c'est un des gestes qui semble plus universel le sourire joie contentement bonheur mais pas seulement le sourire recè une palette d'émotions beaucoup plus variée il y a le sourire faux cul la fausse joie la colère déguisé le symbole de sagesse pensons notamment à Bouddha plus encore quand on regarde l'étymologie de sourire en latin souridéré certains reconnaissent ici qu'il s'agirait d'un signal de soumission vous savez là ce sourirni est contraint qu'il reconnaît une autorité supérieure oh mais je pourrais continuer longtemps en évoquant je sais pas moi la politesse la séduction l'hypocrisie et même la jouissance la
symbolique du sourire est pluriel dans nos sociétés et comme tout geste il porte en lui un code social marqué par les différentes transformation qu' le subit dans le temps le sourire médiéval était-il le même que le sourire du 21e siècle aristote a dit que le rire est le propre de l'homme ben en fait non parce que d'autres animaux ri mais on pourrait peut-être paraphraser Aristote en disant que le rire de l'homme est beaucoup plus acceptable que celui de la femme dans notre société occidentale en effet la femme n pas joui si vous me passez l'expression
des mêmes interprétations à propos de son rire et de son sourire ce der dernier est le fruit d'une longue histoire on a voulu le dévaloriser en taxant de diabolique et de dangereux pour les bonnes mes bien sûr le sourire des femmes et aussi parfois le sourire en général le sourire comme le rire signalait l'historien Jacques legof est un phénomène social il renvoie des constructions émotionnelles et intellectuelles bref il faut révéler l'outillage mental des hommes et des femmes d'autrefois pour comprendre pourquoi le sourire avant c'était bien et maintenant non seulement c'est bien mais surtout imposer sourire
c'est être de bonne humeur c'est avoir une bonne attitude c'est envoyer au monde une image de bonheur de joie rien de moins mais comment on en arriver là hein comment allez aujourd'hui à l'histoire nous le dira le sourire le beau et grand sourire [Musique] on retrouve très peu de rire dans les Saintes Écritures mais il y a tout de même un épisode qui permet d'éclairer le rapport trouble entre les femmes et le rire cet épisode c'est celui d'Abraham et de Sarah pour celles et ceux qui l'ignorent nous sommes ici dans la Genèse alors que Yahé
fait annoncer par des anges au couple formé d'Abraham et de Sarah qu'il porter on un fils qui va donner une postérité énorme au couple ce fils ce sera Isaac ce qui est pourtant intéressant dans ce momentci c'est la réaction du couple qui faut-il le rappeler sont respectivement âgé de 100 ans pour Abraham et de 90 ans pour Sarah les deux devant leur âge avancé ont cette réaction bien humaine de rire ce qui traduit bien sûr leur étonnement mais surtout leur incrédulité face au fait qu'ils auront à leur âge avancé un enfant mais si le rire
d' Abraham passe plutôt bien dans les Écritures celui de Sarah fait plutôt l'objet de l'incompréhension de la part de Yahé pourquoi rit-elle demande-t-il Abraham devant l'explication qu'on lui donne il y avait sofusque Sarah voyant le trouble que son rire a créé lance à peuré je n'ai pas ri y av lui répliquant si tu as ri si le rire de l'homme passe celui de la femme et suspect plusieurs exégèes au Moyen-Âge ceux dont la fonction est les écritures fustigeront longtemps Sarah pour son rire irrévérencieux un de ceuxlà alcuet rapporte que le rire d'Abraham est plein d'émotion
et de joie alors que celui de sa compagne serait plutôt railleur plein deérision voir un rire diabolique qui aurait déplu à Dieu ainsi dès la Bible on retrouve un arsenal théorique pour fustiger le rire des femmes considéré comme immoral et dangereux [Musique] la religion chrétienne va renforcer l'idée selon laquelle le rire des femmes mais aussi le rire en général est à proscrire les saints et les saintes vont incarner ce modèle ainsi que le rapporte Jacques de Voragine dans sa légende dorée au 13e siècle quand il parle de Saint-Bernard il dit et je le cite il
ne riait jamais au point qu'il devait se faire plus de violence pour se forcer à rire que pour se retenir et dans ce domaine il lui a donné de l'Aiguillon beaucoup plus que du frein pour saint Basil au 4e siècle la règle est on ne peut plus claire et je cite il est donc évident qu'il n'y a jamais pour le chrétien de circonstan où il puisse rire comme la Vierge la femme ne peut ni ne doit rire et encore moins sourire conformément à l'idéal religieux les jeunes filles ne doivent pas se montrer avenantes le sourire
étant considéré comme un encouragement au dévergondage celle qui rit est une fille publique une prostituée son sourire est une invitation au plaisir hors mariage donc au dévergondage à l'excès au laisser aller à l'éloignement de la dcence chrétienne dans le Roman de la Rose au 13e siècle on lit que je cite la femme doit rire à bouche close la bouche est fortement connotée dans la société et l'art s'en fait le témoin elle est associée au péchés originel mais aussi à la gourmandise tandis que la langue est le symbole de la lubricité faire un étalage de sa
bouche de ses dents et de sa langue n'est rien plus que la confirmation de l'acte sexuel àenir et donc fortement réprimé c'est pas étonnant de voir ainsi l'art médiévale avec des personnages à la bouche close dès qu'elle se dessine quelquefois de très très très rares sourires quand cela est ce dernier est discret et respectueux jamais outrancier jamais de laisser aller sourire mais aussi rire c'est un appel aux passions intense qui emporte avec elle la raison et la dessence pour avoir une bonne conduite il faut modérer ses transports donc contrôler ses émotions et la manière dont
on les exprime et surtout dont on les montre tous les artistes ne se plissent pendant pas ass règles formelles certains comme l'italien jotto par exemple montrre ce qu'il conviendrait de qualifier de légère contraction du visage entre la fin du Moyen-Âge et le début de l'époque moderne le mot sourire entendu comme prendre une expression rieuse commence à s'imposer en français notons qu'il s'agit originellement du sousrire sorte de petit rire qui s'inscrit physiquement sur le visage de celle ou celui qui veut exprimer ses sentiments la Renaissance apporte avec elle un renouveau du portrait individualisant de plus en
plus le sujet ici et là on voit des portraits d'homme et de femmes regardant le spectateur parfois de pied en cap mais souvent du torse à la tête en insistant sur le regard symbole du caractère de celui ou celle qui est représenté ici peu de sourire mais des expressions de contenance et de maintien entre le 15e et le 18e siècle on assiste à la publication de plus en plus soutenu de textes des traités de civilité qui visent à définir une conduite normée en telle ou telle circonstance mais aussi sur la manière de porter et de
tenir son corps dans l'espace public et privé le sourire vous en doutez est rarement conseillé pire il est attaqué Laurent Joubert en 1579 écrit un traité du RI don du rire dans lequel on lit ce qui est et je le cite les diforme déshonnête indécent malséant et peu convenant excite en nous le riz le rire donc Erasme de son côté en 1530 écrit et je le cite rire de tout ce qui se fait ou se dit et d'un saut ne rire de rien et d'un stupide l'éclat de rire ce rire immodéré qui secoue tout le
corps et que les Grecs appelaient pour cela le secoueur n'est bien séant à aucun âge encore moins à l'enfance au 18e siècle Jean-Baptiste de la sal sera encore plus spécifique quand il écrira qu'il est très incivil de rire en montrant ses dents en Angleterre Thomas hobs parlera au 17e siècle de la et je le cite soudaine glorification de soi qui est la passion que produit ces grimaces qu'on appelle le rire bref il faut le contenir et le rire et la démonstration de celles et ceux qui sont incapables de le faire cependant deux images nous apparaissent
alors soit celle de la jocond de de Vincy et de son sourire effacé et le sourire plus marqué de la jeune fille à la perle de vermaire pourquoi ces deux femmes ri-elles ici il faut aller lire le magnifique ouvrage de Colin Jones qui explique qu'il y a avant le 18e siècle trois types de représentation de bouche ouvertees dans l'art on retrouve dans un premier temps des bouches ouvertes quand il s'agit de catégories populaires et laborieuses leur bouche étant alors le symbole de leur condition sociale inférieure dans un second temps il y a celles et ceux
qui seraient fous dont on dit qu'ils sont ou qu'elles sont aliéné en ce que leur raison leur est étrangère enfin troisème et dernier type de représentation la bouche qui représente un état de passion incontrôlée attitude qui rapproche de la bête et qui montre un individ individu consumé par ses émotions donc indigne pour la Joconde on ne constate ni bouche ouverte ni dents elle est donc conforme à l'idée que l'on se fait de la femme de bonne murs de haut rang social et qui respecte la civilité de son époque pour ce qui est de la jeune
fille à la perle peinte en 1665 par vermerire on distingue bien des dents ce qui selon les standards de l'époque montre qu'il s'agirait d'une personne appartenant à un rang inférieur bref les dents permettent de comprendre d'où vient la personne et quel est son rang de deux portraits célèbres de femmes passons si vous le voulez bien à un portrait d'homme bien connu celui de Louis XIV peint par Yassin trigo en 1701 mais exposé à Paris au salon en 1704 ici le regard fier et dominant du roi montre le rôle qui est le sien régné la gravité
de son visage confirmé par une bouche bien fermée qui n'esquisse aucun sourire renforce encore plus cette idée non mais en fait justement non Louis XIV en 1701 année où il réalisé le portrait ne sourit pas parce qu'il n'a tout simplement plus de dents grand amateur de sucre le Roi Soleil vit sa dentition peu à peu être attaqué et donc carrier on pourrait croire que ce dernier avait des médecins pour prendre en charge sa dentition mais très peu s'intéressait à la dentisterie il était commun pour plusieurs Français à l'époque de n'avoir presque plus de dents arrivé
à l'âge de 40 ans on voyait d'ailleurs sur des théâtres improvisés des arracheurs de d proposer leur service à celles et ceux qui souffrai trop un de ceux qui se rendit célèbre par son art au 17e siècle était un certain tabac au début du 18e siècle c'est plutôt Jean Thomas surnommé le Grand Thomas qui fut le plus célèbre arracheur de D sur le pont Neuf à Paris Louis XIV comme ses sujets prend très peu soin de ses dents à la limite on pouvait parfois se passer un bout de tissu entre les molires mais on n'allait
pas plus loin le pauvre Louis avait des dents Carrié des absets et une haleine fétide un médecin en voulant extraire des dents emporta une partie de la mâchoire du roi ce qui fit qu'on dû lui côériser la plaiie et ressouder le palais au fer rouge aïoille on raconte que les soupes et les bouillons que prenait le roi ressortaient presque systématiquement par son nez ouais disons que le soleil perdait un peu de son éclat ici on comprend donc mieux pourquoi le roi mais aussi plusieurs hommes et femmes de cette époque ne sont pas enclins à se
faire représenter d au vent la bouche est fermée tant pour des raisons de dessence que pour des raisons esthétiques pourtant dès la première moitié du 18e siècle Pierre fauchard chirurgien de son état va commencer à s'intéresser à la dentisterie et en 1728 publie son chirurgien dentiste ou Traité des dents fauchard touche autant la chirurgie dentaire qu'au différentes pratiques à respecter pour maintenir ses dents en santé on parle bientôt de plomb age de transplantation de dents de nettoyage ou de blanchiment lors des guerres on n'hésite pas à arracher les dents au mort pour les transplanter au
vivant ainsi qu'on le pratiquera après la bataille de Waterloo en 1815 la brosse à dent devient l'objet par excellence pour se prémunir contre les caris les absès et la chute des dents un autre chirurgien Nicolas dubis de cheéma qui va s'associer avec le pharmacien Alexis du château pour remplacer les dents artificielles faites en hippopotame qu'il trouvait trop malodorante pour proposer de belles dents en porcelaine bien éclatante en 1816 du bois de chéman affirme avoir vendu plus de 12000 dentiers en une dizaine d'années émerge celui qui est dans les années 1760 qualifié d'expert pour les dents
et qui sera bientôt appelé dentiste nombreux seront les traité publiés comme celui de Claude geroui l'art de conserver les dents en 173 de Louis Lescluse nouveaux éléments d'ontologie en 1754 ou encore d'Anselme Jourdin traiter des maladies et des opérations réellement chirurgicales de la bouche en 1778 ces innovations techniques vont permettre au d de s'exposer un peu plus car maintenant on les a encore le 18e siècle va encourager encore plus le rire et le sourire à la société du masque social qu' a été celle du 17e siècle avec ses traités de civilité et sa contenance qui
ne devait pas laisser voir ses émotions va succéder une époque où on glorifie les sentiments pleurer est une manière vraie et sincère de s'exprimer mais rire et sourire également d'autant plus que de plus en plus de gens possèdent des dents la littérature comme l'art met de l'avant ce délice du sentiment des auteurs comme Samuel Richardson en Angleterre ou encore Jean-Jacques Rousseau se joue de ses codes pour montrer la subtilité des sentiments sans nécessairement avoir à parler le 18e siècle est une époque qui donne encore plus de place au visage comme marqueur de l'identité de l'individu
l'époque fait cette partie du corps le siège de l'âme et donc de l'individualité on remarque aussi que le visage est moins le miroir de l'âme que le lieu des expressions physique des émotions ainsi sourire devient une manière simple de s'exprimer on assiste aussi à la montée de la physiognomonie soit l'art de déchiffrer les langages du corps et d'établir des liens entre le caractère et la manière dont est fait le corps vous irez voir j'ai fait une vidéo complète sur le sujet plusieurs peintres comme William ogogarth par exemple dans la marchande de crevette ou encore Antoine
vatau et même George de l tour montre des S ir on voit de plus en plus les dents mais c'est une femme ellisabeth Louise viget le brun qui en 1787 va exposer pour la première fois un sourire resplendissant un peu comme ceux auquel nous sommes habitués aujourd'hui dans l'espace public dans son autoportrait où on la voit avec sa fille la peintre ouvre la bouche et montre de belles dents blanches la toile exposée au salon fait scandale on est encore mar par l'idée que d'exposer ses dents c'est associé au vulgaire donc la bonne société fustige la
toile et son autrice on s'attaque ici à l'idée selon laquelle les passions sont cantonnées aux peintures [Musique] d'histoire au 19e siècle l'ordre moral bourgeois qui s'impose peu à peu va reléguer le sourire aux oubliettes du moins pour pour un temps et pour certaines catégories de personnes l'image d'une culture des loisirs et des divertissements qui s'étend de plus en plus donne avoir des rires et des sourire comme dans les peintures des impressionnistes ou dans celle de Toulouse l'Autrec mais encore une fois il s'agit d'un sourire populaire peu à peu l'art de la dentisterie s'étend mais pas
nécessairement le sourire l'image que l'on a des première photographie sont celles d'individu impassi sans la moindre inflexion des lèvres alors qu'aujourd'hui on ne peut pas concevoir une photo sans un rictus qui est le symbole du bonheur et au 19e siècle on veut davantage marquer la condition sociale de celui ou celle qui est photographié plus encore comme le signale andreé Gunter et je le cite le portrait de condition propose le résumé d'une vie privilégiant l'éthos le caractère permanent au détriment du Patos l'émotion passagère pour ce qui est des traits du visage et composant une narration par
les attributs costumes ou décors pour exprimer le succès d'une carrière on en revient à l'idée que le sourire est associé au bas au populaire comme le dit Charles Dickens le sourire est et je cite aux dames et aux messieurs qui ne se souci guerre de paraître intelligent pourtant en 1872 Charles Darwin dans expression of the emotions in man and animals défit le mythe selon la formule d'Aristote qui veut que le rire soit le propre de l'homme et que ce serait ce qui distingue l'être humain de la bête Darwin concluant notamment que le chien peut sourire
mais aussi les grands singes les choses commencent à changer à partir du début du 20e siècle notamment avec la démocratisation de la photographie mais aussi par le regard que posent les photographes sur le quotidien des populations croqués dans leur ordinaire parfois souriant devant l'objectif à partir des années 1930 on préfère les émotions face au visage impassible et sérieux le sourire est maintenant associé à l'authenticité et à la sincérité arrive l'époque des stars de cinéma Hollywood contribuant à la popularisation du sourire ajoutons également que l'on assiste à l'acceptation de plus en plus grande de l'expression publique
des émotions la société du 20e siècle en est une de mouvement avec le sport le pleinir ou le cinéma et il importe de plus en plus pour les photographes de rendre compte de ces changements sociau il n'est plus question de figer les individus comme des statues mais de révéler par leurs expressions faciales les formes individuelles de chacun et chacune alors que l'art dentaire se raffine de plus en plus la dentition peut atteindre un certain degré de perfection de blancheur et de régularité celles et ceux qui ont pu investir ou qui encore possède ses attributs entendent
bien le montrer faisant du sourire et déident un avatar supplémentaire de la beauté la publicité des années 1940 et 1950 se fait le relais de ce nouvel idéal de bonheur sourire c'est être heureux et être en forme les sourires que l'on voit aujourd'hui sur les publicités sont majoritairement féminin associé à un bonheur facilement accessible parce qu'achetable du moins le laisse-on penser on remarque aussi que dans les Yearbook américains les sourires deviennent la norme à partir des années 1950 c'est la conclusion à laquelle sont venus des chercheurs de l'université Berkley à partir d'un corpus de 38000
portraits issus de 949 albums de fin de scolarité ce qu'on appelle les Yearbook les appareils photo Kodak dont les prix sont de plus en plus bas et deviennent donc de plus en plus accessibles rendent la photographie accessible à une frange de plus en plus grande de la population le sourire figé sur le papier photo étant le symbole d'un bonheur vécu et dont on veut se rappeler avec la personne Jeffrey Girard et Daniel mcdof ont analysé les réponses faciales de plus de 850000 personnes de 31 pays alors qu'ils regardaient des publicités télévisées ils ont découvert que
les gens souriaaient davantage lorsqu'il venaient de pays à fort individualisme et à faible densité de population pourtant est-ce que le sourire est appelé à changer aujourd'hui on remarque que celui-ci est parfois remplacé par le doc face sorte de grimace qui uniformise et change les traits du visage pour se conformer à une idéale seraitce le symbole d'un retour de l'effacement du sourire on serait porté à le croire quand on regarde les mannequins qui défilent sur les tapis rouges et qui ne sourit jamais pourquoi pourquoi les mannequins font toujours la gueule ça ça c'est la question qui
s'était posée David Castello Lopez et il citait notamment éise van derland sociologue qui a réalisé une recherche en se posant la question pourquoi les mannequins de mode ne sourit-ils pas sur les 13500 photos de mannequins publié entre 1982 et 2011 elle est arrivé à la conclusion que 87 % des mannequins dans les magazines de mode hommes et femmes ne sourit jamais aussi il y a de plus en plus de mannequins qui ont la bouche entrouverte pourquoi on ne sourit pas ben on rappelle trois grandes raisons qui explique ce code social qui est maintenant bien établi
dans le monde de la mode dans un premier temps on signale que techniquement les mannequins ne sont pas là pour se montrer mais pour mettre les vêtements qu'ils portent de l'avant sourire pourrait attirer l'attention sur eux et donc détourner ce qui est important le Créateur et la créatrice de vêtements dans un second temps on soutient que d'avoir un visage neutre parfois même un peu bête ça fait chic contrairement au sourire tiens ça me rappelle quelque chose Elise van derland soulligne également que les mannequins qui sourit le font seulement dans des magazines moins important enfin troisièmement
ne pas sourire renforce l'idée que le mannequin est inaccessible qu'il ou quel s'enveloppe dans un mystère qui donne du style et de la hauteur exactement le message que veut donner certaines marques de luxe bref le sourire c'est pas simple et ça beaucoup évolué non allez c'est fini pour aujourd'hui j'espère que ça vous a plu si c'est le cas vous savez quoi faire un pouce par en l'air vous part vous commentez vous faites vivre la vidéo et si le cœur vous en dit vous pouvez aller voir le patréon allez je suis Laurent Turco de l'histoire nous
le dira et je vous dis à la prochaine bye [Musique]