité, finalement, comme une inaptitude à la survie ou la reproduction, d'une certaine manière. C'est une manière de fuir, un petit peu, d'éviter.
Cet excès d'intellect, d'une certaine manière, c'est un handicap à la survie et à la reproduction. Quand je suis en train de philosopher et de réfléchir, de me branler intellectuellement sur le sens de la vie, c'est logique. Je ne suis pas concentré sur le mec qui me regarde mal depuis tout à l'heure et qui pourrait me casser la gueule.
Je ne suis pas dans le moment présent. Je ne suis pas équipé à la survie à ce moment précis. Quand je suis d'ailleurs en train de tourner en sparring avec mon pote à la salle de boxe, je ne suis pas en train de penser au sens de la vie, parce que sinon, je vais me prendre une baffe.
Gueule, et vous voyez que c'est incompatible. Ça ne veut pas dire que dans notre vie, il ne faut pas voir les deux. Mais ce que je veux dire, c'est que le moment où on est focalisé sur la survie, on n'est pas focalisé sur l'intellect, le sens de la vie, le cortex préfrontal.
Exactement le même raisonnement pour la reproduction : le moment où vous êtes focalisé sur les factures, vous n'êtes pas focalisé sur "j'ai juste envie, là, j'ai une pulsion, j'ai envie de me rapprocher de cette femme, j'ai envie de proposer un rapprochement à cette femme". C'est mieux de le voir comme ça : vous proposez à la femme, vous n'êtes pas en train d'imposer. Vous proposez via une rencontre, vous proposez la rencontre via une approche, vous proposez le rapprochement physique en tendant votre cou pour l'embrasser, vous proposez le rapprochement sexuel, et derrière, la fille dispose, évidemment.
C'est toujours pareil. Mais s'il n'y a pas cette volonté de proposer un rapprochement aux yeux de la fille, vous n'existez pas et vous êtes inadapté sur le plan de la reproduction. On pourra sortir tous les raisonnements du style : "Ouais, mais j'ai pas envie de m'abaisser à ça.
J'ai pas envie de m'abaisser à rentrer dans ce jeu débile de faire le coq ou tout ça. " Mais en fait, vous aurez tous les meilleurs arguments pour me dire que, là, c'est bas, c'est animal. Mais en fait, vous pourriez me sortir les mêmes arguments sur le footing, sur le sport, sur la boxe, sur les sports de combat.
C'est débile, hein ? De se retrouver face à un mec et de s'envoyer des coups comme ça, c'est complètement con de taper dans un sac. C'est complètement con, le matin, de voir les gens qui courent comme ça, qui respirent les pots d'échappement.
C'est débile, c'est débile. Mais parce qu'en fait, ça, ça n'obéit pas aux mêmes lois, si vous voulez, c'est cette notion de survie, en fait. C'est le problème.
Il faut le prendre à l'inverse. Votre cerveau, il devrait être au service de votre survie et pas l'inverse. Donc, c'est débile, oui, c'est débile de courir après les filles.
C'est débile de faire l'amour, hein. C'est complètement stupide de baiser avec une femme. Ça ne sert à rien d'une certaine manière.
On se dit : "Quoi, ça sert à faire des enfants, c'est débile. " Ouais, en fait, mais tout est débile dans ces cas-là. Survivre, se reproduire, ce n'est pas supposé être des tâches hautement intellectuelles, en fait.
C'est juste qu'il y a un moment où il faut se souvenir que nous sommes des animaux et qu'en tant qu'animaux, se reconnecter à ces notions de survie et de reproduction, ça nous fait du bien. Et donc, messieurs, si vous vous sentez concerné par ce discours, et que vous savez qu'un jour dans votre vie, vous avez envie de fonder une famille, de trouver une partenaire, de fonder une famille, de faire des enfants, prenez les choses en main maintenant. Je vais vous donner un conseil important : prenez votre vie amoureuse autant au sérieux que vous avez pris votre vie professionnelle au sérieux, et que vous prenez parfois même votre vie sportive au sérieux.
Votre santé, il y a la santé sur laquelle il faut investir du temps, de l'énergie. Il y a la vie pro et il y a la vie amoureuse. Les gens négligent complètement la vie amoureuse, ils voient ça un peu comme un loisir, comme un truc : "Ouais, quand j'aurai le temps.
" T'inquiète, prenez ça au sérieux ! Parce qu'à un moment, vous arriverez à un certain âge et vous direz : "C'est moins marrant aujourd'hui d'avoir peu d'expérience. " C'est moins marrant que ça de faire des erreurs à mon âge aujourd'hui.
C'est sympa de faire des erreurs d'un mec inexpérimenté quand on a 25 ans. C'est beaucoup moins sympa quand on en a 35, quand on en a 30. Ce n'est pas pour mettre la pression, c'est juste factuellement, c'est moins sympa.
Les erreurs de puceau, entre guillemets, sont moins pardonnées quand on est dans la trentaine que quand on est dans la vingtaine. C'est comme ça. Ça ne veut pas dire qu'il faut tout abandonner quand on est dans la trentaine, évidemment, sûrement pas.
Mais juste que ça va demander plus d'effort et ça va demander un peu plus de discipline, et un peu plus de travail et de prendre les choses un peu plus en main. Moi, c'est ce que je vous propose de faire. Je dis souvent : vous avez investi ces 5 dernières, 10 dernières années dans votre vie professionnelle.
Il serait temps maintenant d'investir sur votre vie amoureuse. Et moi, je peux vous aider à gagner du temps là-dessus. Donc, je vous ai mis un lien juste en bas vers la rencontre.
La rencontre, en fait, dans cette formation, elle est très particulière. Cette formation, parce que je vous montre concrètement comment provoquer la rencontre. Concrètement, on n'est pas dans des discussions philosophiques comme on le fait un peu là entre nous où on se prend la tête.
Non, on est dans du concret, à votre rythme, progressivement, doucement, toujours avec douceur, avec empathie. Parce que c'est quelque chose qui est pas facile, je sais très bien. Il y a beaucoup d'anxiété, beaucoup de peur.
On travaille sur toutes ces peurs-là, tous ces blocages. D'ailleurs, il y a un suivi avec moi aussi dans ce programme, c'est pour ça que c'est très particulier. Mais c'est toujours orienté sur le concret.
Je ne vais pas vous demander de cavaler après les filles dans la rue. Je ne vais pas vous demander non plus d'aller sur Tinder. Je vais vous expliquer comment, dans votre quotidien, naturellement… Avec fierté et douceur, vous pouvez engager une conversation, provoquer une rencontre.
À côté de vous, il y a une fille assise. Vous créez la rencontre et, après les différentes étapes de la séduction, jusqu'au rapprochement physique, c'est le meilleur programme pour un homme dans la trentaine, qui a bien investi sur son travail et qui, maintenant, veut prendre au sérieux sa vie amoureuse. C'est le meilleur programme.
Voilà, ne posez pas de questions, les gars, vous prenez la rencontre et puis, bah, vous aurez un coup de fil avec moi. Voilà, je sais que c'est difficile tout ça quand on a passé beaucoup de temps à investir dans la carrière. Ça peut être anxiogène, et plus on attend, plus ça devient anxiogène, d'ailleurs, de prendre en main sa vie amoureuse.
Mais je pense que le mieux, c'est d'agir le plus tôt possible. Donc, je sais très bien que ce n'est pas facile de prendre sa vie amoureuse en main, surtout quand on a passé les 5 à 10 dernières années de sa vie à se focaliser sur la carrière, la vie professionnelle. Mais il y a un moment où il faut y aller, il y a un moment où il faut prendre les choses en main, surtout quand on sait que c'est quelque chose d'important pour nous.
On veut fonder une famille, on veut trouver une femme partenaire avec qui faire quelque chose sur le long terme. Il y a des moments où il faut s'y mettre, et il y a une manière de s'y mettre. Il y a du temps que moi, je peux vous faire gagner, et surtout, encore une fois, j'insiste, avec douceur, tranquillement, à votre rythme.
Voilà, donc je me ferai un plaisir de vous suivre sur ce chemin et je vous dis à bientôt de l'autre côté.
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