Je ne suis pas viril

121.8k views3368 WordsCopy TextShare
Les Philogynes
3 semaines pour la rendre accro : https://www.formations-lesphilogynes.com/3-semaines-pour-la-rendre...
Video Transcript:
Alors, vous noterez le choix du décor, les amis. Ce n'est pas anodin. Nous avons choisi, pour parler de la viralité aujourd'hui, un symbole phallique derrière nous.
Alors, après la vidéo sur le livre d'Éric Zemmour, je me suis dit que j'allais faire une vidéo sur le livre de Ben Never, histoire de ne pas être accusé de facho par eBay. On notera l'incitation à Mansplanning. Alors, Ben Never, c'est un youtubeur qui a un concept de vidéo qui cartonne plutôt bien, ça s'appelle "Entre mecs".
Il se réunit entre hommes pour parler de thématiques plutôt associées aux hommes : la drague ou alors la sexualité d'un point de vue masculin, etc. Je veux dire, pourquoi j'ai voulu faire cette vidéo ? Il a dit un truc dans une interview qui m'a interpellé, que j'ai trouvé assez rigolo.
Il a dit : "Vous savez, moi, je suis un peu pris en tenaille avec mon bouquin et avec mon concept vidéo, entre d'un côté les virilistes"—car il appelle les virilistes c'est-à-dire les mecs qui considèrent que c'est une [__]—"et des [__] [__]" et, d'un autre côté, par des féministes qui considèrent qu’il détourne l’attention des vrais problèmes pour ramener toujours sur les hommes. Les fameuses "hommes moins loin", moi, j'ai découvert un mot, les hommes moins loin. Donc, ce sont les hommes qui osent se plaindre, qui osent parler d’eux, en fait.
Voilà, je suis parti acheter son bouquin à la FNAC, un bouquin donc qui est une sorte d'autobiographie sur sa vie un petit peu et qui donne des conseils de développement personnel. Cette vidéo, elle va être en trois parties. La première partie, ça va être, je l'ai nommée "Accepter ce qui ne peut être changé".
La deuxième partie, ce sera "Accepter ce qui peut être changé". Et la troisième partie, "La virilité est-elle utile aujourd’hui ? ".
Le premier chapitre, moi je trouve qu'il est très bien, puisque Ben Never nous rappelle une chose essentielle : c'est que l'on ne choisit pas son physique et nous ne sommes pas tous égaux face à la virilité. Ben Never, il a grandi en étant plus petit, plus frileux que la moyenne. Il a dû prendre des hormones de croissance parce qu'il subissait un retard de croissance par rapport aux autres, et il nous explique que, dès l'âge de six ans, on lui a ramené à la gueule, on lui a fait comprendre à quel point il était petit.
Dès l'âge de six ans, il y a un gamin qui le traite de petit nain. On n'est pas tous égaux face à cette virilité innée, celle du physique notamment, et il y a des choses qu'on ne peut pas faire, des choses qu'on ne peut pas changer. Et l'accepter, bah, ça relève d'une grande sagesse.
Oui, je suis petit, et alors ? Je ne pourrai pas grandir. Le bon Dieu a décidé que je serai petit.
La meilleure des choses à faire, c'est de l'accepter et de dire : "Je t'emmerde". Effectivement, j'ai pas de barbe, et alors ? Ça ne fait pas de moi un demi-homme pour autant.
Accepter ce qui ne peut être changé, c'est également accepter les performances passées, les performances foirées du passé. Oui, je me suis pris un râteau avec cette fille, et alors ? C'est pas la fin du monde.
Ouais, j'ai pas bandé, et alors ? Et ça, c'est un truc qu'on fait dans le club : on en parle, on en rit entre nous, on dédramatise, on se fout, on se fait de l'autodérision. L'autodérision, c'est une superbe manière d'accepter les choses.
Accepter, ça fait du bien, mais accepter c'est pas la même chose que se résigner. Et là où je ne suis plus d'accord, là où je ne suis plus Ben Never, c'est dans le fait de se complaire dans la vulnérabilité. Il y a cette notion d'authenticité qui revient beaucoup dans le bouquin de Ben Never : "Sois toi-même, accepte-toi tel que tu es, tu es merveilleux tel que tu es.
" De ça, j'ai l'impression de lire un bouquin de psychomagazine, quoi, et ça, ça m'emmerde profondément. Pourquoi ? Parce que ça part d'un bon conseil, ça part d'un conseil juste à la base, celui qu'on vient de voir : d'accepter les choses que l'on ne peut changer.
Il y a une grande différence entre accepter les choses que l'on peut changer et accepter se résigner aux choses que l'on pourrait changer. Ce n'est pas la même chose. Accepter le fait d'être petit, c'est une chose, c'est une forme de sagesse.
Accepter se résigner au fait d'être maigre, de rester sensible et timide, ça ce n'est pas de la sagesse, c'est de la paresse. C'est mortifère même, c'est mortifère, ça va complètement à l'encontre de l'humanité. Je vais vous donner un exemple.
À ma salle de boxe, il y a un mec qui est gros, et des fois on discute, et à la fin, du coup, il me dit : "Ouais, Léo, c'est chaud pour moi", je dis : "C'est chaud parce que je suis gros. " Et je lui dis : "Bah ouais, t'es gros, mais demain, tu ne seras plus gros. " Pourquoi ?
Parce que tu viens à la salle tous les jours, parce que tu as la dalle au sens figuré, et personne dans la salle n'aurait l'hypocrisie de venir lui dire : "Mais non, tu es parfait comme tu es, reste comme tu es, très bien comme ça", etc. Et ça lui ferait aucun bien. Il n'accepte pas le fait d'être gros, et c'est pour cette raison que tous les jours, il va à la salle, et c'est pour ça qu'il se développe.
Ne pas accepter le statu quo, finalement, c'est le meilleur moyen de progresser, d'avancer. Le "sois toi-même", bah, lui, il l'a envoyé chier, et finalement, le seul moyen d'avancer, c'est de ne pas accepter ce qu'on a aujourd'hui. Ça que la virilité, ça peut être très utile.
Et oui, je sais, je précise, je vois déjà les commentaires : « Oui, discours à l'américaine, anglo-saxon, etc. » Je suis d'accord avec vous, mais il n'y a pas que des bêtises dans le discours américain, il y a aussi des choses intéressantes. Il y a le bruit, et puis là, il souffre.
On attaque la troisième partie : il y a cette volonté, j'ai l'impression, non pas de s'affirmer individuellement, mais plutôt de s'opposer en tout point à sa caricature fantasmée de ce que serait l'homme viril. Finalement, c'est un peu comme un ado qui a besoin de faire exactement le contraire de ce que ses parents lui disent de faire, juste pour casser les couilles. Et d'ailleurs, il le dit lui-même, il le reconnaît dans son bouquin : il voulait faire, quand il était plus jeune, exactement cela.
Il dit d'ailleurs : « Aujourd'hui, j'ai tendance à lui ressembler de plus en plus à mesure que je vieillis. » Mais cette volonté de s'opposer à la vérité, je trouve ça ridicule au bout d'un moment. Par exemple, il nous dit : « Voilà, un homme, un vrai, ça ne doit pas pleurer.
» Donc, il va cultiver ses larmes. Un homme, un vrai, ça bouffe de la viande. Donc, je vais bouffer des légumes.
Je ne vois pas en quoi ce n'est pas viril de bouffer des légumes. Ensuite, il pourrait clairement s'affirmer, affirmer ses convictions, dire : « Voilà, je ne bouge pas des légumes parce que, pour moi, j'aime les animaux et c'est mon combat à moi, et je vous emmerde. » Et d'ailleurs, pour rigoler un peu, je connais un végétarien qui n'a aucun problème avec sa masculinité et qui n'a également aucun problème pour envoyer chier les mecs qui viennent nous casser les couilles parce qu'il est végétarien.
Quand tu rajoutes « motherfucker », comme ça, les gens comprennent. Et dernier point que je trouve un peu ridicule : on va reprendre. Ah, [__].
Voilà pourquoi ces roses ? Pourquoi ces roses, parmi toutes les couleurs ? Est-ce qu'il fallait vraiment choisir du rose ?
Pourquoi avoir choisi du rose ? Pareil pour les stickers, là. Pourquoi… attends, j'ai l'impression d'être une youtubeuse beauté, tu sais, qui… mais comment elles font ?
La main ou je sais pas quoi là. D'ailleurs, vous noterez, les amis, qu'il manque un sticker. Oh, [__], Léo, t'as collé un sticker.
Pourquoi ? Pourquoi avoir choisi du rose ? Tu pourrais pas… t'as trop loin, je veux dire, mec, tu peux mettre du vert, tu peux mettre du… Je ne comprends pas.
Mettre du… non, mais il ne veut pas mettre. Je veux bien dédramatiser le fait de ne pas incarner tous les attributs du mâle alpha des cavernes. Je trouve ça très bien, je trouve ça très bien de dire : « Écoutez, voilà, je ne suis pas comme ça, je vous emmerde.
» Je trouve ça excellent de dire : « Je bouffe des brocolis, et alors ? » Mais de là à fantasmer sur une caricature et à s'y opposer en tout point, je trouve ça un peu dommage, et je ne suis pas sûr que tout le monde puisse s'y reconnaître là-dedans. Surtout que la virilité, ce n'est pas que du folklore.
Et là, on touche un point important de cette vidéo : benne never, j'ai l'impression, pense que pour les mecs, la virilité, c'est un peu comme un costume stylé qu'on choisit de porter parce que la société a dit que c'était cool pour les mecs de porter. Mais il faut rappeler une chose : c'est que la virilité, à la base, ça sert une fonction adaptative en fonction de la survie. Et je vais vous donner une leçon que j'ai apprise à la boxe thaï.
Alors oui, je précise, je parle beaucoup de boxe thaï, c'est quelque chose qui me passionne, mais je ne suis en aucun cas une référence dans le domaine de la boxe thaï. Je ne suis pas un combattant, je ne suis rien du tout. La boxe, c'est juste… je suis juste un passionné, c'est tout.
J'ai la chance d'avoir un prof qui est exceptionnel, qui a été un des plus grands champions de Thaïlande, un des pharaons les plus connus en Thaïlande. Les phalangues, ce sont les champions étrangers. Vous le voyez, il n'incarne pas du tout le fantasme de la virilité, la caricature de la virilité.
Physiquement, voilà, c'est un mec tout à fait lambda. Pourtant, le gars, c'est un monstre. Quand on est dans son cours, il y a des principes qu'il faut respecter.
Par exemple, quand vous venez de faire 20 minutes de corde avec des accélérations, il y a certains mecs qui sont un peu fatigués. Ils vont avoir tendance à se caler contre le mur, et à chaque fois, le prof, il va demander, il va dire : « Hop, hop, te tiens pas contre le mur ! » Alors, les gens, ils doivent s'imaginer que c'est parce que le mur n'est peut-être pas hyper solide ou alors qu'il ne faut pas mettre de la sueur sur le mur, ou que sais-je.
Mais en fait, quand on lui demande pourquoi il ne faut pas se tenir contre le mur, il vous répondra : « Parce que sinon, on va croire que tu es un humain. » Et en fait, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que si tu es dans un combat face à un Thaïlandais qui veut te tuer et que tu laisses paraître une lueur de fatigue dans les yeux, tu donnes une information à ton adversaire, et tu lui donnes l'occasion de te bouffer, tu lui donnes littéralement l'occasion de te tuer dans un combat.
Il ne faut jamais donner une seule information à son adversaire, que ce soit en termes de fatigue ou d'émotion. Et c'est d'ailleurs pour ça que vous regardez, ceux qui regardent les combats de boxe, vous voyez, le mec vient de se prendre un enchaînement de droite dans la gueule. Des fois, vous verrez le gars faire comme ça en mode : « Non, non, j'ai rien, tu ne m'as pas touché.
» Qu'en fait, c'est précisément pris plein de coups dans la gueule, et ça, c'est une vraie leçon. Et ce n'est pas du folklore. Ce n'est pas : « Tiens, je vais cool, je vais jouer au gros dur pour jouer au gros dur.
» Non, c'est une question de survie. En fait, les gens oublient que la virilité, c'est avant tout des principes de bon sens pour survivre et, plus généralement, pour réussir dans la vie. Je continue mon analogie dans la boxe : pourquoi est-ce que c'est important d'avoir un coup musclé ?
Pas parce que c'est stylé, pas parce que c'est beau, mais parce que, quand vous prenez un coup au niveau de la tempe, pour éviter que le cerveau aille taper contre les parois du crâne, c'est important d'avoir un coup qui stabilise ça, un coup à la Mike Tyson. Pourquoi ? Pourquoi les trapèzes ?
Les trapèzes, pas pour faire beau, c'est parce que, quand vous avez la garde, quand vous êtes dans un combat, il faut avoir les bras levés. C'est la première règle : il faut se protéger. Donc, ça donne des trapèzes plus imposants.
Et on peut en trouver des tonnes comme ça, même en dehors de la boxe. Pourquoi il ne faut pas laisser transparaître une émotion ? Parce que vous donnez des informations à vos adversaires qui, derrière, peuvent les utiliser pour vous défoncer.
Et ça, c'est valable que vous soyez un homme ou une femme. On s'en fout, c'est la virilité. Ce n'est pas forcément être un homme ou une femme.
Une femme qui se retrouve dans un combat de boxe en Thaïlande, c'est pareil, elle doit se plier, se soumettre à ces principes-là, tout comme un homme. Et maintenant, on va un petit peu nuancer cette partie. C'est là où je vais aller peut-être un peu dans le sens de Ben Nevers, et on va se demander : mais est-ce que c'est vraiment utile ?
C'est-à-dire que peut-être certains d'entre vous, à ce moment-là de la vidéo, sont en train de se dire : « Léo, tu es sympa, mais à quelle fréquence, toi, tu te retrouves dans des situations de combat de survie ? » À moins d'être militaire, prisonnier, vendeur de drogue, combattant pro ou habitant à Trappes, combien d'entre nous sont constamment dans une situation de combat ? Pour combien d'entre nous la virilité est une question de survie ?
C'est une question sincère que je pose. La virilité n'est-elle pas juste devenue un moyen de faire mouiller les nanas et de divertir le groupe ? Pensez à l'UFC, pensez à tous ces cinémas avec des mecs comme The Rock qui nous en mettent plein la vue.
Pensez à ces politiciens qui débattent comme des coqs dans une arène. Pensez à la muscu. On ne fait pas de la muscu pour survivre, on fait de la muscu pour être beau, pour se trouver beau.
Le bodybuilder, finalement, il n'est pas adapté à la survie ; il est bien moins adapté à la survie qu'un Thaïlandais tout fin et tout sec. Pensez à l'UFC ; le SP UFC, pardon, c'est le sport de combat le plus violent au monde. C'est aussi le sport qui est en face de devenir le plus médiatisé au monde.
Tout ça, c'est du divertissement. Et finalement, c'est une question sincère que je pose : on ne se dirige pas vers un monde où la virilité deviendrait de plus en plus superflue ? Et c'est là que je pose mon hypothèse : dans un futur à la Mad Max, la virilité prend tout son sens.
Dans un futur où les ressources sont limitées, on est constamment en guerre les uns contre les autres pour se les procurer. Alors oui, effectivement, là, elle a un sens. Et ce n'est pas impossible qu'on se dirige vers un monde comme ça.
Peut-être pas exactement comme dans Mad Max, mais je veux dire, lisez Pierrot, cinq Giorgio : ce n'est pas impossible qu'on arrive à un monde extrêmement violent. Il y a déjà des pays dans lesquels ça se passe un peu comme ça, l'Afrique du Sud, par exemple. Maintenant, qu'en est-il dans un futur à Elon Musk ?
Dans un futur, allez, on Mosk, où nous sommes tous hyper connectés, à jouer à des jeux vidéo dans des métavers, à gagner des cryptomonnaies pour acheter des NFT ? Votre virilité, elle ne servira pas à grand-chose. Ce sera peut-être même un fardeau.
Elle ne servira pas à grand-chose pour la majorité des hommes, pour l'homme moyen. Pondu, c'est le suivant : à mesure que la technologie progresse, à mesure que l'on s'éloigne de notre animalité, il y a comme une partie en nous qui a besoin de vivre cette virilité, cette animalité par procuration. Et c'est pour cette raison que les meurtres, les serial killers, sont autant médiatisés aujourd'hui que ça, que c'est devenu quelque chose qu'on trouve dans le cinéma.
C'est du. . .
ça fait partie du cinéma. C'est pour cette raison que l'UFC est en phase de devenir le sport le plus médiatisé au monde, alors que c'est aussi le sport le plus violent au monde. Donc ça va passer devant.
Dans quelques années, l'UFC passera devant la boxe. C'est quoi l'UFC ? C'est des hypermâles, tout ce qu'il y a de plus primitif, qui se frappent dans une cage pour tuer, littéralement tuer l'autre.
Une fascination polysémique, exactement. D'ailleurs, comme dans Le Meilleur des mondes d'Huxley, la femme bêta qui tombe amoureuse du sauvage dans la réserve, alors qu'elles sont quotidiennement enfermées dans des tours à bouffer du sauna et puis voyager en hélicoptère dans leur vaisseau spatial, le cérébral que nous devenons, le cérébral qui bosse derrière ces écrans, a besoin de plus en plus de vivre par procuration cette animalité. Et plus nous nous éloignons de cette animalité, plus nous aurons besoin de la vivre de manière violente, mais toujours par procuration, sans les conséquences négatives qui vont avec.
Je reviens à ma question de base : moi, j'en sais rien, vers quel monde on se dirige, vers quel futur on va. Est-ce que le futur à. .
. Elon Musk, futur à la Mad Max, c'est une question sincère que vous posez ici. Peut-être un mélange des deux.
Voilà donc, en conclusion, pour revenir un peu plus au bouquin de Ben Never, il y a des choses que je trouve bien dans cette démarche : accepter les choses que l'on ne peut changer. Il y a des choses que je trouve moins bien : se résigner aux choses que l'on pourrait changer. Moi, je trouve ça bien de dédramatiser cette virilité physique que l'on n'a peut-être pas tous héritée, mais je trouve ça dommage de se faire un épouvantail de la virilité, d'une caricature de la virilité, et puis de devenir l'exact opposé, en rejetant en tout point tout ce qui peut sembler, tout ce qui ressemble à ce fantasme de la virilité.
Je trouve ça un peu dommage. Ce n'est pas parce que je n'ai pas le physique de papa qu'il faut que je devienne une [ __ ]. Il y a un entre-deux.
Je peux devenir Bruce Lee et plein d'autres, en fait, mais plein d'autres exemples. Ça, c'est juste, il y a plein de nuances, et c'est ça aussi qu'il faut rappeler : il y a des nuances. C'est ce que j'essaie de faire dans cette vidéo : voilà, mettre des nuances.
Et pour ceux qui veulent télécharger un ebook, vous avez mon ebook en description : "10 étapes pour trouver une copine". Non, je déconne, c'est 10 étapes pour vous aider à mettre en place 10 choses dès maintenant pour vous rapprocher de votre objectif : plaire aux femmes, pour être séduisant. Et en plus, c'est la V2, donc il y a encore plus de contenu.
Et en plus de ça, vous recevrez mes emails hebdomadaires, où l’on parle de choses que je ne vous dis pas sur YouTube. Bon, j'espère que cette vidéo vous a plu et je vous dis à bientôt. Ciao.
Copyright © 2025. Made with ♥ in London by YTScribe.com