Regardez ceci avant de VOYAGER avec vos ENFANTS pour Noël contes africains

il restait de semaines avant Noël et la maison de Monsieur John était pleine de bruit les enfants couraient dans tous les sens excités par leur voyage au village sans savoir le mal qui les attendait ce n'était pourtant pas leur première fois chaque année ils retournaient au village pour Noël et c'était le seul moment où ils voyaient leur famille les enfants adoraient cela car le village était rempli d'air frais de grands arbres et de cousins avec qui jou mais il ne savait pas que cette année serait différente de manière terrible et tragique la femme de monsieur

John sopia était occupée à emballer des vêtements et a préparé des encas pour le voyage elle préparait toujours tous des jours à l'avance pour être sûre de ne rien oublier mais il y avait une chose qui la préoccupait toujours monsieur John ne priait jamais John s'il te plaît prions juste pendant 2 minutes dit-elle en pliant des vêtements dans un sac monsieur John fit un geste de la main comme s'il chassait une mouche Sophia arrête de m'embêter Dieu sait que je voyage il n'a pas besoin que je lui rappelle de nous protéger dit-il en riant le

cœur de Sophia se serra elle regarda son mari et secoua la tête pourquoi tu ne comprend pas murmura-t-elle les enfants n'étaient pas mieux les plus grands avaient commencé à copier leur père lorsque Sophia s'agenouillait le matin pour prier il grommelait et traînèrent les pieds disant maman pourquoi faut-il prier chaque jour c'est ennuyant mais sopia ne cessait pas de prier même quand il grinçait elle priait toujours pour sa famille demandant à Dieu de les protéger mais au fond de son cœur elle espérait que monsie John prierait avec elle ne serait-ce qu'une seule fois la maison était

pleine de rires et d'excitation alors que les enfants parler de ce qu'il feraiit au village monsieur John souriait de leur joie mais sopia restait SILEN observant sa famille elle retint son souffle et pria silencieusement Seigneur garde-nous en sécurité ce Noël à mesure que les jours approchaient la famille ne savait pas qu'un événement les attendait sur la route quelque chose qui allait tester leur foi et changer leur vie à jamais un soir monsie John rentrait du travail son esprit concentré sur le voyage à venir en tournant le coin il aperçut une vieille femme debout au bord

de la route agitant la main pour demander de l'aide son pagne était bien serré autour de sa taille et elle portait un petit panier dans les mains Mons John ralentit et s'arrêta à sa hauteur MAM où allez-vous lui demanda-t-il en sortant la tête par la fenêtre mon fils répondit la vieille femme d'une voix fatiguée je vais dans la rue d'après peux-tu m'y conduire MS John acquessa monte MAM la vieille femme monta dans la voiture et s'installa tranquillement sur le siège ils roulèrent en silence le seul bruit venant du moteur et du faible champ des grillons

à l'extérieur puis la vieille femme s'éclaircit la gorge mon fils commença-t-elle doucement j'espère que tu ne seras pas fâché de ce que je vais dire monsieur John la regarda curieux qu'y a-t-il MAM la vieille femme prit une grande inspiration ce Noël vous ne devriez pas voyager au village et si vous devez y aller toi et ta famille devaient prier et jeûner avant le voyage il y a un danger qui vous attend ces mots flottèrent dans l'air comme de la fumée monsieur John éclata d'un grand rire joyeux qui fit se contracter le visage de la vieille

femme MAM tu veux que j'empêche ma famille d'aller au village ce n'est pas la première fois que je fais ce voyage pour Noël rien ne va se passer dit-il en secouant la tête la vieille femme le regarda ses yeux sont et sérieux j'ai dit ce que j'avais à dire le reste dépend de toi mon fils lorsqu'ils arrivèrent à sa destination monsieur John s'arrêta et la vieille femme sortit de la voiture elle se tourna vers lui une dernière fois merci pour le transport souviens-toi de mes paroles prie et jeûne si tu dois y aller monsieur John

la salua d'un geste de la main souriant merci MAM prends soin de toi alors qu'il s'éloignait en voiture il pensa pourquoi les gens aiment-ils effrayer les autres avec ces histoires il se convainquit qu'elle était simplement superstitieuse ou qu'elle essayait de paraître sage après tout il avait fait ce voyage plusieurs fois sans jamais rien aré mais alors que la voiture disparaissait dans la soirée la vieille femme resta immobile l'observant son visage était impassible ses paroles avaient été prononcées mais ce qui se passait à venir n'était plus entre ses mains il restait 2 jours avant Noël et

la maison bourdonnait d'excitation les sacs étaient empilés près de la porte remplie de vêtements de cadeaux et de collations pour le long voyage les enfants dansaient autour parlant du village et de tout le plaisir qu'ils allaient àoir avec leurs cousins sopia comme toujours était la plus calme avant de partir elle appela tout le monde dans le salon prions avant de partir dit-elle sa voix douce mais ferme monsieur John fronça les sourcils Sophia qu'est-ce que tu as avec ces prières on ne va pas sur la Lune juste au village laisse-moi aller chauffer la voiture dit-il en

la repoussant d'un geste Sophia soupira et sagenouilla pour prier seul avec les enfants elle murmura sa prière habituelle à Dieu protège-nous Seigneur et guide ma famille à l'extérieur monsieur John s'installa au volant tourna la clé du contact et attendit mais au lieu du ronron habituel du moteur il y eut un silence complet il essaya à nouveau et la voiture toussa faiblement mais refusa de démarrer qu'est-ce que c'est maintenant marmonna monsieur John il sortit de la voiture ouvrit le capot et fixa le moteur comme s'il allait s'expliquer tout seul il secoua quelques fils et essaya encore

mais la voiture ne démarrait toujours pas frustré il entra à l'intérieur pour annoncer à sopia que la voiture ne démarrait pas je ne sais pas ce qui ne va pas dit-il en se grattant la tête sopia le regarda calme comme toujours peut-être que Dieu ne veut pas que nous partions dit-elle doucement monsieur John réagit vivement arrête de dire ça qu'est-ce que Dieu a à voir avec un moteur de voiture je vais appeler le mécanicien le mécanicien arriva rapid son trousseau de clé cliqueant alors qu'il inspectait la voiture après quelques minutes il se redressa et secoua

la tête le moteur a calé cette voiture ne partira pas d'ici tant qu'elle ne sera pas réparée la bouche de monsieur John se décrocha calé j'ai conduit cette voiture hier et il n'y avait rien de mal avec elle le mécanicien haussait les épaules parfois ces choses arrivent monsieur c'est au-delà de mes compétences sopia sourit faiblement dieu sait pourquoi dit-elle d'une voix calme mais monsieur John ne voulait rien entendre dieu sait pourquoi répéta-t-il sarcastiquement et maintenant on fait quoi on va juste rester là et annuler Noël Sophia ne répondit rien observant son mari qui faisait les

100 pas dans la pièce comme un lion agité après un moment monsieur John tapa dans ses mains et dit on ira au parc et on prendra un bus comm ce n'est pas idéal mais on arrivera quand même au village Sophia fronça les sourcils peut-être qu'on ne devrait pas partir du tout dit-elle doucement ne recommence pas avec ça Sophia répondit vivement monsieur John j'ai pris ma décision et ainsi la question fut réglée les sacs furent réemballés pour le bus et les enfants toujours excités se préparèrent pour le voyage mais le cœur de sopia était lourd et

elle pria silencieusement seigneur prends le contrôle cependant ce que monsie John et sa famille ne savaient pas c'est que tout le monde n'était pas heureux des visites annuelles de Noël loin dans le village l'air était calme mais le cœur de Mama amaka était rempli de bruit elle était assise dehors devant sa case de bout fixant la route poussiéreuse son visage tordu de rancœur chaque année mon John et sa famille arrivaient comme des rois leur voiture étincelant attirant tous les regards sa femme sopia et leurs enfants semblaient si bien nourris et heureux pendant ce temps ses

quatre fils peénaient à peine à revenir chez eux et lorsqu'il le faisaient c'était à vélo ou à pied Mama amaka serra son point pourquoi Noël doit-il toujours être à propos de John marmonnat-elle son cœur bouillant de jalousie elle se décida que cette année serait différente elle appela sa plus proche amie Mama a et d'une voix basse lui dit je ne peux plus supporter ça cette année ce garçon et sa famille ne viendront pas ici pour exhiber leur richesse Mama Aï dont la langue était plus tranchante qu'un couteau acquessa tu as raison amaka il est temps

que tu fasses quelque chose sans perdre de temps Mama amaka et Mama Aï se dirigèrent profondément dans la forêt là où vivaient les sorcières du village le chemin était ombre avec des arbres se penchant bas comme s'ils écoutaient lorsqu'elles atteignirent la hutte de la sorcière un vent froid souffla faisant frissonner leur peau la chef des sorcières une vieille femme au visage aussi ridé qu'une feuille sèche les accueillit pourquoi êtes-vous venu sa voix raésonna comme du tonner Mama amaka s'agenouill au sol la tête baissée j'ai besoin de votre aide mon Beaufils John ne doit pas atteindre

ce village vivant son succès m'a honteusement dominé moi et mes enfants trop longtemps les sorcières éclatèrent de rire leur ricanement ressemblant à du verre brisé c'est tout dit la chef ses yeux brillants considérez cela fait elles se rassemblèrent autour d'un chaudron bouillonnant d'un liquide noir épais l'une des sorcières jeta un morceau de tissu Mama amaka ayant apporté un morceau de chemise de John de sa dernière visite une autre ajouta des cendres murmurant des mots qui tordèent l'air la chef leva la main et la pièce se tu ils n'atteindront pas ce village vivant déclara-t-elle un accident

mortel les attend sur la route le cœur de Mama amaka se gonfla de joie sombre elle donna des pièces en paiement et les sorcière rireent en préparant la malédiction finale c'est fait dit la chef sa voix froide comme de la pierre Mama haka rentra chez elle cette nuit-là le visage calme mais le cœur dansant elle s'imaginait déjà la voiture de John écrasée sa famille partie et les villageois en deuil enfin il n'y aurait plus personne pour éclipser ses fils de retour en ville tôt le lendemain matin monsieur John et sa famille arrivèrent au parc l'endroit

était bondé de voyageurs des vendeurs criaient et vendèent du pain de l'eau en sachet et du maïs rôti les enfants s'accrochaient à leur sacs leur excitation bouillonnant en les voyant charger les bus de bagage monsieur John tenant les billets guida sa famille vers un bus ce n'était pas aussi confortable que leur voiture mais il les mèneraient au village alors qu'il s'installaient dans leur siège la voix de sopia brisa le brouaa prions avant que le voyage ne commence dit-elle en se levant et en regardant les passagers certains hauchèrent la tête et fermèrent les yeux tandis que

d'autres l'ignorèrent murmurant entre eux le visage de monsieur John devint rouge de honte Sophia assiète-toi siffla-t-il tu m'embarrasses c'est un transport public pas une église mais sopia n'écouta pas elle ferma les yeux sa voix ferme et assurée Seigneur protège-nous lors de ce voyage couvre ce bus et tout ceux qui sont à l'intérieur amen amen murmurèrent quelques passagers tandis que d'autres roulèrent des yeux monsieur John secoua la tête en murmurant elle ne changera jamais le bus se mit bientôt en marche la ville s'effaçant progressivement dans la distance les enfants bavardaient et riaent pointant les paysages le

long de la route monsieur John sentant le léger balancement du bus s'endormit la tête appuyée contre la fenêtre pendant un moment tout était paisible la route s'étendant devant eux et le bourdonnement du moteur remplissant l'air mais à mi-parcours les choses changèrent soudain la voix du chauffeur perça le calme les freins les freins ne fonctionnent pas cria-t-il ses mains agrippant fermement le volant la panique éclata dans le bus les passagers criant alors que le véhicule commençait à dévier de manière incontrôlable Z AG an d'un côté à l'autre de la route Sophia serra ses enfants contre elle

ses lèvres bougeant en prière silencieuse devant eux un camion citerne se dessinait sa taille massive occupant toute la route le chauffeur lutta pour maîtriser le bus mais c'était inutile le bus fonça droit vers le camion citerne le bruit des pneus crissant et des cris terrifiés emplir en l'air dans ces instants le temps sembla ralentir la voix de sopia s'éleva au-dessus du chaos criant Seigneur sauve-nous et puis avec un bruit assourdissant le bus entra en collision avec le camion citerne le métal se tordant sous l'impact le verre brisé se tordit sous le choc et le monde

se fit soudainement silencieux loin dans le village le vent porta la nouvelle de l'accident la chuchotant aux oreilles attentives mais ce que personne ne savait encore c'était qui avait survécu la nouvelle se propagea rapidement comme un feu de brousse porté par le vent elle atteignit le village de monsieur John avant même que le soleil ne se couche les gens se rassemblèrent en petit groupe murmurant et secouant la tête tu as entendu John et sa famille ont eu un terrible accident Mama amaka entendit la nouvelle aussi elle tomba au sol hurlant de douleur son pagne volant

alors qu'elle se frappait la poitrine mon fils mes beaux enfants que nous avons fait pour méritait cela cria-t-elle sa voix montant pour que tous l'entendent mais au fond d'elle une joie malfaisante dansait elle pensa que son plan avait fonctionné qu'il n'y aurait plus personne pour éclipser ses fils ses larmes n'étaient rien d'autre qu'un masque sur le lieu de l'accident les secours arrivèrent enfin parmi les débris sopia et ses enfants furent de retrouvés secoués mais indemnes pas une seule égratinure ne marquait leur pe c'était comme si une main invisible les avait protégé mais monsieur John lui

n'ut pas autant de chance il avait été assis à l'avant et la force de la collision avait écrasé ses jambes il était vivant mais ses jambes étaient perdues les secouristes l'emmenèrent à l'hôpital sa famille suivant de près leur cœur lourd mais reconnaissant qu'ils soit encore en vie à l'hôpital Sophia s'agenouilla près du lit de son mari ses enfants se serrant autour d'elle elle pria avec des larmes coulant sur son visage seigneur tu nous as sauvé de l'accident s'il te plaît ne prends pas mon mari laisse-le vivre les blessures de monsieur John étaient graves et les

médecins travaillèrent toute la nuit pour le sauver au matin il se réveilla faible mais vivant la nouvelle de sa survis se répandit et le cœur de sopia se gonfla de gratitude plus tard dans la journée la vieille femme que monsieur John avait aidé quelques jours auparavant entra dans la chambre de l'hôpital ses pas étaient lents mais sa présence imposante elle se tint près du lit ses yeux pleins de savoir te souviens-tu de moi demanda-t-elle monsieur John hocha faiblement la tête oui MAM la vieille femme s'assit et commença à parler je t'avais dit de ne pas

aller au village ce Noël je t'avais verti de prier et de jeûer mais tu n'as pas écouté elle secoua la tête sa voix douce mais ferme si ce n'était pour les prières de ta femme toi et tes enfants serient déjà partis les yeux de monsieur John se remplirent de larmes il regarda sopia qui se tenait là silencieuse les mains jointes la vieille femme continua ta belle-mère MAM amaka et les sorcières du village ont préparé ce mal elles tont maudit mais Dieu est plus grand que leurs plan ce sont les prières de ta femme qui ont

dressé un bouclier autour de ta famille monsieur John s'effondra les larmes coulant librement j'étais fou dit-il sa voix tremblante je n'ai pas écouté je n'ai pas prié la vieille femme posa une main sur son épaule que cela te serve de leçon ne sous-estime jamais le pouvoir de la prière ne jamais ignorer les avertissements de Dieu à partir de ce jour monsie John changea dès qu'il fut libéré de l'hôpital il devint un homme nouveau chaque matin il était le premier à appeler sa famille pour la prière s'agenouillant au côté de sopia et remerciant Dieu pour Sa

miséricorde le dimanche il était toujours le premier à l'église sa voix la plus forte pendant la louange quant au village monsieur John ne retourna plus jamais pour Noël le souvenir de ce qui s'était passé et la connaissance de la trahison de sa belle-mère le tenait à distance ce n'est que des années plus tard après la mort de Mama amaka qu'il visita à nouveau le village cette fois avec un cœur humble et un esprit reconnaissant l'histoire de l'accident de monsieur John et de sa survie miraculeuse se répandit loin et large elle devint une leçon pour beaucoup

un rappel que la prière est l'arme la plus puissante contre les dangers invisibles et que tout le monde ne se ré jou pas de votre succès j'espère que vous avez apprécié l'histoire si c'est le cas veuillez aimer la vidéo commentez ce que vous avez appris de ce compte et n'oubliez pas de vous abonner à la chaîne pour plus de comptes enchanteurs comme celui-ci merci